Développeurs informatiques : des profils très recherchés et toujours mieux payés

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  • Опубликовано: 3 фев 2025

Комментарии • 7

  • @fredpourlesintimes
    @fredpourlesintimes 5 лет назад +1

    Il édulcore beaucoup le barbu ; le code c'est très technique ; ça n'a rien à voir avec la création de meuble.
    Et je peux le dire, puisque j'avais fait une formation en menuiserie étant plus jeune, et maintenant je m'intéresse au développement web.

    • @mrrhedaky7508
      @mrrhedaky7508 3 года назад

      Hahaha j'ai l'impression que beaucoup de menuiser se tourne vers le codage c'est fou

    • @mrrhedaky7508
      @mrrhedaky7508 3 года назад

      Et oui il rabaisse un peut la technicité du codage, mais c'est surtout pour vendre sont écoles et ramener le plus de monde je pense

    • @autosmiley1532
      @autosmiley1532 2 года назад

      Il fait un parallèle symbolique. Car ce n'est pas une science, le développement. C'est davantage un artisanat d'art & dans le sens que ça allie "créativité et technicité".
      N'importe qui à peu près bien constitué peut apprendre le développement, et surtout : le plus important n'est pas d'apprendre la technique... C'est "en ça" que ce n'est pas "tellement technique" ==> c'est parce qu'il faut surtout, très essentiellement, baser son activité sur l’interaction pour trouver des solutions pratiques : créer, car les paradigmes techniques changent tout le temps, se baser sur l'apprentissage technique est une hérésie en informatique ==> il faut se mettre à être capable d'apprendre à réviser son jugement en permanence et repenser les choses à partir d'une page blanche, conceptuellement.
      En ça, 42 prépare aux bases fondamentales de l'informatique : en gros ce qui ne change pas depuis environ +ou- 50 ans (machine de Turing, langage C etc). Apprendre n'importe quel langage web, ou autre, est une presque une formalité pour un étudiant 42 qui a les bases de la première année. D'où l'idée de travailler à plusieurs au lieu de vouloir "tout" apprendre dans son coin, ce qui est laborieux et devient en grande partie obsolète dès que tu arrives au bout : ça permet d'être les meilleurs, et non les poursuivants. Les chinois, bien qu'avec des méthodes parfois archaïques l'ont très bien compris pour rattraper leur retard. Bientôt nous ne pourrons plus nous passer d'eux et leur savoir-faire pour "développer" les machines industrielles de demain ; parce qu'ils ont cette culture, parce qu'ils ont une sacrée longueur d'avance sur toute la dimension collective de l'industrie, et parce que leurs équipes de développement sont déjà hyper adaptées. L'avantage, avec l'informatique : c'est qu'on peut toujours redéfinir les règles, ou du moins une très grande partie des règles, à notre avantage 🇫🇷 pour un avantage plus universel bien entendu contrairement à ce que font nos voisins chinois ou américains. La France, à ce rythme d'évolution, sera la Californie de l'Europe, mais il faut se remettre en question comme une certain équipe de foot en 1994. Ça fait 50 ans qu'on avait abandonné l'informatique pour au final se faire dézinguer toutes nos boîtes, on n'a plus aucune maîtrise sur la sécurité industrielle, il est temps que ça change ! Rester sur des méthodes inadaptées, c'est le contraire de ce qu'il faut faire. Or là on parle du créateur d'un boîte où les gens peuvent trouver un job (à 100%) dont une grande partie peut le faire avant d'avoir terminé sa formation même sans diplôme... Se remettre en question. ==> il sait mieux de quoi il parle.
      Pour des gens qui vont développer avec une "matière" (langage de programmation objet) qui évolue moins vite : Python, JavaScript ==> l'art consiste essentiellement à manier des couches d'abstraction, s'adapter à son équipe qui pond du code comme une armée de secrétaires et il reste toujours cette notion d'adaptation aux équipes car il n'y aura jamais un super-expert du code pour écrire chaque ligne de code directement. Lui, l'expert, doit revoir le code. Souvent en réécrire une partie au risque de détruire beaucoup de travail précédent (mais pour des raisons de sécurité : il faut), amener l'équipe derrière lui à rendre la tâche moins ardue à la fois pour eux et pour lui (expert). Mais, de son expertise, il n'est plus tellement dans un "simple exercice technique". Alors ce niveau d'abstraction vient du fait de comprendre suffisamment bien, pour manier les choses avec plus d'aisance, alors ça relève plus de sa créativité, son inventivité et ses capacités d'adaptation et non sa technicité spécifique (=> puisque c'est un expert, c'est bien qu'il domine sa spécialité) qu'il survole...
