Alliance des États du Sahel : prémices du nouveau monde ?
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- Опубликовано: 13 окт 2024
- Entretien avec le Président BANDA KANI sur les Questions Actuelles dans l'Alliance du Sahel.
Le président Banda Kani analyse les dynamiques émergentes au sein de l'Alliance des États du Sahel et leurs implications géopolitiques. La création de la Confédération des États du Sahel marque un tournant majeur en Afrique de l'Ouest, remettant en question des alliances anciennes comme la CEDEAO et réduisant l'influence française dans la région. Ce mouvement s'inscrit dans une renaissance panafricaniste, où des pays comme le Burkina Faso, le Mali et le Niger s'unissent pour défendre leurs intérêts et exploiter leurs ressources de manière souveraine.
L'évolution vers un monde multipolaire, avec des partenariats renforcés avec des puissances telles que la Russie, souligne la nécessité de réformer l'Union africaine pour mieux répondre aux enjeux actuels. Cette Confédération incarne une nouvelle ère de souveraineté et d'autonomie pour les nations africaines, tout en redéfinissant les relations internationales.
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#bandakani #aes #géopolitique
Le président Banda Kani analyse les dynamiques émergentes au sein de l'Alliance des États du Sahel et leurs implications géopolitiques. La création de la Confédération des États du Sahel marque un tournant majeur en Afrique de l'Ouest, remettant en question des alliances anciennes comme la CEDEAO et réduisant l'influence française dans la région. Ce mouvement s'inscrit dans une renaissance panafricaniste, où des pays comme le Burkina Faso, le Mali et le Niger s'unissent pour défendre leurs intérêts et exploiter leurs ressources de manière souveraine.
L'évolution vers un monde multipolaire, avec des partenariats renforcés avec des puissances telles que la Russie, souligne la nécessité de réformer l'Union africaine pour mieux répondre aux enjeux actuels. Cette Confédération incarne une nouvelle ère de souveraineté et d'autonomie pour les nations africaines, tout en redéfinissant les relations internationales.
Bon après-midi camarades abonnés, Bienvenue dans cette diffusion !
Merciii. Je viens de découvrir votre chaîne
Ce monsieur, au-delà de la pédagogie disruptive qu'il imprime à nous autres qui le lisons à l'œil africain, mérite plusieurs titres.
Héros de l'éveil des consciences, prophète d'une Afrique totalement libérée de l'impérialisme occidental, il aura révolutionné, en quinze ans, les rapports politiques de l'Afrique et les pays occidentaux.
Son expression, son lexique, son accent et son ton me vont à merveille d'autant que la diplomatie française n'avait jamais ménagé que les Africains stipendiés pour servir les multinationales prédatrices des économies des États francophones.
Je suis extasié de le suivre régulièrement à travers les excellents séminaires qu'il anime et que certains voient en émission télévisée.
Salutations distinguées au Président Babada Kani !
Encouragements à lui !
Président BANDA vous êtes protégé par le vrai Dieu et de tout cœur par nous et nos ancêtres svp tenez bon car cette victoire ne doit pas supprimer nos grandes têtes pour le moment ❤❤❤❤❤❤❤
Je suis malien j’écoute ce monsieur depuis plus de 13 ans tout ce qu’il dit est vraiment excellent
Toute ma culture géopolitique je l'ai acquise grâce à ce grand homme. Depuis 10 ans que je le suis et mon intérêt n'a jamais faibli pour ses interventions. Il a écrit et il continue d'écrire une page de la lutte panafricaniste 2.0 tout en sachant tirer partie des forces et faiblesses de celle des précurseurs. Les résultats sont visibles. Merci Président de continuer à nous éclairer le chemin. Restons concentrés, le chemin est encore long et tous les objectifs doivent être atteints.
Pour Mr BANDA KANI ce n'est pas une prophétie mais plutôt une honnêteté intellectuelle d'un génie dans une vision. globale du monde actuel ❤❤❤❤❤
@SergeHouget
Cette honnêteté, c'est le génie en l'homme BANDA KANI, faisant du PRÉSIDENT BANDA KANI pour nous autres, UN PROPHÈTE, car il VOIT ET DIT DES CHOSES QUE TOUS TIENNENT POUR, "UTOPIE", EN EN RIANT MÊME, OR CES CHOSES DANS LE TEMPS, DEVIENNENT RÉALITÉ.
VIVE LE PROPHÈTE PRÉSIDENT BANDA KANI!!!!
