J'y suis allé dans les années 90, vers 1993 il me semble. Eric était incarcéré. C'était sympa comme lieu, que des gens sympas. Je me souviens d'un wagon aussi. Et de sculptures le long du gave. Ce sont des vacances gravées dans ma mémoire. J'avais une dizaine d'années.
Oui c'était bien j suis aller aussi . pareil dans les années 90 .la grande salle avec le piano o milieu et le bar .avec pleins d'affiche contre la construction d'une autoroute je crois. Un vieux wagon de marchandise .l'été on aller se baigner derrière la gare . quelques personnes de passage. .très bon souvenir. Bonjour à toi. P'tit fred.
Moi aussi avec mes parents en vacances dans Les Pyrénées en 1993 & 1995. Venant du Finistère Nord. Nous avions vu que sa copine, une charmante et sympathique brune aux cheveux bouclés.
tu peux être fier de toi ;) en 25 ans toute la France underground et/ou écolo est passée chez toi ;) à part la Vieille Valette je crois qu'il n'y a pas de concurrence à ce stade ;)
Bonjour Éric ,de la part de Philippe de la Rochelle et de Guy Pierre (le belge)de Charente, on venait à la Goutte d'eau 1998 à 2000 ,on est pris ensemble en photo assis sur le banc dehors avec le jeune frère de Philippe.
+Daniel Leprince Merci de soulever ce point qui mérite réflexion et prudence, ou nuance. Vous avez pourtant d'autres possibilités de "partager" cette vidéo (ou de vous l'approprier)... Permettre l'intégration sur des sites tiers expose parfois les sujets et mon travail à des détournements de tous genres, sans retour ni échange, sur des sites marchands peu scrupuleux par exemple. Tv Izard "donne" des films à regarder gratuitement, sans publicité, ouverts au débat, à la critique positive ou négative ; n'est-ce pas une forme de partage ? Cela dit, en effet, c'est dommage. C'est pour le moment un choix par élimination et une maigre protection. Sans doute notre espèce et notre système ne sont-ils pas encore mûrs à un "réel" partage ou au détachement. Est-il seulement possible ?!
A ma connaissance la gare n était plus utilisée ni desservie. Comme beaucoup d autres gares en France rurale, vu la disparition du "service public" jusqu'à la construction de ce tunnel du Somport engageant un nouveau bras de fer : Une lutte en faveur de la liberté et de la défense du vivant pour les uns ; une lutte en faveur du progrès technologique et mercantile pour les autres. Ce que certains appellent squats ( sans même y avoir mis les pieds ) cette goutte d eau...Ce lieu a été valorisé, s est transformé en véritable zone de partage et d échange culturel, avec le leadership naturel d Eric qui a fait ses preuves en tant que poète, aventurier, exemple d émancipation, de sagesse et de savoir, malgrés l étiquette d eco-terroriste que lui ont collé au front tous les gens haut placés qui n ont pas partagé ses valeurs humanistes et de défense de la biodiversité ( ou plutôt qui n avaient rien à y gagner économiquement ). Oui la gare n était peut-être pas aussi bien "tenue et coquette" que si elle accueillait une "bonne famille bien rangée de la bonne société, s acquittant bon grès mal grés de ses devoirs et de ses taxes en bonne et due forme" mais la gare était devenue un lieu où l ignorance et l individualisme n avaient plus leur place, un lieu d expérimentation contre la pauvreté et l exclusion, un lieu d inconditionnel... En définitive c était un lieu que l Abbé Pierre et d autres grands hommes auraient pu créer et soutenir de leur vivant. Et pour cause c était peut-être une " famille dérangée ou... dérangeante " car elle a accueilli de nombreuses âmes égarées, des personnes dépossédées de tout moyen et de toute notion de subsistance... issues de tout bord, de tout horizon de toute génération, de nombreux pèlerins d ici ou d ailleurs... C était au fond...une sorte d' "église sans clocher" ce lieu où certains venaient pour se recueillir après un chemin de vie exacerbé par des galères et des peines que même l argent roi ne pouvait compenser ou guérir (....) d autres venaient pour découvrir, s instruire, se divertir. Et parfois, un dimanche matin, un lendemain de fête ou au milieu d une journée à thème où l art de vivre libres se dégustait...ce beau monde était surpris, interrompu par une brigade armée jusqu aux dents d une autorité administrative... Obligeant à donner des noms prénoms âges état civil... Relevant des plaques d immatriculation pour identifier des prétendus hérétiques qui étaient sur place ... À l époque ma vieille fiat était dans le décors. Alors que tout ça n'avait rien de lucratif ni de fanatique. Nous étions libres d aller et de venir, de rester ou de partir, pourvu qu on accepte des règles de vie basiques de bon sens : à commencer par le respect mutuel. Personne ne fesait commerce de ces moments suspendus dans le temps au millieu de cette vallée enchantée par la nature jusqu'alors préservée des déchets et gravats laissés par la frénésie humaine... Par les nombreux syndromes de Diogène nés du capitalisme effréné. C était un mouvement apolitique, donc ce n était pas une organisation pyramidale et la liberté des uns s arrêtait là