Ce petit bout de langue qui dépasse est si révélateur de l'immersion totale dans la partition, signe d'une très grande concentration. On voit l'enfant qu'il a toujours été, c'est tellement touchant.
very good piano solo - he plays like it matters to him - Didier plays great too ! RIP DL. I used to socialise with George Brown (drummer with Sonny Rollins and Didier)when I was a kid. RIP George. A very beautiful duet here. A lot of joy and love.
Merci ! Dominique , deux musiciens que j'adorais et que j'adorerais toujours ! Magnifique ! Mes amitiés! (un ex batteur entre autre de Rhoda Scott et d'autres artistes )
La virtuosité et le lyrisme à l'état pur pour les quatre des meilleures oreilles du Jazz français. Quelle merveille de les voir s'amuser ainsi en totale communion d'esprit et de cœur. Miraculeux duo pour une version exceptionnelle unique de ce standard légendaire.
Je suis devasté encore un pan de ma jeunesse qui fout le camp 2eme plus enorme souvenir de concert de jazzrock concert dantesque de 3 h au zenith de Grenoble ( alpexpo ) en 90 1h15 uzeb 1h00 Didier Lockwood Group et 0h45 Uzeb Lockwood tournee phoenix 80 pontieux verneret Ce mec a été une des locomotove du Label JMS de Jean Marie Salani dans les années 80 Apres avoir débuté dans Magma et apres l'episode Surya il aenregistré son premier album New World avec le geantissime Tony Williams et son 1er live In Montreux avec Gerry Brown et Jan Hammer Je me souviens avoir discuté avec lui au restau chinois en face du New Morning avnt un concert de Mike Stern Benoit Sourisse ( qui fut jadis tout comme moi au lycée Stendhal de Grenoble ) et devint ( apres le depart de Ponthieux et Verneret chez Nouro ) la clavier deDidier Lockwood doit entre bien triste lui aussi aujourd'hui Allez Didier sur que comme Zebulon tu danceras toujoujours dans nos coaur avec les éyoiles au dela de Kobaia et de La voie Lactée
Fantastic stuff! Michel, in his solo, seems to give brief nods to the 1961 Miles Davis recording… there are reminiscences of Wynton Kelly’s solo, and even of Trane’s solo, but then he continues to take us further on a journey to discover more dazzling beauty! Didier’s solo is also great, and their banter is much fun to watch and listen to. Does anyone know the date of the performance?
J 'ai discuté le jour de ce concert avec Didier Lockwood au kiosque à journaux de la gare de Lyon à Paris. Nous feuilletions cote à cote Jazz magazine dont il faisait la couverture. Il rejoignait Petru ,arrivant de NewYork directement à Vienne. Je lui demande s'ils allaient répéter, ce à quoi il me répond: Pas besoin, nous jouerons quelques standards et voilà...Quel concert ce fut..!(vu sur youtube plus tard) J' allais moi jouer ce même soir au Bec de Jazz à Lyon avec Tchangodeï et Itaru Oki
Ils jamment au paradis des jazzmen avec Stéphane Grappelli, Joe Zawinul, Wayne Shorter, Jaco Pastorius, Chick Corea, Michael Brecker, Chet Baker, Joey di Francesco, Paco de Lucia, Django Reinhardt et même Prince et Jeff Beck, et tant d'autres ...
Started off a little tame, Then Michel started getting down and jazzy with it. Really doing his thing, dig? In response Didier got jazzy and freaky with that fiddle. And then they both got down to it and battled musically like some anime from heaven. Absolutely beautiful.
l'improvisation, vaste sujet. Il faut énormément de travail et d'expérience pour ce qui va donner une variante à la marge. En fait ils ont composé leurs chorus et s'en souviennent. Ils jouent le meilleur de ce qu'ils ont créé durant la préparation du concert ou de la tournée. On admire l'impro mais ce n'est pas une fin en soi. Ce qui compte est ce qui est joué au moment du spectacle, impro ou pas.