Merci président Banda kani pour toutes ses analyses précises et concises.Je vous apprecie depuis 2014 sur Afrique média jusqu'au aujourd'hui.Force vie et santé à vous et que le vrai Dieu vous bénisse.
Message d'un de vos plus fidèles fan depuis le Togo.Président merci de m'avoir fait Panafricaniste
Bonjour Président, vivement que l'Afrique soit totalement libre
Je l'ai toujours suivi et je le dis avec fierté,ses analyses ont completé mes cours de philosophie des cultures et des civilisations africaines,et ma compréhension de la politique et de la géopolitique africaine,surtout les enjeux actuels de notre continent dans ses relations avec l'ancienne puissance coloniale la France.Merci président Banda.
Bonsoir et merci Papa vous incarnez la sagesse le courage la volonté et l'ambition de l'Afrique libre et unie
Nous sommes de tout cœur avec toi cher grand frère Banda.
Que nos ancêtres méritants te guident encore longtemps vers la participation a la conduite de ce grand pays important pour l'Afrique..
Force et honneur à toi
Bonjour 👋 à président et à toute l’équipe.
Bravo félicitations 🎉 🎉🎉🎉
Un brave ce grand monsieur président banda kani quelles connaissances et compréhension
Heureux de revoir mon Grand Frère Banda Kani le visionnaire avec les Benedictions Ancestrales.
Coucou tous bonjour la famille benedictions a gogo assia aux familles dans la douleur yakoooooo
Bonjour monsieur Banda Kani, excellente analyse.
Que le DIEU TOUT PUISSANT vous bénisse davantage.
Je vous salue depuis Munich.
Merci beaucoup Président pour vos analyses pertinentes, pour votre rôle d'éveil des consciences. J'ai beaucoup appris en vous suivant depuis des années.
Merci beaucoup président pour vos analyses qui sont toujours d'une pertinence incontestable. Maître de la géopolitique et de la philosophie politique ✊💪👏
Merci Pr Banda KANI pour cette intervention surtout l'exposé sur le LIPTAGO-GOURMA qui est l'essence de l'histoire du #Mali du Burkina et du Niger
Le président Banda Kani est plus qu'un prophète.Pour ma part ,tout ce qu'il a prédit s'est accompli.Il est grand et très grand.Il est notre sage du temps moderne.Combien de fois nous sommes chanceux de l'avoir encore vivant.Que Dieu le bénisse.
❤❤❤
Bonjour à vous tous je regarde souvent votre vidéo d'analyse
Merci à vous pour la fidelité !
Thank you always no matter what the subject is President Banda Kani is on top of the explanation and the answer, president Banda Kani you were born for this purpose, TO GOD WE GIVE THANKS AND ALL THE GLORY.
Papa Africa! President Banda Kani!
L'homme fort!
🙏 respect et bénédictions!
Merci beaucoup Président pour tout ce que vous faites pour l'Afrique. Que Dieu vous bénisse surabondamment
Un plaisir pour nous de vous avoir sur notre chaîne préférée.
Merci pour tous.
Longue vie à Mr Banda KANI❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤
Président Banda Kani toujours au top.Votre profondeur d'analyse de l'histoire de ces trois états révèle votre immense culture et connaissance de l'histoire du monde en général et celle de l'Afrique en particulier. Je vous avoue que par moment je suis comme ces panafricanistes de salon que vous dénoncez et quand je vous écoute,je comprends mieux les situations et je me sens rassuré. Quel bonheur ce serait de voir les pays de l'aes réussir et être une locomotive pour d'autres États africains.
Merci beaucoup Mr BANDA KANI ❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤
Ces trois dirigeants de l'AES ont montrés le mensonge de Dramane Ouattara au grand jour. Ils sont pas des économistes et font une gestion formidable de développement à tous les niveaux. C'est pour quoi Ouattara ne prononce plus sa fameuse phrase qui vante tant sa carrière. Merci Afrique Média et le Président Banda Kani pour avoir démasqué ce imposteur et ses maîtres neo-colons.
merci au NMP de tenir en veille pour le combat panafricaniste
Le president l'afrique vous remercier toi et tes compagnons de lutte a vie 😢😢😢😢
❤❤❤❤❤
Bjrs a mon président Banda Kany.
bonsoir pr bana panafricain panafricain
Que le seigneur Jésus vous renouvelle sa force quotidienne dans cette noble mission divine de la rééducation de la population africaine pour sa vraie indépendance entre les mains de l'oppresseur.
Merci depuis la Guinee Equatoriale.
Merci a notre President BANDA KANI, futuro Presidente de Camerún!
