Une vidéo très intéressante ! Nous avons en ce moment beaucoup de travail devant nous, mais d'ici quelques mois - une fois notre démonstrateur lancé - nous ne manquerons pas de venir en discuter sur ta chaîne. A bientôt !
Il faudrait tout de même qu'ils se renseignent auprès de juristes spécialisés dans l'image de marque commerciale afin voir si ça pourrait leur porter préjudice et éviter un procès coûteux dont l'argent serait mieux investi pour leurs propres recherches.
@@Nathanastro La barre du A de Areva est effilée alors qu'ici elle ressemble plutôt au profil d'une fusée. Areva c'est rouge sur fond blanc, ici c'est noir. Alors à moins que la lettre "A" soit privatisé, le logo est différent. ;)
Quelle surprise en sortant du travail de voir Alpha Impulsion chez Hugo ! C'est un type de propulsion passionnant et les sujets sont très nombreux mais ça avance 💪 Pour ceux que ça intéresse, il y aura bientôt un test du moteur autophage !
C'est incroyable et génial ! Lorsque les compétences techniques sont associées à l'imagination, cela donne des avancées exceptionnelles ! Alors certes c'est encore très loin d'être au point, mais comme beaucoup d'innovation avant, qui elles aussi ont connues des étapes difficiles et par tâtonnement. Si cela aboutis à quelques choses de viable, ça va clairement être une révolution. Merci pour cette vidéo.
Merci beaucoup pour cette vidéo, grâce à vous je comprends (enfin !) beaucoup mieux le principe - et il me semblait plutôt ingénieux, jusqu'au moment où le système d'injection a été explicité : avant cela, je supposais naïvement que c'était l'accélération constante qui permettait de pousser le réservoir consommable au fur et à mesure dans le moteur, mais apparemment c'est insuffisant à cause de la pression nécessaire. Or c'est précisément ce qui posait problème à ma compréhension à l'origine… Espérons que les ingénieurs talentueux des différentes sociétés qui se penchent sur la question finiront par trouver une solution satisfaisante.
Cette technologie est vraiment délirante... Je serais extrêmement curieux de connaître comment fonctionnent les joints entre les "reservoirs" et l'entrée dans la chambre de combustion...😨
avant de fondre le matériau qui ramollit doit probablement s'expandre et se plaquer aux parois sous la pression du mécanisme d'avancée ce qui peut faire l'étanchéité. Un peu comme un pistolet à colle.
l'idée est extrêmement intéressante (je pensait que le concept de fusée autophage se cantonnais au fonctionnement des propulseurs à ergols solide ) et la fusée d'impulse pourrait presque être considérée comme un SSTO puisque composée d'un seul étage. Je me pose la question de la composition des gaz d'une fusée autophage qui aurait des capacité et une utilisation similaire à celle d'un Starship (un lanceur capable de placer 100 tonnes en orbite et plusieurs lancement par semaine) , ces derniers de par la combustion d'un matériaux plastique, ne risqueraient-ils pas de devenir hautement polluants rendant le concept caduque (à quoi bon économiser cette masse si la combustion de cette dernière fini par polluer plus que l'utilisation d'une fusée conventionnelle? ) L'idée est très bonne mais il va falloir de plus en plus penser aux risques écologiques liées à cette industrie et si une fusée autophage s'avère plus polluante ne deviendrait-il pas plus judicieux de se cantonner à des modes de propulsion plus simples
Donc le recyclage c' est degueu pour la planete? Si tu choisis la cremation le jour de tes funerailles? C' est degueu aussi donc, tu pourrais plutot choisir le compostage par les vers plutot que la cremation, ce sera plus earth healthy
Tout dépend de la réaction chimique choisie. Et donc des substances produites (CO2, eau, autres?) 🚀 Et de la capacité à faire la réaction la plus totale possible.
Quand on brule du plastique, entre autre toxique, ça dégage des dioxines. Les dioxines c'est un cancer assuré parmi une gamme riche et varié de tumeur mortelle. Et en plus ce sont des polluants persistant que la nature met très longtemps à dégradé. Donc je trouve ta question vraiment légitime.
@@childericgabert5500 les trainées laissées par les fusées, excuse moi, même en lachant simplement de l'eau; peuvent avoir des effets devastateurs sur les couches supérieures de l'atmosphère. J'attends une réponse de hugo, pas de Zébulon
Elle ressemble, finalement, à une grosse allumette, cette fusée. Je suis pour : ça semble tellement efficace pour certains type de missions ! Merci pour la publication.
@@koothka il le dit dans la vidéo, un réservoir réutilisable c'est pas vraiment utile vu que c'est facile à fabriquer L'utilité du réutilisable est principalement économique pour le moteur
juste pour montrer a quel point SpaceX domène le secteur aerospatial : il ne se passe plus une seul DNDE, ou DNDE live ou documentaire sans qu'on parle du starship, meme quelques secondes.
Merci Hugo alors là c'est vraiment incroyable d'utiliser ce nouveau technologie d'utiliser de l'éthylène il faut encore trouver des stratégies je pense SpaceX va y arriver😢😢😂😂😂🎉😢
@@R-3hh Ce sont pourtant les premiers moteurs (et seuls à ce jour) à permettre à l'ensemble des ergols de participer a l'effort de propulsion. J'ai cru entendre, sur cette superbe chaine d'ailleurs, que c'était une technologie très avancée.
Projet intéressant mais complexe à réaliser surtout l'aspect environnemental qui doit être pris en compte avec la matière plastique. Merci les frères Lisoir pour cette vidéo
Bonjour, la réduction des coûts a l'air évidente mais les résidus de combustion d'un plastique ou polymère qui brûle sont extrêmement toxiques et polluants a voir si comme pour beaucoup d'industrie le gain financier l'emporte sur l'avenir de notre espèce sur une planète invivable remplie de produits toxiques.
Plutôt qu'un étage autophage, y a t il des recherches autour d'un étage "cannibale" qui utiliserai le réservoir de l'étage précédent ? Quid aussi d'une architecture classique où seul le réservoir proche du moteur serait consommé ? Ça serait un arbitrage qui permettrait de ne pas mettre en contact comburant et combustible, tout en brûlant de la masse morte.
Ou mais cela impliquerait du coup une consommation plus rapide d’un des deux, ce qui , après réflexion, peut être résolu. En revanche, Hugo n’a pas parlé de la gestion immensément complexe du centre de masse dans un étage qui de raccourcit…
salut l'équipe ...sujet très intéressant, par contre un point qui n'a pas été abordé , c'est la résistance structurelle d'une telle fusée en plastoque , personnellement , je ne suis pas convaincu,mais je demande qu'a me tromper ... de mon point de vue , le moteur a détonation rotative me semble bien plus prometteur ...même si il ne résout pas le problème de lamasse sèche
*Génial les moteurs autophages ! une fusée de 100m de long qui arrive à destination avec 10 mètres de long - ce serait pas mal comme propulsion futur - merci Hugo et Maxime* 😎😎🥰🥰👍👍
concernant les réservoirs; pourquoi les ingénieurs ne font il pas des reservoirs en mode poupée russes ? le réservoir avec l'ergol le plus "froid" serais a l'intérieur du réservoir avec l'ergol le moin froid ( on l'inverse).
Avec les contraintes techniques actuelles, ça ne serait plus intéressant de produire des avions super sonique avec des moteurs à réaction classique pour l'atmosphère et auquel on pourrait ajouter des moteurs de fusée, voir une propulsion nucléaire rotative avec les progrès fait par la nasa ? Le transport de charge utiles, les rentrées atmosphériques, la réutilisation, le retour au sol, tout serait beaucoup plus simple. Surtout avec des avions comme les Antonov le nombre de charge utiles transportables serait grandement augmenté.
