[EXTRAIT] LES CONTES D'HOFFMANN by Jacques Offenbach - Légende de Kleinzack (Benjamin Bernheim)
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- Опубликовано: 10 фев 2025
- Découvrez "Les Contes d'Hoffmann" de Jacques Offenbach, du 30 novembre au 27 décembre 2023 à l'Opéra Bastille : www.operadepar...
Dans une taverne, le poète Hoffmann, qui vient d’entendre chanter la diva Stella, raconte avant de la rejoindre l’histoire des trois femmes qu’il a aimées : Olympia, Antonia et Giulietta, trois amours contrecarrées par un mauvais génie, Lindorf. Sa passion pour Stella connaîtra-t-elle le même sort ?
Avec cet opéra fantastique qui puise dans l’imaginaire de l’écrivain Ernst Theodor Amadeus Hoffmann, Jacques Offenbach espère démontrer qu’il n’est pas qu’un compositeur d’œuvres légères. Même inachevée en raison de sa mort en 1880, la partition constitue un magnifique chant du cygne et regorge de pages célèbres comme la Barcarolle ou l’air de la Poupée. Robert Carsen, qui aime à représenter le théâtre dans le théâtre, plonge le spectateur dans l’univers d’un Opéra, de la scène aux coulisses, et questionne, par cette mise en abyme vertigineuse, les notions d’anti-héros et d’idéal féminin.
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In a tavern, the poet Hoffmann, who has just heard the diva Stella sing, tells the story of the three women he has loved: Olympia, Antonia and Giulietta, three loves thwarted by an evil spirit, Lindorf. Will his passion for Stella suffer the same fate?
With this fantastic opera, drawing on the imagination of the writer E.T.A. Hoffmann, Jacques Offenbach sought to prove that he was more than a composer of lightweight works. Even though it remained unfinished after his death in 1880, the score constitutes a magnificent swan song and abounds with famous passages such as the Barcarolle and the Doll Song. Robert Carsen, always fond of portraying theatre within theatre, plunges the audience into the world of an opera house, from the stage to the wings, as his dizzying mise en abyme questions the notions of the anti-hero and the female ideal.
Magnifique voix et très belle mise en scène.
Jacques Offenbach: Les Contes D’Hoffmann (The Tales of Hoffmann), unfinished though is such a gem.The excerpt is gorgeous, Benjamin Bernheim is dashing, proving once again he is not known only for his beautiful voice but acting as well.
Thank you.
Superbe !
Can’t wait to hear his “Hoffmann” at the end of September at the Met!!!!!
C’est la reprise de la mise en scène formidable de Robert Carsen de 2016. Ça sera intéressant d’entendre Benjamin Bernheim, belle voix et bon acteur, et Pretty Yende dans le rôle d’Olympia. À voir. ❤
Cette mise en scène existe depuis les années 95 !😊
Et elle résiste très bien au temps.
@@catherinecozzano2580on a cru à une nouvelle mise en scène en 2020 mais finalement non, le Covid l’a empeché donc ils ont décidé de garder la mise en scène Carsen
Bon acteur Bernheim faut pas exagérer non plus...
Chef d'oeuvre que cette mise en scène...
@@pierredurant5276 Dans l'interprétation plus que physiquement. Il est encore un peu "timide".
Demain faust. Je suis une dame de 92 ans. J’arrive. De. Toulon. Pour le. Couple pené pati que. J’adore. Pené. Sa voix. Son. Sourire son rire. À. Demain soir !!!❤❤❤❤❤❤
Soudain, une rêverie sur Antonia 1:55
Il était une fois à la cour d'Eisenach
Un petit avorton qui se nommait Kleinzach!
Il était coiffé d'un colbac
Et ses jambes, et ses jambes faisaient clic clac
Clic clac, clic clac, voilà, voilà Kleinzach!
Il avait une bosse en guise d'estomac
Ses pieds ramifiés semblaient sortir d'un sac
Son nez était noir de tabac
Et sa tête, et sa tête faisait cric crac
Cric crac, cric crac, voilà, voilà Kleinzach!
Quant aux traits, aux traits de sa figure
Ah! Sa figure était charmante!
Je la vois, belle, belle comme le jour où courant après elle
Je quittai comme un fou la maison paternelle
Et m'enfuis à travers les vallons et les bois!
Ses cheveux, ses cheveux en torsades sombres
Sur son vol élégant jetaient leurs chaudes ombres
Ses yeux, ses yeux enveloppés d'azur
Promenaient autour d'elle un regard frais et pur
Et, comme notre char emportait sans secousse
Nos cœurs et nos amours, sa voix vibrante et douce
Aux cieux qui l'écoutaient, jetait ce chant vainqueur
Dont l'éternel écho résonne dans mon cœur!
Oh, bizarre cervelle! Qui diable vois-tu là?
Kleinzach? Je parle d'elle
Non! Personne! Rien!
Mon esprit se trouble... Rien!
Et Kleinzach vaut mieux, tout difforme qu'il est!
Quand il avait trop bu de genièvre ou de rack
Il fallait voir flotter les deux pans de son frac
Comme des herbes dans un lac
Et le monstre, le monstre faisait flic flac
Flic flac, flic flac, voilà, voilà Kleinzach!
Für mich hat es nur einen (den)Hoffmann gegeben und das war"Shicoff" !!!!!
Der war in der Tat wunderbar.
Bof...........