Giovanni Battista Pergolesi, Stabat Mater, Moscow Oratorio, 2014
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- Опубликовано: 18 мар 2015
- Giovanni Battista Pergolesi, Stabat Mater, Moscow Oratorio, 2014
Arrangement for the mixed choir - Alexey Stepanov
Moscow Oratorio - artistic leader and conductor Alexander Tsaliuk
The Chamber Choir at the Gnessin College of Music - artistic leader and conductor - Petr Savinkov
Soloists - Olga Povstyanaya, Maria Avakyan
Organ - Anastasia Sidelnikova
Piano - Natalia Kuptsova
Director - Carol Sorrenti Видеоклипы
Bravo pour cette magnifique interprétation . Bravo au chef d'orchestre, bravo au chef de cœurs, aux cantatrices et à la prise de son superbe. Un travail énorme pour un résultat très émouvant
Спасибо за публикацию прекрасного концерта!!
Nella musica sacra corale-strumentale Pergolesi è irraggiungibile !
Bardzo piękne wykonanie, doskonale podkreśla klimat Wielkiego Postu i Męki Pańskiej.
Niech Pan Bóg Wam błogosławi.
Beautiful repertoire...thank you for up-load this...
Gracias por tan bella joya musical...sublime
Божественно!
Хорошо было бы чтобы запись звука сделали на профессиональной аппаратуре. Исполнение очень живое и здорово, что хор большой и смешанный. Мужская компонента добавляет основательности и тембрового разнообразия. В целом получился большой праздник музыки с гениальным Перголези, особенно восьмая часть Quandum corpus morietur. Большие молодцы. Браво!!!!!!
Gracias a todos, adelante.
Gosto muito de clássicos.
Muito bonito !
Muy bien interpretada
this version is with 4 voices; other exists for sop + alt only.
Giovanni Battista Draghi dit Pergolesi en italien, Jean-Baptiste
Pergolèse sous sa forme francisée, né le 4 janvier 1710 à Jesi, dans la
province d’Ancône, dans les Marches et mort le 17 mars 1736 à Pouzzoles
près de Naples, est un compositeur italien du XVIIIe siècle.
Son nom lui vient de la ville de Pergola, d’où sa famille était
originaire. Enfant très doué, il est envoyé dès l’âge de douze ans au
célèbre Conservatoire dei Poveri di Gesù Cristo à Naples où il est
l’élève de professeurs réputés et exigeants dont Francesco Durante et
Gaetano Greco. Il y reçoit une solide formation musicale centrée sur
l’apprentissage de la beauté et des difficultés de l’opéra napolitain et
de la polyphonie religieuse.
Son chef-d'œuvre de fin d'étude au conservatoire, Li prodigi della
divina grazia nella conversione e morte di san Guglielmo duca
d’Aquitania, donné en 1731, le rend célèbre. Sa jeune renommée lui fait
recevoir immédiatement la commande de son premier opéra pour la saison
du Theatro San Bartolomeo qui commence alors : Salustia. Il aurait dû
être joué en hiver de la même année, mais il est retardé à la seconde
moitié du mois de janvier 1732 à cause de la mort subite du protagoniste
(le fameux castrat Nicolò Grimaldi) et ne connaît guère de succès. Il
en va mieux l’année suivante pour son Frate ’innamorato (Le Frère
amoureux). En 1732, il devient maître de chapelle du prince Ferdinando
Colonna Stigliano, écuyer du vice-roi de Naples.
Pergolèse écrit aussi des œuvres religieuses. Il compose ainsi, pour la
ville de Naples qui vient d’être victime d’un violent séisme en 1732, sa
grande Messe solennelle à dix voix, pour double chœur, deux orchestres
et deux orgues ; ainsi que des Vêpres solennelles à cinq voix. Ces
allers et retours entre la musique profane et la musique sacrée sont
alors fréquents pour les compositeurs de l’époque ; les compositeurs
italiens font en effet jouer leurs œuvres profanes et religieuses pour
un même public et avec le soutien des mêmes mécènes ; ils adaptent ainsi
régulièrement leurs œuvres profanes en œuvres religieuse ou l’inverse,
ce qui crée une proximité entre elles.
Le jeune compositeur compose ensuite plusieurs opéras et autant
d’intermezzi. En effet, ces intermèdes dans le goût napolitain sont de
petites farces fort en vogue jouées pendant les entractes des operas
serias pour distraire le public. Il fait jouer ainsi en 1733 La serva
padrona Intermezzo per musica (La Servante maîtresse), pendant les
entractes de son opéra principal, Il Prigionier superbo. Cet intermède
deviendra une œuvre autonome qui connaîtra un succès exceptionnel tout
comme Livietta e Tracollo, joué en 1734, qui connaît également une
carrière indépendante de son opéra principal.