Bravo PR BANDAKANI puisse nos ancêtres dans leurs miséricorde vous élève au sommet de ce pays béni qui est le grand Cameroun.
Iam AES also many thanks.
Merci beaucoup président banda kani vous devez contunue à faire de sports ne vous laisser pas vieillir , tout les jours une heure de cours courir une heure par jours mon grand vous redevient jeunes
Merci
Ce la vérité le vrais dieu écoute la voix de mr mbandakani cetain prophète
Bonjour, bon dimanche, bonne santé, paix, lumière, progres, succès et longue vie à notre grand lidere de réveillée et conscientiser des peuples Africains Mr Bandakani et ainsi que tout les autres que je n'ai pas cité par leurs noms.
Je voudrais aussi dire que cet éveil et conscience ne doit t'être que politique, économique et idéologique de la gouvernance mais doit être aussi des affaires religieuses.
Il est temps d'en parler que les peuples noirs ou Africains abandonnent les croyances religieuses importé dans notre précieux en commençant par l'islam, catholique, Bouddhisme, protestant, évangélique, et autres sans oublier les langues d'espionnage que nous parlons dans nos pays d'Afrique.
Car au commencement de l'existence de peuples Kemeth/ noir ou Africains, nous nous étions pas de religieux mais des ferveur croyant du créateur de l'univers et très écologistes.
Que Dieu notre créateur vous protège.
L’AES ressuscite le SOUDAN de Samory Toure …
Salutations
Et AFRIQUE Media ?
Beaucoup de courage à vous
je suis AES
Bonjour et merci pour le travail que vous faites... D'ailleurs je ne n'est pas les mots pour réellement vous remercier à votre valeur...
Pourriez-vous vous procurer des micros de meilleur qualité, le son est à peine distinctifs 🙏😂
Bravo 👍
🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️
Bjr PDT, pendant que vous prêchez la bonne nouvelle du panafricanisme en mondovision, nous voyons des vidéos sur les RS d'enfants à qui on apprend à chanter l'hymne ambazonien, avec des médias tels qu'ABS qui réclament une forte audience.
Bsr président, on arrive plus à sur le débat panafricain sur Afrique Média depuis une semaine !
Bonsoir président
En nationalisant l'or exploité par les anglais, le burkina a fait chuter la bourse anglaise de 6% . La transformation de la karité par l'AES rend le produit brut un peu plus cher sur le marché international. Comme quoi l'industrie à une arme redoutable que l'Afrique doit maîtriser avec une énergie en grande quantité et moins pour les industries.
Je trouve que les animateurs n'ont pas été à la hauteur pour que l'entretien soit de haut niveau.
Malheureusement on n’entend pas bien le président Banda Kano.Le son de son micro est très bas
Nous ne recevons plus le signale d'afrique media panaficain esseyez dy remedier frere
❤️❤️❤️❤️🎉🎉🎉🎉🔥🔥🔥🔥
Biya incarne la lente agonie d’un système qui s’accroche à ses privilèges alors même qu’il a perdu toute légitimité. Chaque jour qu’il reste au pouvoir est une insulte supplémentaire à la dignité des Camerounais. Ce n’est plus seulement une question de politique, mais de survie. Le Cameroun, riche en ressources et en potentialités humaines, est en train de pourrir de l’intérieur, dévasté par l’incompétence et l’indifférence criminelle de ceux qui le gouvernent.
Pendant que Biya reste cloîtré dans son palais, la misère se répand dans les campagnes, les villes s’effondrent, les routes deviennent des chemins de croix pour des citoyens laissés à l’abandon. Comment un dirigeant peut-il rester aussi impassible face à tant de souffrance ? C’est la marque des tyrans, des despotes qui ne gouvernent que pour eux-mêmes, déconnectés du peuple qu’ils prétendent diriger.
La mascarade des élections au Cameroun est une honte pour tout Africain épris de justice. Ce n’est pas seulement un vol de pouvoir, c’est une négation de l’avenir. Car à chaque nouvelle fraude, à chaque coup d’État électoral, c’est une génération entière de Camerounais qu’on condamne à l’immobilisme. Biya n’a jamais voulu gouverner pour le bien de son pays, il a toujours gouverné pour maintenir son clan, ses réseaux et ses intérêts.
Il est devenu l’emblème du leader africain qui refuse de partir, qui préfère voir son pays sombrer plutôt que de céder le pouvoir. Cette obstination, cet égoïsme, ne sont pas simplement une tragédie pour le Cameroun, mais une trahison envers toute l’Afrique. Chaque année de Biya est une année de retard pour le développement du pays, une année de plus où l’on écrase les ambitions des jeunes.