De nombreuses autres problématiques apparaissent dans ce cas en même temps que les avantages qu'on est sensé en tirer, pour pouvoir faire décoller un avion capable de porter d'énormes charges utiles demanderait une structure bien plus robuste que celle des avions actuels, qui se retrouveraient donc très lourds en eux-mêmes sans même compter la charge utile, accumuler de la vitesse au sol avec un tel engin tout en conservant l'intégrité de sa structure serait donc d'autant plus difficile, la portance nécessaire au décollage serait énorme et rajoutons à ça le poids des boosters nécessaire au passage hors de "l'atmosphère" ... 😅
@AichaBrigadeAntiTaches oui sauf que contrairement à une fusée un avion à de la portance et de fait peut importe la taille qu'il fait, temps que la propulsion est suffisante il decolera du sol. Par contre biensur qu'il faut revoir la structure c'est évident. Mais aujourd'hui on est capable de produire des matériaux composites extrêmement légers et beaucoup plus résistant que l'acier. Un avion avec des ailes retractables serait l'idéal pour les rentrée atmospheriques. D'autant plus que si on ajoute une rampe de lancement avec un système MagLev le problème de la friction au sol est totalement oublier. Et pareil ça aujourd'hui on sait faire.
Hydrogène métallique ... un très bon métal, un très bon réservoirs et un très bonne explosif. Je sais personne ne connait. Même si il rendrait le tout totalement réelle.
J'ai entendu "gravité artificielle". Un jour, j'ai vu une vidéo parlant de cela mais ça fait longtemps. Si je me rappelle bien, un ou des théoriciens se penchaient sur l'utilisation de la force gyroscopique de masses en mouvement rotatif sur plusieurs niveaux et sur les 3 axes à chaque niveau permettant ainsi de diriger une force inertielle dans une direction choisie ce qui engendrerait une poussée. Plus il y aurait de niveaux plus la précision de la direction choisie serait grande. Je n'en sais pas plus pour l'instant mais je vais essayer de retrouver des sources à ce sujet. En tout cas, on en est qu'au début. La conquête spatiale est une grande source d'inspiration et merci de nous le rappeler👍
Ce principe est utilisé dans l'ISS pour l'orienter, avec des disques inertiels sur différents axes , mais pas pour supprimer une gravité. On sait très bien faire une gravité artificielle, mais pas en supprimer une.
@@La440Hz Je sais. Mais je vous remercie pour votre sollicitude à mon endroit. Finalement vous n'êtes pas un méchant. Alors youpi, quoi, et voilà... Que Zeus vous protège, monsieur Herz...
Completement délirant, autant la réutilisation des fusées c'est un truc que j'ai tjrs cru possible, mais la, pour moi ça me semble bcp trop risqué pour qu'un jour ça puisse voir le jour, les contraintes struturelles que ça pose... Sur un banc d'essai c'est facile, une fois en vol à mon avis c'est autre chose !
J'ai trouvé la solution pour le rail motorisé ! Le long du réservoir 4 crémaillères en plastique et des engrenages en haut du moteur pour les injecter avec le reste dans le moteur. J'ai également une solution pour séparer les réservoirs au niveau du moteur tout en les injectant mais pour expliquer faudrait que je fasse un dessin.
Excellente piste de recherche. Lorsque la recherche parvient à intégrer, de façon encore plus intelligente, la collaboration de systèmes multiples structurellement hétérogènes, il est possible de constater ce que rend possible l'intelligence .
la dénomination est un peu trompeuse "moteur autophages" signifiant "moteur qui se mange lui-même" ; c'est la fusée qui est autophage, pas le moteur... Sinon, je pense que des ergol véritablement solides pourrait simplifier les difficultés. Autre remarque : les ergols solides, ne sont pas solide, au sens physique d'un solide : ce sont des fluides granulaire : de la poudre. (est-ce que le sable est un solide ? non, un grain de sable est un solide, mais le sable est un liquide granulaire...) La densité énergétique des solide visqueux (autre état physique) dérivé du pétrole comme le bitume, étant supérieure aux ergol (liquide ou solide), mais n'ayant pas d'impulsion spécifique suffisante : peut être qu'une combinaison ergol solide aluminium et une oxydant solide comme le perchlorate d'ammonium ou autre avec un bitume de pétrole pourrait être une solution envisageable. Il pourrait s'agir d'un composé de bitume et de maillage de métaux armant la structure pour la contrainte de compression à l'accélération. Le réservoir serait un composé homogène complexe, à la foi visqueux (bitume) et à la foi solide (métaux), ce qui permet la fonction structure et la fonction comburant élevé. Il serait stratifié avec des alliage d'aluminium afin d'avoir un contrôle précis de la température et de la vitesse (qui pourrait même être ainsi programmé dans le réservoir). Un élément avant le moteur, supplémentaire de transformation-préparation des combustible : un convertisseur-condensateur, pouvant être auto-entretenu par l'accélération et les réaction exogène (comme un pistolet à colle, mais c'est l'accélération et la combustion qui font office de piston de pression). Inconvénients : _ Cette fusée est légère, c'est à dire : moins dense que les fusée ordinaire, et donc plus longue : de l'ordre du demi-kilomètre, voir du kilomètre... Avantages : _ Un énorme panache de fumée noire, grasse, ultra-polluante ! avec de grosses explosion en pétarades ! due au nombreux résidus qui obstruent le moteur. Une sorte de fusée Harley Davidson ! Yayaya...
Il faut donc créer un matériau disposant d’un point de fusion précis afin d’en maîtriser le déclenchement et la vitesse de combustion, et suffisamment stable pour qu’il ne parte pas en morceaux au cours du processus. Il faut en outre que ce processus tolère d’importants changements de pression. C’est pas pour demain, et ça ne va pas être gratuit.
Toujours très intéressant. Et si le réservoir est autophage, ça peut peut-être permettre des fusées à un seut étage, sauf si le moteur nécessaire au début devient trop gros.
Le design est complexe en pratique: Au départ la gravité aide a ce que le corps de la fusée pousse contre le moteur et se fasse "manger". Dans l'espace plus de gravité, il n'y a plus rien qui tiens et pousse vers le moteur cette bougie geante. De plus il faut une structure de metal qui tiens le payload en haut pour pas qu'il tombe vers le moteur... Il faudrais aussi un moteur comme sur la video qui gere la compression, donc encore une complexité, car comment alimenter ce moteur en charge de la compression?! De plus la taille de la fusée diminuant, la dynamique des fluide et frottements, et du poids total change aussi, et donc cela veux dire que le profile de calcul du vol est extrement plus comlexe: exposition au vent sur des phase differente du vol, pression atmospherique etc... Pour moi c'est un sujet gadget qui fait son effet sur un rack de test mais qui n'a aucune réalité technique
Techniquement dans l'espace là gravité reste la même Si sa vitesse horizontale passe les 28k km/h la gravité sera "compensée" par la force centrifuge et la somme des force sera Techniquement nulle Concernant la complexité de mise en place je suis d'accord et concernant la complexité du calcul de vol également Est-ce dans les décennies à venir tous ces défis pourront etre relevés Je ne sais pas Je pense par contre que ça vaut dans tous les cas le coup de s'y pencher Si ça ne devient pas Techniquement viable, les problèmes qu'on résoudra en cherchant dans cette direction profiteront à tout le monde
Merci pour la prévision! J'ai besoin d'un conseil: J'ai un portefeuille SafePal avec des USDT et j'ai la phrase de récupération. (alarm fetch churn bridge exercise tape speak race clerk couch crater letter). Pourriez-vous expliquer comment les déplacer vers Binance?
