Les légions de la république romaine en campagne, par Xavier LAPRAY

Xavier LAPRAY est agrégé et docteur en histoire.
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Chaque année depuis sa création le CEHD* a organisé un cycle de conférences portant sur une thématique "transversale", toujours déclinée de l'Antiquité à nos jours, et donnant lieu à une conférence publique mensuelle, d'octobre à mai. Chaque mois, un universitaire ou un spécialiste était invité à présenter un exemple historique, mettant ainsi à la disposition du "grand public" l'état de la recherche.
Le domaine "Histoire de la défense et de l'armement" de l'IRSEM a perpétué cette tradition dans un amphithéâtre de l'École militaire. Les thématiques abordées ont ainsi été : "Projection de forces et de puissance (2010-2011)" ; "La captivité de guerre, des guerres puniques à l'Afghanistan (2011-2012)".
Pour cette année universitaire 2012-2013, le thème retenu est "Faire campagne, de l'Antiquité à nos jours". Depuis longtemps, l'histoire militaire a mis en avant la bataille, lieu et instant paroxystiques censés concentrer tout le sens d'une guerre. Pourtant, bien avant la naissance, au XXe siècle, de l'art opératif, les "campagnes" ou les "opérations" sur des "théâtres" ont constitué des ensembles d'actions probablement bien plus importants que les batailles, tant politiquement que stratégiquement.
Laurent HENNINGER
* Depuis 2009, le CEHD (Centre d'études d'histoire de la défense) est rattaché à l'IRSEM (Institut de Recherche Stratégique de l'Ecole Militaire).
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[@lejouisseur3523]

Juste un détail sur l'élection des magistrats. Il est compliqué de dire que le peuple romain a son mot à dire étant donné que ce sont les comices centuriates dont seules les plus hautes classes ((cavalerie et première classe d’infanterie) ) qui votent les premières et qui, à elles seules, suffisent à avoir la majorité ; théoriquement si elles sont divisées, les comices tributes peuvent avoir leur mot à dire. Concrètement, nous ne disposons pas d'exemples de ce genre où les comices tributes auraient été décisives.

[@claudinehembise7078]

Le son est faible...dommage

[@debilgogol]

Donc effectivement on entend rien!

[@laurent8214]

C'est bien, super sujet, mais que s'est il donc passé avec le volume du son ^^

[@gio624ful]

pensé la même chose.

[@felipegonzales3960]

Mes amitiés légionnaires romaines😊

[@dmp7252]

Merci d’avoir insisté sur l’usage d’un micro. Si l’on est panéliste, et dans la démarche de faire une présentation, il faut être à l’aise avec le micro 🎙, surtout dans la langue de Molière qui se prête parfois à la confusion, surtout à l’oral en raison des homonymes. Quoiqu’il en soit, oui, les gens au fond de la salle peuvent entendre, mais c’est quand même difficile de distinguer les mots. Même les comédiens du théâtre 🎭 qui sont souvent bénis d’une diction irréprochable peinent parfois à se faire comprendre au fond de la salle sans micro. Donc, peu importe que vous disposez d’une voix qui porte, le bruit porte aussi, mais ça ne veux pas dire que ça soit compréhensible. Le micro rendre l’expérience plus agréable pour le public.

[@remigofflo179]

1988 ROME JULES CÉSAR JULES REMI GOFFLO CÉSAR MARC ANTOINE ROMAINS

[@remigofflo179]

1988 ROME JULES CÉSAR JULES REMI GOFFLO CÉSAR MARC ANTOINE ROMAINS

[@1bottlejackdaniels]

01:10:30 ..."une longue marche de nuit de 3000 kms" ...chapeau, Metellus Scipion! :D

[@wolfliou3678]

Labienus,lieutenant de césar.