où celle des autres commençait. C était donc un lieu de responsabilisation, sans tutelle et sans " cadre tout prêt à penser" pour des hommes qui ont refusé de vendre leur temps de vie sans cesse et sans trêve et souvent à perte, refusé de se presser et d être esclaves de maîtres vils et dépendants qui leur promettaient monts et merveilles ou juste une gamelle et une illusoire sécurité matérielle épanouissante quand elle ne fesait qu exacerber et frustrer les consciences ettouffees par des siècles de cette "bienséance". Tout le monde là bas apprenait à vivre au rythme de la nature et de ses lois universelles et incorruptibles là où ou LA NORME voudrait qu il faille vivre à l heure des actionnaires de wall street, de leurs sociétés écrans... De leurs lobbys qui rendent service autant qu ils peuvent tuer avec des poisons légaux et illégitimes ( glyphosate, traitements médicamenteux retirés du marché, etc... ) Pour contraster avec ce sinistre monde... La bas les murs étaient peints de toutes les couleurs, un art de vivre était omniprésent et les arts contemporains complementaient la palette barriolée du monde pastoral, personne n était inactif sauf dans une sieste bien méritée. L extérieur était aménagé en lieu de concert, en cuisine d été, en zones de permaculture et d expérimentations en techniques de survie. L intérieur était tout autant créatif, agrémenté de chaque pierre posée à l édifice et comme de nombreuses vieilles demeures, avait besoin de travaux de rénovation... Car le danger était bien présent...pour qui s aventurait sans prudence n importe où n importe comment... Mais la vie est faite de dangers. Comment s acquitter des obligations aux normes toujours plus complexes et coûteuses quand elles deviennent une prison administrative financièrement infranchissable aux plus démunis au lieu d une prise de conscience qui laisse accéder l humanité à une meilleure version d elle même ? Beaucoup de monde sait ce que sont devenus les principes de précaution et "les normes" surtout à l heure du covid et des échanges mercantiles qui ont tué ( et/ou largement affaibli ) tout ce qui n est pas lucratif et mercantile sur leur passage. Certains hommes ont prouvé dans ces temps qu ils avaient un ventre à la place du cœur. Ce lieu a une âme resistante et une conscience bien plus ouverte et affranchie que certains dirigeants haut placés n en auront jamais. La prophétie de Sitting bull vient le confirmer, il n y a qu'à suivre les assoiffés de pouvoir et d argent à la trace : partout sur leur passage ce sont les mêmes scènes de guerre, de dévastation, de destruction du vivant, de pillage, d injustices de violence d exploitation et de méprise faites aux plus faibles et démunis. Oui Un triste jour les hommes qui ne comptent que sur le buzyness pour guider leurs tristes vies s apercevront que l argent et le paraître ne nourrissent personne au contraire ils privent une partie de l humanité de ce qui lui est essentiel au profit d une autre qui vénère le superficiel. Et ce jour là déja bien sonné, leurs enfants qui ont été éduqués et soumis bon grès mal grès bon chic bon genre à suivre des lois contemporaines cannibales et immorales, dans un monde où tout doit être numérisé, tracé, jugé, acheté finalement marchandé.... Ce jour là leurs enfants auront froid, faim seront épuisés et en colère de les écouter... Eux et leurs discours de fausse liberté de fausse égalité et de fausse fraternité...de faux Progrès qui n ont rien d universels et de démocratiques. Alors svp...pour une fois...laissez les normes et les principes de précaution, laissez l esthétique de côté... Là où ils sont : Aux hommes qui ont un cerveau en forme de tirelire et un sourire en forme de poupée de cire en cerceuil... Ces hommes qui, si vous ne vous soumettez pas vous affligeront de toutes les peines possibles entre l enfermement l isolement et la peine de mort sociale puis biologique en vous promettant que c est pour votre bien être. Ces prédateurs qui utilisent vos yeux et vos oreilles, vos 5 sens, votre langue, votre flaire comme des chasseurs utilisent leurs chiens pour flairer et poursuivre une cible ... Encore une faille à la quelle l Aspache ne s est pas conformé : la soumission par la peur ( et le mensonge d une vie meilleure, plus confortable et plus simple...alors qu au bout de l aliénation et des promesses jamais tenues, l esclavage pointe son nez ) La suite, on la connait... ça fait des générations et des générations que ce système change de forme ( sciences et technologies, divertissements toujours plus complexes et innaccessibles et pollueurs destructeurs des consciences et de la Terre ) mais pas de fond ( liberté et égalité des hommes et femmes, de leur genre, abolition de l esclavage moderne au profit de droits du travail éthiques, justice incorruptible, gestion et répartition égales et durables des ressources de la planète, protection de la biodiversité avec des actions bénéfiques au règne végétal et Animal et non des taxes bénéfiques aux portes monnaies des adeptes du greenwashing... ). Courage Éric, avec Toi par la pensée.
