Giovanni Battista Pergolesi, Stabat Mater, Moscow Oratorio, 2014

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  • Опубликовано: 18 мар 2015
  • Giovanni Battista Pergolesi, Stabat Mater, Moscow Oratorio, 2014
    Arrangement for the mixed choir - Alexey Stepanov
    Moscow Oratorio - artistic leader and conductor Alexander Tsaliuk
    The Chamber Choir at the Gnessin College of Music - artistic leader and conductor - Petr Savinkov
    Soloists - Olga Povstyanaya, Maria Avakyan
    Organ - Anastasia Sidelnikova
    Piano - Natalia Kuptsova
    Director - Carol Sorrenti
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Комментарии • 21

  • @user-xx6ml3oy1i
    @user-xx6ml3oy1i 3 месяца назад

    Bravo pour cette magnifique interprétation . Bravo au chef d'orchestre, bravo au chef de cœurs, aux cantatrices et à la prise de son superbe. Un travail énorme pour un résultat très émouvant

  • @Kassiopeja1
    @Kassiopeja1 9 лет назад +2

    Спасибо за публикацию прекрасного концерта!!

  • @vincenzoazzarello6447
    @vincenzoazzarello6447 3 года назад +1

    Nella musica sacra corale-strumentale Pergolesi è irraggiungibile !

  • @vanderlooner
    @vanderlooner 3 года назад

    Bardzo piękne wykonanie, doskonale podkreśla klimat Wielkiego Postu i Męki Pańskiej.
    Niech Pan Bóg Wam błogosławi.

  • @trisadono2989
    @trisadono2989 7 лет назад +1

    Beautiful repertoire...thank you for up-load this...

  • @luisamericomartinezmartine535
    @luisamericomartinezmartine535 6 лет назад +1

    Gracias por tan bella joya musical...sublime

  • @Kirausacheva
    @Kirausacheva Год назад

    Божественно!

  • @user-qw4dh2it1e
    @user-qw4dh2it1e Год назад

    Хорошо было бы чтобы запись звука сделали на профессиональной аппаратуре. Исполнение очень живое и здорово, что хор большой и смешанный. Мужская компонента добавляет основательности и тембрового разнообразия. В целом получился большой праздник музыки с гениальным Перголези, особенно восьмая часть Quandum corpus morietur. Большие молодцы. Браво!!!!!!

  • @leonvital3282
    @leonvital3282 6 лет назад +1

    Gracias a todos, adelante.

  • @analdinobenedito3555
    @analdinobenedito3555 Год назад

    Gosto muito de clássicos.

  • @ricardos.cabral8409
    @ricardos.cabral8409 5 лет назад +2

    Muito bonito !

  • @elisaperellonogues7944
    @elisaperellonogues7944 Год назад

    Muy bien interpretada

  • @oberek92
    @oberek92 Год назад

    this version is with 4 voices; other exists for sop + alt only.

  • @sergiol.m.fortuna
    @sergiol.m.fortuna 4 года назад +1

    Giovanni Battista Draghi dit Pergolesi en italien, Jean-Baptiste
    Pergolèse sous sa forme francisée, né le 4 janvier 1710 à Jesi, dans la
    province d’Ancône, dans les Marches et mort le 17 mars 1736 à Pouzzoles
    près de Naples, est un compositeur italien du XVIIIe siècle.
    Son nom lui vient de la ville de Pergola, d’où sa famille était
    originaire. Enfant très doué, il est envoyé dès l’âge de douze ans au
    célèbre Conservatoire dei Poveri di Gesù Cristo à Naples où il est
    l’élève de professeurs réputés et exigeants dont Francesco Durante et
    Gaetano Greco. Il y reçoit une solide formation musicale centrée sur
    l’apprentissage de la beauté et des difficultés de l’opéra napolitain et
    de la polyphonie religieuse.
    Son chef-d'œuvre de fin d'étude au conservatoire, Li prodigi della
    divina grazia nella conversione e morte di san Guglielmo duca
    d’Aquitania, donné en 1731, le rend célèbre. Sa jeune renommée lui fait
    recevoir immédiatement la commande de son premier opéra pour la saison
    du Theatro San Bartolomeo qui commence alors : Salustia. Il aurait dû
    être joué en hiver de la même année, mais il est retardé à la seconde
    moitié du mois de janvier 1732 à cause de la mort subite du protagoniste
    (le fameux castrat Nicolò Grimaldi) et ne connaît guère de succès. Il
    en va mieux l’année suivante pour son Frate ’innamorato (Le Frère
    amoureux). En 1732, il devient maître de chapelle du prince Ferdinando
    Colonna Stigliano, écuyer du vice-roi de Naples.
    Pergolèse écrit aussi des œuvres religieuses. Il compose ainsi, pour la
    ville de Naples qui vient d’être victime d’un violent séisme en 1732, sa
    grande Messe solennelle à dix voix, pour double chœur, deux orchestres
    et deux orgues ; ainsi que des Vêpres solennelles à cinq voix. Ces
    allers et retours entre la musique profane et la musique sacrée sont
    alors fréquents pour les compositeurs de l’époque ; les compositeurs
    italiens font en effet jouer leurs œuvres profanes et religieuses pour
    un même public et avec le soutien des mêmes mécènes ; ils adaptent ainsi
    régulièrement leurs œuvres profanes en œuvres religieuse ou l’inverse,
    ce qui crée une proximité entre elles.
    Le jeune compositeur compose ensuite plusieurs opéras et autant
    d’intermezzi. En effet, ces intermèdes dans le goût napolitain sont de
    petites farces fort en vogue jouées pendant les entractes des operas
    serias pour distraire le public. Il fait jouer ainsi en 1733 La serva
    padrona Intermezzo per musica (La Servante maîtresse), pendant les
    entractes de son opéra principal, Il Prigionier superbo. Cet intermède
    deviendra une œuvre autonome qui connaîtra un succès exceptionnel tout
    comme Livietta e Tracollo, joué en 1734, qui connaît également une
    carrière indépendante de son opéra principal.
    En 1735, la santé du jeune musicien commence à décliner, et l’oblige à
    se retirer au début de l’année suivante au monastère des Capucins de
    Pouzolles, près de Naples. Il écrit pour les bons Pères Coi Cappuccini
    di Pozzuoli, et c’est vraisemblablement dans leur monastère que
    Pergolèse compose son Salve Regina et son célèbre Stabat Mater qui lui
    avait été commandé par son mécène, le duc de Maddaloni, et qui
    deviendra, à titre posthume, son œuvre la plus populaire. Atteint de la
    tuberculose, Pergolèse meurt en 1736, à l’âge de 26 ans.
    @t

