Merci, Effectivement bcp de chose sont ignorées par la majorité des acteurs agricoles. Perte eau, levée de dormance, erosion , amélioration de la dynamique de l’eau.. Bcp à apprendre.
Bjr Olivier, Pour le maïs perso cette histoire de réchauffement du sol me laisse penseur.S'agit-il d'écart de température , a-t-elle été mesurée ? au Brésil aussi il y a ce phénomène malgré la ''chaleur tropicale''! Ne serait-ce pas plutot une variation bénéfique du Redox: aération-oxydation -variation de Ph et solubilisation des métaux, et du phosphate. de la bande ''strip-tillée''! J'ai ce vieux souvenir en 1964 quand j'avais 14 ans en limons argilo-siliceux (landas de petite beauce) 19% argile 33%limon sols profonds avac roche calcaire à 5 à 10m, dans les veines plus argileuses au milieu (dites roussières) le taux d'argile pouvant arriver à 25 avec 30% limon, les maïs décollaient bien plus vite qu'à l'inverse de l'autre bout de la parcelle à 500m, même suivi cultural ou le taux d'argile tombait à 16-17% et le limon franchissait les 40% donc plus battant et dite plus froide, finalement cela jouait sur la précocité mais pas sur le rendement à l'arrivée. A cette époque la fumure était1t/ha scories potassiques 0-15-15 avant labour, et l'N ammonitrate pendant préparation se semis. Mon voisin contigu qui avait le même type de sol avait toujours des maïs qui décollaient d'un bout à l''autre, mais lui épandait un ternaire soluble au semis, et finalement devait peut-être gagner quelques quintaux de plus (2à7) . De l'analyse des sols la seule différence étant le P2O5 assimilable qui pouvvait quintupler. Ensuite j'ai toujours appliqué sa méthode et notre probleme a disparu. On aurait pu en localisé avec du phoshate d'ammoniaque et résoudre à moindre effet la carence, je l'ai fait aussi. Donc cela contibue à une homogénéisation du champ, cala se voit plus sur une culture de printemps, qu'un bléH ou colza. Du reste je crois avoir vu des images chez toi sur colza avec un effet départ et pas plus à l'arrivée., mais le maïs est celui qui marque le plus. Il serait interressant de comparer la profondeur et la densité des racines avec un coup de leve-palette. Ma conclusion étant tout dépend des niveaux de solubilité du P à proximité de la racine d'un pied de maïs.
Merci pour se super msg plein d’expérience. Effectivement avec le ST la ferti est mélangé dans la ligne donc une bonne partie autour et en dessous de la racine (mélange N39 + 14-48). La partie en SD voit cette ferti posée sur la ligne. Le placement pourrait y jouer effectivement. C’est une machine que je dois faire évoluer je pense..
J'ai oublié de préciser que nos maïs, se mettaient à violacer par ronds suivant météo et températures du stade 4 feuilles à celui de 7-8 feuilles, après c'était fini. Mon voisin n'avait aucun rougissement, il pouvait même avoir une petite décoloration du cornet symptomatique d'une carence en zinc. A cette époque nous étions aux prémices du fameux Zinconia (se conférer à loi du minimum pour comprendre, un peu comme nos enfants qui grandissent trop vite et manquent de Ca !). A cette époque j'avais Mon BF en champagne calcaire, dans ces sols les maîs avaient toujours de bon démarrages, le facteur limitant était plus tard avec l'eau, mais certaient y arrachaient des forêts, et je peux dire que sur une défriche même doublement pourvue en MO, les croissances n'étaient pas flatteuses en maïs pendant au moins 3 ans :le champ violaçait et végétait. Ce phénomène n'était jamais ressenti avec un colza ou une avoine d'hiver (cycle 10mois) alors que le maïs doit sortir encore plus de masse végétative mais en seulement 5-6mois!
Bonjour, Je parles / montre assez peu de bio pour plusieurs raison; Je ne suis propriétaire que à 50% et depuis qq mois seulement. Avant c’était à notre père. Ensuite la conduite qu il avait était très traditionnelle. Labour / désherbage mécanique etc.. rien de passionnant et cela ne colle pas avec ma visio. Sur cette partie J essaie des choses en ABC depuis 4-5ans mais j’évite de trop en montrer. Car ce ne sont pas forcément des exemples à suivre. Car c’est vrt du cas par cas. Et ensuite je ne veux pas que ça desservent l’agriculture en général. Tu montre une fois une culture en bio en semis direct et donc sans glypho. Puis ça fait écho et est ré utilisé sorti de son contexte et ça peu se retourner contre nous.
De mémoire nous n’avons tjs eu que des machines à rotor. TR70, TF42, TF44, TF76 et mnt CR. Cette dernière est vrt simple d’entretien j’avoue. Et j’aime la qualité de battage.
Merci pour ce retour ,tu es un chercheur agriculteur ...
Merci du compliment. Je pense que l’on se doit de tjs avoir un peu de R&D sur nos entreprises afin de faire évoluer nos pratiques et nous adapter.
merci stephane
De rien :)
Salut à toi 👋
J'ai appris un truc à propos de la statistique de perte d'eau sur sol nu, bonne suite des moissons !