Bonsoir Hugo, Excellent ce genre de propulsion, mais, je suppose que cela empêche la réutilisation : on ne peut pas refaire le plein, si ? Merci, toujours étonné par tous ces sujets !
super intéressante comme vidéos , quelques points me semble encore à travailler , la pousser des moteur autophage et la masse qui tire la structure vers le centre de la terre ne peuvent ils pas servir de rail naturel ? plus la fusée monte , moins l'effet rail naturel fait effet , mais moins il faut de pousser pour faire monter la fusée ,un vrai problème
Et encore là, c'est aussi car le starship n'est pas optimiser pour le au delà de l'orbit base. Regarder le new glane et on voit que spacex pourrai faire mieux.
@@shadowsensei9040 Il leur suffit d'enlever le bouclier thermique, les ailettes et de consommer le vaisseau pour avoir un delta-v similaire à New Glenn sur un lanceur plus gros.
Bonjour, très bien pour s'arracher de l'orbite terrestre sans retour, pour le cotés réutilisable sa pèche un peut beaucoup a moins d'envoyer des tubes seule et plus grand en orbite pour refaire le plein. Sinon la puissances pure comme le fait ci bien spacex est la meilleur solution et de loin sachant que cela peut être réutilisable . J'ais bien peur que pour le dondaine de l'aérospatiales cela ne pour jamais être viable .
Je pense que les moteurs autophages ont de l’avenir, mais du au fait de leur isp réduite, et des contraintes structurelles, ce serait plutôt en tant que propulseurs d’appoint, lesquels n’auraient pas besoin d’être largués, afin de «gratter» des gains marginaux sur un vol
Bonjour Hugo. Je n'ai jamais vu sur cette chaine des explications sur la méthode employé pour alimenter les moteurs lorsque les ergols liquides se "baladent" en apesanteur
@@flavien5709 pour éviter ce phénomène, les étages utilisent des petits moteurs à poudre dits« de tassement » (installés autour de l’étage)qui produisent un peu de facteurs de charge, de sorte à plaquer les ergols vers le bas. Mention spéciale au Starship qui allume ses moteurs avant séparation, et qui donc s’épargne une phase d’apesanteur , et qui pour se rallumer possède deux réservoirs annexes, lesquels sont complètement remplis, donc pas d’ergols qui se baladent
Une balle creuse en guise de nez( la poussée sera proportionnel à la pression) , de l' ergol solide modifié, pour la résistance, de l' ergol liquide au centre et des raptors modifié pour la gestion de consommations, je pense que c'est jouable.
Je pense qu'il faudrait séparer l'accès à l'espace et le voyage au-delà de l'orbite basse. La solution du Starship me parait tout juste utilisable pour la lune mais pas pour mars. Ou alors uniquement pour un voyage unique sans retour. Envoyer une imprimante 3D dans le genre de celles utilisées pour fabriquer les moteurs des lanceurs modernes en orbite me semblerait plus judicieux afin de construire un vaisseau chargé de transporter les charges entre la terre et la lune voire Mars. Probablement alimenté au nucléaire. Ensuite, il faudrait fournir les matériaux à cette imprimante, dans un premier temps les faire venir de la Terre, puis plus tard des mines spatiales. Ce type de lanceur pourait être mieux adapté qu'un partiellement réutilisable, surtout si on arrivait à récupérer le bloc de propulsion soit en le faisant revenir sur Terre, soit pour l'utiliser dans l'espace. L'autre solution pour envoyer des blocs de matériaux pour l'imprimante pourrait être la fronde type Spinlaunch... Un bloc de métal n'a pas de problèmes de contraintes mécaniques. Combiner ces différentes techniques pourrait vraiment rendre l'accès aux autres planètes relativement simple. Un programme couteux au départ mais surement moins sur le long terme. Quoiqu'il en soit, ce type de propulsion resterait confiné à l'orbite terrestre. A mon avis il va falloir combiner plusieurs technologies pour dépasser durablement l'orbite de la Terre. Ce qui ne nous empêche pas de préserver cette dernière car on est loin de pouvoir trouver un autre monde aussi adapté à nos besoins.
Merci Hugo pour cette innovation et franchement grâce à tes vulgarisation et cette paradoxe avec une bouteille d'eau en glace c'est très compréhensible et c'est vrai il y a des choses à voir avant que ça existe franchement si le polyéthylène je connaissais pas les masses mortes et les masses à vide mais c'est incroyable la démonstration qu'ils ont fait de voir que ça rétrécit en longueur et ça tombe dans la chambre de combustion🎉🎉🎉🎉❤❤❤😂😂😂 j'adore tes vidéos sont trop bien
Bah tu brûle du plastique donc tu as forcément plein de déchets plus ou moins degueu voir pas prévu qui se forme mais comme tu sais l'industrie et globalement les grands patrons d'entreprise en ont complètement rien a foutre de la planète donc 😅
J’avais deja rêvé une fusée qui se concomme ainsi mais plutot par la base, un melange d’ergol solide en couche suscessive qui joue a la fois le role de reservoir et de tuyère. La forme de la tuyère se conserve en fondant lentement pour produre la pousser, plutot meme d’une tuyère dont la forme pourrait evoluer durant son cycle pour consrver des performances optimales selon l’altitude. Ca elimine le besoin d’un systeme de separation car a la fin du cycle il n’y a simplement plus rien.
Cool, on a donc ine fusée qui disparaît à peine arrivée dans l'espace. Super classe, et en plus cerise sur le gâteau, c'est méga écologique même si ça sert à rien
N'y a-t-il pas un moyen des faire de la structure extérieure l'équivalent du 2e ergol, pour que l'intérieur liquide et l'extérieur liquide ne réagissent qu'en cas de conditions très précises qui n'arriveraient qu'une fois proche des moteurs? Je suppose que c'est compliqué de savoir s'il pourrait y avoir une combinaison solide+liquide qui marcherait, mais cela ferait fondre le 1e étage comme une bougie sans faire réagir tout l'étage, et ça éviterait d'avoir à stocker 2 ergols parallèlement dans le 1e étage. Désolé si c'est une question bête, je ne suis pas exactement très bon en chimie, surtout en ce qui concerne les réactions.
principe très intéressant mais limité par la taille du réservoir. Pour un vol qui serait plus long, comment faire pour un ravitaillement. La question du réservoir autophage ouvre la recherche pour trouver d'autres contenants. un vaste sujet.
Les propergol solide n'utilise il pas déjà en partie le même principe ? Je ne suis pas un expert mais sur les fusée amateur avec du rocket Candy c'est déjà en partie ce qu'il se passe non ?
j'avais pensé un moment que l'on mettrait des tuyaux pour récup un peu de gaz d'echappement et un système qui rescinde les molecules pour refaire un peu de carburants. >
@ tout à fait d’accord, les contraintes écologiques drastiques qu’on impose à l’industrie automobile et à la construction devraient aussi s’appliquer à l’aérospatiale
Le début de la vidéo me semble bien cerner le problème : un starship arrive en orbite presque épuisé. Difficile de penser à des missions planétaires habitées avec ça, sauf à faire une quantité délirante de lancements et transferts d'ergols, ce qui serait une impasse du point de vue écologique. S'il existe un chemin technique pour la faisabilité des fusées autophages, il faut le prendre.
un problème pas mentionner dans la vidéo c'est la vitesse.j'ai du mal à croire que cette paroie en plastique puisse encaisser les G et les Machs 4-5 comme une structure en inox.
Entre la charge, le combustible et les moteurs, y'a deux points de liaison. Avec la fusée autophage, y'a forcément l'un de ces deux points qui est "mobile". Soit la charge utile descend, soit les moteurs montent (ce qui semble aberrent). Avec la pression aérodynamique du vol qui varie, comment ce point de liaison "mobile", fait pour ne pas "casser"?
