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Bonjour merci de cette critique, elle est vrm au top. Moi même participant au Goncourt des Lycéens, les guerriers de l'hiver est géniale surtout que je n'aime pas lire. MERCI beaucoup ET Bonne continuation
J’ai beaucoup aimé ce roman. Je ne connaissais pas cette guerre entre l’URSS et la Finlande. Une guerre de 105 jours au cœur de l’hiver 1939/1940. On y découvre un héros national finlandais, tireur d’élite (pas un personnage de fiction) qui a inspiré le courage aux finlandais et la peur aux russes. La forêt finlandaise et l’hiver terrible de 39/40 plantent le décor et font partie du récit au point d’en devenir des personnages incontournables. La forêt et l’hiver sont ennemis des russes autant que les soldats finlandais, plus peut-être ! Les lottas, les femmes finlandaises engagées dans l’armée pour résister représentent l’humanité au cœur de l’horreur de la guerre. On en croise deux qui donnent une dimension presque épique au roman. Ces 105 jours on les vit quasiment tous. Trois mois en 300 pages. C’est un récit de guerre qui nous montre tout : les décisions stratégiques des politiques et des militaires, et leurs conséquences tragiques sur le terrain, ce qui en fait un récit complet qui confronte l’âme finlandaise de résistance et la froide tactique soviétique qui n’inspire que la peur aux soldats russes. On comprend pourquoi la guerre d’une semaine sur le papier aura duré 105 jours. On y vit le premier mort, le dernier mort. C’est pour moi un grand récit.
@@OpheliaDufort c’est un peu exagéré, à mon sens, au vu des grands romans de guerre que nous connaissons, mais soit, je suis ravi qu’il vous ait plu :)
Bonjour merci pour votre partage. J aimes la manière que vous parlez du livre. Moi aussi quand c est decrit trop les manœuvres militaire sa m ennuies. J arrête le livre. Je ne pense pas l acheté. Bonne journée
Si vous étiez un adepte des propos indirects ,vous auriez pu en faire une critique voilée,un peu sournoise et doucement vacharde en concluant que ce livre est un excellent roman pour les amateurs d 'essais. Dieu soit loué ,vous êtes direct et franc et c'est tout à votre honneur!👍
Pour moi une lecture agréable, mais pas la claque que j'ai eue en lisant du même auteur "entre deux mondes". Je ne suis pas fan de stratégie militaire, pourtant j'ai trouvé intéressante cette incursion dans un épisode historique que je ne connaissais pas du tout. Ceci étant dit, je vous rejoins pour regretter que le personnage de SImo et le Sisu n'y tiennent pas une plus grande place. Cela aurait probablement contribué à faire de ce livre "agréable" un roman fort et plus marquant. Mais votre chronique me donne envie de (re)lire David Gemmel du coup !
Je ne suis pas d'accord avec vous concernant votre ressenti sur ce que vous appelez le "manque de l'aspect finlandais"dans ce roman. Pour moi au contraire, cette "marque finlandaise" transpire tout le long de ce roman. Ce que j'ai cru comprendre à la lecture de ce livre, c'est que justement les finlandais ne sont pas un peuple qui "s'affiche", ce n'est pas un peuple qui veut paraître et briller ni montrer une spéficité culturelle via des mets, des boissons, des chants et encore moins de manière exubérence et extravertie. Les finlandais sont surtout finlandais dans les tripes, face à l'adversité. Norek narre l'émergence d'une nation qui n'a que 22 ans au moment du récit et qui pourtant se fédère et se lie village après village pour émulsionner ce ciment qui sera le joint d'un mur extraordinaire de résistance. Tout comme leur sisu, l'âme finlandaise ne se montre pas : elle se vit ne manière intrinsèque. Elle ne brille pas, elle brûle de l'intérieur.
@@nadydee854 ce qui n’est pas montré dans le roman. Cela n’a rien à voir avec la volonté de briller ou non. J’ai eu l’impression de lire du mauvais Ken Follett.
@@memoartdadrien6185 Je n'ai jamais lu du Follett, donc je ne saurais vous répondre sur ce point. Vous dites que ce n'est pas montré, mais peut-être est-ce vous qui n'avez pas réussi à le voir ? Parce que justement pour ma part au contraire, c'est justement ce qui m'a plu le plus dans ce livre... Assister à l'émergence d'une nation et d'un esprit finlandais sous la plume d'un auteur, naissance de l'âme d'un pays qui s'explique aussi via le biais de la chronologie historique (j'ai en mémoire notamment Mannherheim qui explique qu'il faut regrouper les soldats village par village car c'est en étant à côté de ses amis et frères qu'on a envie de se battre jusqu'au bout pour défendre ce (et ceux) que l'on aime).
Et bien vous ne me donnez pas envie de le lire. Personnellement, j'ai très envie de lire Cabane d'Abel Quentin, le dernier Alice Zeniter et Mesopotamia d'Olivier Guez. Si vous les lisez, merci de faire une vidéo. Au fait, je termine Le premier Rome du Chevalier aux epines et je suis très déçue par rapport à Gagner la guerre.
Bonjour J'en suis aux deux tiers et j'ai déjà lu tous les Norek.... Objectivement un bon roman mais j'ai eu comme l'impression qu'ici tout était passé au filtre des prix littéraires, calibré pour... Il me manque pour l'instant le petit truc en plus pour en faire un véritable coup de coeur...
