Sorti en 1967, j'avais 10 ans et j'en ai encore des frissons... Vécu, voici 20 ans en Gévaudan ( Lozère), à Marvejols...La Margeride et l'Aubrac sont, au printemps, une splendeur ! Mais les hivers sont bien rudes : une France authentique, cordiale, courageuse et Résistante !
Pas de quotas obligatoire de "divers " , ni de propagande pour un "vivre ensemble " dangeureux et imposé dont les Français ne veulent pas En 1967 , nous étions encore en France , celle du temps des Français
@@aldunois9156 Soyons sérieux, je vois mal comment on aurait pu imposer un quota de minorités visibles dans une histoire se déroulant... au 18 siècle ! Bon week-end et attention à la bébête...
je répond ce film en noir et blanc date des année 60 il y à un demi siècles de cela et il faut savoir que le cinémas se sont les frères lumière qui l'ont inventé la première caméra au monde est bien française elle se trouve à paris c'est le musée du cinémas il faut le savoir c'est pour cela que je vous l'écrit !
L'un des films les plus effrayants qu'il m'est été donné de voir. Faut dire que j'étais gamin à l'époque, mais il m'a marqué : d'autant qu'on ne voit jamais la bête que sur un seul plan, de loin, de haut et de dos ...
Je me souviens avoir vu ce télé film en 1967. Je devais avoir presque 11 ans. Les acteurs Maria mériko.rené dary. André valmy. Que de souvenirs. Un bijoux de la télévision française de cette époque.
J'habite dans la Margeride et connais bien cette histoire. De très loin, ce film est le meilleur et certainement le plus fidèle à ce qui s'est passé dans la région. Merci
@@scarlettex7035 vu les premières télé couleurs à Auxerre en 67... Aujourd'hui qualité de la couleur mais vulgarité et inconsistance des scénarios...Une baisse de niveau en ce domaine...
Et la caméra explore le temps, le théâtre de la jeunesse, etc .. des productions télévisées qui étaient d'une qualité rare, de vrais chefs d'oeuvres avec des acteurs tellement talentueux aux vrais dialogues intelligents, et non les criailleries grossières et affligeantes et souvent incompréhensibles qu'on nous sert trop souvent en notre époque décadente.
A l'epoque c'etait fantastique on voyait cela le samedi soir je crois.. sans pub. On en parlait toute la semaine a l'école.ça et Gaspard des montagnes..jacquou le croquant on etait gatés en ces années a la TV
@@francoismouton8338 A présent, la pub est omniprésente, c'est un véritable "matraquage" , on a beau "zapper", on retombe toujours et partout sur ces publicités répétitives et abrutissantes...J'en viens à souhaiter résilier ma taxe audiovisuelle , car on a l'impression , à présent , qu'il n'y a plus que des pubs entrecoupées de niaiseries américaines ou des idioties de "sit-coms" fortement orientées vers les psychoses maniaques de notre époque...
Des soirées inoubliables avec le Tribinal de l'impossible, La Caméra explore le Temps, Le Théâtre de la jeunesse etc .. Si seulement une chaine de télé pouvait nous repasser ces petites pépites d'antan ...
Une production d'une qualité perdue de nos jours...Je me rappelle très bien sa diffusion, j'en ai cauchemardé longtemps , et quand je suis allée camper en Gévaudan, quelques années plus tard, malgré mes rodomontades je n'en menais pas bien large !
petit message là dans cette vidéo ils parlent de la bête pour la transportait ils n'avaient pas de petit camion frigorifier donc c'est pour cela que la bête ne c'est pas conservé et que de nos jours ont ne peut pas la voir pour pouvoir constatait qu'est que c'était comme animal mais en réalité c'était entre un chien et un loup la bête un hybride voilà la vérité historique je vous le dit !
ce n'est pas en septembre 1764 que le fils chateauneuf a été tué par la bête mais en janvier 1765, le scénariste mettant en scène des moutons affolés descendant une colline au pied de laquelle travaillent des bûcherons, s'est inspiré d'un épisode survenu en août 1764 ( attaque d'une bergère de masméjean d'allier.
