Merci pour ce reportage. Belle enquête sur notre système solaire. J’adore le fait de mettre de côté des échantillons pour les générations futures avec leurs nouvelles techniques et technologies. 👏🏼
Un cristal temporel utilisé avec succès pour stabiliser les calculs d’un ordinateur quantique Pour la première fois, l’intégration d’un cristal temporel dans un ordinateur quantique a permis de stabiliser l’état quantique des qubits dans le cadre d’une récente expérience. Inspiré par le célèbre paradoxe du chat de Schrödinger, le système utilise des séquences de micro-ondes pour former un cristal temporel filtrant les fluctuations et les perturbations externes qui pourraient autrement détruire l’enchevêtrement quantique. La stabilisation des états quantiques représente un défi majeur pour l’essor de l’informatique quantique, une technologie prometteuse qui pourrait révolutionner le traitement de l’information. Récemment, une équipe de chercheurs de l’Université de l’Académie des sciences de Chine a franchi une étape significative dans ce domaine. Le travail, publié sur la plateforme de pré-impression arXiv, démontre l’utilisation d’un cristal temporel en tant que « bouton de contrôle » pour stabiliser un état quantique fragile, inspiré par le célèbre paradoxe du chat de Schrödinger. En utilisant des séquences micro-ondes pour former le cristal temporel, le système protège ainsi l’état quantique des qubits contre les perturbations. La naissance des cristaux temporels L’idée des cristaux temporels a été introduite par Frank Wilczek en 2012. En proposant l’existence d’un état de la matière qui oscille de manière périodique sans consommation d’énergie externe, Wilczek a remis en question des principes fondamentaux. Cette oscillation, qui en réalité n’est pas perpétuelle (interdit par les lois de la physique), défie tout de même l’intuition première sur l’équilibre thermodynamique et la conservation de l’énergie. Initialement accueillie avec scepticisme, la théorie a gagné en crédibilité à mesure que des expériences ont confirmé la possibilité de créer de tels états, transformant une curiosité théorique en une réalité expérimentale. Contrairement à ce que suggérait Wilczek cependant, un cristal temporel nécessite bel et bien un apport d’énergie externe. Le récent exploit du physicien Biao Huang et de son équipe a permis de franchir une étape supplémentaire en matérialisant ce concept dans le domaine de l’informatique quantique. En intégrant un cristal temporel discret au cœur d’un ordinateur quantique, ils ont non seulement démontré la faisabilité de ces états dans un système strict, mais leur ont aussi trouvé une application pratique concrète. Le cristal temporel agit comme un régulateur, ou un « bouton de contrôle », qui maintient les qubits dans un état de fluctuation temporelle contrôlée. Cette stabilité des états quantiques est essentielle pour le calcul et la communication quantiques. Le défi de la stabilisation d’un état quantique fragile Les qubits, unités de base de l’information dans un ordinateur quantique (à l’instar des bits dans un ordinateur classique), peuvent exister dans des superpositions d’états, c’est-à-dire être dans les états 1 et 0 simultanément, contrairement aux bits classiques qui sont limités à un état fixe à tout moment (0 ou 1). Lorsque ces qubits sont arrangés dans un état GHZ (Greenberger-Horne-Zeilinger), ils manifestent un enchevêtrement quantique à un niveau profond, signifiant que l’état de chaque qubit est intrinsèquement lié à l’état des autres, peu importe la distance qui les sépare. Cependant, cet enchevêtrement, bien qu’offrant des possibilités extraordinaires pour le calcul quantique, rend l’état GHZ extrêmement sensible aux perturbations environnementales. Cette sensibilité augmente avec le nombre de qubits impliqués, posant un défi majeur pour la réalisation d’états GHZ stables et exploitables dans des applications pratiques. Face