Faut pas trop rêver... Il n'y a pas de travail régulier pour les facteurs d'orgues, à part l'entretien (c'est palpitant de faire des kilomètres pour aller accorder trois trompettes tous les six mois, et on fait vite fortune à 2€ le litre de carburant). Il y a en ce moment quelques reconstructions d'orgues importantes commandées par l'état, mais elle sont réservées aux deux ou trois entreprises établies depuis longtemps et possédant de solides références. Un jeune ne peut donc pas débuter dans ce métier. J'ai formé deux apprentis qui ont été diplômés, mais à l'heure actuelle aucun des deux n'est resté dans le métier, incertain et peu estimé. Il y avait 200 manufactures d'orgues en 1980, il en reste moins de 60 et la plupart des chefs d'entreprise ont largement l'âge de la retraite.
Faut pas trop rêver... Il n'y a pas de travail régulier pour les facteurs d'orgues, à part l'entretien (c'est palpitant de faire des kilomètres pour aller accorder trois trompettes tous les six mois, et on fait vite fortune à 2€ le litre de carburant). Il y a en ce moment quelques reconstructions d'orgues importantes commandées par l'état, mais elle sont réservées aux deux ou trois entreprises établies depuis longtemps et possédant de solides références. Un jeune ne peut donc pas débuter dans ce métier. J'ai formé deux apprentis qui ont été diplômés, mais à l'heure actuelle aucun des deux n'est resté dans le métier, incertain et peu estimé. Il y avait 200 manufactures d'orgues en 1980, il en reste moins de 60 et la plupart des chefs d'entreprise ont largement l'âge de la retraite.
Ici à Toulouse il y a que 2 facteurs pour la région et ils ont pas mal de travail
Alléluia🙏
En français, cela aura plus de chance de toucher un maximum de candidats. Pas avec votre patois. Dommage.
Cette langue ressemble étrangement au breton.