La bête du Gévaudan un loup, pauvre animal accusé souvent injustement de méfaits qu il ne commet pas. J ai vu un autre téléfilm plus récent de 2002 dans lequel la bête était en fait un noble qui se déguisait avec une peau de loup, des peintures genre tribales sur le visage et des sortes de fausses griffes très acérées sur les doigts. C est Vincent Winterhalter qui tenait ce rôle du Comte de Morangiès et Sagamore Stevenin
Le loup est innocent ds cette sombre et dramatique histoire, il n'attaque pas l'Homme, il le fuit, il ne le nargue pas, il ne choisit pas ses victimes et surtout aucun témoignage ne reconnait le loup comme l'auteur des attaques...
Mais pourquoi pensez vous que les paysans des montagnes avaient faim? c'est tout le contraire,entre les ressources naturelles ( poissons,coquillages,foret,champignons et châtaignes) et la polyculture qui permet toujours d'avoir quelque chose a manger, ils ne deviennent pas riches et il faut travailler dur,mais on n'a pas faim.La famine est pour les grandes plaines en monoculture.
C'est bizarre car moi je n'en ai eu que deux, très brèves. Mais en effet tous les films de l'Ina sont généralement truffés de pubs. C'est très dissuasif de regarder.
je répond ce film est la bête du Gévaudan un film basé sur des fait réels qui se sont passés il y à 250 ans dans le passé et personnes ne sait vraiment ce que s'était cette bête il y à aucune preuves de qu'était cette bête ont ne sait pas vraiment il y à 250 ans dans le passé c'est très difficile de savoir la vérité voilà !
la bete du gevaudan etait un loup garou seul les les balles en argent beni et exorcise peuvent tuer un loup garou selon la légende lorsque que la bete du gevaudan fut tuer par chastel la bête se consuma et l herbe brula et il repoussa plus d herbe pendant de longues annéec est le seul film qui evoque un possible loup garou meme les documentaire n evoque pas le loup garou
Bonjour : bête du Gévaudan. 3 hybrides (chiens loups) . Lettre du comte de Tournon. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
@@philippeisnel4115très interessant! La description fait penser à un kangal ou à une race de chien similaire.Eux ne craignent pas d attaquer l homme et sont aussi puissants et redoutables qu un loup.
Non dans la vraie histoire il ne monte pas à l'arbre ce sont des chien croisé avec des loups sauf peut etre au debut ou il serait possible que se soit un gros felin au vu de la force des attaques par la suite la grosseur change, c'est un autre annimal qui rentre en scene voir le rapport que je vous ai posté juste avant celui ci
Bonjour : bête du Gévaudan. 3 hybrides (chiens loups) . Lettre du comte de Tournon. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
Sorti en 1967, j'avais 10 ans et j'en ai encore des frissons...
Vécu, voici 20 ans en Gévaudan ( Lozère), à Marvejols...La Margeride et l'Aubrac sont, au printemps, une splendeur ! Mais les hivers sont bien rudes : une France authentique, cordiale, courageuse et Résistante !
c'est impressionnant... le moindre téléfilm sans prétention de l'époque est infiniment supérieur au cinéma actuel...
Complètement d'accord, quelle décadence! Est-on devenu beaucoup moins cultivés et intelligents que nos parents??????
Ben oui ,l'idiocratie est une réalité au 21e siècle
Pas de quotas obligatoire de "divers " , ni de propagande pour un "vivre ensemble " dangeureux et imposé dont les Français ne veulent pas
En 1967 , nous étions encore en France , celle du temps des Français
Minimum de jeu maximum d effet. Suis d accord. Fil profond
@@aldunois9156 Soyons sérieux, je vois mal comment on aurait pu imposer un quota de minorités visibles dans une histoire se déroulant... au 18 siècle !
Bon week-end et attention à la bébête...