à cette vulnérabilité, l’innovation apportée par l’utilisation d’un cristal temporel représente une solution ingénieuse. En exposant les qubits à une séquence spécifiquement établie de pulsations micro-ondes, les chercheurs ont pu induire une oscillation temporelle régulière des états quantiques, caractéristique d’un cristal temporel. Cette méthode a permis de créer un environnement stable, agissant comme un « abri » pour l’état GHZ. Autrement dit, le cristal temporel filtre les fluctuations et les perturbations externes qui pourraient autrement détruire l’enchevêtrement quantique.🌏🌎🌍🌠🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌐🌐🌐🌐👽👽👽👽👽
L'échelle de Kardashev Six types de civilisations Type I Type Il Capable de Capable de contrôler la totalité de l'énergie de son étoile hôte l'énergie à l'échelle et voyage à travers l'énergie solaire de sa planète et le système solaire de son ensemble galaxie hôte. @science_for_my_servants TypelV Capable d'utiliser l'énergie à l'échelle de l'univers. (Créer des galaxies, manipuler l'espace-temps) Civilisation qui existe au-delà du temps et de l'espace, ou dans des dimensions supérieures. (Crée et détruit les multivers) TypeV. Capable d'utiliser l'énergie à l'échelle du multivers (voyager vers des univers parallèles et simuler des univers)
Le télescope spatial James Webb découvre par erreur une galaxie qui ne devrait pas exister La découverte d'une galaxie naine, nommée PEARLSDG, par une équipe d'astronomes dirigée par Tim Carleton de l'Université d'État de l'Arizona, remet en question nos connaissances sur l'évolution des galaxies. Observée grâce au Télescope Spatial James Webb (JWST), cette galaxie se distingue par son absence de formation stellaire et son isolement, défiant ainsi les théories actuelles. Les galaxies naines, souvent définies par leur petite taille et leur faible luminosité, sont parmi les objets les plus abondants de l'Univers. PEARLSDG, cependant, présente des caractéristiques inattendues pour une galaxie de ce type: elle ne forme pas de nouvelles étoiles et ne semble pas interagir avec d'autres galaxies voisines. Ce profil est atypique pour une galaxie naine, qui, lorsqu'elle est isolée, continue généralement de former de jeunes étoiles. PEARLSDG est identifiée en cyan, et les carrés verts montrent la zone couverte par l'imagerie NIRCam. Deux des galaxies massives les plus proches (en projection) sont identifiées par des cercles rouges. Crédit: The Astrophysical Journal Letters (2024). La découverte a été faite dans le cadre du projet JWST Prime Extragalactic Areas for Reionization and Lensing Science (PEARLS), bien que PEARLSDG ne fût pas l'objectif principal des observations. C'est l'analyse des images prises par la caméra Near-InfraRed (NIRCam) du JWST qui a permis de mettre en évidence cette galaxie naine éloignée. La résolution et la sensibilité élevées de NIRCam ont rendu possible l'identification des étoiles individuelles au sein de PEARLSDG, offrant ainsi une précieuse information sur la distance de la galaxie, estimée à 98 millions d'années-lumière. L'absence de signature de formation stellaire récente, typique des nouvelles étoiles, ainsi que l'analyse spectrométrique réalisée avec le spectrographe DeVeney sur le télescope Lowell Discovery à Flagstaff, en Arizona, confirment l'état de stase de PEARLSDG. Ces observations sont complétées par des données d'archives en ultraviolet, optique et infrarouge, provenant notamment des télescopes spatiaux Galex et Spitzer, ainsi que du Sloan Digital Sky Survey et du Dark Energy Camera Legacy Survey. Cette découverte remet en cause la compréhension actuelle de l'évolution des galaxies, suggérant l'existence d'autres galaxies naines isolées et quiescentes qui restent à découvrir. Le JWST, avec ses instruments avancés, joue un rôle clé dans cette quête, ouvrant de nouvelles perspectives sur la formation et l'évolution des galaxies dans l'Univers.🌏🌎🌍🌠🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌐🌐🌐🌐👽👽👽👽