Comment gèrent ils les contraintes structurelles au fur et à mesure de la poussée et donc de la pression exercée sur le corps de la fusée, parce que avec de l'acier ok et même là on à déjà vu des accidents dû à ça, mais avec un plastique aussi solide soit il peut il réellement tenir pour atteindre les vitesses nécessaires et passer déjà Max Q ?! . J'avoue celà m'intrigue beaucoup de connaître la ou les solutions envisagées
Un petit peu de confusion ici. Il est clair que le réservoir autophage n'aura jamais la même efficacité énergétique que les propergols eux même, donc les augmentations miraculeuses de ratio de masse sont un beau rêve. D'autre part il reste à démonter que les matériaux combustibles utilisés auront la même résistance par Kg que les métaux des réservoirs actuels. Pour être plus clair, si le Polyéthylène de l'exemple dégage deux fois moins d'énergie en brûlant et qu'en plus il est deux fois moins résistant par kg que l'alu, le gain net est ... zéro. Sans compter qu'il faut le reconstruire au prochain round.
Bonjour, C'est intéressant mais cela le serait davantage s'ils s'intéressaient à la propulsion par anti gravité, qui reste, pour l'instant, dans le domaine de la science fiction.
Pourquoi ont ils tester le moteur horizontalement ? A cette échelle le poids du réservoir ne suffit pas ? A la vertical avec le poids du réservoir et l’accélération des moteur la gravité ne suffirait t'elle pas pour pousser assez et réaliser ce que le vérin motorisé fait ?
J'ai vu une voiture qui fonctionne grâce à la fusion de divers déchets pour voyager dans le temps. Si on adaptait le système aux fusées on pourrait cramer les réservoirs ET la fusée qui rapetisserait petit à petit... Le premier qui répond "et la marmotte elle met le chocolat dans le papier d'alu" gagne un pouce !
Question candide : Pourquoi ne pas réfléchir ce concept autour d'un réservoir en poudre-ciment, contenant de la poudre en poudre, le tout fonctionnant en deux phases. Phase 1 : on brûle la poudre contenue dans "la seringue". Phase 2 : on brûle la seringue. Pas de séparation d'ergols. Pas de pièces mobiles. Ne reste, à la fin, que la tuyère et la charge.
Moi je me demande ce qu'il ce passerais, si l'on rajouter une charge utile, le réacteur autophage activé, cela ne donnerais pas une espèce de perte de poussé tant le poid de la charge appuyerais sur les parois qui ce consommerait plus vite 🤔 enfin je me comprend mais ça me pousse à penser à une sorte de nouvelle effet action réaction jamais observé 🤔
il faudrait séparer un étage quand même pour éviter que le reste de la fusée soit en contacte pendant détonation si la réaction et similaire au prototype
honnêtement je n'y crois pas trop. La sureté de fonctionnement va être cauchemardesque. récupérer uniquement le moteur est une piste beaucoup plus crédible et déjà étudié par arianespace et airbus lors des premier jet d’étude de thémis avec adeline. les réservoirs en graphène et fibre de carbone ont plus de chance de voir le jour à moyen terme que ce truc à long terme.
Bonjour, une question me vient, pourquoi aucune fusée n'utilise un design ou la charge utile est situé juste au dessus du moteur avec une serie de réservoir sur le dessus (je les imagine en 2 partie qui glisse de chaque côté de la fusée a la manière des coiffes d'Ariane) qui se detache au fur et a mesure qu'ils se vident? Cela permettrait d'utiliser un seul groupe de morteur et donc de reduire de facon conséquente la masse morte. Ca impliquerait également que les ergoles traverse l'etage de stockage de la charge utile mais space X y arrive bien avec les headertanks.
C'est bête ce que je vais dire, mais pourquoi ne pas utiliser l'auto autophage sur le module pour atteindre une orbite haute et non sur le lanceur, ne comprenant pas grand chose, je lance ma boulette mdrrr
je ne pence pas qu'il soit forcement nécessaire de détruire les parois des réservoirs. dans le cas de spacex il serais plus avantageux de faire des bouchon sur rail affin de contracter les gaz (ce qui leur épargnerais de placer des réservoirs secondaires.) et de faire des pièces habitable avec des mur aussi sur rail qui se déploierais a la place des réservoirs.
Les réservoirs sont pressurisés de bas en haut et participent à rigidité de la structure, comme un ballon de basket bien gonflé. Quand les ergoles se vide les réservoirs sont pressurisés par les moteurs pour remplacer le manque d'ergols. Et quand le booster redescend les soupapes régulent la pression interne pour pas qu'ils explosent par rapport à la pression atmosphérique. Une fusée je ne sais plus laquelle s'était effondrée sur son pas de tire comme du papier parce que les réservoirs étaient mal pressurisés ou trop remplis en haut qu'en bas. Je ne me souviens plus exactement. Donc pas exit les réservoirs.
Moi je me demande pourquoi on les assembles pas directement en orbite ces fusées...on aurait plus besoin de se soucier des problématiques de l'atmosphère et donc eh bien, pouvoir développer des fusées avec des charges utiles bien plus grande pour l'exploitation ou exploration spatiale...
Une vidéo très intéressante !
Nous avons en ce moment beaucoup de travail devant nous, mais d'ici quelques mois - une fois notre démonstrateur lancé - nous ne manquerons pas de venir en discuter sur ta chaîne. A bientôt !
Rien avoir mais je crois que votre logo avec le A stylisé c'est à Areva
@@Nathanastro Areva n'existe plus depuis 2018. Et c'est pas tout à fait le même logo, proche mais pas identique.
Il faudrait tout de même qu'ils se renseignent auprès de juristes spécialisés dans l'image de marque commerciale afin voir si ça pourrait leur porter préjudice et éviter un procès coûteux dont l'argent serait mieux investi pour leurs propres recherches.
@@Nathanastro La barre du A de Areva est effilée alors qu'ici elle ressemble plutôt au profil d'une fusée. Areva c'est rouge sur fond blanc, ici c'est noir. Alors à moins que la lettre "A" soit privatisé, le logo est différent. ;)
Quelle surprise en sortant du travail de voir Alpha Impulsion chez Hugo !
C'est un type de propulsion passionnant et les sujets sont très nombreux mais ça avance 💪 Pour ceux que ça intéresse, il y aura bientôt un test du moteur autophage !
C'est incroyable et génial !
Lorsque les compétences techniques sont associées à l'imagination, cela donne des avancées exceptionnelles !
Alors certes c'est encore très loin d'être au point, mais comme beaucoup d'innovation avant, qui elles aussi ont connues des étapes difficiles et par tâtonnement.
Si cela aboutis à quelques choses de viable, ça va clairement être une révolution.
Merci pour cette vidéo.
à voir au niveau des bilans de pollution....
Du plastique maintenant. wow..
Merci beaucoup pour cette vidéo, grâce à vous je comprends (enfin !) beaucoup mieux le principe - et il me semblait plutôt ingénieux, jusqu'au moment où le système d'injection a été explicité : avant cela, je supposais naïvement que c'était l'accélération constante qui permettait de pousser le réservoir consommable au fur et à mesure dans le moteur, mais apparemment c'est insuffisant à cause de la pression nécessaire. Or c'est précisément ce qui posait problème à ma compréhension à l'origine… Espérons que les ingénieurs talentueux des différentes sociétés qui se penchent sur la question finiront par trouver une solution satisfaisante.
Cette technologie est vraiment délirante... Je serais extrêmement curieux de connaître comment fonctionnent les joints entre les "reservoirs" et l'entrée dans la chambre de combustion...😨
avant de fondre le matériau qui ramollit doit probablement s'expandre et se plaquer aux parois sous la pression du mécanisme d'avancée ce qui peut faire l'étanchéité.
Un peu comme un pistolet à colle.
l'idée est extrêmement intéressante (je pensait que le concept de fusée autophage se cantonnais au fonctionnement des propulseurs à ergols solide ) et la fusée d'impulse pourrait presque être considérée comme un SSTO puisque composée d'un seul étage.
