La thérapie primale a beaucoup évoluée aujourd'hui. Un suivi médical est mis en œuvre permettant d assurer la progression et la sécurité des patients. Lire le nouveau cri Primal.
C'est intéressant de trouver une vidéo là dessus (je lis le livre Le Cri primal en ce moment) mais la musique est un petit peu envahissante, on entend bien votre voix mais elle est quand même un peu trop présente je trouve.
En tout cas, le livre d' Arthur Janov, " Prisonniers de la souffrance" m'a apporté toutes les réponses à mes problémes, plus que les 5 psys que j'ai consulté
C'est vraiment intéressant ce que tu dit,,,, Janov a effectivement tendance de faire de la "réalité" une secte. Il y aurait les réelles et les "irréelles" (névrosés),,,, En réalité cette pensé est elle-même une névrose...
Je sors de chez mon psy a l'instant, qui en fin de seance m'a dit aller acheter ce livre...j ouvre youtube et je tombe sur votre video , on peu en parler svp . Vous quel est votre parcours et votre metier ?
Je suis assez d'accord avec ce monsieur lorsqu'il dit que le thérapeute ne doit pas exercer une pression psychologique sur le patient. Entrer dans une lutte avec les défense du patient.... En fait, la réelle compassion (compréhension) du thérapeute suffit pour permettre à l'émotion du patient de pouvoir enfin s'exprimer. Évidement, il ne doit pas consoler mais accompagner par sa compassion et compréhension. Et même cette pression négative du thérapeute peut être un empêchement à l'expression des émotions. C'est ce que j'ai vécue d'ailleurs... Se n'est que lorsque le thérapeute cesse son action répressive face au défenses psychologiques et devient compassion que le patient peut enfin laisser sortir l'émotion. Il lui donne en fait la sécurité et le droit de ressentir...
Selon moi, je pense qu'il peut être bon de toucher le fond, de ressentir vraiment ce qui nous a détruit pour peut-être entre guillemets "renaître" car justement cette recherche et répétition du traumatisme est peut-être cette même recherche. Mais il faut être prêt à cela. Je pense aussi qu'un thérapeute peut pousser quelqu'un à bout sans malveillance, en fait il peut être malveillant à l'encontre de cette chose qui grignote la personne de l'intérieur (l'impression de n'être jamais assez bien par exemple, cette petite voix intérieur qui vient nous saborder, l'auto-censure pour donner un autre nom) sans être malveillant envers l'individu tout entier. Par contre d'accord avec vous sur la réalité / irréalité, le fameux moi réel et irréel, c'est assez binaire un peu trop.
![The Best Trauma Books You’ve Never Read I Primal Scream & Primal Wound I Inner Work Library [75/500]](http://i.ytimg.com/vi/7rZwab22TJc/mqdefault.jpg)
Merci pour cette explication détaillée et très claire
La thérapie primale a beaucoup évoluée aujourd'hui. Un suivi médical est mis en œuvre permettant d assurer la progression et la sécurité des patients.
Lire le nouveau cri Primal.
C'est intéressant de trouver une vidéo là dessus (je lis le livre Le Cri primal en ce moment) mais la musique est un petit peu envahissante, on entend bien votre voix mais elle est quand même un peu trop présente je trouve.
En tout cas, le livre d' Arthur Janov, " Prisonniers de la souffrance" m'a apporté toutes les réponses à mes problémes, plus que les 5 psys que j'ai consulté
La musique de fond me perturbe , c'est carrément chiant .
C'est vraiment intéressant ce que tu dit,,,, Janov a effectivement tendance de faire de la "réalité" une secte. Il y aurait les réelles et les "irréelles" (névrosés),,,, En réalité cette pensé est elle-même une névrose...
Je sors de chez mon psy a l'instant, qui en fin de seance m'a dit aller acheter ce livre...j ouvre youtube et je tombe sur votre video , on peu en parler svp . Vous quel est votre parcours et votre metier ?
Je suis assez d'accord avec ce monsieur lorsqu'il dit que le thérapeute ne doit pas exercer une pression psychologique sur le patient. Entrer dans une lutte avec les défense du patient.... En fait, la réelle compassion (compréhension) du thérapeute suffit pour permettre à l'émotion du patient de pouvoir enfin s'exprimer. Évidement, il ne doit pas consoler mais accompagner par sa compassion et compréhension. Et même cette pression négative du thérapeute peut être un empêchement à l'expression des émotions. C'est ce que j'ai vécue d'ailleurs... Se n'est que lorsque le thérapeute cesse son action répressive face au défenses psychologiques et devient compassion que le patient peut enfin laisser sortir l'émotion. Il lui donne en fait la sécurité et le droit de ressentir...
Selon moi, je pense qu'il peut être bon de toucher le fond, de ressentir vraiment ce qui nous a détruit pour peut-être entre guillemets "renaître" car justement cette recherche et répétition du traumatisme est peut-être cette même recherche. Mais il faut être prêt à cela.
Je pense aussi qu'un thérapeute peut pousser quelqu'un à bout sans malveillance, en fait il peut être malveillant à l'encontre de cette chose qui grignote la personne de l'intérieur (l'impression de n'être jamais assez bien par exemple, cette petite voix intérieur qui vient nous saborder, l'auto-censure pour donner un autre nom) sans être malveillant envers l'individu tout entier.
Par contre d'accord avec vous sur la réalité / irréalité, le fameux moi réel et irréel, c'est assez binaire un peu trop.
😉
Binaire ou pas, il existe le moi reel et le moi ireel.
Bon...lui il a déjà une tête de croque mort désolé il faut faire avec.