Une étude suggère que le cosmos fusionne avec des « bébés univers » parallèles Un article récent aborde une nouvelle théorie sur l’expansion de l’univers. Elle postule qu’elle pourrait non pas être le résultat de l’énergie noire, mais de la fusion constante de notre cosmos avec des « bébés » univers parallèles. Explications. Le problème de l’énergie noire Selon le modèle cosmologique standard, l’expansion accélérée de l’univers est attribuée à l’existence de l’énergie noire. Cette substance mystérieuse aurait une pression négative, ce qui provoquerait une force répulsive, s’opposant à la gravité et contribuant ainsi à l’expansion continue du cosmos. L’énergie noire n’a cependant jamais été directement observée ni mesurée en laboratoire. Son existence est postulée pour expliquer les observations cosmologiques, mais son invisibilité pose forcément un défi conceptuel. Au cours de ces dernières années, certains astrophysiciens et cosmologistes ont ainsi remis en question l’idée même de l’énergie noire en explorant des alternatives. Des théories modifiées de la gravité, telles que la modification de la relativité générale, ont notamment été proposées comme substituts potentiels, bien que tout cela reste théorique Une nouvelle théorie Une étude récente propose une autre approche théorique en suggérant que l’expansion accélérée pourrait être expliquée par la fusion constante avec d’autres univers parallèles, que les scientifiques qualifient de « bébés » univers. Cette théorie se base sur des calculs mathématiques. Dans leur article, les chercheurs affirment que la fusion avec d’autres univers augmenterait le volume de notre univers. Cette augmentation de volume pourrait être perçue comme une expansion du cosmos, ce qui correspondrait aux observations du fond diffus cosmologique, la rémanence du Big Bang. Par ailleurs, les calculs basés sur cette théorie semblent correspondre plus étroitement aux observations de l’univers que le modèle cosmologique standard. Cela suggère que la fusion avec d’autres univers pourrait fournir une explication plus plausible de l’expansion actuelle. Une possible explication à l’inflation cosmique La théorie aborde également l’inflation cosmique, un concept clé en cosmologie qui postule une expansion extrêmement rapide de l’univers dans les premiers instants après le Big Bang. Pendant la période d’inflation, le cosmos aurait en effet connu un taux d’expansion environ 10^26 à 10^30 fois plus rapide que l’expansion actuelle. Cette phase d’inflation cosmologique aurait également duré brièvement, probablement de 10^-36 à 10^-32 secondes après le Big Bang. Cette phase d’expansion intense, qui se serait finalement diluée pour donner lieu à l’expansion plus lente que nous observons aujourd’hui, résout certains problèmes et explique certaines observations, comme l’homogénéité et l’isotropie de l’univers observable. Dans le cadre de la nouvelle théorie, les chercheurs suggèrent une alternative à l’inflation en reliant l’inflation cosmologique à l’absorption de notre jeune univers par un univers plus grand. Selon cette idée, l’expansion ultra-rapide dans les premières millisecondes pourrait donc résulter de cette absorption plutôt que de l’action d’un champ d’inflation. Bien que la théorie résolve certains problèmes conceptuels, les chercheurs soulignent que seule la validation expérimentale à travers des observations pourra confirmer ou infirmer leur hypothèse. Les instruments comme le télescope Euclide et le télescope spatial James Webb sont mentionnés comme des moyens potentiels de tester ces idées. Une civilisation de type I est capable d'accéder à l'intégralité de l'énergie disponible sur sa planète et de la stocker en vue d'une consommation. Une civilisation de type II peut consommer directement l'énergie d'une étoile. Une civilisation de type II va un peu plus loin. Elle