C'est en rien une erreur d'avoir adapté le livre de Vanessa springora. Personnellement je lis des livres que très rarement et j'ai plus de facilités à regarder des films (ce qui est le cas de beaucoup de personnes aujourd'hui). Ce film m'a fait un électrochoc par rapport à des histoires de famille et fait comprendre que la manipulation fait totalement partie du processus d'abus des pédophiles, là où j'imaginais qu'ils utilisaient plus la force ou la peur lié à une position d'autorité. Ce film est salutaire et le sera pour beaucoup de monde. Il doit même servir dans certains lieux pour faire de la prévention
@@teobolt7235 je trouve la chronique complètement à côté du sujet, uniquement dans des bavassements pseudo intellectuels foireux. Au vu de l'importance du sujet c'est honteux.
au lieu de mettre des sous pour réunir des avocats et mettre tous ses parasites en prison, on on réoriente cette argent et on en fait des films tout en faisant la promo de se Pédocriminel qui touchera sa part de benefice. c'est comme sound of système il ya plus de succès au ciné qu'au tribunal. se film n'est pas de la prevention, car la prevention se fait avec des lois solide contre ses gens la hors ce n'est pas le cas et la prevention se fait aussi avec une famille qui élève bien ses enfants elle est la la première Prevention. Depuis quand un film c'est une prevention ??? mettez vous a la place de tous ses gens qui se sont fait manipuler abuser et certaines violé et qui ont du mal a s'en remettre ou qui n'ont pas été dédommager a leurs justes valeurs quand ils verront l'affiche de se film qui mets en avant cette personne qui a normalement sa place en prison et qui va gagner des droits d'auteurs. est ce comme ca qu'on honore les victimes de ses prédateurs déranger malades et dégeu !!!
Les mêmes critiques qui 40 ans en arrière aurait encensés ce pédophile publique se permet d’insulter une réalisatrice et l’histoire dégoûtante qui est arrivée à cette jeune fille … La femme a une façon tellement détachée , sans âme et sans cœur de parler de l’histoire de cette gamine … Aucune empathie pour le traumatisme de cette fille devenue femme et de tout ces enfants ici où ailleurs qui ont été traumatisés à vie … J’invite les gens qui me lisent à aller voir ce film .
Tout à fait d'accord - et la critique ne reconnaît nullement le travail de Kim Higelin - elle parle "cinéma" mais pas de ce qu'est le travial du cinéma - les acteurs, les écrivaines, la mise-en-scène
15:43 pardon ? « Est ce qu’on a envie de saluer une performance comme ça » … mais est ce qu on a envie d entendre des critiques aussi peu intéressantes, subjectives et faussement intellectualisées ? Il y a des images qui se passent de commentaires et d analyses! Et surtout il y a des choses qui paraissent très compliquées mais qui sont en réalité très simple , Un milieu d intellectuels au sentiment d être tout puissant à la recherche d extravagances en tout genre , se couvrant scandaleusement les uns les autres , une jeune ado fragilisée par son milieu familial que la mère offre inconsciemment à un prédateur pedophile « charismatique » et la dégringolade psychologique quand petit à petit tout est conscientisé et assimilé concrètement par la jeune fille . Le piège que lui a tendu son âge et les tourments qui vont avec , sa propre famille , tous les adultes qui l entourent et la société qui ferme les yeux , dans les années 80 comme de NOS JOURS encore , le film le transcrit très bien . Puissent il être préventif pour la jeunesse , puisse t’il déculpabiliser des victimes ..et puisse t’il participer à continuer de dénoncer inlassablement les criminels et les complices .
Ce débat me semble fait et refait. Doit on oui ou non adapté les livres au cinéma ? Ce film est à mon sens nécessaire. Oui des gens ne lisent pas et préfère aller au cinéma (j’en fait partie) mais ce film EST NÉCESSAIRE, insoutenable écœurant mais nécessaire !! Je suis tellement heureuse que l’histoire de Vanessa Springora soit plus connue du public, ça encouragera sans doute à lire le livre. Pour ma part le film a réussi son dû, il a enfermé le monstre aux yeux de tous. Quelle délivrance qu’après deux heures d’impuissance on puisse enfermer un être écœurant là où il devrait être en cage !!