Merci,
Effectivement bcp de chose sont ignorées par la majorité des acteurs agricoles. Perte eau, levée de dormance, erosion , amélioration de la dynamique de l’eau.. Bcp à apprendre.
Bjr Olivier, Pour le maïs perso cette histoire de réchauffement du sol me laisse penseur.S'agit-il d'écart de température , a-t-elle été mesurée ? au Brésil aussi il y a ce phénomène malgré la ''chaleur tropicale''! Ne serait-ce pas plutot une variation bénéfique du Redox: aération-oxydation -variation de Ph et solubilisation des métaux, et du phosphate. de la bande ''strip-tillée''!
J'ai ce vieux souvenir en 1964 quand j'avais 14 ans en limons argilo-siliceux (landas de petite beauce) 19% argile 33%limon sols profonds avac roche calcaire à 5 à 10m, dans les veines plus argileuses au milieu (dites roussières) le taux d'argile pouvant arriver à 25 avec 30% limon, les maïs décollaient bien plus vite qu'à l'inverse de l'autre bout de la parcelle à 500m, même suivi cultural ou le taux d'argile tombait à 16-17% et le limon franchissait les 40% donc plus battant et dite plus froide, finalement cela jouait sur la précocité mais pas sur le rendement à l'arrivée. A cette époque la fumure était1t/ha scories potassiques 0-15-15 avant labour, et l'N ammonitrate pendant préparation se semis. Mon voisin contigu qui avait le même type de sol avait toujours des maïs qui décollaient d'un bout à l''autre, mais lui épandait un ternaire soluble au semis, et finalement devait peut-être gagner quelques quintaux de plus (2à7) . De l'analyse des sols la seule différence étant le P2O5 assimilable qui pouvvait quintupler. Ensuite j'ai toujours appliqué sa méthode et notre probleme a disparu. On aurait pu en localisé avec du phoshate d'ammoniaque et résoudre à moindre effet la carence, je l'ai fait aussi. Donc cela contibue à une homogénéisation du champ, cala se voit plus sur une culture de printemps, qu'un bléH ou colza. Du reste je crois avoir vu des images chez toi sur colza avec un effet départ et pas plus à l'arrivée., mais le maïs est celui qui marque le plus. Il serait interressant de comparer la profondeur et la densité des racines avec un coup de leve-palette.
Ma conclusion étant tout dépend des niveaux de solubilité du P à proximité de la racine d'un pied de maïs.
Merci pour se super msg plein d’expérience. Effectivement avec le ST la ferti est mélangé dans la ligne donc une bonne partie autour et en dessous de la racine (mélange N39 + 14-48). La partie en SD voit cette ferti posée sur la ligne. Le placement pourrait y jouer effectivement. C’est une machine que je dois faire évoluer je pense..
J'ai oublié de préciser que nos maïs, se mettaient à violacer par ronds suivant météo et températures du stade 4 feuilles à celui de 7-8 feuilles, après c'était fini. Mon voisin n'avait aucun rougissement, il pouvait même avoir une petite décoloration du cornet symptomatique d'une carence en zinc. A cette époque nous étions aux prémices du fameux Zinconia (se conférer à loi du minimum pour comprendre, un peu comme nos enfants qui grandissent trop vite et manquent de Ca !).
A cette époque j'avais Mon BF en champagne calcaire, dans ces sols les maîs avaient toujours de bon démarrages, le facteur limitant était plus tard avec l'eau, mais certaient y arrachaient des forêts, et je peux dire que sur une défriche même doublement pourvue en MO, les croissances n'étaient pas flatteuses en maïs pendant au moins 3 ans :le champ violaçait et végétait. Ce phénomène n'était jamais ressenti avec un colza ou une avoine d'hiver (cycle 10mois) alors que le maïs doit sortir encore plus de masse végétative mais en seulement 5-6mois!
Bonjour Stéphane, c'est un choix délibéré de ta part de ne pas montrer l'évolution de tes parcelles bio ?
Bonjour,
Je parles / montre assez peu de bio pour plusieurs raison;
Je ne suis propriétaire que à 50% et depuis qq mois seulement. Avant c’était à notre père.
Ensuite la conduite qu il avait était très traditionnelle. Labour / désherbage mécanique etc.. rien de passionnant et cela ne colle pas avec ma visio. Sur cette partie J essaie des choses en ABC depuis 4-5ans mais j’évite de trop en montrer. Car ce ne sont pas forcément des exemples à suivre. Car c’est vrt du cas par cas. Et ensuite je ne veux pas que ça desservent l’agriculture en général.
Tu montre une fois une culture en bio en semis direct et donc sans glypho. Puis ça fait écho et est ré utilisé sorti de son contexte et ça peu se retourner contre nous.
Faut des machines à rotor c'est le plus fiable sur la durée
De mémoire nous n’avons tjs eu que des machines à rotor.
TR70, TF42, TF44, TF76 et mnt CR. Cette dernière est vrt simple d’entretien j’avoue. Et j’aime la qualité de battage.