Haha ses quelques éclats de rire sont incroyables. Un trésor de singularité. On est chanceux d'avoir encore des types de cette envergure à écouter. Il parle comme personne.
Je ne suis ni intellectuel, ni journaliste..je découvre.... quel narrateur même s'il se perd souvent sans terminer ses phrases; oui cet intellectuel devenu discret dans notre contexte extrêmement tourmenté est passionnant...que de leçons à tirer à l'écouter ! Posé, réfléchi, humble malgré tout....très loin des réseaux sociaux surexcités et de la "bordelisation" généralisée ! 😂 👏👏
sa definition de l ecrivain au debut a pour le moins du style. Une hauteur , une reflexion, un style en effet , merci Mr Debray vous etes tres interessant
Très belle et vivante intervention de Régis Debray ! Pour ma part, je retiens l'agréable surprise de mentionner André Leroi-Gourhan , même si je pense que cette techno-genese n'a de valeur qu'à l' aune de la nécessité et non du superflue ! Merci d'avoir souligné la très grande différence entre communication et transmission; un boulet qui se fait de plus en plus pesant !
Quel homme brillant, à l'esprit toujours alerte, au verbe juste et si délicieusement sarcastique ! Quelle distance, quelle justesse devant les illusions d'une vie, devant celles d'un monde que son regard acéré s'autorise toujours à pointer avec tant de sagacité ! Quelle humilité, quelle dignité ! Impressionnant !
@@h.g.darnoncourt5319Monsieur, vous êtes bien peu psychologue pour déceler de l'humilité chez Régis Debray, à moins de prendre le masque pour la chose.
Juste après Debray donc : Julien Gracq ! Gracq avait écrit, il n’y a pas très longtemps, une petite phénoménologie « familière » du rapport entretenu par le lecteur à son livre comme objet quasi vivant et passible d’un rapport pouvant engendrer une foule de situations psychologiques comme sociologiques. Elle est brève, elle aussi, mais non moins impeccable.
Dialogue entre Daniel Cordier et Debray : - La France est morte en 1940. - Mais vous avez tout fait pour la ressusciter ! - Oui, mais ça n'a pas vraiment marché...
Merci pour cette vidéo ! Sauf erreur de ma part, et si je puis me permettre, "mémoires" dans le sens où vous l'employez dans la description de la vidéo est au masculin pluriel.
1:04:40 J'aimerai bien qu'on m'explique d'où vient cette autosatisfaction rigolarde à l'évocation de cette phrase "quelle est le rapport entre le vrai et la puissance" J'avoue que je ne saisi pas la finesse sophistique de se questionnement. M.Debray si vous mettez sur le même plan le vrai, et son contraire,à quoi bon chercher à philosopher ? Vendez des mouchoirs troués ou du sable dans le désert. L'efficacité,l'importance,le surcroît de votre activité n'en sera t' elle pas la même ? Vraiment c'est incroyable de lâcher ça,et de ne pas approfondir...
C’était bien confortable “d’être revolutionnaire en Amerique Latine, tout en restant reformiste en Europe” (sic). Si seulement il avait fait le choix inverse…. On se serait bien réjoui au Chili si Mr. Debray nous avait épargné sa prêche de la lutte de classes et qu’il l’avait gardé pour lui et les siens!!!!!
6:30 " je n'ai pas d'enfance " ok le mec bourru. Il est né à 16 ans. Déjà il se présente comme un individu délirant. Son personnage public probablement ?
VOUS ÊTES UNE FIGURINE DU NÉANT 0..ENCORE BRAVO POUR VOTRE INTERVENTION SUR SABRA ET CHATILA...VOUS DEVENU CE QUE VOUS NE VOULIEZ PAS ÊTRE..PEUTMIEUX FAIRE..CON HEO..
Interview sans aucun intérêt ! Régis Debray, habituellement intéressant, est devenu l'espace d'un entretien, inintéressant. Il n'arrive même pas à formuler une phrase complète. '
Hélas cet homme n'a pas de corps. C'est un occidental qui jongle avec les idées. Comme Godard il adore parler pour ne rien dire. Les dialecticiens sont prisonniers de leur dialectique. Sans intérêt. Le charme est rompu.
Haha ses quelques éclats de rire sont incroyables. Un trésor de singularité. On est chanceux d'avoir encore des types de cette envergure à écouter. Il parle comme personne.
Un intellectuel toujours original qui s'est rarement trompé. Un homme clairvoyant qui sait mettre les pendules à l'heure.
Je ne suis ni intellectuel, ni journaliste..je découvre.... quel narrateur même s'il se perd souvent sans terminer ses phrases; oui cet intellectuel devenu discret dans notre contexte extrêmement tourmenté est passionnant...que de leçons à tirer à l'écouter ! Posé, réfléchi, humble malgré tout....très loin des réseaux sociaux surexcités et de la "bordelisation" généralisée ! 😂 👏👏
"L'apprentissage de la réalité est une blessure narcissique." R. Debray
Merci, Regis Debray est toujours très intéressant à écouter, ça fait plaisir !
Merci à vous.
Pleins de lumières pour l'humanisme qui vous anime.
Bien à vous.
Une grande intelligence, une immense culture chez quelqu'un qui n a jamais quitté l adolescence et qui s en aperçoit sur le tard
sa definition de l ecrivain au debut a pour le moins du style. Une hauteur , une reflexion, un style en effet , merci Mr Debray vous etes tres interessant
J aime bcp cet Homme .ses défauts.ses qualités.personnalite très intéressante.