  • @danielpedroso423
    @danielpedroso423 6 лет назад

    É possível me fornecer a partitura o stabat mater SATB

  • @1980rlquinn
    @1980rlquinn 5 лет назад

    7:47 3. O quam tristis et afflicta

  • @sergiol.m.fortuna
    @sergiol.m.fortuna 4 года назад +1

    Giovanni Battista Draghi dit Pergolesi en italien, Jean-Baptiste
    Pergolèse sous sa forme francisée, né le 4 janvier 1710 à Jesi, dans la
    province d’Ancône, dans les Marches et mort le 17 mars 1736 à Pouzzoles
    près de Naples, est un compositeur italien du XVIIIe siècle.
    Son nom lui vient de la ville de Pergola, d’où sa famille était
    originaire. Enfant très doué, il est envoyé dès l’âge de douze ans au
    célèbre Conservatoire dei Poveri di Gesù Cristo à Naples où il est
    l’élève de professeurs réputés et exigeants dont Francesco Durante et
    Gaetano Greco. Il y reçoit une solide formation musicale centrée sur
    l’apprentissage de la beauté et des difficultés de l’opéra napolitain et
    de la polyphonie religieuse.
    Son chef-d'œuvre de fin d'étude au conservatoire, Li prodigi della
    divina grazia nella conversione e morte di san Guglielmo duca
    d’Aquitania, donné en 1731, le rend célèbre. Sa jeune renommée lui fait
    recevoir immédiatement la commande de son premier opéra pour la saison
    du Theatro San Bartolomeo qui commence alors : Salustia. Il aurait dû
    être joué en hiver de la même année, mais il est retardé à la seconde
    moitié du mois de janvier 1732 à cause de la mort subite du protagoniste
    (le fameux castrat Nicolò Grimaldi) et ne connaît guère de succès. Il
    en va mieux l’année suivante pour son Frate ’innamorato (Le Frère
    amoureux). En 1732, il devient maître de chapelle du prince Ferdinando
    Colonna Stigliano, écuyer du vice-roi de Naples.
    Pergolèse écrit aussi des œuvres religieuses. Il compose ainsi, pour la
    ville de Naples qui vient d’être victime d’un violent séisme en 1732, sa
    grande Messe solennelle à dix voix, pour double chœur, deux orchestres
    et deux orgues ; ainsi que des Vêpres solennelles à cinq voix. Ces
    allers et retours entre la musique profane et la musique sacrée sont
    alors fréquents pour les compositeurs de l’époque ; les compositeurs
    italiens font en effet jouer leurs œuvres profanes et religieuses pour
    un même public et avec le soutien des mêmes mécènes ; ils adaptent ainsi
    régulièrement leurs œuvres profanes en œuvres religieuse ou l’inverse,
    ce qui crée une proximité entre elles.
    Le jeune compositeur compose ensuite plusieurs opéras et autant
    d’intermezzi. En effet, ces intermèdes dans le goût napolitain sont de
    petites farces fort en vogue jouées pendant les entractes des operas
    serias pour distraire le public. Il fait jouer ainsi en 1733 La serva
    padrona Intermezzo per musica (La Servante maîtresse), pendant les
    entractes de son opéra principal, Il Prigionier superbo. Cet intermède
    deviendra une œuvre autonome qui connaîtra un succès exceptionnel tout
    comme Livietta e Tracollo, joué en 1734, qui connaît également une
    carrière indépendante de son opéra principal.
    En 1735, la santé du jeune musicien commence à décliner, et l’oblige à
    se retirer au début de l’année suivante au monastère des Capucins de
    Pouzolles, près de Naples. Il écrit pour les bons Pères Coi Cappuccini
    di Pozzuoli, et c’est vraisemblablement dans leur monastère que
    Pergolèse compose son Salve Regina et son célèbre Stabat Mater qui lui
    avait été commandé par son mécène, le duc de Maddaloni, et qui
    deviendra, à titre posthume, son œuvre la plus populaire. Atteint de la
    tuberculose, Pergolèse meurt en 1736, à l’âge de 26 ans.
    @t