[AVS] Dans la peau d'un schizophrène dans un hôpital psychiatrique ! - Alexandre Macé Dubois
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- Опубликовано: 5 сен 2024
- Le livre "À en devenir fou. Dans la peau d’un schizophrène" de Alexandre Macé Dubois (éd. Phébus) est disponible partout !
Alexandre Macé Dubois est journaliste :
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![[AVS] Troubles bordeline, les thérapies efficaces ! - Abigaïl Barrand](http://i.ytimg.com/vi/-BafTIU2fU0/mqdefault.jpg)
Livre d'utilité publique. Merci pour les patients et les soignants que de mettre en lumière au travers de cette enquête courageuse, les conditions de vie et de travail dans les HP. Il est temps que notre société, notre pays, accueille dignement et prenne soin de tous ces citoyens, y compris ses malades mentaux.
Le seul "progrès" que notre société s'apprête à leur proposer, c'est de "mourir dans la dignité". Société atroce, civilisation dévoyée et décadente qui mérite de disparaître.
On peut lui attribuer tous les tords et préjugés, ce journaliste dénonce quand même beaucoup de vérités.
Cette personne ne peut pas savoir en une semaine passée en H.P ce qu il s y passe réellement et connaitre cette maladie complexe. La schizophrénie est une pathologique lourde, j ai supporté cette maladie d un frère déclenchée a l age de 20 ans. J ai passé mon adolescence a aller lui rendre visite dans les hôpitaux et cliniques psychiatriques il a toujours pris beaucoup de médicaments, ca fait 55 ans qu il est malade.C est un calvaire pour l entourage proche, car le reste de la famille préfère le déni, l eloignement et les critiques.
Il faut un sacre mental pour travailler dans ce milieu.
ma famille et moi ont vécu le meme parcours que vous Courage
Raison pour laquelle je fais intervenir des professionnels de la psychiatrie dans ce livre, qui n'a jamais prétendu tout dire sur l'hôpital psychiatrique. Il s'agit d'un simple état des lieux, corroboré par les analyses de psychiatres, psychologue, infirmiers, juristes, associations...
@@alexandremacedubois5940 c'est bien que vous ayez écrit ce livre ,car c'est un sujet très tabou!
Même de l’extérieur ont peut s’apercevoir du GROS problème dans ces centres, c’est une catastrophe, Alexandre a été courageux de vivre sa semaine dans l’enfer
bonjour Alexandre. Je viens de voir votre dernier post vidéo insta. J'ai un début de suivi avec une jeune psychiatre, ça fait la 3eme fois qu'on se voit en 3 mois. La première fois elle devait me voir une heure, qu'elle m'avait dit: on a une heure pour discuter. On s'est vues environ 5 minutes en fait. Dès que j'ai évoqué mon enfance, elle m'a interrompue et m'a dit "psychanalyse !" avec un psychanalyste ou un psychologue, mais que "attention il y a des mauvais psychanalystes"... sans me conseiller de noms, comme la 1ere psychiatre que j'avais vu l'été dernier... Donc les psychiatres, comme vous dites, voient leurs patients en coup de vent, ne font pas de thérapies et comptent sur les psychologues alors que la file d'attente est d'un an en CMP et hopital public... et encore faut il tomber sur un bon psychologue. Et j'ai des doutes sur le diagnostic de la psychiatre me concernant... Je ne la trouve donc pas très sérieuse pr cette raison + l'entretien de 5 minutes...
Ce journaliste est sincère et reste très modéré dans ce qu,il raconte de ce qui est vécu dans cet hôpital. Cela n,arrive pas qu,aux autres, la population adulte, jeune ou enfants vit de plus en plus de stress à tous niveaux: sociétal, polution, travail ou études, finance, climat, etc...qui les rend très vulnérables à tout point de vue. Mais bien sûr avant l,hôpital il y a toutes les petites pilules pour dormir, étudier, performer, maigrir, et bien sûr tranquiliser et amortir toutes les angoisses existencielles. Il est temps de réagir et de retrouver une vie plus simple, plus saine
Moins agressive et meilleure pour tous. On veut juste vivre en paix.