est capable de construire l'une de ces fameuses « sphères de Dyson » qui lui permettrait de consommer la totalité de l'énergie produite par son étoile. Une civilisation de type III, enfin, serait capable de faire de même avec toutes les étoiles de sa galaxie. Ces civilisations de types IV , V voire VI seraient capables de manipuler les structures cosmiques (galaxies, amas galactiques, superamas) et même d'échapper au Big Crunch par des trous dans l'espace. Après avoir acquis la maitrise de l'énergie disponible dans l'univers, une civilisation de type cinq correspond à une civilisation qui a découvert le moyen de voyager vers d'autres univers et de tirer parti de la puissance de multiples univers. Type VI : le niveau énergétique de plusieurs univers additionnés s'établit aux environs de 1066 W, dans le prolongement des niveaux inférieurs. cette civilisation pourrait abandonner un univers mourant et devenir éternelle ; des civilisations moins avancées en aurait également la possibilité. Type VII : déité capable de créer des univers à volonté, et de les utiliser comme sources énergétiques. Leur puissance énergétique est virtuellement infinie, seulement limitée par le nombre et la taille des univers créés et s'élèverait à la hauteur vertigineuse de 1076 ou même 10100 W. Ce type de civilisation serait vraisemblablement immortelle, car la création d'univers nécessite que la civilisation soit extérieure aux univers créés.🌏🌎🌍🌠🌠🌠🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌐🌐🌐🌐👽👽👽👽👽👽👽👽
J’ai mon frère décédé aujourd’hui qui a travaillé sur cette mission quand il travaillait à la NAZA comme docteur en mathématiques il serait bien content d’avoir les résultats finales ❤
Chaque univers-bulle ainsi créé serait différent des autres : les masses des particules élémentaires, l'intensité des interactions, le taux d'expansion auraient des valeurs chaque fois nouvelles, de sorte que tous les possibles en termes de paramètres physiques pourraient se réaliser.
Nom d'un chien, ils ont eu leur stage sur les contaminations dans une pochette surprise, il manque la moitié de leurs EPI, autant dire que leur accoutrement ne sert à rien. Et les mecs sont au CNRS?!? Le moindre troufion en agroalimentaire , dont je faisais parti, sait que leur tenue n'est pas complète.
Oui c’est vrai qu’ils n’ont pas toutes les EPI, mais au CNRS ils étudient la composition chimique interne des roches. L’étape de polissage sert à accéder à l’intérieur de la matière pour être observée au microscope électronique. En revanche à la NASA ils veulent savoir s’il y a de la matière organique en surface, d’où de plus grandes précautions. Des fois on croit tout savoir, mais en fait on ne connaît qu’une partie de l’histoire …
Quand je pense qu’ils ont mis des mois pour ouvrir la capsule pour pas contaminer l’échantillon Et qu’ils le condidtionnent avec les vieilles pinces action/office depot au choix 100mg c’est pas mal du tout, c’est largement visible a l’oeil nu et de quoi faire plusieurs centaines de test sans tout consomer Magnifique reportage qui rendrait presque nos amis les geologues « virils » 😂
Oui ....oui ....c'est celà 😏 désolé mais là.!!!? .je suis cartésien et mon président me prend pour un con .tant !!! , que j'en ..prendrai pas une sur la tronche je ne croirait pas aux astéroïdes 🤣🤣🤣😗 essayer pas de me la faire à l'envers ( je plaisante ) 😁..ça vas ?
sommes nous certains que la poussière récupérée par le cnrs n'ai pas été substituée par des cailloux provenant de l'allée de jardin d'un américain comme ils l'avaient fait pour les soient disantes "roches lunaires" offertes à plusieurs musées et qui au final se sont avérées être de vulgaires cailloux venant de la Terre !
Merci pour ce reportage. Belle enquête sur notre système solaire. J’adore le fait de mettre de côté des échantillons pour les générations futures avec leurs nouvelles techniques et technologies. 👏🏼
Toujours aussi intéressant .