Ce n'est pas une histoire d'amour entre les deux, c'est une histoire d'amour pour Vanessa ado et une histoire de manipulation, d'emprise et de perversion pour matzneff. Ça montre que vous n'avez rien compris
Oui et de pédocriminalité. En général les pédocriminels séduisent leurs victimes en particulier à ces âges-là et ils choisissent toujours les mêmes profiles. De manière globale ils appellebt cela du grooming en anglais.
@@edwigeguerin894 Et surtout familial. 50 % des actes pédophiles seraient commis dans ces milieux. Si c’était possible, il faudrait faire un film sur l’affaire de Villiers. Laurent le plus jeune fils de Philippe de Villiers avait porté plainte contre son frère aîné Guillaume qui l’avait semble-t-il violé quand il n’avait que 10 ans.
Si vous ne voulez voir que le côté esthétique il faut bien remarquer la justesse du jeu des deux principaux acteurs et je trouve qu'on assiste à la naissance d'une très grande actrice en la personne de Kim Higelin. Le jeu des acteurs fait aussi partie de la critique des films, normalement.
C'est tellement bien joué que ça crée le malaise. Jean Paul Rouve ressemble à un vrais pervers manipulateur. Et la fille a une jeune ados naïf amoureuse et totalement perdue. J'ai été très mal à l'aise en regardant le film tellement c'est réaliste et bien fait . J'aurais préféré que ce soit mal joué et moins explicite. Mais ça prouve une chose c'est que Gabriel Mazdef est un vrais pervers et j'espère que ce film lui a fait du mal à ce vieux pédophile.
C'est tellement bien joué que ça crée le malaise. Jean Paul Rouve ressemble à un vrais pervers manipulateur. Et la fille a une jeune ados naïf amoureuse et totalement perdue. J'ai été très mal à l'aise en regardant le film tellement c'est réaliste et bien fait . J'aurais préféré que ce soit mal joué et moins explicite. Mais ça prouve une chose c'est que Gabriel Mazdef est un vrais pervers et j'espère que ce film lui a fait du mal à ce vieux pédophile.
C'est tellement bien joué que ça crée le malaise. Jean Paul Rouve ressemble à un vrais pervers manipulateur. Et la fille a une jeune ados naïf amoureuse et totalement perdue. J'ai été très mal à l'aise en regardant le film tellement c'est réaliste et bien fait . J'aurais préféré que ce soit mal joué et moins explicite. Mais ça prouve une chose c'est que Gabriel Mazdef est un vrais pervers et j'espère que ce film lui a fait du mal à ce vieux pédophile.
Vous avez raison - le boulot de Kim Higelin et Jean-Paul Rouve est énorme, et celui de Laetitia Casta aussi - elle est en retraite par rapoort aux deux principaux, mais elle contirube fortement....
😮 pas d accord du tout avec cette critique pseudo intellectuelle.c est un film qui colle exactement a la réalité du livre ...je suis sorti bouleversé de ce film. Très bonne adaptation, les acteurs jouent juste et l adaptation n est pas voyeuriste et heureusement.....vous vous trompez carrément
" pseudo" intellectuel, c'est bien (malheureusement) ça.... Ceux-là cautionnent ces horreurs, ce pedo la même, viens de CE milieu même..... Tout est dit....
c'est jamais une erreur d'adapté pour en faire un film , surtout quand tout est fait pour en faire un bon film le cinéma est le roi des arts le film est choquant et il montre pour démontré on peut choisir de faire un film qui ne montre rien perso je prefere que le film montre sont sujet qu'il soit choquant si il le faut pour marquer les gens un film peut changer une personne , un film peut faire comprendre des choses aux gens ce genre de film peut permettre a des personnes de prendre conscience des predateurs / des monstres qui existent la femme dedans raconte n'importe quoi
Le livre est grandiose, je l'ai dévoré une nuit durant, le film que je n'ai pas encore vu doit l'être tout autant, c'est un sujet de société profond, qui a une place incontournable, oui ce film était nécessaire pour mettre en lumière les profondeurs noires de l'ombre des prédateurs qui agissent encore en toute impunité, et oui il faut enfermer d'une façon ou d'une autre les criminels sexuels dans les prisons, dans les livres où autres... comment ne pas être bouleversée et sensibilisée par l'emprise que subissent des millions d'enfants et d'adultes fragiles.... Comment accepter autant de violence ? c'est la question