Je me pose la question de la composition des gaz d'une fusée autophage qui aurait des capacité et une utilisation similaire à celle d'un Starship (un lanceur capable de placer 100 tonnes en orbite et plusieurs lancement par semaine) , ces derniers de par la combustion d'un matériaux plastique, ne risqueraient-ils pas de devenir hautement polluants rendant le concept caduque (à quoi bon économiser cette masse si la combustion de cette dernière fini par polluer plus que l'utilisation d'une fusée conventionnelle? )
L'idée est très bonne mais il va falloir de plus en plus penser aux risques écologiques liées à cette industrie et si une fusée autophage s'avère plus polluante ne deviendrait-il pas plus judicieux de se cantonner à des modes de propulsion plus simples
salut hugo, par contre la combustion du plastique c'est plutôt dégueux pour l'atmosphère ?
Donc le recyclage c' est degueu pour la planete? Si tu choisis la cremation le jour de tes funerailles? C' est degueu aussi donc, tu pourrais plutot choisir le compostage par les vers plutot que la cremation, ce sera plus earth healthy
Tout dépend de la réaction chimique choisie.
Et donc des substances produites (CO2, eau, autres?)
🚀
Et de la capacité à faire la réaction la plus totale possible.
Quand on brule du plastique, entre autre toxique, ça dégage des dioxines. Les dioxines c'est un cancer assuré parmi une gamme riche et varié de tumeur mortelle. Et en plus ce sont des polluants persistant que la nature met très longtemps à dégradé. Donc je trouve ta question vraiment légitime.
Guère pire que le kérosène
@@childericgabert5500 les trainées laissées par les fusées, excuse moi, même en lachant simplement de l'eau; peuvent avoir des effets devastateurs sur les couches supérieures de l'atmosphère. J'attends une réponse de hugo, pas de Zébulon
Elle ressemble, finalement, à une grosse allumette, cette fusée. Je suis pour : ça semble tellement efficace pour certains type de missions !
Merci pour la publication.
Compliqué de faire une fusée autophage et réutilisable. Mais intéressant pour de la mise en orbite.
C'est antinomique mais c'est quand même un truc génial.
Sauf si il ne reste que les moteurs à récupérer, peut-être?
@@koothka il le dit dans la vidéo, un réservoir réutilisable c'est pas vraiment utile vu que c'est facile à fabriquer
L'utilité du réutilisable est principalement économique pour le moteur
juste pour montrer a quel point SpaceX domène le secteur aerospatial : il ne se passe plus une seul DNDE, ou DNDE live ou documentaire sans qu'on parle du starship, meme quelques secondes.
@@anisdjerrab C'est aussi un choix éditorial...
@@Abygae Tu veux parler de quoi pour illustrer les propos énoncés ? La boite de conserve de Blue Origins ?
Merci Hugo alors là c'est vraiment incroyable d'utiliser ce nouveau technologie d'utiliser de l'éthylène il faut encore trouver des stratégies je pense SpaceX va y arriver😢😢😂😂😂🎉😢
Les moteurs raptors ne sont pas si avancés que ça, par contre la maniabilité d'une fusée aussi grande est une avancée
@@R-3hh Ce sont pourtant les premiers moteurs (et seuls à ce jour) à permettre à l'ensemble des ergols de participer a l'effort de propulsion. J'ai cru entendre, sur cette superbe chaine d'ailleurs, que c'était une technologie très avancée.
Projet intéressant mais complexe à réaliser surtout l'aspect environnemental qui doit être pris en compte avec la matière plastique. Merci les frères Lisoir pour cette vidéo
Génial, c’était vraiment passionnant.
Bonjour, la réduction des coûts a l'air évidente mais les résidus de combustion d'un plastique ou polymère qui brûle sont extrêmement toxiques et polluants a voir si comme pour beaucoup d'industrie le gain financier l'emporte sur l'avenir de notre espèce sur une planète invivable remplie de produits toxiques.
Plutôt qu'un étage autophage, y a t il des recherches autour d'un étage "cannibale" qui utiliserai le réservoir de l'étage précédent ?
Quid aussi d'une architecture classique où seul le réservoir proche du moteur serait consommé ? Ça serait un arbitrage qui permettrait de ne pas mettre en contact comburant et combustible, tout en brûlant de la masse morte.
Ou mais cela impliquerait du coup une consommation plus rapide d’un des deux, ce qui , après réflexion, peut être résolu. En revanche, Hugo n’a pas parlé de la gestion immensément complexe du centre de masse dans un étage qui de raccourcit…
salut l'équipe ...sujet très intéressant, par contre un point qui n'a pas été abordé , c'est la résistance structurelle d'une telle fusée en plastoque , personnellement , je ne suis pas convaincu,mais je demande qu'a me tromper ...
de mon point de vue , le moteur a détonation rotative me semble bien plus prometteur ...même si il ne résout pas le problème de lamasse sèche
*Génial les moteurs autophages ! une fusée de 100m de long qui arrive à destination avec 10 mètres de long - ce serait pas mal comme propulsion futur - merci Hugo et Maxime* 😎😎🥰🥰👍👍
concernant les réservoirs; pourquoi les ingénieurs ne font il pas des reservoirs en mode poupée russes ?
le réservoir avec l'ergol le plus "froid" serais a l'intérieur du réservoir avec l'ergol le moin froid ( on l'inverse).
Avec les contraintes techniques actuelles, ça ne serait plus intéressant de produire des avions super sonique avec des moteurs à réaction classique pour l'atmosphère et auquel on pourrait ajouter des moteurs de fusée, voir une propulsion nucléaire rotative avec les progrès fait par la nasa ? Le transport de charge utiles, les rentrées atmosphériques, la réutilisation, le retour au sol, tout serait beaucoup plus simple. Surtout avec des avions comme les Antonov le nombre de charge utiles transportables serait grandement augmenté.
De nombreuses autres problématiques apparaissent dans ce cas en même temps que les avantages qu'on est sensé en tirer, pour pouvoir faire décoller un avion capable de porter d'énormes charges utiles demanderait une structure bien plus robuste que celle des avions actuels, qui se retrouveraient donc très lourds en eux-mêmes sans même compter la charge utile, accumuler de la vitesse au sol avec un tel engin tout en conservant l'intégrité de sa structure serait donc d'autant plus difficile, la portance nécessaire au décollage serait énorme et rajoutons à ça le poids des boosters nécessaire au passage hors de "l'atmosphère" ... 😅
@AichaBrigadeAntiTaches oui sauf que contrairement à une fusée un avion à de la portance et de fait peut importe la taille qu'il fait, temps que la propulsion est suffisante il decolera du sol. Par contre biensur qu'il faut revoir la structure c'est évident. Mais aujourd'hui on est capable de produire des matériaux composites extrêmement légers et beaucoup plus résistant que l'acier. Un avion avec des ailes retractables serait l'idéal pour les rentrée atmospheriques. D'autant plus que si on ajoute une rampe de lancement avec un système MagLev le problème de la friction au sol est totalement oublier. Et pareil ça aujourd'hui on sait faire.
ben techniquement c'est le cas avec les b52 qui transportent des avions fusées
Mon impression sur les fusées autophages, cela va être compliqué !!!
Perso, j'y crois pas. Mais faut jamais dire jamais 😊
Hydrogène métallique ... un très bon métal, un très bon réservoirs et un très bonne explosif. Je sais personne ne connait. Même si il rendrait le tout totalement réelle.