Je prends un exemple fameux, le chorus d'Illinois Jacquet dans Flying Home, qui s'est intégré au morceau. Il existe quantité de cas de figure mais une chose est sûre, toutes les impro ne se valent pas et c'est un aspect de la valeur d'un musicien et plus encore du leader d'une formation que de faire le tri, de réguler en particulier la durée du solo. Le cas du solo probablement improvisé et laissé en "liberté" par Duke, celui de Paul Gonsalvez dans Diminuendo and Crescendo in Blue, à Newport en 1956, est très rare. Il fallait le talent des deux hommes pour cela se produisît. Je ne suis pas musicologue mais j'ai entendu tant de fois, surtout des musiciens américains, que les morceaux étaient strictement préparés, répétés. C'est grâce à ce travail exigeant qu'ils peuvent sur scène jouer à l'aise, comme si c'était aussi simple que de machouiller un shewing gum.
Une impro qui finit par faire partie d'un morceau a beaucoup à voir avec l'aspect commercial et bien sûr aussi avec l'aspect artistique, tout cela arrive quand une oeuvre commence à durer, le public veut entendre le morceau tel qu'il a été rendu celèbre. Quand un jazzman prépare strictement un solo, c'est qu'il n'est pas un "grand". Jouer du jazz, c'est travailler à la maison pendant toute sa vie des choses nouvelles, des gammes, des harmonies, des rythmes, des manières de faire, etc... nouveaux qui s'intègrent naturellement dans les impros quand ils ont suffisamment mûri dans le cerveau du musicien. Bien sûr, avec l'expérience, un jazzman devient de plus en plus habile à manipuler les formes, les accords, les rythmes, et quand il commence un concert il se fait une idée assez précise de comment il va aborder un morceau, encore plus s'il y a eu des répétitions, MAIS tout ceci ne sert qu'à monter sur scène en étant sûr d'avoir quelque chose de solide à présenter, c'est toujours mieux d'avoir "le sac à malices" bien rempli avant de se lancer dans l'aventure d'un concert de jazz. La spécificité du jazz est que tout peut basculer à tout moment et qu'un "état de grâce" peut surgir brusquement qui fait que l'interprétation d'un ou plusieurs morceaux sera complètement différente de ce qui avait été minutieusement prévu en répétition. Ça s'appelle le swing (à distinguer du groove), l'inspiration foudroyante qui transcende tout et tous en s'imposant comme une évidence totale, et ça, bien évidemment ne se prépare pas. C'est ce que ça signifie quand on dit qu'il faut travailler beaucoup, apprendre plein de choses, et tout oublier au moment de jouer (en gros laisser son subconscient diriger la manœuvre...) Et en dehors de ces instants fulgurants, ce qui a été préparé (avec des degrés plus ou moins profonds de précision) prend le relais. Mais soyons clair, ce que recherche un jazzman, ce qui justifie tous les efforts qu'il a faits, ce sont ces instants magiques du swing, dont on ne sait jamais si ou quand ils vont arriver.
Même en débutant le piano jazz, je n'apprends pas de chorus par coeur, perso... Ce que je retiens, c'est plutôt des motifs de plusieurs notes/accords à caser sur certaines mesures, et ce n'est pas pour les "réciter" : au moment de les jouer, la façon dont ils tombent rythmiquement, dont je les répète, décale, séquence, rappelle à l'oreille (ou non) quelques phrases plus loin ne dépend que de ce qui me traverse la tête sur le moment. Ça demande d'apprendre le morceau avec ses oreilles plutôt qu'avec ses yeux. Par contre clairement ça demande une quantité de travail monstrueuse pour connaître aussi bien la grille, avec un certain nombre de variations et de palettes de couleurs différentes, pour raconter l'histoire différemment selon l'instant.
@@Eldorias Impressionnant..je veux bien vous croire eu égard au talent et la maîtrise de leur art. Me diriez vous pareillement de l'un ou le plus long chorus de l'histoire du jazz , celui de Paul Gonsalvez a New Port, jouant dans l'orchestre de Duke, Crescendo an diminuendo in blue ?