Vous ne semblez pas avoir lu le livre dans le détail, dans ce qu'il dit. Que Matzneff soit un pédocriminel dans d'autres cas, oui mais pas avec Springora qui a 14 ans (donc adolescente et non enfant car le mot pédo veut dire enfant). La majorité sexuelle en France est 15 ans et en Allemagne 14. De plus, elle dit qu'elle était amoureuse de lui et qu'il a été d'une grande délicatesse en plus de vouloir une telle relation (milieu littéraire). Qu'elle ait une faille affective, c'est son problème. Elle dit et vous êtes priée de lire et de relire : « La situation aurait été bien différente si, au même âge, j’étais tombée follement amoureuse d’un homme de cinquante ans qui, en dépit de toute morale, avait succombé à ma jeunesse, après avoir eu des relations avec nombre de femmes de son âge auparavant, et qui, sous l’effet d’un coup de foudre irrésistible, aurait cédé, une fois, mais la seule, à cet amour pour une adolescente. Oui, alors là, d’accord, notre passion extraordinaire aurait été sublime, c’est vrai, si j’avais été celle qui l’avait poussé à enfreindre la loi par amour, si au lieu de cela G. n’avait pas rejoué cette histoire cent fois tout au long de sa vie ; peut-être aurait-elle été unique et infiniment romanesque, si j’avais eu la certitude d’être la première et la dernière, si j’avais été, en somme, dans sa vie sentimentale, une exception. Comment ne pas lui pardonner, alors, sa transgression ? L’amour n’a pas d’âge, ce n’est pas la question. » Alors ? « L’amour n’a pas d’âge, ce n’est pas la question. » Phrase-clef. Ce qui corrobore qu’elle voulait que Matzneff fût conforme à son fantasme de Prince charmant. Ni plus ni moins. Deux ans plus tard, elle lui écrit une lettre d'amour. En fait, ce qu'elle n'a pas supporté, c'est qu'il ne corresponde pas à son fantasme. Transposons. Une femme de trente ans sort avec un homme (son fantasme) et s'aperçoit qu'il est un Casanova. Oui et alors ? Cela arrive tous les jours et de l'autre côté aussi. Le mot emprise est encore un mot bidon car qui n'est pas sous emprise en étant amoureux ?
Vous ne semblez pas avoir lu le livre dans le détail, dans ce qu'il dit. Qu'il soit un p*docriminel dans d'autres cas, oui mais pas avec elle qui a 14 ans (donc adolescente et non enfant car le mot p*do veut dire enfant). La majorité sexuelle en France est 15 ans et en Allemagne 14. De plus, elle dit qu'elle était amoureuse de lui et qu'il a été d'une grande délicatesse en plus de vouloir une telle relation (milieu littéraire). Qu'elle ait une faille affective, c'est son problème. Elle dit et vous êtes priée de lire et de relire : « La situation aurait été bien différente si, au même âge, j’étais tombée follement amoureuse d’un homme de cinquante ans qui, en dépit de toute morale, avait succombé à ma jeunesse, après avoir eu des relations avec nombre de femmes de son âge auparavant, et qui, sous l’effet d’un coup de foudre irrésistible, aurait cédé, une fois, mais la seule, à cet amour pour une adolescente. Oui, alors là, d’accord, notre passion extraordinaire aurait été sublime, c’est vrai, si j’avais été celle qui l’avait poussé à enfreindre la loi par amour, si au lieu de cela G. n’avait pas rejoué cette histoire cent fois tout au long de sa vie ; peut-être aurait-elle été unique et infiniment romanesque, si j’avais eu la certitude d’être la première et la dernière, si j’avais été, en somme, dans sa vie sentimentale, une exception. Comment ne pas lui pardonner, alors, sa transgression ? L’amour n’a pas d’âge, ce n’est pas la question. » Alors ? « L’amour n’a pas d’âge, ce n’est pas la question. » Phrase-clef. Ce qui corrobore qu’elle voulait qu'il fût conforme à son fantasme de Prince charmant. Ni plus ni moins. Deux ans plus tard, elle lui écrit une lettre d'amour. En fait, ce qu'elle n'a pas supporté, c'est qu'il ne corresponde pas à son fantasme. Transposons. Une femme de trente ans sort avec un homme (son fantasme) et s'aperçoit qu'il est un Casanova. Oui et alors ? Cela arrive tous les jours et de l'autre côté aussi. Le mot emprise est encore un mot bidon car qui n'est pas sous emprise en étant amoureux ?