J'ai entendu "gravité artificielle". Un jour, j'ai vu une vidéo parlant de cela mais ça fait longtemps. Si je me rappelle bien, un ou des théoriciens se penchaient sur l'utilisation de la force gyroscopique de masses en mouvement rotatif sur plusieurs niveaux et sur les 3 axes à chaque niveau permettant ainsi de diriger une force inertielle dans une direction choisie ce qui engendrerait une poussée. Plus il y aurait de niveaux plus la précision de la direction choisie serait grande. Je n'en sais pas plus pour l'instant mais je vais essayer de retrouver des sources à ce sujet. En tout cas, on en est qu'au début. La conquête spatiale est une grande source d'inspiration et merci de nous le rappeler👍
Ce principe est utilisé dans l'ISS pour l'orienter, avec des disques inertiels sur différents axes , mais pas pour supprimer une gravité. On sait très bien faire une gravité artificielle, mais pas en supprimer une.
Faut s'appuyer sur quelque-chose d'extérieur au système.
Vous voulez que j'épuise ma réserve de Doliprane, c'est ça ? Méchant !
@@wilhelmgauthier3184 🤣🤣🤣Désolé 🙏 Par contre attention avec le Doliprane : pas + d'1g toutes les 6h 😉
@@La440Hz Je sais. Mais je vous remercie pour votre sollicitude à mon endroit. Finalement vous n'êtes pas un méchant. Alors youpi, quoi, et voilà... Que Zeus vous protège, monsieur Herz...
Completement délirant, autant la réutilisation des fusées c'est un truc que j'ai tjrs cru possible, mais la, pour moi ça me semble bcp trop risqué pour qu'un jour ça puisse voir le jour, les contraintes struturelles que ça pose... Sur un banc d'essai c'est facile, une fois en vol à mon avis c'est autre chose !
Passionnant épisode.
Interessant! Curieuse des développements avec ce type de fusées!
Coucou
Pour une fois je suis dans le top 3 🤣
Super vidéo comme toujours 🫶🏽
🥉🥉👍👍👏🏻👏🏻🥉🥉
moteur autophage ? dans la vidéo on devrais plutôt parler de réservoir autophage non ?
Plutôt une fusée à moteur réservoiro-phage.
des enzymes glouton
@@leonjambondior-t6j Drôle !
@@davidfourmeau4011 il mentionne également les moteur autophage
J'ai trouvé la solution pour le rail motorisé !
Le long du réservoir 4 crémaillères en plastique et des engrenages en haut du moteur pour les injecter avec le reste dans le moteur. J'ai également une solution pour séparer les réservoirs au niveau du moteur tout en les injectant mais pour expliquer faudrait que je fasse un dessin.
Excellente piste de recherche. Lorsque la recherche parvient à intégrer, de façon encore plus intelligente, la collaboration de systèmes multiples structurellement hétérogènes, il est possible de constater ce que rend possible l'intelligence .
Passionnant tous les défis qui attendent les ingénieurs aéro. Merci pour cette vidéo géniale.
la dénomination est un peu trompeuse "moteur autophages" signifiant "moteur qui se mange lui-même" ; c'est la fusée qui est autophage, pas le moteur...
Sinon, je pense que des ergol véritablement solides pourrait simplifier les difficultés. Autre remarque : les ergols solides, ne sont pas solide, au sens physique d'un solide : ce sont des fluides granulaire : de la poudre. (est-ce que le sable est un solide ? non, un grain de sable est un solide, mais le sable est un liquide granulaire...)
La densité énergétique des solide visqueux (autre état physique) dérivé du pétrole comme le bitume, étant supérieure aux ergol (liquide ou solide), mais n'ayant pas d'impulsion spécifique suffisante : peut être qu'une combinaison ergol solide aluminium et une oxydant solide comme le perchlorate d'ammonium ou autre avec un bitume de pétrole pourrait être une solution envisageable. Il pourrait s'agir d'un composé de bitume et de maillage de métaux armant la structure pour la contrainte de compression à l'accélération.
Le réservoir serait un composé homogène complexe, à la foi visqueux (bitume) et à la foi solide (métaux), ce qui permet la fonction structure et la fonction comburant élevé. Il serait stratifié avec des alliage d'aluminium afin d'avoir un contrôle précis de la température et de la vitesse (qui pourrait même être ainsi programmé dans le réservoir).
Un élément avant le moteur, supplémentaire de transformation-préparation des combustible : un convertisseur-condensateur, pouvant être auto-entretenu par l'accélération et les réaction exogène (comme un pistolet à colle, mais c'est l'accélération et la combustion qui font office de piston de pression).
Inconvénients :
_ Cette fusée est légère, c'est à dire : moins dense que les fusée ordinaire, et donc plus longue : de l'ordre du demi-kilomètre, voir du kilomètre...
Avantages :
_ Un énorme panache de fumée noire, grasse, ultra-polluante ! avec de grosses explosion en pétarades ! due au nombreux résidus qui obstruent le moteur. Une sorte de fusée Harley Davidson ! Yayaya...
Il faut donc créer un matériau disposant d’un point de fusion précis afin d’en maîtriser le déclenchement et la vitesse de combustion, et suffisamment stable pour qu’il ne parte pas en morceaux au cours du processus. Il faut en outre que ce processus tolère d’importants changements de pression.
C’est pas pour demain, et ça ne va pas être gratuit.
Toujours très intéressant. Et si le réservoir est autophage, ça peut peut-être permettre des fusées à un seut étage, sauf si le moteur nécessaire au début devient trop gros.
Super vidéo, vraiment bien faite.
Le design est complexe en pratique:
Au départ la gravité aide a ce que le corps de la fusée pousse contre le moteur et se fasse "manger".
Dans l'espace plus de gravité, il n'y a plus rien qui tiens et pousse vers le moteur cette bougie geante. De plus il faut une structure de metal qui tiens le payload en haut pour pas qu'il tombe vers le moteur... Il faudrais aussi un moteur comme sur la video qui gere la compression, donc encore une complexité, car comment alimenter ce moteur en charge de la compression?!
De plus la taille de la fusée diminuant, la dynamique des fluide et frottements, et du poids total change aussi, et donc cela veux dire que le profile de calcul du vol est extrement plus comlexe: exposition au vent sur des phase differente du vol, pression atmospherique etc...
Pour moi c'est un sujet gadget qui fait son effet sur un rack de test mais qui n'a aucune réalité technique
On dit toujours ça quand une nouveauté apparaît mais faut voir la possibilité couplé à l'utilité...
Techniquement dans l'espace là gravité reste la même
Si sa vitesse horizontale passe les 28k km/h la gravité sera "compensée" par la force centrifuge et la somme des force sera Techniquement nulle
Concernant la complexité de mise en place je suis d'accord et concernant la complexité du calcul de vol également
Est-ce dans les décennies à venir tous ces défis pourront etre relevés
Je ne sais pas
Je pense par contre que ça vaut dans tous les cas le coup de s'y pencher
Si ça ne devient pas Techniquement viable, les problèmes qu'on résoudra en cherchant dans cette direction profiteront à tout le monde
Super vidéo
Merci pour la prévision! J'ai besoin d'un conseil: J'ai un portefeuille SafePal avec des USDT et j'ai la phrase de récupération. (alarm fetch churn bridge exercise tape speak race clerk couch crater letter). Pourriez-vous expliquer comment les déplacer vers Binance?
Quel régal cet épisode Bravo !
Bonsoir Hugo,
Excellent ce genre de propulsion, mais, je suppose que cela empêche la réutilisation : on ne peut pas refaire le plein, si ?
Merci, toujours étonné par tous ces sujets !
super intéressante comme vidéos , quelques points me semble encore à travailler , la pousser des moteur autophage et la masse qui tire la structure vers le centre de la terre ne peuvent ils pas servir de rail naturel ? plus la fusée monte , moins l'effet rail naturel fait effet , mais moins il faut de pousser pour faire monter la fusée ,un vrai problème
Voilà quelque chose de bluffant.😲
Merci pour cette découverte.
Vraiment génial
Juste une p'tite question, si l'on veut la réutilisation comme une falc9, on la reremplie comment vu qu'il n'y a plus de réservoir ?
Avec un autre réservoir.