La jeunesse camerounaise n’a jamais connu autre chose que le règne de Biya. Pour elle, le futur est une promesse vide, car sous ce régime, tout est figé. Biya a figé le temps, arrêté l’histoire, et enfermé le Cameroun dans une boucle de répétition infernale. Les promesses de réformes ne sont que des leurres, des discours creux pour apaiser une population qui en a assez de se battre contre des moulins à vent.
Le vrai pouvoir n’est plus à Yaoundé, il est dans les mains des multinationales, des grandes familles, des clans qui profitent du système. C’est un réseau opaque de collusions et de corruption qui gère le Cameroun dans l’ombre, tandis que Biya joue à l’autocrate fatigué, incapable de prendre la moindre décision sans ses conseillers. Comment peut-on encore parler de souveraineté dans un pays où l’État est à ce point capturé par des intérêts privés ?
Le Cameroun, sous Biya, est devenu une colonie interne, un pays où les ressources sont extraites pour le bénéfice de quelques-uns, tandis que la majorité est laissée à l’abandon. Les Camerounais n’ont plus confiance en leur gouvernement, et à juste titre. Ce n’est plus un gouvernement, c’est une mafia déguisée en institution étatique. La moindre crise, le moindre scandale, est l’occasion pour cette clique d’enrichir ses membres, au détriment de la population.
Les élites camerounaises, plutôt que de défendre leur pays, se sont vendues aux puissances étrangères, à la France, à la Chine, à tout acteur capable de les maintenir au pouvoir. C’est une trahison totale, une abdication de toute responsabilité nationale. L’État n’est plus qu’un instrument au service de l’exploitation, un outil de domination entre les mains d’un petit cercle d’oligarques.
Et pourtant, malgré cette situation désastreuse, malgré l’évidence du déclin, Biya continue de se maintenir au pouvoir. Chaque année qui passe est une année de trop. Chaque jour qui passe sous ce régime est un jour volé au peuple camerounais. Le Cameroun n’a plus le temps d’attendre, il doit se libérer de cette emprise délétère, de cette prison politique qui l’étouffe depuis des décennies.
Biya n’est pas seulement un problème pour le Cameroun, il est un symbole de tout ce qui va mal en Afrique. Son maintien au pouvoir est la preuve que les aspirations démocratiques des peuples africains sont systématiquement bafouées. On ne peut plus parler d’un simple échec de la gouvernance, c’est un crime contre l’avenir. Le Cameroun n’est pas destiné à être un pays en déclin, mais sous Biya, c’est exactement ce qu’il devient.
Le réveil doit être brutal, car le temps presse. Le peuple camerounais doit comprendre que son avenir ne se joue plus dans les salons feutrés des palais présidentiels, mais dans la rue, dans l’action directe, dans la mobilisation collective. Biya ne cédera jamais le pouvoir volontairement, il doit être contraint de partir, et cela ne se fera pas sans une confrontation avec le système qu’il a construit.
Ce système, basé sur la peur, la répression et la corruption, ne survivra pas à une véritable insurrection populaire. Les Camerounais doivent cesser de craindre un régime qui, au fond, n’a plus d’autre pouvoir que celui de l’intimidation. Biya a construit son règne sur la passivité du peuple, sur l’idée que rien ne peut changer. Mais tout peut changer, et tout doit changer.
Il est temps de rompre avec cette illusion d’impuissance. Le peuple camerounais a déjà montré qu’il est capable de grandes choses, il suffit de regarder l’histoire de ses luttes pour l’indépendance. Cette même énergie doit être retrouvée, ravivée, pour renverser un régime qui n’a plus aucune légitimité. Il ne s’agit plus seulement de changer de président, il s’agit de reconstruire un État, de réinventer un avenir.
Les Camerounais ne doivent pas attendre qu’un sauveur vienne les libérer. Le changement viendra de l’intérieur, de la prise de conscience collective que ce régime ne peut plus durer. Ce n’est pas l’armée, ce ne sont pas les élites corrompues, qui écriront le futur du Cameroun. Ce sont les masses, celles qui travaillent chaque jour, qui souffrent chaque jour, qui résistent chaque jour.
Il est temps de dire la vérité, aussi douloureuse soit-elle : Paul Biya est un fossoyeur. Il est l’homme qui a enterré les espoirs de plusieurs générations de Camerounais. Il n’y a plus rien à attendre de lui. Son départ n’est pas une option, c’est une nécessité. C’est une question de survie pour le Cameroun, pour l’Afrique même. Chaque jour de plus sous ce régime est une menace pour l’avenir.