Bonjour merci de cette critique, elle est vrm au top. Moi même participant au Goncourt des Lycéens, les guerriers de l'hiver est géniale surtout que je n'aime pas lire. MERCI beaucoup ET Bonne continuation
J’ai beaucoup aimé ce roman. Je ne connaissais pas cette guerre entre l’URSS et la Finlande. Une guerre de 105 jours au cœur de l’hiver 1939/1940. On y découvre un héros national finlandais, tireur d’élite (pas un personnage de fiction) qui a inspiré le courage aux finlandais et la peur aux russes. La forêt finlandaise et l’hiver terrible de 39/40 plantent le décor et font partie du récit au point d’en devenir des personnages incontournables. La forêt et l’hiver sont ennemis des russes autant que les soldats finlandais, plus peut-être !
Les lottas, les femmes finlandaises engagées dans l’armée pour résister représentent l’humanité au cœur de l’horreur de la guerre. On en croise deux qui donnent une dimension presque épique au roman.
Ces 105 jours on les vit quasiment tous. Trois mois en 300 pages.
C’est un récit de guerre qui nous montre tout : les décisions stratégiques des politiques et des militaires, et leurs conséquences tragiques sur le terrain, ce qui en fait un récit complet qui confronte l’âme finlandaise de résistance et la froide tactique soviétique qui n’inspire que la peur aux soldats russes.
On comprend pourquoi la guerre d’une semaine sur le papier aura duré 105 jours. On y vit le premier mort, le dernier mort.
C’est pour moi un grand récit.
@@OpheliaDufort c’est un peu exagéré, à mon sens, au vu des grands romans de guerre que nous connaissons, mais soit, je suis ravi qu’il vous ait plu :)
Nous n’avons pas lu le même livre. Merci pour ce retour.
J'ai beaucoup aimé aussi et je vous rejoins sur tous les points que vous amenez ici.
@@nadydee854 j’ai lu votre commentaire et je vous rejoins sur ce que vous soulignez.
Bonjour merci pour votre partage. J aimes la manière que vous parlez du livre. Moi aussi quand c est decrit trop les manœuvres militaire sa m ennuies. J arrête le livre. Je ne pense pas l acheté. Bonne journée
Si vous étiez un adepte des propos indirects ,vous auriez pu en faire une critique voilée,un peu sournoise et doucement vacharde en concluant que ce livre est un excellent roman pour les amateurs d 'essais.
Dieu soit loué ,vous êtes direct et franc et c'est tout à votre honneur!👍
Pour moi une lecture agréable, mais pas la claque que j'ai eue en lisant du même auteur "entre deux mondes". Je ne suis pas fan de stratégie militaire, pourtant j'ai trouvé intéressante cette incursion dans un épisode historique que je ne connaissais pas du tout. Ceci étant dit, je vous rejoins pour regretter que le personnage de SImo et le Sisu n'y tiennent pas une plus grande place. Cela aurait probablement contribué à faire de ce livre "agréable" un roman fort et plus marquant. Mais votre chronique me donne envie de (re)lire David Gemmel du coup !
Je ne suis pas d'accord avec vous concernant votre ressenti sur ce que vous appelez le "manque de l'aspect finlandais"dans ce roman. Pour moi au contraire, cette "marque finlandaise" transpire tout le long de ce roman. Ce que j'ai cru comprendre à la lecture de ce livre, c'est que justement les finlandais ne sont pas un peuple qui "s'affiche", ce n'est pas un peuple qui veut paraître et briller ni montrer une spéficité culturelle via des mets, des boissons, des chants et encore moins de manière exubérence et extravertie. Les finlandais sont surtout finlandais dans les tripes, face à l'adversité. Norek narre l'émergence d'une nation qui n'a que 22 ans au moment du récit et qui pourtant se fédère et se lie village après village pour émulsionner ce ciment qui sera le joint d'un mur extraordinaire de résistance. Tout comme leur sisu, l'âme finlandaise ne se montre pas : elle se vit ne manière intrinsèque. Elle ne brille pas, elle brûle de l'intérieur.
@@nadydee854 ce qui n’est pas montré dans le roman. Cela n’a rien à voir avec la volonté de briller ou non. J’ai eu l’impression de lire du mauvais Ken Follett.
@@memoartdadrien6185
Je n'ai jamais lu du Follett, donc je ne saurais vous répondre sur ce point.
Vous dites que ce n'est pas montré, mais peut-être est-ce vous qui n'avez pas réussi à le voir ? Parce que justement pour ma part au contraire, c'est justement ce qui m'a plu le plus dans ce livre... Assister à l'émergence d'une nation et d'un esprit finlandais sous la plume d'un auteur, naissance de l'âme d'un pays qui s'explique aussi via le biais de la chronologie historique (j'ai en mémoire notamment Mannherheim qui explique qu'il faut regrouper les soldats village par village car c'est en étant à côté de ses amis et frères qu'on a envie de se battre jusqu'au bout pour défendre ce (et ceux) que l'on aime).
@@nadydee854 c’est votre point de vue, que je respecte, et je vous remercie d’avoir regardé ma vidéo ;)
Point de vue histoire, je suis un peu comme vous...
Et bien vous ne me donnez pas envie de le lire. Personnellement, j'ai très envie de lire Cabane d'Abel Quentin, le dernier Alice Zeniter et Mesopotamia d'Olivier Guez. Si vous les lisez, merci de faire une vidéo. Au fait, je termine Le premier Rome du Chevalier aux epines et je suis très déçue par rapport à Gagner la guerre.
@@nathaliebalaguercugnart2534 non je ne compte pas les lire
Bonjour
J'en suis aux deux tiers et j'ai déjà lu tous les Norek....
Objectivement un bon roman mais j'ai eu comme l'impression qu'ici tout était passé au filtre des prix littéraires, calibré pour...
Il me manque pour l'instant le petit truc en plus pour en faire un véritable coup de coeur...