Le problème c'est que les médias ne présentent plus vraiment des auteurs de littérature mais des potes à la mode qui hument l'air du temps et en déduisent qu'il faut pour avoir aujourd'hui du succès écrire (assez mal) sans trop réfléchir des confessions nombrilistes ou voyeuristes. On fait passer des vessies pour des lanternes. On trouve encore de vrais écrivains artisanaux, mais il faut beaucoup chercher et surtout dans de petites maisons d'édition.
Universalité , vraie vie . Les poncifs abondeNt ici dans un autre poncif , le moderne ! Prôner l'universalité , c'est donner de la charogne aux nourrissons a t on pu lire dernièrement dans les sous bassements euro yenique livre- sterlinguesque . L'univers , versatile, a souvent mené aux cata .
Un journaliste d’une radio culturelle qui perd progressivement son âme , un journaliste qui théâtralise des poncifs avec l’illusion de sa compétence, un journaliste passant d’un sujet à un autre avec une prétention d’expert , un journaliste dramatiquement satisfait.
Il faudrait signaler à monsieur Bellanger que Kafka est mort non en 1923, mais en 1924, année au cours de laquelle il corrige les épreuves de ses derniers écrits, pour leur publication. Un peu moins de mythologie et plus de rigueur !
@@offely49 simplement l'univers scolastique tend à l'universel, il se trouve confronté avec le temps, pour rester accessible, à une opposition entre le savoir et la nouveauté.
Le problème c'est que les médias ne présentent plus vraiment des auteurs de littérature mais des potes à la mode qui hument l'air du temps et en déduisent qu'il faut pour avoir aujourd'hui du succès écrire (assez mal) sans trop réfléchir des confessions nombrilistes ou voyeuristes. On fait passer des vessies pour des lanternes. On trouve encore de vrais écrivains artisanaux, mais il faut beaucoup chercher et surtout dans de petites maisons d'édition.
Vrai, vrai et vrai. 👌🏽
"Tout a été dit ; mais la manière de dire est inépuisable." Madame de Duras, Édouard
Oui la modernité en litre et rature se lit au bar pour de l immigré fatigué, de l ouvrier oublié, de la femme de ménage éreinté
😇😇😇
Universalité , vraie vie .
Les poncifs abondeNt ici dans un autre poncif , le moderne !
Prôner l'universalité , c'est donner de la charogne aux nourrissons a t on pu lire dernièrement dans les sous bassements euro yenique livre- sterlinguesque .
L'univers , versatile, a souvent mené aux cata .
Un journaliste d’une radio culturelle qui perd progressivement son âme , un journaliste qui théâtralise des poncifs avec l’illusion de sa compétence, un journaliste passant d’un sujet à un autre avec une prétention d’expert , un journaliste dramatiquement satisfait.
Il faudrait signaler à monsieur Bellanger que Kafka est mort non en 1923, mais en 1924, année au cours de laquelle il corrige les épreuves de ses derniers écrits, pour leur publication. Un peu moins de mythologie et plus de rigueur !
Le vrai écrivain est condamné à trouver sa propre langue. Seuls les épigones répètent ce qui a déjà existé.
Il me semble que le paradoxe se situe dans la dichotomie de l'universel.
C est à dire ?
@@offely49 simplement l'univers scolastique tend à l'universel, il se trouve confronté avec le temps, pour rester accessible, à une opposition entre le savoir et la nouveauté.
S'il répète ce qui existe déjà, c'est du plagiat. Question conne. Suivant.