Le Cameroun doit sortir de cette torpeur, retrouver sa voix, retrouver son souffle. Le temps de la révolte est venu. Le temps de la liberté approche. Biya ne pourra plus maintenir son règne éternellement. Le peuple camerounais doit se préparer à un nouvel horizon, à une nouvelle ère où le pouvoir sera enfin dans les mains de ceux qui le méritent, de ceux qui le bâtiront pour l’avenir, et non pour leur propre profit.
La patience a ses limites. Le Cameroun ne peut plus être une nation capturée, une nation otage d’un vieil homme et de ses acolytes. L’heure est venue de prendre en main son destin, de libérer la parole, de libérer l’action. Le monde regarde, mais c’est d’abord aux Camerounais de montrer qu’ils sont prêts à se battre pour leur futur.
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Les apôtres de la décrépitude du Cameroun ont perdu tout sens de la réalité, embourbés dans un luxe indécent, tandis que le peuple marche sur des routes meurtrières. Le pays est devenu un laboratoire de la misère, où l'État teste chaque jour de nouvelles formes de négligence. Ces routes défoncées sont l'expression d'une violence structurelle qui broie des vies humaines sans relâche.
Il est temps de regarder en face cette vérité insoutenable : le Cameroun n'est plus qu'un simulacre d'État. Chaque nid-de-poule est un trou dans la dignité nationale, chaque pont effondré est une faille dans la promesse d'une société juste. La route, dans toute société, est censée unir, rapprocher ; au Cameroun, elle divise, elle tue.
Les élites ne sont plus que des spectres, circulant dans des cortèges protégés, insensibles aux souffrances qui déchirent leur pays. Ils traversent ces routes à bord de 4x4 blindés, tandis que les citoyens ordinaires se battent pour leur survie. Ce fossé entre la classe dirigeante et le peuple est plus large que jamais, un gouffre d’indifférence et de mépris.
Les morts sur les routes camerounaises ne sont pas des accidents, ce sont des meurtres perpétrés par un État qui a choisi l’inaction. Il est facile de détourner le regard, de se réfugier dans des bureaux climatisés, pendant que le peuple se débat dans la poussière et le danger. Le Cameroun est devenu un cimetière à ciel ouvert, un champ de ruines où la mort guette à chaque virage.
Ce ne sont pas seulement les infrastructures qui sont délabrées, c’est l’âme du pays qui est en lambeaux. Comment parler de développement, quand les bases mêmes de la société sont rongées par la corruption et l’inaction ? Les routes camerounaises sont une métaphore vivante de la faillite d’un système qui refuse de prendre soin de sa population.
Les routes du Cameroun sont les cicatrices d’une guerre invisible, une guerre menée par les élites contre leur propre peuple. Chaque jour, des vies sont brisées, des familles détruites, mais pour le pouvoir, ces drames ne sont que des statistiques. L'État camerounais a vendu son âme, préférant remplir les poches des oligarques et des multinationales, plutôt que de construire un avenir pour ses enfants.
Comment peut-on accepter une telle trahison ? Les routes ne devraient pas être des tombes ouvertes, elles devraient être les artères d’un Cameroun qui avance, qui se relève. Mais tant que les élites refuseront d’assumer leurs responsabilités, le pays restera prisonnier de ce cycle infernal de misère et de mort.
Le Cameroun n’est pas une république, c’est une entreprise familiale, où les dirigeants se transmettent le pouvoir comme un héritage privé, sans jamais se soucier de l’avenir collectif. Ces routes en ruine sont le symbole de cette dynastie corrompue, une dynastie qui piétine les espoirs du peuple.
Les routes du Cameroun sont aussi celles de l’exploitation. Pendant que les élites s’enrichissent en signant des contrats juteux avec des entreprises étrangères, le peuple, lui, meurt dans l’indifférence générale. Le sol camerounais est riche, mais ces richesses n’appartiennent plus au pays. Elles sont confisquées par une poignée de profiteurs, tandis que le reste de la population survit dans des conditions déplorables.
Il est temps de dire stop. Il est temps de se lever, de dénoncer cette mascarade et de réclamer justice. Les routes camerounaises devraient être des symboles de fierté nationale, pas des preuves accablantes de l’échec de l’État. Tant que ces routes resteront des pièges mortels, le Cameroun ne pourra jamais se tenir debout, fier et libre.
Les promesses de réformes ne sont que des mensonges, des tentatives de détourner l'attention des vraies questions. Ce n’est pas en patchant quelques sections de route que le Cameroun pourra se redresser. Il faut une transformation en profondeur, une révolution des esprits et des cœurs.
