Ce sont des coquilles d'élevages qui sont récupérées. Pour l'instant, elles sont jetées dans les lagons ou sur les plages des atolls. Des algues colonisent ces dechets ce qui asphyxie les lagons des atolls polynésiens :)
Justement, cest pour éviter de draguer la barriere de corail que l'on veut utiliser des déchets de coquilles produites localement. Pour l'instant, sur place les habitants draguent le corail pour construire. :)
Ce matériau est destiné aux populations locales dans un cadre public :) les coquilles sont considérés comme des déchets dans ces endroits et ne sont pas réutilisées pour l'instant.
Au contraire ! Ce projet est destiné à des etre utilisé dans des territoire disposant de peut de ressources et qui sont soit obligé d'importer du gravier à 5 jours de bateau, soit de draguer la barriere de corail. Pour eviter ça, on propose d'utiliser des déchets de coquilles qui sont produites par les perliculteurs locaux.
@@MrTemah01 Hooo la team premier degré....comme c'est surprenant.... T'avais pas compris l'ironie dans mon message ? Premier degré et écolo bobo , tu ne trouve pas que ca fait aussi un peu beaucoup ? (Le coup du perliculteur local...HA HA HA )
@@PiatrSunwore ah non, je n'avais pas capté le second degré 😅 ! Je viens de ses iles et je fais parti de ce projet de recherche (public), donc j'avoue qu'il me tiens à coeur :) Et encore une fois au cas ou, le but cest de fournir des materiau de construction pour remplacer le dragage du corail ou le fait de creuser des montagnes.
@@MrTemah01 Mouais....enfin les huitres perlieres, je doute fort que vous en ayez suffisament pour couvrir l'ile de béton... En plus , soit les huitres perlieres (peu de prod) soit les huitres que l'on consomes, mais je vois mal les clients ramener les bouriches d'huitres vides...
@@PiatrSunwore en effet, c'est une des problématiques. Pour l'instant, l'idée, cest de multiplier les sources d'agrégats alternatif. Et en ce moment en Polynésie, il y a pas mal de developpement dans le secteur perléicole. Les stocks restes certes petits face au besoins des iles mères. Mais dans les petits atolls ou sont concentrés les cultures des huitres, ça peut etre un reel atout. Dans tout les cas, en tant que chercheur, on propose une solution alternative. Ensuite, au territoire/region de se l'approprier. Par exemple je sais que des collectes sont de plus en plus organisés du coté d'Arcachon. Et en Polynésie, une entreprise qui aura pour but de centraliser la recoltes des rebus de coquille et leur broyage est en train de naitre.
les gens sont un peu fatigués du technosolutionnisme, pour 100 projets présentés un très faible pourcentage fini par être industrialisé, et quelques années plus tard on se rend compte que la l'intérêt n'est pas à la hauteur des attentes
@@bbbenj ça change que dans tout les cas ce "massacre énorme" existe deja indépendamment de ces actions de recherches sur des nouveaux matériaux. Ce "massacre énorme" fait vivre plusieurs familles locales et permet une économie circulaire. Cest la principale ressource économique de la polynésie française apres le tourisme. Ici le but, ce n'est pas d'aller creer de nouveux sites de peche ou d'elevage, absolument pas. Le but, cest de s'adapter à une économie deja existante. Grace à ses recherche, les habitants des iles isolées productrices d'huitre perlières auront un matériau à disposition. Car malheureusement pour l'instant, leur seuls moyen de construire leur infrastructures vitales est d'importer des graviers creusés dans les montagnes des iles hautes à plus de 5 jours de bateau, ou de creuser la barieere de corail pour en faire des agrégats :)
Ça fonctionne avec les coquilles de moules ?
Il faudrait essayer !
Les écosystèmes on besoins de ces coquilles....
Ce sont des coquilles d'élevages qui sont récupérées. Pour l'instant, elles sont jetées dans les lagons ou sur les plages des atolls. Des algues colonisent ces dechets ce qui asphyxie les lagons des atolls polynésiens :)
dragons les barrières de corail pour faire du béton, c ca...