A propos du consentement: Critiques nulles: vu du petit bout de la lorgnette. Je ne sais plus qui disait que les critiques etaient des artistes ratés. On entend un peu d aigreur a travers des paroles " toutes faites" genre critiquer le fait qu un livre soit porté a l ecran je ne sais plus quoi pfff Si vous n avez rien a dire d interessant et construit vous pouvez parler d autres films.
Une interview de Gabriel Matzneff après avoir vu le film ? Et si sa condamnation juridique était d'ordre artistique avec le visionnage forcé de l'art à la parole libre ? Et dire que cet homme ne comprend toujours pas ses victimes... Inconscience, quand tu nous tiens, tu ne fais pas de bien aux autres.
Avec un acteur aussi moche et caricatural que Jean paul Rouve ( jeff Tuche ) on ne peut rien comprendre a l'attirance de jeunes filles pour GM ( on l'appelait l'archange ! ) ...
A la femme insensible (ouais ils disent le nom je crois, mais vu les propos pseudo intellectuels pour se faire passer pour sachante et prendre tout le monde de haut, pas envie de le retenir ni même de faire l'effort de le retrouver) qui dit clairement qu'il ne faut pas adapter tout et n'importe quoi en livre, oui, ok. Sauf que là il était primordial de l'adapter : sauf si on recherche un peu, tout le monde ne connaissait pas le livre de Vanessa springora. Le fait de le mettre sur grand écran permet de le faire connaître et surtout de mettre en lumière ce genre d'histoire qui peut encore être cautionnée de nos jours je n'en doute pas, et de mettre en lumière le monstre qu'était matzneff, pour éviter que d'autres jeunes filles/hommes tombent dans le piège de ce genre de prédateurs. Donc attention à vos propos, madame.
La critique de la nana est complètement nulle. Elle montre surtout qu'elle ne connait rien au sujet et qu'elle est incapable de comprendre l'impact que ce film peut avoir sur le grand public par rapport au sujet. A trop se vouloir intellectuelle et esthète, on ne critique que des à côtés et on passe à côté de l'essentiel. Comme toujours. Les '' beaux discours '' de la bourgeoisie qui se perd dans la '' grandeur de son esprit analytique '' mais qui ne produit que du vent. Totalement à côté de la plaque. Hors réel
Ça n a rien de bourgeois son analyse. La bourgeoisie était une caste sociale qui vivait dans les bourg et était surtout marchands et donc générerait de l argent. Vous dites n importe quoi. Après que son analyse ne vous convienne pas c est autre chose. Mais ça n a rien de Bourgeois. Pfff...
@@marnie5482 je ne parle ni au sens historique, des bourgs et marchands, ni au sens marxiste, détenteurs de capitaux et exploitants, mais au sens commun pour le quel la bourgeoisie désigne la classe moyenne, celle qui se croit détentrice du bon savoir et de la bonne culture. Rappelons que les musées ont d'ailleurs été fondés par la bourgeoisie post- révolution française et ont instauré le début de '' la bonne culture bourgeoise '' que chacun devrait atteindre par l'effort et le '' mérite'', là où la bonne culture noble était liée auparavant à la naissance
Je dirai même plus. A vouloir faire une critique uniquement formelle, esthétique ou cinématographique en occultant complètement le sujet - il n''y a pas de sujet dans l''art (tient, ça c'est du Mazneff), cela démonter que ce microcosme continue à se fourvoyer. Se rend-elle compte de la perversité de cette posture ? C'est beaucoup plus dangereux que du vent, à mon humble avis.
Pourquoi ne pas parler des ressors de la pedocriminalité? De l'impunité de ces pratiques criminelles. Et s'il faut resserrer sur le cas de M. citer quelques uns de ses amis "bienfaiteurs": Mitterand, Solers, BHL, Bergé etc.
Il était nécessaire ce film j ai emmené voir mon ado elle a compris de faire attention aux prédateurs comme mazneff, interview intéressant le monsieur parle bien mais la dame j ai du mal a la comprendre
C'est en rien une erreur d'avoir adapté le livre de Vanessa springora. Personnellement je lis des livres que très rarement et j'ai plus de facilités à regarder des films (ce qui est le cas de beaucoup de personnes aujourd'hui). Ce film m'a fait un électrochoc par rapport à des histoires de famille et fait comprendre que la manipulation fait totalement partie du processus d'abus des pédophiles, là où j'imaginais qu'ils utilisaient plus la force ou la peur lié à une position d'autorité. Ce film est salutaire et le sera pour beaucoup de monde. Il doit même servir dans certains lieux pour faire de la prévention
Tout à fait d'accord avec vous
@@teobolt7235 je trouve la chronique complètement à côté du sujet, uniquement dans des bavassements pseudo intellectuels foireux. Au vu de l'importance du sujet c'est honteux.