Musical paradise !!!
Never heard of Didier before seeing this. Best jazz violinist I’ve ever heard….has the right feel. The duo is exemplary
2 Grands musiciens 🙏🙏
Qu’y a-t-il de plus beau ? ❤️❤️❤️
Comme un instant suspendu avec ces deux artistes généreux dans leur musique.
Que dites vous ? Qu'ils sont morts ? Mais non ces êtres exceptionnels ne meurent pas même s'ils ne sont plus parmi nous. Deux talents fabuleux !
.Messieurs bravo il y'a du génie et michel malgré tes infirmités tu étais un magnifique jazz man ainsi que ton compère pour cette soirée RIP aux deux
Just amazing!
2 génies de la musique et de l'improvisation
extraordinario ... gracias, dominique !!
Ce petit bout de langue qui dépasse est si révélateur de l'immersion totale dans la partition, signe d'une très grande concentration. On voit l'enfant qu'il a toujours été, c'est tellement touchant.
Époustouflant, Sublime ! Merci !!!
Magnifique jazz en duo piano-violon, mais aussi une improvisation d'enfer ..Deux grands talents inoubliables et quel feeling ...!!
The Amazing "Three Four Time" Rhythm !!
Deux Grands !!!! un moment superbe
Another "typical" performance from Michel. He was an incredibly moving and riveting pianist. RIP to them both.
Le meilleur de la musique !
On ne vous oubliera jamais !
Absolument éblouissant. Quel magnifique dialogue !!!!
very good piano solo - he plays like it matters to him - Didier plays great too ! RIP DL. I used to socialise with George Brown (drummer with Sonny Rollins and Didier)when I was a kid. RIP George. A very beautiful duet here. A lot of joy and love.
Merci ! Dominique , deux musiciens que j'adorais et que j'adorerais toujours ! Magnifique ! Mes amitiés! (un ex batteur entre autre de Rhoda Scott et d'autres artistes )
RIP Didier Lockwood - 11 février 1956 / 18 février 2018.
OMG!
Вечная память двум великим джазовым музыкантам!
Fier de nos artistes Français, ils traverseront les générations .
La virtuosité et le lyrisme à l'état pur pour les quatre des meilleures oreilles du Jazz français. Quelle merveille de les voir s'amuser ainsi en totale communion d'esprit et de cœur. Miraculeux duo pour une version exceptionnelle unique de ce standard légendaire.
extraordinaire .
OMG le solo de Petrucciani!!! Merci pour la vidéo 😊
un solo de piano génial.
Fabuleuse interprétation !!
This is freedom
Amazing solos by both masters! Thank you for sharing this gorgeous performance video. It's good to hear Didier playing straight ahead stuff.
Je suis devasté encore un pan de ma jeunesse qui fout le camp
2eme plus enorme souvenir de concert de jazzrock concert dantesque de 3 h au zenith de Grenoble ( alpexpo ) en 90 1h15 uzeb 1h00 Didier Lockwood Group et 0h45 Uzeb Lockwood tournee phoenix 80 pontieux verneret
Ce mec a été une des locomotove du Label JMS de Jean Marie Salani dans les années 80
Apres avoir débuté dans Magma et apres l'episode Surya il aenregistré son premier album New World avec le geantissime Tony Williams et son 1er live In Montreux avec Gerry Brown et Jan Hammer
Je me souviens avoir discuté avec lui au restau chinois en face du New Morning avnt un concert de Mike Stern
Benoit Sourisse ( qui fut jadis tout comme moi au lycée Stendhal de Grenoble ) et devint ( apres le depart de Ponthieux et Verneret chez Nouro ) la clavier deDidier Lockwood doit entre bien triste lui aussi aujourd'hui
Allez Didier sur que comme Zebulon tu danceras toujoujours dans nos coaur avec les éyoiles au dela de Kobaia et de La voie Lactée
Просто потрясающе!
