Quand il parle des organisations syndicales qui pourraient être encore un terrain de résistance et de lutte, il faut savoir qu'elles sont aussi touchées par la vision managériale qu'il décrypte et qu'il dénonce Et que les plus grandes structures syndicales peuvent concourir à faire taire les critiques venant de la base . Les connexions au niveau des plus hautes directions avec les pouvoirs sont si étroites que la solution passera sûrement par la création de nouvelles structures syndicales si l'action syndicale sérieuse doit se poursuivre face à la réalité managériale qui est en train de s'imposer . . Et je crois que les syndicalistes les plus honnêtes dans leur action et dans le temps l'ont compris .
Vincent De Gaulejac n’est pas très connu parce qu’il dit des vérités qui dérangent. Si le salariés est considéré comme nul, il doit être évincé avec les moyens que nous connaissons tous. Avec les arrêts maladie qui vont avec. Mais tout cela coûte cher à la sécurité sociale… et à pôle emploi. Ce n ´est pas grave pour les groupes qui nous emploient puisque les salariés finissent pas partir d eux mêmes.
Hydro, Santé, SAAQ, transport, éducation.... cie privées, cabinet de consulting Deloitt, Accenture, McKinsey etc qui conseillent nos politiciens en charge du public. 2024 Ca y est, nous y sommes.
Ce n'est pas cité, mais sa phrase est le titre de l'excellent livre de 1941 "The managerial revolution" de Burnham. Mais en bien moins bon que l'original.
+Jeanphilippe Perez Vrai. Mais parle t-on d'un travail, ou parle t-on d'un emploi ? Une distinction est à faire entre les deux termes, au moment où l'emploi (activité sanctionnée par un salaire) est menacé et où le travail,entendu au sens d' activité individuante c'est-à-dire nous donnant le sentiment d'exister, a besoin d'être réinventé.
A partir du moment qu'il est utilisé pour l engraissement d un système mortifère si il devient une punition .seul art et la manière de convaincre par moultes manipulations vous fait croire le contraire .
La révolution managériale et culturelle que je propose n'a RIEN à voir avec celle-là ! Elle est faite pour traiter la complexité qui irrigue toutes les organisations.
C'est encore plus d'actualité aujourd'hui avec la pandémie que nous vivons, il est urgent que cette vidéo circule.
Merci beaucoup pour cette vidéo
excellente analyse de Vincent de Gaulejac
Quand il parle des organisations syndicales qui pourraient être encore un terrain de résistance
et de lutte, il faut savoir qu'elles sont aussi touchées par la vision managériale qu'il décrypte et qu'il dénonce Et que les plus grandes structures syndicales peuvent concourir à faire taire les critiques venant de la base . Les connexions au niveau des plus hautes directions avec les pouvoirs sont si étroites que la solution
passera sûrement par la création de nouvelles structures syndicales
si l'action syndicale sérieuse doit se poursuivre
face à la réalité managériale qui est en train de s'imposer . .
Et je crois que les syndicalistes les plus honnêtes dans leur action et dans le temps l'ont compris .
Il n'y a pas à dire, Monsieur de Gaulejac devrait être davantage connu du grand public....
Vincent De Gaulejac n’est pas très connu parce qu’il dit des vérités qui dérangent. Si le salariés est considéré comme nul, il doit être évincé avec les moyens que nous connaissons tous. Avec les arrêts maladie qui vont avec. Mais tout cela coûte cher à la sécurité sociale… et à pôle emploi.
Ce n ´est pas grave pour les groupes qui nous emploient puisque les salariés finissent pas partir d eux mêmes.
Génial!
Hydro, Santé, SAAQ, transport, éducation.... cie privées, cabinet de consulting Deloitt, Accenture, McKinsey etc qui conseillent nos politiciens en charge du public. 2024 Ca y est, nous y sommes.
Ce n'est pas cité, mais sa phrase est le titre de l'excellent livre de 1941 "The managerial revolution" de Burnham. Mais en bien moins bon que l'original.
bravo,
15:15 faire le lien !
Comme chez Renault
C'est pas me mec de groland ?
Et l'intérêt d'épanouissement personnel dans le travail qui arrive (quelquefois.), où en parlent ils ? Le travail n'est pas seuleument une punition.
+Jeanphilippe Perez Vrai. Mais parle t-on d'un travail, ou parle t-on d'un emploi ? Une distinction est à faire entre les deux termes, au moment où l'emploi (activité sanctionnée par un salaire) est menacé et où le travail,entendu au sens d' activité individuante c'est-à-dire nous donnant le sentiment d'exister, a besoin d'être réinventé.
A partir du moment qu'il est utilisé pour l engraissement d un système mortifère si il devient une punition .seul art et la manière de convaincre par moultes manipulations vous fait croire le contraire .
La révolution managériale et culturelle que je propose n'a RIEN à voir avec celle-là ! Elle est faite pour traiter la complexité qui irrigue toutes les organisations.
Je ne vois pas de revolution manageriale. Nullepart.