... Et je m’en irai. Mais les oiseaux resteront, chanteront, et mon jardin restera, avec son arbre vert, avec son puits d’eau. Bien des après-midi les cieux seront calmes et bleus, et dans le beffroi les cloches carillonneront, comme elles carillonnèrent cet après-midi même. Ceux qui m’aimaient disparaîtront, et chaque année la ville se renouvellera. Mais mon esprit errera toujours nostalgique dans le même coin caché de mon jardin fleuri. Le voyage définitif - Juan Ramon Jimenez
Merci Eric toi tu es vraiment un VRAI ECOLO, n'en déplaise a certains pour qui l'écologie est une mode alors qu'elle devrait etre une urgence.
J'y suis allé dans les années 90, vers 1993 il me semble. Eric était incarcéré. C'était sympa comme lieu, que des gens sympas. Je me souviens d'un wagon aussi. Et de sculptures le long du gave. Ce sont des vacances gravées dans ma mémoire. J'avais une dizaine d'années.
Oui c'était bien j suis aller aussi . pareil dans les années 90 .la grande salle avec le piano o milieu et le bar .avec pleins d'affiche contre la construction d'une autoroute je crois. Un vieux wagon de marchandise .l'été on aller se baigner derrière la gare . quelques personnes de passage. .très bon souvenir. Bonjour à toi. P'tit fred.
@@unmondeperdu96 c'était le slogan "no pasaran", contre la construction du tunnel du Somport.
@@babtou1983 merci oui c ça.
Moi aussi avec mes parents en vacances dans Les Pyrénées en 1993 & 1995.
Venant du Finistère Nord.
Nous avions vu que sa copine, une charmante et sympathique brune aux cheveux bouclés.
Ils ont même fait un film là bas (Commissaire Morlock : Le Tunnel) avec Götz George (Commissaire Schimanski) et Gérard Klein (l'instit) 😘👍😊
Merci pour ce très beau reportage.Merci à toi Éric de ton partage ,la nature ,nous fait nous découvrir .
tu peux être fier de toi ;) en 25 ans toute la France underground et/ou écolo est passée chez toi ;) à part la Vieille Valette je crois qu'il n'y a pas de concurrence à ce stade ;)
tout est est dit merci
J suis aller sa fait o moin plus de 25 ans bonjour Éric . j'ai pleins de bon souvenir d'e mon passage. Ferai plaisir de te revoir.p'tit fred
Merci Eric pour ce que tu fait ! c'est toi qui a raison !
Oui, faire vivre nos montagnes quelles soient des Pyrénées, des Alpes, du Massif central... est un impératif à plus ou moins cours terme.
❤
merci
Grand merci oui ! ...♫
j'aime beaucoup ton discours.
Oué Pétoff ;) bises mon poto pousse nous la chansonnette ;)
Bonjour Éric ,de la part de Philippe de la Rochelle et de Guy Pierre (le belge)de Charente, on venait à la Goutte d'eau 1998 à 2000 ,on est pris ensemble en photo assis sur le banc dehors avec le jeune frère de Philippe.
réserve moi la Marsu steup ))
Salut Éric
Avez vous des nouvelles de Éric ?
dommage d'interdire l'intégration, c'est pas le sens du partage cela, je voulais la mettre sur mon blog
+Daniel Leprince
Merci de soulever ce point qui mérite réflexion et prudence, ou nuance.
Vous avez pourtant d'autres possibilités de "partager" cette vidéo (ou de vous l'approprier)...
Permettre l'intégration sur des sites tiers expose parfois les sujets et mon travail à des détournements de tous genres, sans retour ni échange, sur des sites marchands peu scrupuleux par exemple.