Justement, cest pour éviter de draguer la barriere de corail que l'on veut utiliser des déchets de coquilles produites localement. Pour l'instant, sur place les habitants draguent le corail pour construire. :)
c'est bien connu, ceux qui ont les moyens de s'acheter des huitres font aussi leur propre béton
Ce matériau est destiné aux populations locales dans un cadre public :) les coquilles sont considérés comme des déchets dans ces endroits et ne sont pas réutilisées pour l'instant.
Enfin les riches vont pouvoir affirmer bosser dans le batiment...ha ha ha
Au contraire ! Ce projet est destiné à des etre utilisé dans des territoire disposant de peut de ressources et qui sont soit obligé d'importer du gravier à 5 jours de bateau, soit de draguer la barriere de corail. Pour eviter ça, on propose d'utiliser des déchets de coquilles qui sont produites par les perliculteurs locaux.
@@MrTemah01 Hooo la team premier degré....comme c'est surprenant....
T'avais pas compris l'ironie dans mon message ?
Premier degré et écolo bobo , tu ne trouve pas que ca fait aussi un peu beaucoup ? (Le coup du perliculteur local...HA HA HA )
@@PiatrSunwore ah non, je n'avais pas capté le second degré 😅 ! Je viens de ses iles et je fais parti de ce projet de recherche (public), donc j'avoue qu'il me tiens à coeur :)
Et encore une fois au cas ou, le but cest de fournir des materiau de construction pour remplacer le dragage du corail ou le fait de creuser des montagnes.
@@MrTemah01
Mouais....enfin les huitres perlieres, je doute fort que vous en ayez suffisament pour couvrir l'ile de béton...
En plus , soit les huitres perlieres (peu de prod) soit les huitres que l'on consomes, mais je vois mal les clients ramener les bouriches d'huitres vides...
@@PiatrSunwore en effet, c'est une des problématiques. Pour l'instant, l'idée, cest de multiplier les sources d'agrégats alternatif. Et en ce moment en Polynésie, il y a pas mal de developpement dans le secteur perléicole. Les stocks restes certes petits face au besoins des iles mères. Mais dans les petits atolls ou sont concentrés les cultures des huitres, ça peut etre un reel atout. Dans tout les cas, en tant que chercheur, on propose une solution alternative. Ensuite, au territoire/region de se l'approprier. Par exemple je sais que des collectes sont de plus en plus organisés du coté d'Arcachon. Et en Polynésie, une entreprise qui aura pour but de centraliser la recoltes des rebus de coquille et leur broyage est en train de naitre.
Quand je vois le peu de vue de vos vidéos ca me fait peur .
les gens sont un peu fatigués du technosolutionnisme, pour 100 projets présentés un très faible pourcentage fini par être industrialisé, et quelques années plus tard on se rend compte que la l'intérêt n'est pas à la hauteur des attentes
@@arrakis-236 c'est vrai mais ca n'empêche pas de regarder par curiosité .
Je préférerais largement qu'on foute la paix à tous ces coquillages... 😭
Ce sont des coquilles d'huitres cultivées par des perliculteurs locaux qui sont vouées à etre jetées, et non des animaux sauvages ! :)
@@MrTemah01 et ça change quoi ? C'est toujours un massacre énorme.
@@bbbenj ça change que dans tout les cas ce "massacre énorme" existe deja indépendamment de ces actions de recherches sur des nouveaux matériaux. Ce "massacre énorme" fait vivre plusieurs familles locales et permet une économie circulaire. Cest la principale ressource économique de la polynésie française apres le tourisme. Ici le but, ce n'est pas d'aller creer de nouveux sites de peche ou d'elevage, absolument pas. Le but, cest de s'adapter à une économie deja existante. Grace à ses recherche, les habitants des iles isolées productrices d'huitre perlières auront un matériau à disposition. Car malheureusement pour l'instant, leur seuls moyen de construire leur infrastructures vitales est d'importer des graviers creusés dans les montagnes des iles hautes à plus de 5 jours de bateau, ou de creuser la barieere de corail pour en faire des agrégats :)
@@MrTemah01 d'où mon souhait qu'on foute la paix à tous ces coquillages.
Vraiment? Draguer la barrière de corail? C'est tout sauf une solution durable ça!