Merci , très interressant+ Et pour une fois pas des suppitations , du conditionnel. Bravo et merci
Le moteurs raptor 3 aura un rapport poussée/poids de 200 donc je pense au contraire qu'il est extrêmement léger.
Et encore là, c'est aussi car le starship n'est pas optimiser pour le au delà de l'orbit base. Regarder le new glane et on voit que spacex pourrai faire mieux.
@@shadowsensei9040 Il leur suffit d'enlever le bouclier thermique, les ailettes et de consommer le vaisseau pour avoir un delta-v similaire à New Glenn sur un lanceur plus gros.
Franchement rajouter à ça une tuyère dont le diametre s'ajuste en fonction de l'altitude et vous avez quelque chose de pas mal !
Bonjour, très bien pour s'arracher de l'orbite terrestre sans retour, pour le cotés réutilisable sa pèche un peut beaucoup a moins d'envoyer des tubes seule et plus grand en orbite pour refaire le plein. Sinon la puissances pure comme le fait ci bien spacex est la meilleur solution et de loin sachant que cela peut être réutilisable . J'ais bien peur que pour le dondaine de l'aérospatiales cela ne pour jamais être viable .
Je pense que les moteurs autophages ont de l’avenir, mais du au fait de leur isp réduite, et des contraintes structurelles, ce serait plutôt en tant que propulseurs d’appoint, lesquels n’auraient pas besoin d’être largués, afin de «gratter» des gains marginaux sur un vol
Bonjour Hugo. Je n'ai jamais vu sur cette chaine des explications sur la méthode employé pour alimenter les moteurs lorsque les ergols liquides se "baladent" en apesanteur
@@flavien5709 pour éviter ce phénomène, les étages utilisent des petits moteurs à poudre dits« de tassement » (installés autour de l’étage)qui produisent un peu de facteurs de charge, de sorte à plaquer les ergols vers le bas. Mention spéciale au Starship qui allume ses moteurs avant séparation, et qui donc s’épargne une phase d’apesanteur , et qui pour se rallumer possède deux réservoirs annexes, lesquels sont complètement remplis, donc pas d’ergols qui se baladent
Merci Hugo pour cette superbe idée que vous nous faites découvrir 👍
Ça couplé à un moteur à combustion rotative… le must !
Bon… faut le faire… 😅
Vidéo très intéressant et bien documenté. Merci beaucoup
Avec ces techno, l'expression "light this candle" qu'utilisent les youtubers américains à propos du starship prendrait tout son sens...
Une balle creuse en guise de nez( la poussée sera proportionnel à la pression) , de l' ergol solide modifié, pour la résistance, de l' ergol liquide au centre et des raptors modifié pour la gestion de consommations, je pense que c'est jouable.
Qu'est ce qui empêche de faire des avions fusées réutilisables ? J'adorerais voir un sujet la dessus .
Je pense qu'il faudrait séparer l'accès à l'espace et le voyage au-delà de l'orbite basse. La solution du Starship me parait tout juste utilisable pour la lune mais pas pour mars.
Ou alors uniquement pour un voyage unique sans retour.
Envoyer une imprimante 3D dans le genre de celles utilisées pour fabriquer les moteurs des lanceurs modernes en orbite me semblerait plus judicieux afin de construire un vaisseau chargé de transporter les charges entre la terre et la lune voire Mars. Probablement alimenté au nucléaire. Ensuite, il faudrait fournir les matériaux à cette imprimante, dans un premier temps les faire venir de la Terre, puis plus tard des mines spatiales.
Ce type de lanceur pourait être mieux adapté qu'un partiellement réutilisable, surtout si on arrivait à récupérer le bloc de propulsion soit en le faisant revenir sur Terre, soit pour l'utiliser dans l'espace. L'autre solution pour envoyer des blocs de matériaux pour l'imprimante pourrait être la fronde type Spinlaunch... Un bloc de métal n'a pas de problèmes de contraintes mécaniques. Combiner ces différentes techniques pourrait vraiment rendre l'accès aux autres planètes relativement simple. Un programme couteux au départ mais surement moins sur le long terme.
Quoiqu'il en soit, ce type de propulsion resterait confiné à l'orbite terrestre.
A mon avis il va falloir combiner plusieurs technologies pour dépasser durablement l'orbite de la Terre. Ce qui ne nous empêche pas de préserver cette dernière car on est loin de pouvoir trouver un autre monde aussi adapté à nos besoins.
Merci Hugo pour cette innovation et franchement grâce à tes vulgarisation et cette paradoxe avec une bouteille d'eau en glace c'est très compréhensible et c'est vrai il y a des choses à voir avant que ça existe franchement si le polyéthylène je connaissais pas les masses mortes et les masses à vide mais c'est incroyable la démonstration qu'ils ont fait de voir que ça rétrécit en longueur et ça tombe dans la chambre de combustion🎉🎉🎉🎉❤❤❤😂😂😂 j'adore tes vidéos sont trop bien
Tout à fait intéressant, merci.
Bonjours, Qu'en est t'il des rejets dans l'atmosphère des résidus des ses moteurs auto-phage ou hybride. Merci
Bah tu brûle du plastique donc tu as forcément plein de déchets plus ou moins degueu voir pas prévu qui se forme mais comme tu sais l'industrie et globalement les grands patrons d'entreprise en ont complètement rien a foutre de la planète donc 😅
Ces moteurs ont l'air trop beau pour être vrai... mais j'ai tellement envie d'y croire, hâte de voir des prototypes se développer
à voir au niveau des bilans de pollution....
J’avais deja rêvé une fusée qui se concomme ainsi mais plutot par la base, un melange d’ergol solide en couche suscessive qui joue a la fois le role de reservoir et de tuyère. La forme de la tuyère se conserve en fondant lentement pour produre la pousser, plutot meme d’une tuyère dont la forme pourrait evoluer durant son cycle pour consrver des performances optimales selon l’altitude.
Ca elimine le besoin d’un systeme de separation car a la fin du cycle il n’y a simplement plus rien.
Cool, on a donc ine fusée qui disparaît à peine arrivée dans l'espace. Super classe, et en plus cerise sur le gâteau, c'est méga écologique même si ça sert à rien
Très intéressant !!
Toujours aussi intéressant .
J'y crois pas une seconde, 10:35 voilà.
Il faut dire ce qui est: "on s en fout de votre avis"!
Bonne journée 😮
N'y a-t-il pas un moyen des faire de la structure extérieure l'équivalent du 2e ergol, pour que l'intérieur liquide et l'extérieur liquide ne réagissent qu'en cas de conditions très précises qui n'arriveraient qu'une fois proche des moteurs? Je suppose que c'est compliqué de savoir s'il pourrait y avoir une combinaison solide+liquide qui marcherait, mais cela ferait fondre le 1e étage comme une bougie sans faire réagir tout l'étage, et ça éviterait d'avoir à stocker 2 ergols parallèlement dans le 1e étage.
Désolé si c'est une question bête, je ne suis pas exactement très bon en chimie, surtout en ce qui concerne les réactions.
Le lanceur le plus beau, le plus grand, le plus impressionnant fut la Navette Spacial. De loin devant toutes les autres avant et après.
Je sais, La navette Spacial n’était pas qu'un simple lanceur. Ca a été l'engin le plus complexe que des Humains ont mis au point.
le plus dangereux
Tu aurais pu faire 3 fois plus court. 10 mn c'est un maximum. Dommage car vraie innovation !
passionnant bravo !!!
principe très intéressant mais limité par la taille du réservoir. Pour un vol qui serait plus long, comment faire pour un ravitaillement. La question du réservoir autophage ouvre la recherche pour trouver d'autres contenants. un vaste sujet.
Ce n'est pas qu'une affaire de coût mais d'économie de moyens et d'écologie... Le secteur spatial semble souvent ignorer cet aspect.