Tv Izard "donne" des films à regarder gratuitement, sans publicité, ouverts au débat, à la critique positive ou négative ; n'est-ce pas une forme de partage ?
Cela dit, en effet, c'est dommage. C'est pour le moment un choix par élimination et une maigre protection.
Sans doute notre espèce et notre système ne sont-ils pas encore mûrs à un "réel" partage ou au détachement.
Est-il seulement possible ?!
eric est toujours en hopital psychiatrique ...... j'espere des nouvelles !!
il parle de respect , il a transformer la gare en decharge et taguer comme une rame de metro
A ma connaissance la gare n était plus utilisée ni desservie. Comme beaucoup d autres gares en France rurale, vu la disparition du "service public" jusqu'à la construction de ce tunnel du Somport engageant un nouveau bras de fer :
Une lutte en faveur de la liberté et de la défense du vivant pour les uns ; une lutte en faveur du progrès technologique et mercantile pour les autres.
Ce que certains appellent squats ( sans même y avoir mis les pieds ) cette goutte d eau...Ce lieu a été valorisé, s est transformé en véritable zone de partage et d échange culturel, avec le leadership naturel d Eric qui a fait ses preuves en tant que poète, aventurier, exemple d émancipation, de sagesse et de savoir, malgrés l étiquette d eco-terroriste que lui ont collé au front tous les gens haut placés qui n ont pas partagé ses valeurs humanistes et de défense de la biodiversité ( ou plutôt qui n avaient rien à y gagner économiquement ).
Oui la gare n était peut-être pas aussi bien "tenue et coquette" que si elle accueillait une "bonne famille bien rangée de la bonne société, s acquittant bon grès mal grés de ses devoirs et de ses taxes en bonne et due forme" mais la gare était devenue un lieu où l ignorance et l individualisme n avaient plus leur place, un lieu d expérimentation contre la pauvreté et l exclusion, un lieu d inconditionnel...
En définitive c était un lieu que l Abbé Pierre et d autres grands hommes auraient pu créer et soutenir de leur vivant.
Et pour cause c était peut-être une " famille dérangée ou... dérangeante " car elle a accueilli de nombreuses âmes égarées, des personnes dépossédées de tout moyen et de toute notion de subsistance... issues de tout bord, de tout horizon de toute génération, de nombreux pèlerins d ici ou d ailleurs... C était au fond...une sorte d' "église sans clocher" ce lieu où certains venaient pour se recueillir après un chemin de vie exacerbé par des galères et des peines que même l argent roi ne pouvait compenser ou guérir (....) d autres venaient pour découvrir, s instruire, se divertir.
Et parfois, un dimanche matin, un lendemain de fête ou au milieu d une journée à thème où l art de vivre libres se dégustait...ce beau monde était surpris, interrompu par une brigade armée jusqu aux dents d une autorité administrative... Obligeant à donner des noms prénoms âges état civil... Relevant des plaques d immatriculation pour identifier des prétendus hérétiques qui étaient sur place ... À l époque ma vieille fiat était dans le décors.
Alors que tout ça n'avait rien de lucratif ni de fanatique.
Nous étions libres d aller et de venir, de rester ou de partir, pourvu qu on accepte des règles de vie basiques de bon sens : à commencer par le respect mutuel.
Personne ne fesait commerce de ces moments suspendus dans le temps au millieu de cette vallée enchantée par la nature jusqu'alors préservée des déchets et gravats laissés par la frénésie humaine... Par les nombreux syndromes de Diogène nés du capitalisme effréné.
C était un mouvement apolitique, donc ce n était pas une organisation pyramidale et la liberté des uns s arrêtait là où celle des autres commençait. C était donc un lieu de responsabilisation, sans tutelle et sans " cadre tout prêt à penser" pour des hommes qui ont refusé de vendre leur temps de vie sans cesse et sans trêve et souvent à perte, refusé de se presser et d être esclaves de maîtres vils et dépendants qui leur promettaient monts et merveilles ou juste une gamelle et une illusoire sécurité matérielle épanouissante quand elle ne fesait qu exacerber et frustrer les consciences ettouffees par des siècles de cette "bienséance".
Tout le monde là bas apprenait à vivre au rythme de la nature et de ses lois universelles et incorruptibles là où ou LA NORME voudrait qu il faille vivre à l heure des actionnaires de wall street, de leurs sociétés écrans... De leurs lobbys qui rendent service autant qu ils peuvent tuer avec des poisons légaux et illégitimes ( glyphosate, traitements médicamenteux retirés du marché, etc... )
Pour contraster avec ce sinistre monde... La bas les murs étaient peints de toutes les couleurs, un art de vivre était omniprésent et les arts contemporains complementaient la palette barriolée du monde pastoral, personne n était inactif sauf dans une sieste bien méritée.
