FOUND IT! Right after I left the last comment, I went and looked it up, but this time using another tool that hadn't existed before. Years of Shazam and its alternatives turned up nothing, but my Google Pixel's native 'Now Listening' feature gave the answer. The track is: 🔸BertycoX - Sleepwalker🔸
C'est drôle, on ne parle jamais des tractations économiques (et politiques) entre Disney USA et l'Etat français à l'époque... D'ailleurs le titre est faux (et la musique pénible), le "making" n'a pas pu commencer en 1992, puisque le parc a ouvert en mars. Trois mois pour faire ça ? Allons... Le contribuable a payé (entre autres) : les routes et les infrastructures de service, la prolongation du RER A, la gare RER SNCF. Ils ont eu le terrain pour quelques baguettes de pain, et une TVA préférentielle sur le billet d'entrée. Eurodisney n'existe plus dans son appellation juridique, mais cela reste inscrit en bas des tickets de caisse. L'Europe étant devenue terriblement ringarde, et il a fallu traverser une période de disette de la fin des années 1990 au milieu des années 2000. L'ouverture de Disney Studios a relancé un certain intérêt. Ils sont terribles, ces américains. Car contrairement à ce qu'on pourrait croire, DLRP est resté longtemps un consortium européen, un peu comme un franchisé Mac Donald's ou Leader Price, en tramant des mécènes, des sponsors, qui finirent par lâcher, faute de récupérer argent et publicité avérée. De plus, des erreurs de jugement (la foule se déplacerait de partout, les franciliens y passeraient tous leurs week-end en y dépensant des fortunes, en restauration et en bricoles Disney. Mais l'étranger européen bouda longtemps le parc, et le francilien repartit en week-end dans sa maison de campagne. L'absence de nouveauté et des tarifs exorbitants provoquèrent des arrangements financiers et bancaires à plusieurs reprises, sans sauvetage avéré, la maison mère se contentant d'encaisser son pourcentage et ses licences. Au point qu'ayant tout essayé, une menace de redressement ou de dépôt de bilan obligea la maison mère à réagir : inconcevable de reconnaître un tel échec en ayant fait preuve d'autant d'indifférence, se contentant de récupérer sa commission... Un parc Disney qui fermerait, ce serait la honte, la déchéance au dernier stade d'un symbole universel.
Кино
And what music is from the cars race rally promo video?
Disney land is vury coool
wat leuk 😁😃🏰 maar wel⏰
The bad thing is I wanna Lightning and mater was built in this ride?
What is the name of the first background music??
I too have had that question for years and years now, lol.
FOUND IT! Right after I left the last comment, I went and looked it up, but this time using another tool that hadn't existed before. Years of Shazam and its alternatives turned up nothing, but my Google Pixel's native 'Now Listening' feature gave the answer. The track is:
🔸BertycoX - Sleepwalker🔸
What is the name of the song op 10:14
Luek om so te zien
Ratatouille !
55" landscap good jobs....;)
amboneer of my kanaal
C'est drôle, on ne parle jamais des tractations économiques (et politiques) entre Disney USA et l'Etat français à l'époque... D'ailleurs le titre est faux (et la musique pénible), le "making" n'a pas pu commencer en 1992, puisque le parc a ouvert en mars. Trois mois pour faire ça ? Allons... Le contribuable a payé (entre autres) : les routes et les infrastructures de service, la prolongation du RER A, la gare RER SNCF. Ils ont eu le terrain pour quelques baguettes de pain, et une TVA préférentielle sur le billet d'entrée.
Eurodisney n'existe plus dans son appellation juridique, mais cela reste inscrit en bas des tickets de caisse. L'Europe étant devenue terriblement ringarde, et il a fallu traverser une période de disette de la fin des années 1990 au milieu des années 2000. L'ouverture de Disney Studios a relancé un certain intérêt.
Ils sont terribles, ces américains. Car contrairement à ce qu'on pourrait croire, DLRP est resté longtemps un consortium européen, un peu comme un franchisé Mac Donald's ou Leader Price, en tramant des mécènes, des sponsors, qui finirent par lâcher, faute de récupérer argent et publicité avérée. De plus, des erreurs de jugement (la foule se déplacerait de partout, les franciliens y passeraient tous leurs week-end en y dépensant des fortunes, en restauration et en bricoles Disney.
Mais l'étranger européen bouda longtemps le parc, et le francilien repartit en week-end dans sa maison de campagne. L'absence de nouveauté et des tarifs exorbitants provoquèrent des arrangements financiers et bancaires à plusieurs reprises, sans sauvetage avéré, la maison mère se contentant d'encaisser son pourcentage et ses licences.
Au point qu'ayant tout essayé, une menace de redressement ou de dépôt de bilan obligea la maison mère à réagir : inconcevable de reconnaître un tel échec en ayant fait preuve d'autant d'indifférence, se contentant de récupérer sa commission... Un parc Disney qui fermerait, ce serait la honte, la déchéance au dernier stade d'un symbole universel.