Merci de ns avoir permis de voir ce film en noir et blanc ,très bonne mise en scène, excellents acteurs ,un petit chef d œuvre.
je répond ce film en noir et blanc date des année 60 il y à un demi siècles de cela et il faut savoir que le cinémas se sont les frères lumière qui l'ont inventé la première caméra au monde est bien française elle se trouve à paris c'est le musée du cinémas il faut le savoir c'est pour cela que je vous l'écrit !
L'un des films les plus effrayants qu'il m'est été donné de voir. Faut dire que j'étais gamin à l'époque, mais il m'a marqué : d'autant qu'on ne voit jamais la bête que sur un seul plan, de loin, de haut et de dos ...
Meilleur film sur la bête du Gévaudan malgré quelques inexactitudes historiques. Bien plus proche des faits que le pacte des loups.
le pacte était un navet absolu avec l indien qui fait du karaté
Je me souviens avoir vu ce télé film en 1967. Je devais avoir presque 11 ans. Les acteurs Maria mériko.rené dary. André valmy. Que de souvenirs. Un bijoux de la télévision française de cette époque.
NOUS SOMMES COMPLETEMENT PRIS SOUS L";EVOCATION PUISSANTE DE CETTE MISE EN SCENE SANS ARTIFICES MERCI AU SIECLE DERNIER...
Excellent film qui reconstitue parfaitement le déroulement des faits et l'atmosphère de l'époque dans cette région rude et sauvage
Merci !
Superbement réalisé et interprété. Quelle belle époque !!!
Superbe , merci de nous faire revenir dans les années 60.
merci pour cette superbe version que je connaissais pas
quel plaisir de retrouver tous ces acteurs oubliés....
J'habite dans la Margeride et connais bien cette histoire. De très loin, ce film est le meilleur et certainement le plus fidèle à ce qui s'est passé dans la région.
Merci
Je me souviens avoir vu ce film dans ma jeunesse et la marque de la pate de la bête sur l'appui de fenêtre m'avait particulièrement impressionné .
Un très bon film et rencontre la vérité sur la bête superbe histoire
Très bon téléfilm comme on savait en faire à l’époque de la télévision en noir et blanc...
😂😂 Euh en couleur c’est mieux quand même
@@scarlettex7035 vu les premières télé couleurs à Auxerre en 67... Aujourd'hui qualité de la couleur mais vulgarité et inconsistance des scénarios...Une baisse de niveau en ce domaine...
J'adorais le Tribunal de l'impossible. Maintenant à part nous passer et repasser des séries américaines il n'y a plus de création de ce niveau.
Eh oui...Tout est fait pour l'abrutissement des masses....
Terrible le Tribunal on peut revoir les émissions du le site de l INA pour 2 euros par mois
Et la caméra explore le temps, le théâtre de la jeunesse, etc .. des productions télévisées qui étaient d'une qualité rare, de vrais chefs d'oeuvres avec des acteurs tellement talentueux aux vrais dialogues intelligents, et non les criailleries grossières et affligeantes et souvent incompréhensibles qu'on nous sert trop souvent en notre époque décadente.
Ce film est une pépite, reprenant les témoignes de la bête. D'ailleurs certaine émission de radio ce sont inspiré de ce film !
Merci beaucoup pour le partage.
Merci pour ces Publicités de l'Impossible.
Merci beaucoup
chef d'œuvre
Le meilleur film sur la question
A l'epoque c'etait fantastique on voyait cela le samedi soir je crois.. sans pub. On en parlait toute la semaine a l'école.ça et Gaspard des montagnes..jacquou le croquant on etait gatés en ces années a la TV
oui sans pub......le rêve...
@@francoismouton8338 A présent, la pub est omniprésente, c'est un véritable "matraquage" , on a beau "zapper", on retombe toujours et partout sur ces publicités répétitives et abrutissantes...J'en viens à souhaiter résilier ma taxe audiovisuelle , car on a l'impression , à présent , qu'il n'y a plus que des pubs entrecoupées de niaiseries américaines ou des idioties de "sit-coms" fortement orientées vers les psychoses maniaques de notre époque...