L extérieur était aménagé en lieu de concert, en cuisine d été, en zones de permaculture et d expérimentations en techniques de survie.
L intérieur était tout autant créatif, agrémenté de chaque pierre posée à l édifice et comme de nombreuses vieilles demeures, avait besoin de travaux de rénovation... Car le danger était bien présent...pour qui s aventurait sans prudence n importe où n importe comment... Mais la vie est faite de dangers.
Comment s acquitter des obligations aux normes toujours plus complexes et coûteuses quand elles deviennent une prison administrative financièrement infranchissable aux plus démunis au lieu d une prise de conscience qui laisse accéder l humanité à une meilleure version d elle même ?
Beaucoup de monde sait ce que sont devenus les principes de précaution et "les normes" surtout à l heure du covid et des échanges mercantiles qui ont tué ( et/ou largement affaibli ) tout ce qui n est pas lucratif et mercantile sur leur passage.
Certains hommes ont prouvé dans ces temps qu ils avaient un ventre à la place du cœur.
Ce lieu a une âme resistante et une conscience bien plus ouverte et affranchie que certains dirigeants haut placés n en auront jamais.
La prophétie de Sitting bull vient le confirmer, il n y a qu'à suivre les assoiffés de pouvoir et d argent à la trace : partout sur leur passage ce sont les mêmes scènes de guerre, de dévastation, de destruction du vivant, de pillage, d injustices de violence d exploitation et de méprise faites aux plus faibles et démunis.
Oui Un triste jour les hommes qui ne comptent que sur le buzyness pour guider leurs tristes vies s apercevront que l argent et le paraître ne nourrissent personne au contraire ils privent une partie de l humanité de ce qui lui est essentiel au profit d une autre qui vénère le superficiel.
Et ce jour là déja bien sonné, leurs enfants qui ont été éduqués et soumis bon grès mal grès bon chic bon genre à suivre des lois contemporaines cannibales et immorales, dans un monde où tout doit être numérisé, tracé, jugé, acheté finalement marchandé.... Ce jour là leurs enfants auront froid, faim seront épuisés et en colère de les écouter... Eux et leurs discours de fausse liberté de fausse égalité et de fausse fraternité...de faux Progrès qui n ont rien d universels et de démocratiques.
Alors svp...pour une fois...laissez les normes et les principes de précaution, laissez l esthétique de côté... Là où ils sont :
Aux hommes qui ont un cerveau en forme de tirelire et un sourire en forme de poupée de cire en cerceuil... Ces hommes qui, si vous ne vous soumettez pas vous affligeront de toutes les peines possibles entre l enfermement l isolement et la peine de mort sociale puis biologique en vous promettant que c est pour votre bien être.
Ces prédateurs qui utilisent vos yeux et vos oreilles, vos 5 sens, votre langue, votre flaire comme des chasseurs utilisent leurs chiens pour flairer et poursuivre une cible ...
Encore une faille à la quelle l Aspache ne s est pas conformé : la soumission par la peur ( et le mensonge d une vie meilleure, plus confortable et plus simple...alors qu au bout de l aliénation et des promesses jamais tenues, l esclavage pointe son nez )
La suite, on la connait... ça fait des générations et des générations que ce système change de forme ( sciences et technologies, divertissements toujours plus complexes et innaccessibles et pollueurs destructeurs des consciences et de la Terre ) mais pas de fond ( liberté et égalité des hommes et femmes, de leur genre, abolition de l esclavage moderne au profit de droits du travail éthiques, justice incorruptible, gestion et répartition égales et durables des ressources de la planète, protection de la biodiversité avec des actions bénéfiques au règne végétal et Animal et non des taxes bénéfiques aux portes monnaies des adeptes du greenwashing... ).
Courage Éric, avec Toi par la pensée.
... Et je m’en irai.
Mais les oiseaux resteront, chanteront,
et mon jardin restera, avec son arbre vert, avec son puits d’eau.
Bien des après-midi les cieux seront calmes et bleus,
et dans le beffroi les cloches carillonneront,
comme elles carillonnèrent cet après-midi même.
Ceux qui m’aimaient disparaîtront,
et chaque année la ville se renouvellera.
Mais mon esprit errera toujours nostalgique
dans le même coin caché de mon jardin fleuri.
Le voyage définitif - Juan Ramon Jimenez
Ils prenn la tete les ecolos... on a bien besoin de tunels