Un cristal temporel utilisé avec succès pour stabiliser les calculs d’un ordinateur quantique
Pour la première fois, l’intégration d’un cristal temporel dans un ordinateur quantique a permis de stabiliser l’état quantique des qubits dans le cadre d’une récente expérience. Inspiré par le célèbre paradoxe du chat de Schrödinger, le système utilise des séquences de micro-ondes pour former un cristal temporel filtrant les fluctuations et les perturbations externes qui pourraient autrement détruire l’enchevêtrement quantique.
La stabilisation des états quantiques représente un défi majeur pour l’essor de l’informatique quantique, une technologie prometteuse qui pourrait révolutionner le traitement de l’information. Récemment, une équipe de chercheurs de l’Université de l’Académie des sciences de Chine a franchi une étape significative dans ce domaine.
Le travail, publié sur la plateforme de pré-impression arXiv, démontre l’utilisation d’un cristal temporel en tant que « bouton de contrôle » pour stabiliser un état quantique fragile, inspiré par le célèbre paradoxe du chat de Schrödinger. En utilisant des séquences micro-ondes pour former le cristal temporel, le système protège ainsi l’état quantique des qubits contre les perturbations.
La naissance des cristaux temporels
L’idée des cristaux temporels a été introduite par Frank Wilczek en 2012. En proposant l’existence d’un état de la matière qui oscille de manière périodique sans consommation d’énergie externe, Wilczek a remis en question des principes fondamentaux. Cette oscillation, qui en réalité n’est pas perpétuelle (interdit par les lois de la physique), défie tout de même l’intuition première sur l’équilibre thermodynamique et la conservation de l’énergie. Initialement accueillie avec scepticisme, la théorie a gagné en crédibilité à mesure que des expériences ont confirmé la possibilité de créer de tels états, transformant une curiosité théorique en une réalité expérimentale. Contrairement à ce que suggérait Wilczek cependant, un cristal temporel nécessite bel et bien un apport d’énergie externe.
Le récent exploit du physicien Biao Huang et de son équipe a permis de franchir une étape supplémentaire en matérialisant ce concept dans le domaine de l’informatique quantique. En intégrant un cristal temporel discret au cœur d’un ordinateur quantique, ils ont non seulement démontré la faisabilité de ces états dans un système strict, mais leur ont aussi trouvé une application pratique concrète. Le cristal temporel agit comme un régulateur, ou un « bouton de contrôle », qui maintient les qubits dans un état de fluctuation temporelle contrôlée. Cette stabilité des états quantiques est essentielle pour le calcul et la communication quantiques.
Le défi de la stabilisation d’un état quantique fragile
Les qubits, unités de base de l’information dans un ordinateur quantique (à l’instar des bits dans un ordinateur classique), peuvent exister dans des superpositions d’états, c’est-à-dire être dans les états 1 et 0 simultanément, contrairement aux bits classiques qui sont limités à un état fixe à tout moment (0 ou 1). Lorsque ces qubits sont arrangés dans un état GHZ (Greenberger-Horne-Zeilinger), ils manifestent un enchevêtrement quantique à un niveau profond, signifiant que l’état de chaque qubit est intrinsèquement lié à l’état des autres, peu importe la distance qui les sépare. Cependant, cet enchevêtrement, bien qu’offrant des possibilités extraordinaires pour le calcul quantique, rend l’état GHZ extrêmement sensible aux perturbations environnementales. Cette sensibilité augmente avec le nombre de qubits impliqués, posant un défi majeur pour la réalisation d’états GHZ stables et exploitables dans des applications pratiques.