Ça semble prometteur.
👍
Les propergol solide n'utilise il pas déjà en partie le même principe ? Je ne suis pas un expert mais sur les fusée amateur avec du rocket Candy c'est déjà en partie ce qu'il se passe non ?
j'avais pensé un moment que l'on mettrait des tuyaux pour récup un peu de gaz d'echappement et un système qui rescinde les molecules pour refaire un peu de carburants. >
Comme une bougie de cire. Excellent
Cramer du plastique dans l’atmosphère…. Quelle merveilleuse idée
cela étant, c'est pas comme le starship était neutre...
@ tout à fait d’accord, les contraintes écologiques drastiques qu’on impose à l’industrie automobile et à la construction devraient aussi s’appliquer à l’aérospatiale
Le début de la vidéo me semble bien cerner le problème : un starship arrive en orbite presque épuisé. Difficile de penser à des missions planétaires habitées avec ça, sauf à faire une quantité délirante de lancements et transferts d'ergols, ce qui serait une impasse du point de vue écologique. S'il existe un chemin technique pour la faisabilité des fusées autophages, il faut le prendre.
un problème pas mentionner dans la vidéo c'est la vitesse.j'ai du mal à croire que cette paroie en plastique puisse encaisser les G et les Machs 4-5 comme une structure en inox.
Entre la charge, le combustible et les moteurs, y'a deux points de liaison. Avec la fusée autophage, y'a forcément l'un de ces deux points qui est "mobile". Soit la charge utile descend, soit les moteurs montent (ce qui semble aberrent). Avec la pression aérodynamique du vol qui varie, comment ce point de liaison "mobile", fait pour ne pas "casser"?
On peut après imaginer aussi une structure rétractable de 2 ou 3 moteurs et séparer oxygène et kérosène..
Merci très intéressant 😅
Merci!
Comment gèrent ils les contraintes structurelles au fur et à mesure de la poussée et donc de la pression exercée sur le corps de la fusée, parce que avec de l'acier ok et même là on à déjà vu des accidents dû à ça, mais avec un plastique aussi solide soit il peut il réellement tenir pour atteindre les vitesses nécessaires et passer déjà Max Q ?! . J'avoue celà m'intrigue beaucoup de connaître la ou les solutions envisagées
J'imagine déjà les titres : "L'attaque de la fusée canibale"; "SpaceXnado" 😅
Un petit peu de confusion ici. Il est clair que le réservoir autophage n'aura jamais la même efficacité énergétique que les propergols eux même, donc les augmentations miraculeuses de ratio de masse sont un beau rêve. D'autre part il reste à démonter que les matériaux combustibles utilisés auront la même résistance par Kg que les métaux des réservoirs actuels. Pour être plus clair, si le Polyéthylène de l'exemple dégage deux fois moins d'énergie en brûlant et qu'en plus il est deux fois moins résistant par kg que l'alu, le gain net est ... zéro. Sans compter qu'il faut le reconstruire au prochain round.
Bonjour,
C'est intéressant mais cela le serait davantage s'ils s'intéressaient à la propulsion par anti gravité, qui reste, pour l'instant, dans le domaine de la science fiction.
Comme tu le dis c est de la SF
Utiliser l'accélération de la fusée pour envoyer le plastique dans les pompes débuter l'accélération avec un ascenseur électromagnétique où standard.
Ou utiliser un carburant solide comme poussée de départ avant le plastique
Pourquoi ont ils tester le moteur horizontalement ? A cette échelle le poids du réservoir ne suffit pas ? A la vertical avec le poids du réservoir et l’accélération des moteur la gravité ne suffirait t'elle pas pour pousser assez et réaliser ce que le vérin motorisé fait ?
J'ai vu une voiture qui fonctionne grâce à la fusion de divers déchets pour voyager dans le temps. Si on adaptait le système aux fusées on pourrait cramer les réservoirs ET la fusée qui rapetisserait petit à petit...
Le premier qui répond "et la marmotte elle met le chocolat dans le papier d'alu" gagne un pouce !
La marmotte, papier alu, tout ça tout ça.
@@user-vo3st8kx7s Mouais... Bon, allez... Un pouce. :)
Question candide :
Pourquoi ne pas réfléchir ce concept autour d'un réservoir en poudre-ciment, contenant de la poudre en poudre, le tout fonctionnant en deux phases.
Phase 1 : on brûle la poudre contenue dans "la seringue".
Phase 2 : on brûle la seringue.
Pas de séparation d'ergols. Pas de pièces mobiles.
Ne reste, à la fin, que la tuyère et la charge.
Donc deux débris avec deux trajectoires ..
Moi je me demande ce qu'il ce passerais, si l'on rajouter une charge utile, le réacteur autophage activé, cela ne donnerais pas une espèce de perte de poussé tant le poid de la charge appuyerais sur les parois qui ce consommerait plus vite 🤔 enfin je me comprend mais ça me pousse à penser à une sorte de nouvelle effet action réaction jamais observé 🤔
il faudrait séparer un étage quand même pour éviter que le reste de la fusée soit en contacte pendant détonation si la réaction et similaire au prototype
honnêtement je n'y crois pas trop. La sureté de fonctionnement va être cauchemardesque. récupérer uniquement le moteur est une piste beaucoup plus crédible et déjà étudié par arianespace et airbus lors des premier jet d’étude de thémis avec adeline. les réservoirs en graphène et fibre de carbone ont plus de chance de voir le jour à moyen terme que ce truc à long terme.
Très intéressant et prométeur
Bonjour, une question me vient, pourquoi aucune fusée n'utilise un design ou la charge utile est situé juste au dessus du moteur avec une serie de réservoir sur le dessus (je les imagine en 2 partie qui glisse de chaque côté de la fusée a la manière des coiffes d'Ariane) qui se detache au fur et a mesure qu'ils se vident? Cela permettrait d'utiliser un seul groupe de morteur et donc de reduire de facon conséquente la masse morte.
Ca impliquerait également que les ergoles traverse l'etage de stockage de la charge utile mais space X y arrive bien avec les headertanks.
Si tous les obstacles sont levés c'est très prometteur 😇
C'est bête ce que je vais dire, mais pourquoi ne pas utiliser l'auto autophage sur le module pour atteindre une orbite haute et non sur le lanceur, ne comprenant pas grand chose, je lance ma boulette mdrrr
je ne pence pas qu'il soit forcement nécessaire de détruire les parois des réservoirs. dans le cas de spacex il serais plus avantageux de faire des bouchon sur rail affin de contracter les gaz (ce qui leur épargnerais de placer des réservoirs secondaires.) et de faire des pièces habitable avec des mur aussi sur rail qui se déploierais a la place des réservoirs.
Les réservoirs sont pressurisés de bas en haut et participent à rigidité de la structure, comme un ballon de basket bien gonflé. Quand les ergoles se vide les réservoirs sont pressurisés par les moteurs pour remplacer le manque d'ergols. Et quand le booster redescend les soupapes régulent la pression interne pour pas qu'ils explosent par rapport à la pression atmosphérique. Une fusée je ne sais plus laquelle s'était effondrée sur son pas de tire comme du papier parce que les réservoirs étaient mal pressurisés ou trop remplis en haut qu'en bas. Je ne me souviens plus exactement. Donc pas exit les réservoirs.
👍👍🏻👍👍🏻👍👍🏻👍👍🏻👍👍🏻
Moi je me demande pourquoi on les assembles pas directement en orbite ces fusées...on aurait plus besoin de se soucier des problématiques de l'atmosphère et donc eh bien, pouvoir développer des fusées avec des charges utiles bien plus grande pour l'exploitation ou exploration spatiale...
Par contre le fonctionnement est plutôt chaotique : il s'éteint , il s'allume aléatoirement sur la vidéo.
test d'allumage et stop and go
c'est voulu, tests obligent...