Fantastiques !
totally stunning
ils auraient joué petit papa noèl , en chef d'œuvre , quel talent , merci , ils sont partis tous les deux , Didier , à ce jour .
Ils vont se retrouver pour continuer la fiesta jazz !!
cest vrai que ça donne envie d'allet au ciel , mais rien que de les écouter , on y est déjà . Patriccianni était hyper marrant
Didier a pu rejoindre son ami Michel et jouent tous les deux au paradis
une pure merveille ! ! !
Merci , pour votre générosité . amicalement .
hahaha c'est trop beau comme il s'amusent au début
Fantastic stuff! Michel, in his solo, seems to give brief nods to the 1961 Miles Davis recording… there are reminiscences of Wynton Kelly’s solo, and even of Trane’s solo, but then he continues to take us further on a journey to discover more dazzling beauty! Didier’s solo is also great, and their banter is much fun to watch and listen to. Does anyone know the date of the performance?
Dentro aveva un universo di note e d amore
michel petrucciani mi pianista favorito!
Bravo comme sur un nuage
Je me souviens un grand moment !
J 'ai discuté le jour de ce concert avec Didier Lockwood au kiosque à journaux de la gare de Lyon à Paris. Nous feuilletions cote à cote Jazz magazine dont il faisait la couverture. Il rejoignait Petru ,arrivant de NewYork directement à Vienne. Je lui demande s'ils allaient répéter, ce à quoi il me répond: Pas besoin, nous jouerons quelques standards et voilà...Quel concert ce fut..!(vu sur youtube plus tard) J' allais moi jouer ce même soir au Bec de Jazz à Lyon avec Tchangodeï et Itaru Oki
Quand je pense qu'un jour une musicienne m'a dit " il sait pas jouer Lockwood" . J'ai rien dit et l'ai regardé en souriant...
Thanks for sharing this !!! A great moment of improvised music, more than one solo, a second one, and finally the third is a two in one :)
👍👍 Bravo!
great piano solo!!
Une rencontre !♡``~~!○°♡~~``quel bonheur ensemble !
Maravilhoso
Ensemble au Paradis du Jazzzzzzz
SUPER!!!!!!!!!
Grandioos
OMG - Wauw
I can't believe what I'm hearing.
M E R C I
Ils jamment au paradis des jazzmen avec Stéphane Grappelli, Joe Zawinul, Wayne Shorter, Jaco Pastorius, Chick Corea, Michael Brecker, Chet Baker, Joey di Francesco, Paco de Lucia, Django Reinhardt et même Prince et Jeff Beck, et tant d'autres ...
prodigieux
Most good pianists have 'big hands'. The 'Tools' of Michael Petrucciani looks like that of basketball players
Omg!!! This is nor real!!! Wonderful neaw in 2023
Superbe, Avez-vous l'ensemble du concert ?
❤️❤️🙏🙏
Started off a little tame, Then Michel started getting down and jazzy with it.
Really doing his thing, dig? In response Didier got jazzy and freaky with that fiddle.
And then they both got down to it and battled musically like some anime from heaven.
Absolutely beautiful.
😍😍
So that's Dider Lockwood? Patruciani is actually the deal here
I think Lockwood held up his part of the deal.
1:35
est-ce au festival de Jazz de Vienne ?
+Richard Denis Saint Pol Minier oui !
Grandissimo ma, a mio parere, sottovalutato da una critica alla ricerca di avanguardie di maniera.
Year of recording?
l'improvisation, vaste sujet. Il faut énormément de travail et d'expérience pour ce qui va donner une variante à la marge. En fait ils ont composé leurs chorus et s'en souviennent. Ils jouent le meilleur de ce qu'ils ont créé durant la préparation du concert ou de la tournée. On admire l'impro mais ce n'est pas une fin en soi. Ce qui compte est ce qui est joué au moment du spectacle, impro ou pas.
KAZO "ils ont composé leurs chorus et s'en souviennent"... Heu... Non !
