Pourquoi Nietzsche et Spinoza ont tort ?
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- Опубликовано: 17 янв 2021
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Le Rav Oury Cherki est originaire d'Algérie. Après avoir grandi en France, il monte en Israël en 1973 où il étudie auprès du Rav Tsvi Yéhouda Hakohen Kook זצ"ל et de ses élèves, auprès du Rav Achkenazi (Manitou), ainsi qu'auprès du Rav Binyamin Achlag.
il est aujourd'hui le directeur de la section Israélienne du Mahon Meir. Il enseigne également au Technion de Haïfa, à "Roch Yéhoudi", et dispense de nombreux cours dans tout le pays à divers publics. Il est parallèlement le Rav de la communauté francophone "Beit Yéhouda" à Kiryat-Moché (Jerusalem).
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Magnifique vous ouvrez des voies. Merci.
j'aime beau coup votre façon de penser, d'exposer, de raisonner cher Rav. Tout ceci est lumineux; je vous remercie beaucoup.
Merci
Rien nexiste que l'unité
Le sujet est très interessant et vous le traitez avec brio. Cependant à 10:30 vous dites que la définition de Dieu selon Spinoza - à savoir "Dieu, c'est-à-dire, la nature" - l'emprisonnerait dans ses propres lois, or ces lois sont la nature-même. En d'autres termes, Dieu est la nature mais aussi les lois qui la régissent. Il est le régisseur et le régit, le créateur et la créature, la connaissance de la chose en soi et son expérience. Séparer l'un de l'autre serait faire erreur.
De plus, selon Spinoza, la liberté est la capacité d'une personne à agir adéquatement à sa nature propre, et Dieu, qui est lui-même la nature et ses lois, n'a d'autres choix que d'agir ainsi. En d'autres termes, Dieu ne peut-être qu'absolument libre; le contraire est contradictoire, car cela supposerait que la nature pourrait agir autrement que la nature agirait; or si la nature agit, elle agit nécessairement comme elle agirait, selon les lois qui la régissent, c'est-a-dire selon sa nature propre.
non, la nature n'est qu'une facette de l'expression du divin. d'ailleurs, si je ne me trompe pas un des attributs de D.ieu est Elokhim qui signifie aussi la nature.
Je ne parle que de la définition de Spinoza ce qui est le sujet de cette vidéo. Je ne suis pas entrain de débattre la nature de Dieu, seulement la définition que Spinoza a donné à Dieu.@@yonizerbib9934
ce que Spinoza dit concernant la nature n est pas du tout votre interpretation, Dieu est l essence de tout ce qui est , parfait et infini, je ne vois pas de probleme dans cette logique spinozienne
Il faut que les élèves aient une réponse à leurs questions sinon le cours ne sert à rien
La jalousie vis à vis de Dieu, ne m'a jamais effleuré de ma vie. Elle révèle pour moi, la folie de Nietzsche.
« Tout être est inclus en un seul point »
Créatures inclues
Dans l'Infini Divin
Dans son harmonie
Qui réapparaitra
Dans sa pureté
Homme aveuglé
Par le détail
Qui n'est pas D.ieu
Mais s'élève
Par sa volonté
Et s'unifie
Au corps du Roi
19:00 Le christianisme et la philosophie comme scories de la conception du divin.
Merci Rav. 🌈💙🇮🇱😊
שלום עליכם
A 19min 30 vous faite allusion a une référence de Nietzsche, au rejet de ce panthéisme pousse, et d'une correct résurrection chez Israël.
Pouvez vous me l'a partager.
Même en privé si vs voulez.
Merci
Pour la rigueur logique du raisonnement, on repassera.
Intéressant ce rapprochement entre la philosophie et la thora.
En Christ se trouve la plenitude de la Sagesse Divine.
Passer la langue de la torah dans la moulinette des traductions, ça donne du pâté au bout. Dieu existe ou Dieu n'existe pas n'a pas de réalité en hébreu ou arabe. Le verbe être c'est venu de estare que l'on peut réduire à l'étyma ST = se tenir c'est à dire le verbe QAM sémite. Le concept du verbe HW להיות en hébreu ne signifie ni existence, ni être (se tenir) : le concept réside dans la simple lettre H (l'échelle selon la qabbal) : c'est ce que l'on a à l'Esprit. Il faut connaitre la différence sémantique entre le Olam (Monde) et Eretz (terre) : le 1er indique ce qui est connaissable, le Olam, ce qui fait Signe et le Eretz est un état de la matière (agglomération). Le Olam est ce que nous percevons, des Signes, et donc il s'agit non de la réalité, mais de Signifiants, l'approche de L'Esprit, l'approche intellectuelle. De ce fait, il n'y a pas de notion intérieur ou extérieur et le concept "existence" est caduque (exister = se tenir à l'extérieur). L'étyma se trouvant dans le verbe latin Estare pourrait bien être d'origine sémitique, langue mère le שט.