Face à cette vulnérabilité, l’innovation apportée par l’utilisation d’un cristal temporel représente une solution ingénieuse. En exposant les qubits à une séquence spécifiquement établie de pulsations micro-ondes, les chercheurs ont pu induire une oscillation temporelle régulière des états quantiques, caractéristique d’un cristal temporel. Cette méthode a permis de créer un environnement stable, agissant comme un « abri » pour l’état GHZ. Autrement dit, le cristal temporel filtre les fluctuations et les perturbations externes qui pourraient autrement détruire l’enchevêtrement quantique.🌏🌎🌍🌠🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌐🌐🌐🌐👽👽👽👽👽
L'échelle de Kardashev Six types de civilisations Type I Type Il Capable de Capable de contrôler la totalité de l'énergie de son étoile hôte l'énergie à l'échelle et voyage à travers l'énergie solaire de sa planète et le système solaire de son ensemble galaxie hôte. @science_for_my_servants TypelV Capable d'utiliser l'énergie à l'échelle de l'univers. (Créer des galaxies, manipuler l'espace-temps) Civilisation qui existe au-delà du temps et de l'espace, ou dans des dimensions supérieures. (Crée et détruit les multivers) TypeV. Capable d'utiliser l'énergie à l'échelle du multivers (voyager vers des univers parallèles et simuler des univers)
Le télescope spatial James Webb découvre par erreur une galaxie qui ne devrait pas exister
La découverte d'une galaxie naine, nommée PEARLSDG, par une équipe d'astronomes dirigée par Tim Carleton de l'Université d'État de l'Arizona, remet en question nos connaissances sur l'évolution des galaxies. Observée grâce au Télescope Spatial James Webb (JWST), cette galaxie se distingue par son absence de formation stellaire et son isolement, défiant ainsi les théories actuelles.
Les galaxies naines, souvent définies par leur petite taille et leur faible luminosité, sont parmi les objets les plus abondants de l'Univers. PEARLSDG, cependant, présente des caractéristiques inattendues pour une galaxie de ce type: elle ne forme pas de nouvelles étoiles et ne semble pas interagir avec d'autres galaxies voisines. Ce profil est atypique pour une galaxie naine, qui, lorsqu'elle est isolée, continue généralement de former de jeunes étoiles.
PEARLSDG est identifiée en cyan, et les carrés verts montrent la zone couverte par l'imagerie NIRCam. Deux des galaxies massives les plus proches (en projection) sont identifiées par des cercles rouges.
Crédit: The Astrophysical Journal Letters (2024).
La découverte a été faite dans le cadre du projet JWST Prime Extragalactic Areas for Reionization and Lensing Science (PEARLS), bien que PEARLSDG ne fût pas l'objectif principal des observations. C'est l'analyse des images prises par la caméra Near-InfraRed (NIRCam) du JWST qui a permis de mettre en évidence cette galaxie naine éloignée. La résolution et la sensibilité élevées de NIRCam ont rendu possible l'identification des étoiles individuelles au sein de PEARLSDG, offrant ainsi une précieuse information sur la distance de la galaxie, estimée à 98 millions d'années-lumière.
L'absence de signature de formation stellaire récente, typique des nouvelles étoiles, ainsi que l'analyse spectrométrique réalisée avec le spectrographe DeVeney sur le télescope Lowell Discovery à Flagstaff, en Arizona, confirment l'état de stase de PEARLSDG. Ces observations sont complétées par des données d'archives en ultraviolet, optique et infrarouge, provenant notamment des télescopes spatiaux Galex et Spitzer, ainsi que du Sloan Digital Sky Survey et du Dark Energy Camera Legacy Survey.
Cette découverte remet en cause la compréhension actuelle de l'évolution des galaxies, suggérant l'existence d'autres galaxies naines isolées et quiescentes qui restent à découvrir. Le JWST, avec ses instruments avancés, joue un rôle clé dans cette quête, ouvrant de nouvelles perspectives sur la formation et l'évolution des galaxies dans l'Univers.🌏🌎🌍🌠🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌐🌐🌐🌐👽👽👽👽
Une étude suggère que le cosmos fusionne avec des « bébés univers » parallèles
Un article récent aborde une nouvelle théorie sur l’expansion de l’univers. Elle postule qu’elle pourrait non pas être le résultat de l’énergie noire, mais de la fusion constante de notre cosmos avec des « bébés » univers parallèles. Explications.