Très belle et vivante intervention de Régis Debray ! Pour ma part, je retiens l'agréable surprise de mentionner André Leroi-Gourhan , même si je pense que cette techno-genese n'a de valeur qu'à l' aune de la nécessité et non du superflue ! Merci d'avoir souligné la très grande différence entre communication et transmission; un boulet qui se fait de plus en plus pesant !
Brilliant, comme toujours
Toujours aussi brillant… Le dernier véritable intellectuel !
Quel homme brillant, à l'esprit toujours alerte, au verbe juste et si délicieusement sarcastique !
Quelle distance, quelle justesse devant les illusions d'une vie, devant celles d'un monde que son regard acéré s'autorise toujours à pointer avec tant de sagacité !
Quelle humilité, quelle dignité !
Impressionnant !
"Quelle humilité," ????? 😂
@@ulysse892
A si peu d'épanchement, réponse difficile !
@@h.g.darnoncourt5319Monsieur, vous êtes bien peu psychologue pour déceler de l'humilité chez Régis Debray, à moins de prendre le masque pour la chose.
@@ulysse892
Si vous souhaitez échanger dans une discussion contradictoire, je vous invite à expliciter plus avant votre point de vue.
Cordialement.
@@ulysse892
Je crains que nous n'ayons rien de plus. De la difficulté de verbaliser ces choses si confuses qui nous affectent, n'est-ce pas ?
Un immense merci pour votre travail et cette chaîne que je viens de découvrir 🙏🏻 !
Juste après Debray donc : Julien Gracq ! Gracq avait écrit, il n’y a pas très longtemps, une petite phénoménologie « familière » du rapport entretenu par le lecteur à son livre comme objet quasi vivant et passible d’un rapport pouvant engendrer une foule de situations psychologiques comme sociologiques. Elle est brève, elle aussi, mais non moins impeccable.
L'un des dernier grand génie.
Je ne savais pas qu'on pouvait rire comme Merry et Pipin dans la vraie vie.
"On est con mais pas au point de vouloir voyager" 🤣🤣🤣🤣
Dialogue entre Daniel Cordier et Debray :
- La France est morte en 1940.
- Mais vous avez tout fait pour la ressusciter !
- Oui, mais ça n'a pas vraiment marché...
Merci pour cette vidéo ! Sauf erreur de ma part, et si je puis me permettre, "mémoires" dans le sens où vous l'employez dans la description de la vidéo est au masculin pluriel.
Tout à fait, merci de nous le signaler c'est corrigé ! :)
1:04:40 J'aimerai bien qu'on m'explique d'où vient cette autosatisfaction rigolarde à l'évocation de cette phrase "quelle est le rapport entre le vrai et la puissance" J'avoue que je ne saisi pas la finesse sophistique de se questionnement.
M.Debray si vous mettez sur le même plan le vrai, et son contraire,à quoi bon chercher à philosopher ?
Vendez des mouchoirs troués ou du sable dans le désert. L'efficacité,l'importance,le surcroît de votre activité n'en sera t' elle pas la même ?
Vraiment c'est incroyable de lâcher ça,et de ne pas approfondir...
"L'autosatisfaction rigolarde" est là pour suggérer une profondeur qui n'est pas dans les mots
12:53 le temps long. Dans les années 60 nous étions plus dans le temps long.
Le " bon technologique " a perturbé cela
Regis Debray rationnalise l'emotion c'est un poète.D'ailleurs Paul Valery est de ses references...
Un grand bonhomme
Il se marre toujours autant sur la défense/souveraineté européenne ? Mais où pousse l'illusion idéologique comme il le dit si bien. La sienne.
13:29 Bien que la Patience soit la force des faibles n'est ce pas
C’était bien confortable “d’être revolutionnaire en Amerique Latine, tout en restant reformiste en Europe” (sic). Si seulement il avait fait le choix inverse…. On se serait bien réjoui au Chili si Mr. Debray nous avait épargné sa prêche de la lutte de classes et qu’il l’avait gardé pour lui et les siens!!!!!
circulez y a rien à voir
5:02 la france est morte en 1940. Alors il y a la poésie, le lyrisme et puis il y les faits. Régis Debray n'est pas un sociologue
6:30 " je n'ai pas d'enfance " ok le mec bourru.
Il est né à 16 ans. Déjà il se présente comme un individu délirant. Son personnage public probablement ?
8:06 alors ça par contre on ne sait pas si on a affaire à de la probité ou un excès de politesse.
" RIEN d'intéressant "
VOUS ÊTES UNE FIGURINE DU NÉANT 0..ENCORE BRAVO POUR VOTRE INTERVENTION SUR SABRA ET CHATILA...VOUS DEVENU CE QUE VOUS NE VOULIEZ PAS ÊTRE..PEUTMIEUX FAIRE..CON HEO..
Interview sans aucun intérêt ! Régis Debray, habituellement intéressant, est devenu l'espace d'un entretien, inintéressant. Il n'arrive même pas à formuler une phrase complète.
'
Hélas cet homme n'a pas de corps. C'est un occidental qui jongle avec les idées. Comme Godard il adore parler pour ne rien dire. Les dialecticiens sont prisonniers de leur dialectique. Sans intérêt. Le charme est rompu.
c'est une personne qui s'est souvent trompée. Il ne m'intéresse pas.