Excellent film, dommage qu'il soit massacré par autant de pubs....
YT premium
Des soirées inoubliables avec le Tribinal de l'impossible, La Caméra explore le Temps, Le Théâtre de la jeunesse etc ..
Si seulement une chaine de télé pouvait nous repasser ces petites pépites d'antan ...
J'ai bien aimé la façon de tourner de l'époque, ça ajoute un brin d'angoisse en plus.
ce film rapporte le mieux l'histoire de la bête du Gévaudan ! aucune comparaison avec le pacte des loups navet !
C'est vrai que le pacte des loups était nul 😅
Le meilleur film sur le sujet.
Le pacte des Loups est mille fois meilleur, une chance!!🍀 c’est un de mes films Européens préféré ❤️ après taxi 1 😂 oui incomparable , mais c’est ça!
tres bon film
super!
Magnifiques,,film,,,j,,ai,,adorait
Belle région à visiter du côté de Langogne avec le sentier de Stevenson entre autres
Une production d'une qualité perdue de nos jours...Je me rappelle très bien sa diffusion, j'en ai cauchemardé longtemps , et quand je suis allée camper en Gévaudan, quelques années plus tard, malgré mes rodomontades je n'en menais pas bien large !
Pacte des loups qui est un navet, soit-dit en passant...
Ce telefilm m'a terrifiee quand j'etais petite.
je répond moi aussi quand j'étais petit j'avais très peur surtout pour m'endormir !
petit message là dans cette vidéo ils parlent de la bête pour la transportait ils n'avaient pas de petit camion frigorifier donc c'est pour cela que la bête ne c'est pas conservé et que de nos jours ont ne peut pas la voir pour pouvoir constatait qu'est que c'était comme animal mais en réalité c'était entre un chien et un loup la bête un hybride voilà la vérité historique je vous le dit !
@@johnpages4627 a sa cé vré sa!😂
@georgesj.5995 idem, même souvenir, à 10 ans...
ce n'est pas en septembre 1764 que le fils chateauneuf a été tué par la bête mais en janvier 1765, le scénariste mettant en scène des moutons
affolés descendant une colline au pied de laquelle travaillent des bûcherons, s'est inspiré d'un épisode survenu en août 1764 ( attaque d'une bergère de masméjean d'allier.
Très beau film comme on n'en fait plus. Aujourd'hui, de plus en plus de personnes disent avoir vu des dogmans. La bête en serait-elle un.
On peut se poser la question, ou bien une créature de même nature ..
@@ysatis9005une creature de même nature? De telles créatures ont elles reellement été observées?
On voyait cela a 10 ou 12 ans on avait peur....les gosses maintenant prendrais cela pour un film comique..
En 10 minutes de vidéo j'ai eu droit à 3 coupures de pub... pas facile de profiter du film dans de telles conditions!!!
Allez sur le roteur BRAVE aucune pub sur ce roteur vous me remercierais plus tard parfois faut changer de roteur
Bizarre, je n'en ai quasiment pas eu sur ce beau film, apparemment ça doit dépendre des périodes ou des horaires où l'on regarde.
1h34 à cette époque pas de lunettes grosse erreur
Trop de pubs, honteux de la part de l'INA (service public ?) !!
Quand on ne nous demande pas de payer!
RUclips, pas l'INA !!!
@@roseline6462Si, l'Ina a forcément paramétré ce critère de diffusion sur sa chaîne.
......Les Sacrifices.....2024.
En effet, certains détails donnent à réfléchir ...
Quoi? De quoi tu causes? Quels "sacrifices"?
Excellent je me souviens , pas tranquille après aller au lit .
coté négatif TROP DE PUB beaucoup trop
La bête du Gévaudan un loup, pauvre animal accusé souvent injustement de méfaits qu il ne commet pas. J ai vu un autre téléfilm plus récent de 2002 dans lequel la bête était en fait un noble qui se déguisait avec une peau de loup, des peintures genre tribales sur le visage et des sortes de fausses griffes très acérées sur les doigts. C est Vincent Winterhalter qui tenait ce rôle du Comte de Morangiès et Sagamore Stevenin
et avec aussi JF Stevenin
Le loup est innocent ds cette sombre et dramatique histoire, il n'attaque pas l'Homme, il le fuit, il ne le nargue pas, il ne choisit pas ses victimes et surtout aucun témoignage ne reconnait le loup comme l'auteur des attaques...