Je prends un exemple fameux, le chorus d'Illinois Jacquet dans Flying Home, qui s'est intégré au morceau. Il existe quantité de cas de figure mais une chose est sûre, toutes les impro ne se valent pas et c'est un aspect de la valeur d'un musicien et plus encore du leader d'une formation que de faire le tri, de réguler en particulier la durée du solo. Le cas du solo probablement improvisé et laissé en "liberté" par Duke, celui de Paul Gonsalvez dans Diminuendo and Crescendo in Blue, à Newport en 1956, est très rare. Il fallait le talent des deux hommes pour cela se produisît. Je ne suis pas musicologue mais j'ai entendu tant de fois, surtout des musiciens américains, que les morceaux étaient strictement préparés, répétés. C'est grâce à ce travail exigeant qu'ils peuvent sur scène jouer à l'aise, comme si c'était aussi simple que de machouiller un shewing gum.
Une impro qui finit par faire partie d'un morceau a beaucoup à voir avec l'aspect commercial et bien sûr aussi avec l'aspect artistique, tout cela arrive quand une oeuvre commence à durer, le public veut entendre le morceau tel qu'il a été rendu celèbre. Quand un jazzman prépare strictement un solo, c'est qu'il n'est pas un "grand". Jouer du jazz, c'est travailler à la maison pendant toute sa vie des choses nouvelles, des gammes, des harmonies, des rythmes, des manières de faire, etc... nouveaux qui s'intègrent naturellement dans les impros quand ils ont suffisamment mûri dans le cerveau du musicien. Bien sûr, avec l'expérience, un jazzman devient de plus en plus habile à manipuler les formes, les accords, les rythmes, et quand il commence un concert il se fait une idée assez précise de comment il va aborder un morceau, encore plus s'il y a eu des répétitions, MAIS tout ceci ne sert qu'à monter sur scène en étant sûr d'avoir quelque chose de solide à présenter, c'est toujours mieux d'avoir "le sac à malices" bien rempli avant de se lancer dans l'aventure d'un concert de jazz. La spécificité du jazz est que tout peut basculer à tout moment et qu'un "état de grâce" peut surgir brusquement qui fait que l'interprétation d'un ou plusieurs morceaux sera complètement différente de ce qui avait été minutieusement prévu en répétition. Ça s'appelle le swing (à distinguer du groove), l'inspiration foudroyante qui transcende tout et tous en s'imposant comme une évidence totale, et ça, bien évidemment ne se prépare pas. C'est ce que ça signifie quand on dit qu'il faut travailler beaucoup, apprendre plein de choses, et tout oublier au moment de jouer (en gros laisser son subconscient diriger la manœuvre...) Et en dehors de ces instants fulgurants, ce qui a été préparé (avec des degrés plus ou moins profonds de précision) prend le relais. Mais soyons clair, ce que recherche un jazzman, ce qui justifie tous les efforts qu'il a faits, ce sont ces instants magiques du swing, dont on ne sait jamais si ou quand ils vont arriver.
Même en débutant le piano jazz, je n'apprends pas de chorus par coeur, perso... Ce que je retiens, c'est plutôt des motifs de plusieurs notes/accords à caser sur certaines mesures, et ce n'est pas pour les "réciter" : au moment de les jouer, la façon dont ils tombent rythmiquement, dont je les répète, décale, séquence, rappelle à l'oreille (ou non) quelques phrases plus loin ne dépend que de ce qui me traverse la tête sur le moment. Ça demande d'apprendre le morceau avec ses oreilles plutôt qu'avec ses yeux.
Par contre clairement ça demande une quantité de travail monstrueuse pour connaître aussi bien la grille, avec un certain nombre de variations et de palettes de couleurs différentes, pour raconter l'histoire différemment selon l'instant.
@@Eldorias Impressionnant..je veux bien vous croire eu égard au talent et la maîtrise de leur art.
Me diriez vous pareillement de l'un ou le plus long chorus de l'histoire du jazz , celui de Paul Gonsalvez a New Port, jouant dans l'orchestre de Duke, Crescendo an diminuendo in blue ?
Sadly ... both are dead now....