Le pouvoir camerounais est une forteresse assiégée, protégée par la peur et la répression, mais cette forteresse finira par s’effondrer. Les routes du pays, si elles ne sont pas réparées, deviendront le théâtre d’une révolte populaire, car le peuple ne pourra pas éternellement tolérer cette négligence criminelle.
Chaque vie perdue sur ces routes est une pierre de plus dans l’édifice de la colère populaire. Ce gouvernement, aveuglé par son arrogance, oublie que la patience du peuple a des limites. Un jour, ces routes seront empruntées par des millions de Camerounais en colère, marchant vers la liberté.
La souveraineté d’un pays se mesure à sa capacité à protéger ses citoyens, à leur offrir des infrastructures qui ne mettent pas leur vie en danger. Le Cameroun a échoué sur toute la ligne. Les routes défoncées sont le miroir d’un pouvoir qui se délite, incapable de faire face aux défis du présent.
L’État camerounais a perdu tout crédit. Ses promesses sont des mirages, des illusions entretenues pour prolonger une domination devenue insoutenable. Mais il ne pourra pas fuir ses responsabilités indéfiniment. Les routes du Cameroun finiront par conduire à la chute de ce régime, car elles incarnent la souffrance de tout un peuple.
Les élites ne pourront pas éternellement fuir cette réalité. Le jour viendra où elles devront rendre des comptes pour chaque vie fauchée, chaque accident évitable. Ce régime, qui préfère s’enrichir sur les cadavres de ses propres citoyens, connaîtra son jugement, car le peuple camerounais n’oublie rien.
Le Cameroun n’est pas condamné à cette fatalité. Le pays a les ressources, les talents et la force de se relever, mais cela ne se fera que lorsque l’État aura été purgé de ses parasites. Les routes sont le premier chantier d’une reconstruction nationale qui doit placer l’humain au centre.
Ce peuple, qui endure tant, mérite une infrastructure digne de ce nom. Mais pour cela, il faut un État qui le respecte, un État qui se soucie de sa sécurité, de sa dignité. Ce jour viendra, car la colère monte, et elle finira par balayer ceux qui aujourd’hui festoient sur les cendres d’un pays en ruine.
Les routes camerounaises doivent devenir le symbole de la renaissance d’un État fort, souverain, libre. Elles ne peuvent plus être des vecteurs de la mort. Mais cela nécessite un changement radical, une rupture avec cette classe dirigeante qui a fait de la négligence et de la corruption ses armes de pouvoir.
Le Cameroun doit choisir : continuer à s’enfoncer dans la déchéance ou se relever et construire un avenir où ses citoyens pourront emprunter des routes en toute sécurité. C’est un choix de vie ou de mort, et il n’y a plus de place pour l’indécision. Les routes sont les premières lignes de ce combat pour la dignité nationale.
Chaque Camerounais, où qu’il soit, doit se lever et exiger ce changement. Ce pays, qui a tant souffert, mérite mieux que ces chemins de croix quotidiens. Il est temps de faire tomber les masques, de dénoncer l’hypocrisie et de se battre pour un Cameroun où les routes ne seront plus des tombeaux ouverts.
Bonjour monsieur le Président depuis la Guyane je vous suivais sur "Afrique Media"
Mais qu'est devenue cette chaîne maintenant ?
La chaîne est suspendu pour 10 ans par les occidentaux la France et les USA en tête. Ils disent qu'ils conscientisent beaucoup des africains.
Ma question: Quel est le projet concret que les Panafricanistes offrent pour une réunification définitive au Kamerun, en sachant déjà qu'on a franchi le rubicon?
Car qu'on se le dise, le Kamerun est observé comme modèle du genre et ne saurait se projeter en avant, s'il est toujours hanté par les démons du sécessionisme.
Les enjeux du Futurible de l'AES ?,? '😊
La disparition? La maladie? Ou l’invincibilité de son mentor, l’empereur Biya, on peut en parler? Il paraît que nul n’a le droit d’en parler,, sous peine d’emprisonnement!😂😂😂 par contre passer ses journées à divaguer sur l’Afrique de l’Ouest où les pays du Sahel, ça on sait faire
Vous n'avez vraiment rien compris
Les animateurs sont nuls et ça joue sur la percutante des argumentaires du président Bandakani
De manière historico-factuelle, les anglophones n'ont pas vécu les mêmes trauma que leurs frères outre-moungo.