J’ai entendu dire que la bestiole n’apparaît que très furtivement, quelqu’un sait à quel moment ?
de 36:49 à 37mn on la voit courir et traverser la rivière
A 36:47
Merci à tout les 2
Mais pourquoi pensez vous que les paysans des montagnes avaient faim? c'est tout le contraire,entre les ressources naturelles ( poissons,coquillages,foret,champignons et châtaignes) et la polyculture qui permet toujours d'avoir quelque chose a manger, ils ne deviennent pas riches et il faut travailler dur,mais on n'a pas faim.La famine est pour les grandes plaines en monoculture.
très bon film,mais la description de cette bête me fait pensé au Dogman et lui existe car vu sur l'arrière pays niçois et autres région de france .
😂
Un félin.Amené par qui?un cirque qui avait récupéré un bébé tigre?qui s'est sauvé?
Pourri de pubs ! De qui se moque-t-on ? J’abandonne 😢
C'est bizarre car moi je n'en ai eu que deux, très brèves.
Mais en effet tous les films de l'Ina sont généralement truffés de pubs.
C'est très dissuasif de regarder.
un peu similaire au film de la Barbie de nos jours😅❤
La plume et le calamar
La nouvelle mode du soit disant ''dogman'' a pris le relais du ''loup garou '' d'antan . Certains en font leur beurre 😊
01:33:19 quelqu'un m'explique la scene a se moment ?
Le prêtre béni les balles que Jean chastel a faite
je répond ce film est la bête du Gévaudan un film basé sur des fait réels qui se sont passés il y à 250 ans dans le passé et personnes ne sait vraiment ce que s'était cette bête il y à aucune preuves de qu'était cette bête ont ne sait pas vraiment il y à 250 ans dans le passé c'est très difficile de savoir la vérité voilà !
la bete du gevaudan etait un loup garou seul les les balles en argent beni et exorcise peuvent tuer un loup garou selon la légende lorsque que la bete du gevaudan fut tuer par chastel la bête se consuma et l herbe brula et il repoussa plus d herbe pendant de longues annéec est le seul film qui evoque un possible loup garou meme les documentaire n evoque pas le loup garou
Surtout,,en,,noir,,et,,blanc
Moi,,j,,avait, 5ans,,trop,,petite,,mais,,je,,les,,vue à,,,,,l,,age,de,,1o,ans
Un chien 🐕 de combat romains apparemment
Bonjour : bête du Gévaudan. 3 hybrides (chiens loups) . Lettre du comte de Tournon.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe -
Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
@@philippeisnel4115très interessant! La description fait penser à un kangal ou à une race de chien similaire.Eux ne craignent pas d attaquer l homme et sont aussi puissants et redoutables qu un loup.
46:10 description d'un puma...
01:05:00
54:35 encore un puma, car il monte à l'arbre...
Non dans la vraie histoire il ne monte pas à l'arbre ce sont des chien croisé avec des loups sauf peut etre au debut ou il serait possible que se soit un gros felin au vu de la force des attaques par la suite la grosseur change, c'est un autre annimal qui rentre en scene voir le rapport que je vous ai posté juste avant celui ci
Un si bon film massacré par autant de pubs ne vaut qu'un pouce en bas 👎
Chastel plus un chien dressé et problème religieux
Bonjour : bête du Gévaudan. 3 hybrides (chiens loups) . Lettre du comte de Tournon.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe -
Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
Ce que l in voit surtout dans ce film c est beaucoup de blabla, en bin français alors que les gens de l'époque ne le parlaient pas
en patois de cette époque ça serait tres compliqué à comprendre !