Le problème de l’énergie noire
Selon le modèle cosmologique standard, l’expansion accélérée de l’univers est attribuée à l’existence de l’énergie noire. Cette substance mystérieuse aurait une pression négative, ce qui provoquerait une force répulsive, s’opposant à la gravité et contribuant ainsi à l’expansion continue du cosmos.
L’énergie noire n’a cependant jamais été directement observée ni mesurée en laboratoire. Son existence est postulée pour expliquer les observations cosmologiques, mais son invisibilité pose forcément un défi conceptuel.
Au cours de ces dernières années, certains astrophysiciens et cosmologistes ont ainsi remis en question l’idée même de l’énergie noire en explorant des alternatives. Des théories modifiées de la gravité, telles que la modification de la relativité générale, ont notamment été proposées comme substituts potentiels, bien que tout cela reste théorique
Une nouvelle théorie
Une étude récente propose une autre approche théorique en suggérant que l’expansion accélérée pourrait être expliquée par la fusion constante avec d’autres univers parallèles, que les scientifiques qualifient de « bébés » univers.
Cette théorie se base sur des calculs mathématiques. Dans leur article, les chercheurs affirment que la fusion avec d’autres univers augmenterait le volume de notre univers. Cette augmentation de volume pourrait être perçue comme une expansion du cosmos, ce qui correspondrait aux observations du fond diffus cosmologique, la rémanence du Big Bang.
Par ailleurs, les calculs basés sur cette théorie semblent correspondre plus étroitement aux observations de l’univers que le modèle cosmologique standard. Cela suggère que la fusion avec d’autres univers pourrait fournir une explication plus plausible de l’expansion actuelle.
Une possible explication à l’inflation cosmique
La théorie aborde également l’inflation cosmique, un concept clé en cosmologie qui postule une expansion extrêmement rapide de l’univers dans les premiers instants après le Big Bang.
Pendant la période d’inflation, le cosmos aurait en effet connu un taux d’expansion environ 10^26 à 10^30 fois plus rapide que l’expansion actuelle. Cette phase d’inflation cosmologique aurait également duré brièvement, probablement de 10^-36 à 10^-32 secondes après le Big Bang.
Cette phase d’expansion intense, qui se serait finalement diluée pour donner lieu à l’expansion plus lente que nous observons aujourd’hui, résout certains problèmes et explique certaines observations, comme l’homogénéité et l’isotropie de l’univers observable.
Dans le cadre de la nouvelle théorie, les chercheurs suggèrent une alternative à l’inflation en reliant l’inflation cosmologique à l’absorption de notre jeune univers par un univers plus grand. Selon cette idée, l’expansion ultra-rapide dans les premières millisecondes pourrait donc résulter de cette absorption plutôt que de l’action d’un champ d’inflation.
Bien que la théorie résolve certains problèmes conceptuels, les chercheurs soulignent que seule la validation expérimentale à travers des observations pourra confirmer ou infirmer leur hypothèse. Les instruments comme le télescope Euclide et le télescope spatial James Webb sont mentionnés comme des moyens potentiels de tester ces idées.
Une civilisation de type I est capable d'accéder à l'intégralité de l'énergie disponible sur sa planète et de la stocker en vue d'une consommation. Une civilisation de type II peut consommer directement l'énergie d'une étoile.
Une civilisation de type II va un peu plus loin. Elle est capable de construire l'une de ces fameuses « sphères de Dyson » qui lui permettrait de consommer la totalité de l'énergie produite par son étoile. Une civilisation de type III, enfin, serait capable de faire de même avec toutes les étoiles de sa galaxie.
Ces civilisations de types IV , V voire VI seraient capables de manipuler les structures cosmiques (galaxies, amas galactiques, superamas) et même d'échapper au Big Crunch par des trous dans l'espace.
Après avoir acquis la maitrise de l'énergie disponible dans l'univers, une civilisation de type cinq correspond à une civilisation qui a découvert le moyen de voyager vers d'autres univers et de tirer parti de la puissance de multiples univers.