      Poursuivons... En désirant "apprendre" une technique web : tu fais du loisir... Tu peux passer des nuits blanches, SEUL, en partant de rien pour gérer un site web... Alors qu'à la base la meilleure manière d'évoluer est proprement devenue collective dans ce métier. Et là Nicolas Sadirac parle du métier, et non de gens qui ne seront pas du tout ou trop peu (et dans tous les cas largement moins) : adaptés au métier tel qu'il est en train de se définir sur le terrain. Là, dans l'école telle qu'il l'a pensée, l'équipe est prépondérante dès l'apprentissage du code, pour apprendre mieux et plus vite. C'est ça qui fait toute la différence, pas tellement le fait que les étudiants 42 seraient tous des génies.
      Évidemment ça reste un outil très abstrait, plus difficile à appréhender (surtout seul) ==> moi ça me rappelle clairement les quantités de rencontres hyper nombreuses, le temps de maturation extrêmement long, tout ce que j'ai dû faire pour : évoluer par rapport à mon art dans la création musicale, mais ça se retrouve dans l'art en règle générale. C'est très long de devenir artiste, les techniques sont particulièrement difficiles à appréhender, il y a des choses intuitives mais des choses que les musiciens ne se rendent plus compte à quel point c'est impensable pour un néophyte (et j'en sais quelque chose en tant que musicien ^^). C'est pas la même chose pour les gens qui n'y connaissent rien au départ, et qui s'y retrouvent confrontés, il n'y a pas grand chose de "naturel" à la base, ça se transmet quand on "baigne dedans" ; si on fait la comparaison aux gens qui évoluent à fond "dedans", qui imaginent de la musique, cherche les outils, travaillent avec etc. Au bout d'un moment, un musicien finit par ne plus trop comprendre : comment ça se fait qu'on ne puisse pas avoir le sens du rythme => c'est le résultat d'un travail, essentiellement perceptif et abstrait, de sa geste et l'essentiel qui compte : créer avec ce dont on dispose, avec ce qu'on sait faire, et ça évolue en fonction de ce qu'on écrit, en fonction de l'évolution matérielle de nos instruments. Personnellement je commence à reconnaître un véritable musicien lorsque j'observe qu'il a modifié ses instruments pour améliorer leur usage ou leur son de base... C'est pas pareil quand on a la chance d'avoir plein de cours différents pour évoluer suivant différentes approches sans se cantonner au vieux prof avec une méthode peu adaptative, pas pareil quand on a la force de motivation d'un groupe qui fonctionne - avec d'autres musiciens motivés qui ont compris ce qu'il fallait faire en gros - et donc la force collective, des rencontres, sinon un travail acharné incroyable qui s'inscrit dans le temps et des efforts déments, ou tout ça à la fois, devenir un musicien accompli est impossible. Là où Nicolas Sadirac me semble pertinent c'est surtout dans cette observation là : il faut une émulation collective pour faire de l'informatique performante, quelque chose qui trouve son écueil plus facilement dans le confort (tout du moins le désir de créer) plutôt que dans la contrainte comme si c'était une science figée alors que ce n'est pas le cas ; ce monde évolue aussi vite que la musique à la radio, alors si on crée moins vite, dans ce métier technique on se retrouve dépassé par le travail des voisins (de la Silicon Valley essentiellement). C'est une dimension particulièrement intéressante qu'il faut faire admettre pour ne plus se retrouver à la 30ème place mondiale... Finalement mon parallèle fait avec l'art en général, ça me semble tout de même moins pertinent que celui qu'il fait avec l'artisanat d'art. Alors, au lieu de parler de menuiserie, parlons plutôt de lutherie, ou de haute couture. Nous sommes traditionnellement bons en ça : ça relève du même truc en informatique de pointe. Donc, nous pourrions clairement devenir les meilleurs du monde dans ce domaine, un jour et même possiblement très bientôt. Mais en ayant en tête ce qui correspond vraiment : ce n'est certainement pas d'apprendre à l'ancienne qui est le plus efficace, puisqu'il faut faire du sur-mesure un peu partout, dès qu'il y a des PME il faut du sur-mesure d'une certaine façon. Voilà à quoi ça me fait penser...

    • @autosmiley1532
      @autosmiley1532 2 года назад

      @@mrrhedaky7508 vendre une école gratuite : tout un concept. LOL

    • @USERSYOUTUBE
      @USERSYOUTUBE Год назад

      @Haugiel, tu es un comique, renseigne toi sur le "barbu", tu ne lui arrive même pas au petit doigt de pieds.