Or, dans la construction narrative nationaliste, les thèses marxistes, anti-impérialistes et révolutionnaires de l'UPC n'ont jamais rencontré un enthousiasme débordant dans le southern Cameroon.
Les Westerners, contrairement à leurs frères de l'est avaient une éducation et une vie politique plus stable.
Le débat et la contradiction avait cours. l'Angleterre n'était pas vue comme une puissance oppressante (Indirect rule); au contraire les menaces désignées étaient les Igbo et les franco-camerounais.
Or, la vision englobante des Upécistes avait qlq peu minoré les vrais défis des anglophones.
Maintenant qu'il ya eu plus de 50 ans de "cohabitation", les choses ont elles évolué?
Comment amener les Kamerunais à dépasser le clivage linguistico-culturel, pour inventer la langue et la civilisation africano-Kamerounaise?
L'état actuel n'a pas le contrôle militaire, culturel et humain des zones rurales dans le noso. Et c'est là-bas que le recrutement militaire et le lavage des cerveaux est important.
Comment ramener les enfants rebelles de la Nation à la raison ???
personne sur terre ne peut destabiliser le Cameroun que ceux qui se laisse berner d'illusion continuent, le moment venu ils n'auront que leurs yeux pour pleurer, jusqu'ici l'Etat a porté le velours sur sa main de fer et s'il le faut , il l'enlèvera.
C’est qui qui boit la bouteille de rouge en arriere plan ? Le president ou le prophete ? 😂😂😂
@larbil19
Qui vous dit que c'est du vin rouge? Ou si c'est à boire? C'est peut-être un liquide traditionnel ( du miel, des racines, etc.)
Je ne trouve pas important de souligner ou s'attarder sur le décor.
Dans ces bat@illes, ce sont les mots qui comptent. Car, on enregistre là où l'occasion et l'opportunité s'y prêtent
@@gbogbokuncaf6465 un fou ramasse tes habits au bord de la rivière pendant que tu te laves dans la rivière et tu sors tout nu pour le suivre ,entre toi et lui qui est fou? fraternellement
❤❤❤
Biya incarne la lente agonie d’un système qui s’accroche à ses privilèges alors même qu’il a perdu toute légitimité. Chaque jour qu’il reste au pouvoir est une insulte supplémentaire à la dignité des Camerounais. Ce n’est plus seulement une question de politique, mais de survie. Le Cameroun, riche en ressources et en potentialités humaines, est en train de pourrir de l’intérieur, dévasté par l’incompétence et l’indifférence criminelle de ceux qui le gouvernent.
Pendant que Biya reste cloîtré dans son palais, la misère se répand dans les campagnes, les villes s’effondrent, les routes deviennent des chemins de croix pour des citoyens laissés à l’abandon. Comment un dirigeant peut-il rester aussi impassible face à tant de souffrance ? C’est la marque des tyrans, des despotes qui ne gouvernent que pour eux-mêmes, déconnectés du peuple qu’ils prétendent diriger.
La mascarade des élections au Cameroun est une honte pour tout Africain épris de justice. Ce n’est pas seulement un vol de pouvoir, c’est une négation de l’avenir. Car à chaque nouvelle fraude, à chaque coup d’État électoral, c’est une génération entière de Camerounais qu’on condamne à l’immobilisme. Biya n’a jamais voulu gouverner pour le bien de son pays, il a toujours gouverné pour maintenir son clan, ses réseaux et ses intérêts.
Il est devenu l’emblème du leader africain qui refuse de partir, qui préfère voir son pays sombrer plutôt que de céder le pouvoir. Cette obstination, cet égoïsme, ne sont pas simplement une tragédie pour le Cameroun, mais une trahison envers toute l’Afrique. Chaque année de Biya est une année de retard pour le développement du pays, une année de plus où l’on écrase les ambitions des jeunes.
La jeunesse camerounaise n’a jamais connu autre chose que le règne de Biya. Pour elle, le futur est une promesse vide, car sous ce régime, tout est figé. Biya a figé le temps, arrêté l’histoire, et enfermé le Cameroun dans une boucle de répétition infernale. Les promesses de réformes ne sont que des leurres, des discours creux pour apaiser une population qui en a assez de se battre contre des moulins à vent.
Le vrai pouvoir n’est plus à Yaoundé, il est dans les mains des multinationales, des grandes familles, des clans qui profitent du système. C’est un réseau opaque de collusions et de corruption qui gère le Cameroun dans l’ombre, tandis que Biya joue à l’autocrate fatigué, incapable de prendre la moindre décision sans ses conseillers. Comment peut-on encore parler de souveraineté dans un pays où l’État est à ce point capturé par des intérêts privés ?