Type VI : le niveau énergétique de plusieurs univers additionnés s'établit aux environs de 1066 W, dans le prolongement des niveaux inférieurs. cette civilisation pourrait abandonner un univers mourant et devenir éternelle ; des civilisations moins avancées en aurait également la possibilité.
Type VII : déité capable de créer des univers à volonté, et de les utiliser comme sources énergétiques. Leur puissance énergétique est virtuellement infinie, seulement limitée par le nombre et la taille des univers créés et s'élèverait à la hauteur vertigineuse de 1076 ou même 10100 W. Ce type de civilisation serait vraisemblablement immortelle, car la création d'univers nécessite que la civilisation soit extérieure aux univers créés.🌏🌎🌍🌠🌠🌠🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌐🌐🌐🌐👽👽👽👽👽👽👽👽
Excellent cette vidéo imagée et détaillé de cette mission, merci.
Superbe, merci!
J’ai mon frère décédé aujourd’hui qui a travaillé sur cette mission quand il travaillait à la NAZA comme docteur en mathématiques il serait bien content d’avoir les résultats finales ❤
Waouh !! Qt'on sait d'où viennent ces cailloux c'est un voyage mental 😮
Bizarre de voir qu'ils ne sont pas masqués.
C'est exactement ce que je me suis dit, c'est parfait pour une contamination des échantillons et trouver des trucs qui devrait pas y être.
Chaque univers-bulle ainsi créé serait différent des autres : les masses des particules élémentaires, l'intensité des interactions, le taux d'expansion auraient des valeurs chaque fois nouvelles, de sorte que tous les possibles en termes de paramètres physiques pourraient se réaliser.
Mais il n'y a rien. De quelle découverte s'agit-il ?
On avance 'l essentielles ''c est que se. Soit 'dans 'les mains de Gens. Bien...🔴👌
Nom d'un chien, ils ont eu leur stage sur les contaminations dans une pochette surprise, il manque la moitié de leurs EPI, autant dire que leur accoutrement ne sert à rien. Et les mecs sont au CNRS?!? Le moindre troufion en agroalimentaire , dont je faisais parti, sait que leur tenue n'est pas complète.
Oui c’est vrai qu’ils n’ont pas toutes les EPI, mais au CNRS ils étudient la composition chimique interne des roches. L’étape de polissage sert à accéder à l’intérieur de la matière pour être observée au microscope électronique.
En revanche à la NASA ils veulent savoir s’il y a de la matière organique en surface, d’où de plus grandes précautions.
Des fois on croit tout savoir, mais en fait on ne connaît qu’une partie de l’histoire …
Quand je pense qu’ils ont mis des mois pour ouvrir la capsule pour pas contaminer l’échantillon
Et qu’ils le condidtionnent avec les vieilles pinces action/office depot au choix
100mg c’est pas mal du tout, c’est largement visible a l’oeil nu et de quoi faire plusieurs centaines de test sans tout consomer
Magnifique reportage qui rendrait presque nos amis les geologues « virils » 😂
Super vidéo 😊
Un trésor en france pas possible, faut pas le dire ou le fisc va venir vous le prendre pour le donner aux étrangers...
Du vibranium….y sont trouvé du vibranium
Fa-sci-nant
Oui ....oui ....c'est celà 😏 désolé mais là.!!!? .je suis cartésien et mon président me prend pour un con .tant !!! , que j'en ..prendrai pas une sur la tronche je ne croirait pas aux astéroïdes 🤣🤣🤣😗 essayer pas de me la faire à l'envers ( je plaisante ) 😁..ça vas ?
sommes nous certains que la poussière récupérée par le cnrs n'ai pas été substituée par des cailloux provenant de l'allée de jardin d'un américain comme ils l'avaient fait pour les soient disantes "roches lunaires" offertes à plusieurs musées et qui au final se sont avérées être de vulgaires cailloux venant de la Terre !
Quels clowns