Un fantastique pilote, très injustement sous-estimé... Comment oublier sa campagne sud-américaine de 1975 ou sa campagne nord-américaine de 1978 ? Assurément, il a eu la palme de la malchance : quand on pense qu'il a failli être chez Ferrari en 1974 et chez Williams en 1982... Son surnom de "godasse de plomb" était totalement immerité : comme l'écrivait Gérard Crombac en 1979, il était devenu "Jarier la finesse" avec un "style d'une pureté sans égale". Non seulement il aurait mérité de gagner plusieurs Grands Prix, mais plus encore : c'était un champion du monde en puissance. Ah ! Cette sacrée poisse !... Merci de nous avoir fait vibrer, Monsieur Jarier !
Un fantastique pilote, très injustement sous-estimé... Comment oublier sa campagne sud-américaine de 1975 ou sa campagne nord-américaine de 1978 ? Assurément, il a eu la palme de la malchance : quand on pense qu'il a failli être chez Ferrari en 1974 et chez Williams en 1982... Son surnom de "godasse de plomb" était totalement immerité : comme l'écrivait Gérard Crombac en 1979, il était devenu "Jarier la finesse" avec un "style d'une pureté sans égale". Non seulement il aurait mérité de gagner plusieurs Grands Prix, mais plus encore : c'était un champion du monde en puissance. Ah ! Cette sacrée poisse !... Merci de nous avoir fait vibrer, Monsieur Jarier !
un grand monsieur