J'ai été interné trois ans illégalement par le président de l'université de Perpignan en 2009 dans l'indifférence générale : personne n'a bougé sur le campus.
Vous êtes mon héro.
Apres avoir fait un sejour en hopital psy, jai mis deux ans à réparer le traumatisme que jai vécu À CAUSE de mon hospitalisation.
Jai rêvé des dizaines de fois de faire ce que vous avez fait : m'infiltrer et temoigner.
Malheureusement je ne me sentait pas assez légitime parce que j'y suis déjà allée une fois sans le vouloir.
J'ai acheter votre livre, j'ai hâte de le lire.
Et pour ce qui est de l'attitude des infirmiers qui serait liée au manque de moyens, j'en doute fortement. Ce dernier peut expliquer la négligence, mais jamais le mépris et la violence. L' attitude envers la jeune femme autiste, par exemple, ne peut pas s'expliquer par le manque de moyens. C'est toute la société qui bannit les faibles, les inadaptés, les exclus, les "victimes". On ne peut pas s'occuper correctement de malades psy quand on a passé sa scolarité à voir maltraiter les victimes, cassos et autres "boloss" de la classe que "personne n'aime". On ne peut pas non plus s'en occuper correctement si l'on n'est pas prêt à leur faire une place, à les avoir pour voisins, pour collègues, pour amis.
Ce journaliste est sincère et reste très
De la persécution qui angoisse
Alors la chaqu un de mes véhicules vandalisé à chaque déplacement. Si c pas de la persécution. C quoi ? N'importe où en France. Ce qui est très étrange c'est que c seulement le mien à chaque fois et pas un autre.
Le journaliste nous dit qu’il ne veut pas stigmatiser mais alors difficile de trouver un titre de livre aussi racoleur ….
Il s'agit d'une référence à ce que disait Roger Gentis, psychiatre, comparant l'hôpital psychiatrique à une "fabrique à fous". C'est ce qui est expliqué dans le livre.
Il n’y a aucune stigmatisation quand on parle de gens qui n’ont pas l’empathie , le respect et sont invisibles par tous . On en parlera jamais assez Je suis mère d’un schizophrène de puis 30 ans et je sais de quoi je parle et je connais le courage qu’ils ont pour vivre ce qu’ils vivent ,car malgré ce que les gens pensent , ils en sont parfaitement conscients.
@@veroniqueperrin5058 le mot en lui même est stigmatisant. Et c’est très réducteur d’assimiler ces patients à leurs symptômes. Avec le bon traitement et bcp d’amour et de soutien autour d’eux, on peut avoir une vie digne d’être vécue.
Ce gars fait juste un buzz avec son livre pour se faire connaître.. mais son étude ne vaut rien car il ne connait absolument pas cette pathologie et ces patients.. alors qu il la boucle à jamais..qu est-ce qu'on ne ferait pas pour se faire connaître...
Ce n'est pas une étude, mais un simple témoignage d'une semaine passée en hôpital psychiatrique, le récit du quotidien des patients que j'ai rencontrés, ni plus ni moins ; des patients que la société ne veut pas voir. Ce livre est une manière de leur donner la parole. Mais laissons-les crever à l'hôpital sans essayer de les écouter, si c'est ce que vous préconisez. Si vous aviez lu le livre, vous auriez aussi appris que je reversais mes droits d'auteur à des associations intervenant à l'hôpital...
Ce que je ressens c'est que vous êtes hypersensible et humain avec du coeur (ça devient de plus en plus rare hélas) et que cette semaine vous a beaucoup marqué et vous en êtes resté une tristesse que je vois encore dans votre regard devant la douleur, le non respecté, l'indifference et le manque de moyens de la société et les choix du gouvernement envers les malades. Vous êtes humain devant l'impuissance de ce monde, il faut rester humain mais pas au point de vous démolir car çà ne créerait qu une personne de plus dans le malheur.
Peut être que votre sensibilité vous apportera avec d'autres, ( seul on ne peut pas aller bien loin) des idées et des solutions humaines.
Ah je n avais pas lu ce que vous dites sur votre livre! J' ai été choquée par des critiques et des paroles qui n aident et n apportent en rien de creatif. Peut être que c est leur façon d'exprimer leur douleur et leur impuissance à cette situation?