En 1735, la santé du jeune musicien commence à décliner, et l’oblige à
se retirer au début de l’année suivante au monastère des Capucins de
Pouzolles, près de Naples. Il écrit pour les bons Pères Coi Cappuccini
di Pozzuoli, et c’est vraisemblablement dans leur monastère que
Pergolèse compose son Salve Regina et son célèbre Stabat Mater qui lui
avait été commandé par son mécène, le duc de Maddaloni, et qui
deviendra, à titre posthume, son œuvre la plus populaire. Atteint de la
tuberculose, Pergolèse meurt en 1736, à l’âge de 26 ans.
@t
É possível me fornecer a partitura o stabat mater SATB
7:47 3. O quam tristis et afflicta
Giovanni Battista Draghi dit Pergolesi en italien, Jean-Baptiste
Pergolèse sous sa forme francisée, né le 4 janvier 1710 à Jesi, dans la
province d’Ancône, dans les Marches et mort le 17 mars 1736 à Pouzzoles
près de Naples, est un compositeur italien du XVIIIe siècle.
Son nom lui vient de la ville de Pergola, d’où sa famille était
originaire. Enfant très doué, il est envoyé dès l’âge de douze ans au
célèbre Conservatoire dei Poveri di Gesù Cristo à Naples où il est
l’élève de professeurs réputés et exigeants dont Francesco Durante et
Gaetano Greco. Il y reçoit une solide formation musicale centrée sur
l’apprentissage de la beauté et des difficultés de l’opéra napolitain et
de la polyphonie religieuse.
Son chef-d'œuvre de fin d'étude au conservatoire, Li prodigi della
divina grazia nella conversione e morte di san Guglielmo duca
d’Aquitania, donné en 1731, le rend célèbre. Sa jeune renommée lui fait
recevoir immédiatement la commande de son premier opéra pour la saison
du Theatro San Bartolomeo qui commence alors : Salustia. Il aurait dû
être joué en hiver de la même année, mais il est retardé à la seconde
moitié du mois de janvier 1732 à cause de la mort subite du protagoniste
(le fameux castrat Nicolò Grimaldi) et ne connaît guère de succès. Il
en va mieux l’année suivante pour son Frate ’innamorato (Le Frère
amoureux). En 1732, il devient maître de chapelle du prince Ferdinando
Colonna Stigliano, écuyer du vice-roi de Naples.
Pergolèse écrit aussi des œuvres religieuses. Il compose ainsi, pour la
ville de Naples qui vient d’être victime d’un violent séisme en 1732, sa
grande Messe solennelle à dix voix, pour double chœur, deux orchestres
et deux orgues ; ainsi que des Vêpres solennelles à cinq voix. Ces
allers et retours entre la musique profane et la musique sacrée sont
alors fréquents pour les compositeurs de l’époque ; les compositeurs
italiens font en effet jouer leurs œuvres profanes et religieuses pour
un même public et avec le soutien des mêmes mécènes ; ils adaptent ainsi
régulièrement leurs œuvres profanes en œuvres religieuse ou l’inverse,
ce qui crée une proximité entre elles.
Le jeune compositeur compose ensuite plusieurs opéras et autant
d’intermezzi. En effet, ces intermèdes dans le goût napolitain sont de
petites farces fort en vogue jouées pendant les entractes des operas
serias pour distraire le public. Il fait jouer ainsi en 1733 La serva
padrona Intermezzo per musica (La Servante maîtresse), pendant les
entractes de son opéra principal, Il Prigionier superbo. Cet intermède
deviendra une œuvre autonome qui connaîtra un succès exceptionnel tout
comme Livietta e Tracollo, joué en 1734, qui connaît également une
carrière indépendante de son opéra principal.
En 1735, la santé du jeune musicien commence à décliner, et l’oblige à
se retirer au début de l’année suivante au monastère des Capucins de
Pouzolles, près de Naples. Il écrit pour les bons Pères Coi Cappuccini
di Pozzuoli, et c’est vraisemblablement dans leur monastère que
Pergolèse compose son Salve Regina et son célèbre Stabat Mater qui lui
avait été commandé par son mécène, le duc de Maddaloni, et qui
deviendra, à titre posthume, son œuvre la plus populaire. Atteint de la
tuberculose, Pergolèse meurt en 1736, à l’âge de 26 ans.
@t