Je me pose une question : est-ce que dans sa démarche Einstein est passé par toutes les étapes que nous suivons depuis le premier cours ? Ou est-il passé par d'autres voies ? En tout cas, c'est passionnant et ça aide vraiment à comprendre des choses fondamentales, même si mathématiquement c'est un peu rude pour moi (mes maths sont très loin et pas de ce niveau...). Merci.
Je suis en prépa mais je trouve intéressant, je suis curieux d’en savoir plus sur la relativité générale. Je suppose qu’il y a des tenseurs et beaucoup de géométrie
Bonjour, Comment peut-on décrire l'espace temps de la réalité si on peut choisir, arbitrairement, sans référence au réel les valeurs des coefficients Γ^i,j,k de la connexion ?
Bonjour. Dans l'espace-temps de la réalité physique, les coefficients de la connexion (les Γ^i,j,k) sont en fait dictés par la métrique, qui est elle-même dictée par les équations d'Einstein. C'est toute la beauté de la chose : la structure géométrique de l'espace-temps, qui pourrait être a priori n'importe quoi (l'espace-temps étant conçu comme une variété lorentzienne de dimension 4), fait en fait l'objet de lois physiques. Les prochaines séances devraient vous éclairer à ce sujet.
@@jeanpapettiBien sûr, les équations d'Einstein font intervenir les Γ^i,j,k, sinon elles ne pourraient pas les contraindre ! 😉C'est en les reliant, ainsi que leurs dérivées, au tenseur énergie-impulsion, que ces équations différentielles permettent de déterminer, si on les résout, l'évolution du champ de métrique (et donc des Γ^i,j,k associés). Cela répond-il à votre question ?
Bonjour, j'ai une petite question. On a pas définit à ce stade de notion de distance, donc à fortiori il n'y a pas non plus de notion de distance infinitésimale. Donc pour la courbure de Riemann, comment savoir si il y a une "bosse" à l'intérieur du "carré" que l'on parcourt ? __________. _______ ! ! ! ! ! bosse ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! __________. _______ (Je représente ici la surface qui illustre la définition de la courbure de Riemann)
Bonjour. Vous n'avez pas besoin de métrique pour parler de courbure. La courbure d'une variété munie d'une connexion est définie comme le tenseur que j'ai indiqué dans le cours, dont les composantes dans une carte donnée s'exprime à partir des fonctions coefficients de la connexion de la manière que nous avons calculé. En pratique, si vous effectuez un transport parallèle le long d'une courbe fermée, vous pourrez constater si oui ou non le vecteur auquel vous parvenez est le même que celui de départ.
Pourquoi j'ai ça dans mes recommandations jss en terminale moi j'ai peur la stop
Mdrr pareil
et moi ça fait 9 ans que je taffe dans l'informatique, aucun rapport
la même 😂
LOL. Je n'en sais rien du tout. Tout ce que je peux dire, c'est que je n'y suis pour rien ! 😂
Ne t'inquiète pas ça va bien se passer. C'est cool la physique !
aucun rapport mais le mec a gauche il a un sacré fessier 👍
Je me pose une question : est-ce que dans sa démarche Einstein est passé par toutes les étapes que nous suivons depuis le premier cours ? Ou est-il passé par d'autres voies ?
En tout cas, c'est passionnant et ça aide vraiment à comprendre des choses fondamentales, même si mathématiquement c'est un peu rude pour moi (mes maths sont très loin et pas de ce niveau...). Merci.
Je suis en prépa mais je trouve intéressant, je suis curieux d’en savoir plus sur la relativité générale. Je suppose qu’il y a des tenseurs et beaucoup de géométrie
Gyat sur la minia
mdrr
Bonjour,
Comment peut-on décrire l'espace temps de la réalité si on peut choisir, arbitrairement, sans référence au réel les valeurs des coefficients Γ^i,j,k de la connexion ?
Bonjour. Dans l'espace-temps de la réalité physique, les coefficients de la connexion (les Γ^i,j,k) sont en fait dictés par la métrique, qui est elle-même dictée par les équations d'Einstein. C'est toute la beauté de la chose : la structure géométrique de l'espace-temps, qui pourrait être a priori n'importe quoi (l'espace-temps étant conçu comme une variété lorentzienne de dimension 4), fait en fait l'objet de lois physiques. Les prochaines séances devraient vous éclairer à ce sujet.
Merci beaucoup. J'attends la suite avec intérêt.@@EtienneParizot
Les équations d'Einstein ne dépendent-elles pas elle même des Γ^i,j,k, ce qui nous donnerait une définition circulaire ?
@@jeanpapettiBien sûr, les équations d'Einstein font intervenir les Γ^i,j,k, sinon elles ne pourraient pas les contraindre ! 😉C'est en les reliant, ainsi que leurs dérivées, au tenseur énergie-impulsion, que ces équations différentielles permettent de déterminer, si on les résout, l'évolution du champ de métrique (et donc des Γ^i,j,k associés). Cela répond-il à votre question ?
Bonjour, j'ai une petite question.
On a pas définit à ce stade de notion de distance, donc à fortiori il n'y a pas non plus de notion de distance infinitésimale. Donc pour la courbure de Riemann, comment savoir si il y a une "bosse" à l'intérieur du "carré" que l'on parcourt ?
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! bosse ! ! !
! ! ! !
! ! ! !
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(Je représente ici la surface qui illustre la définition de la courbure de Riemann)
Bonjour. Vous n'avez pas besoin de métrique pour parler de courbure. La courbure d'une variété munie d'une connexion est définie comme le tenseur que j'ai indiqué dans le cours, dont les composantes dans une carte donnée s'exprime à partir des fonctions coefficients de la connexion de la manière que nous avons calculé. En pratique, si vous effectuez un transport parallèle le long d'une courbe fermée, vous pourrez constater si oui ou non le vecteur auquel vous parvenez est le même que celui de départ.
@@EtienneParizot Merci pour votre réponse.
Si abscons que le prof lui-même s'y perd, ça me rappelle encore pourquoi j'ai lâché la physique juste après la L1 (enfin déjà pendant).
sûrement un de vos élèves l’année prochaine, je ne comprends pas une variable du tableau, on va bien rigoler
Des choses que je vais jamais comprendre😂😂😂
qu est ce que.......