Le Cameroun, sous Biya, est devenu une colonie interne, un pays où les ressources sont extraites pour le bénéfice de quelques-uns, tandis que la majorité est laissée à l’abandon. Les Camerounais n’ont plus confiance en leur gouvernement, et à juste titre. Ce n’est plus un gouvernement, c’est une mafia déguisée en institution étatique. La moindre crise, le moindre scandale, est l’occasion pour cette clique d’enrichir ses membres, au détriment de la population.
Les élites camerounaises, plutôt que de défendre leur pays, se sont vendues aux puissances étrangères, à la France, à la Chine, à tout acteur capable de les maintenir au pouvoir. C’est une trahison totale, une abdication de toute responsabilité nationale. L’État n’est plus qu’un instrument au service de l’exploitation, un outil de domination entre les mains d’un petit cercle d’oligarques.
Et pourtant, malgré cette situation désastreuse, malgré l’évidence du déclin, Biya continue de se maintenir au pouvoir. Chaque année qui passe est une année de trop. Chaque jour qui passe sous ce régime est un jour volé au peuple camerounais. Le Cameroun n’a plus le temps d’attendre, il doit se libérer de cette emprise délétère, de cette prison politique qui l’étouffe depuis des décennies.
Biya n’est pas seulement un problème pour le Cameroun, il est un symbole de tout ce qui va mal en Afrique. Son maintien au pouvoir est la preuve que les aspirations démocratiques des peuples africains sont systématiquement bafouées. On ne peut plus parler d’un simple échec de la gouvernance, c’est un crime contre l’avenir. Le Cameroun n’est pas destiné à être un pays en déclin, mais sous Biya, c’est exactement ce qu’il devient.
Le réveil doit être brutal, car le temps presse. Le peuple camerounais doit comprendre que son avenir ne se joue plus dans les salons feutrés des palais présidentiels, mais dans la rue, dans l’action directe, dans la mobilisation collective. Biya ne cédera jamais le pouvoir volontairement, il doit être contraint de partir, et cela ne se fera pas sans une confrontation avec le système qu’il a construit.
Ce système, basé sur la peur, la répression et la corruption, ne survivra pas à une véritable insurrection populaire. Les Camerounais doivent cesser de craindre un régime qui, au fond, n’a plus d’autre pouvoir que celui de l’intimidation. Biya a construit son règne sur la passivité du peuple, sur l’idée que rien ne peut changer. Mais tout peut changer, et tout doit changer.
Il est temps de rompre avec cette illusion d’impuissance. Le peuple camerounais a déjà montré qu’il est capable de grandes choses, il suffit de regarder l’histoire de ses luttes pour l’indépendance. Cette même énergie doit être retrouvée, ravivée, pour renverser un régime qui n’a plus aucune légitimité. Il ne s’agit plus seulement de changer de président, il s’agit de reconstruire un État, de réinventer un avenir.
Les Camerounais ne doivent pas attendre qu’un sauveur vienne les libérer. Le changement viendra de l’intérieur, de la prise de conscience collective que ce régime ne peut plus durer. Ce n’est pas l’armée, ce ne sont pas les élites corrompues, qui écriront le futur du Cameroun. Ce sont les masses, celles qui travaillent chaque jour, qui souffrent chaque jour, qui résistent chaque jour.
Il est temps de dire la vérité, aussi douloureuse soit-elle : Paul Biya est un fossoyeur. Il est l’homme qui a enterré les espoirs de plusieurs générations de Camerounais. Il n’y a plus rien à attendre de lui. Son départ n’est pas une option, c’est une nécessité. C’est une question de survie pour le Cameroun, pour l’Afrique même. Chaque jour de plus sous ce régime est une menace pour l’avenir.
Le Cameroun doit sortir de cette torpeur, retrouver sa voix, retrouver son souffle. Le temps de la révolte est venu. Le temps de la liberté approche. Biya ne pourra plus maintenir son règne éternellement. Le peuple camerounais doit se préparer à un nouvel horizon, à une nouvelle ère où le pouvoir sera enfin dans les mains de ceux qui le méritent, de ceux qui le bâtiront pour l’avenir, et non pour leur propre profit.
La patience a ses limites. Le Cameroun ne peut plus être une nation capturée, une nation otage d’un vieil homme et de ses acolytes. L’heure est venue de prendre en main son destin, de libérer la parole, de libérer l’action. Le monde regarde, mais c’est d’abord aux Camerounais de montrer qu’ils sont prêts à se battre pour leur futur.
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