@@veromescla4445 c'est le métier des critiques: bavasser.
🤮
au lieu de mettre des sous pour réunir des avocats et mettre tous ses parasites en prison, on on réoriente
cette argent et on en fait des films tout en faisant la promo de se Pédocriminel qui touchera sa part de benefice.
c'est comme sound of système il ya plus de succès au ciné qu'au tribunal.
se film n'est pas de la prevention, car la prevention se fait avec des lois solide contre ses gens la
hors ce n'est pas le cas et la prevention se fait aussi avec une famille
qui élève bien ses enfants elle est la la première Prevention. Depuis quand un film c'est une prevention ???
mettez vous a la place de tous ses gens qui se sont fait manipuler abuser et certaines violé
et qui ont du mal a s'en remettre ou qui n'ont pas été dédommager a leurs justes valeurs
quand ils verront l'affiche de se film qui mets en avant cette personne qui a normalement sa place
en prison et qui va gagner des droits d'auteurs. est ce comme ca qu'on honore les victimes
de ses prédateurs déranger malades et dégeu !!!
Si, si,il faut le sortir. Que un max de monde soit au courant.
Les mêmes critiques qui 40 ans en arrière aurait encensés ce pédophile publique se permet d’insulter une réalisatrice et l’histoire dégoûtante qui est arrivée à cette jeune fille …
La femme a une façon tellement détachée , sans âme et sans cœur de parler de l’histoire de cette gamine … Aucune empathie pour le traumatisme de cette fille devenue femme et de tout ces enfants ici où ailleurs qui ont été traumatisés à vie …
J’invite les gens qui me lisent à aller voir ce film .
exactement ce que je me disais..
J'y ai vu la même chose .... Démonstration d'une belle ******** intellectuelle
Tout à fait d'accord - et la critique ne reconnaît nullement le travail de Kim Higelin - elle parle "cinéma" mais pas de ce qu'est le travial du cinéma - les acteurs, les écrivaines, la mise-en-scène
15:43 pardon ? « Est ce qu’on a envie de saluer une performance comme ça » … mais est ce qu on a envie d entendre des critiques aussi peu intéressantes, subjectives et faussement intellectualisées ?
Il y a des images qui se passent de commentaires et d analyses!
Et surtout il y a des choses qui paraissent très compliquées mais qui sont en réalité très simple ,
Un milieu d intellectuels au sentiment d être tout puissant à la recherche d extravagances en tout genre , se couvrant scandaleusement les uns les autres , une jeune ado fragilisée par son milieu familial que la mère offre inconsciemment à un prédateur pedophile « charismatique » et la dégringolade psychologique quand petit à petit tout est conscientisé et assimilé concrètement par la jeune fille .
Le piège que lui a tendu son âge et les tourments qui vont avec , sa propre famille , tous les adultes qui l entourent et la société qui ferme les yeux , dans les années 80 comme de NOS JOURS encore , le film le transcrit très bien . Puissent il être préventif pour la jeunesse , puisse t’il déculpabiliser des victimes ..et puisse t’il participer à continuer de dénoncer inlassablement les criminels et les complices .
Ce débat me semble fait et refait. Doit on oui ou non adapté les livres au cinéma ? Ce film est à mon sens nécessaire. Oui des gens ne lisent pas et préfère aller au cinéma (j’en fait partie) mais ce film EST NÉCESSAIRE, insoutenable écœurant mais nécessaire !! Je suis tellement heureuse que l’histoire de Vanessa Springora soit plus connue du public, ça encouragera sans doute à lire le livre. Pour ma part le film a réussi son dû, il a enfermé le monstre aux yeux de tous. Quelle délivrance qu’après deux heures d’impuissance on puisse enfermer un être écœurant là où il devrait être en cage !!
Ce n'est pas une histoire d'amour entre les deux, c'est une histoire d'amour pour Vanessa ado et une histoire de manipulation, d'emprise et de perversion pour matzneff. Ça montre que vous n'avez rien compris
Oui et de pédocriminalité. En général les pédocriminels séduisent leurs victimes en particulier à ces âges-là et ils choisissent toujours les mêmes profiles.
De manière globale ils appellebt cela du grooming en anglais.
@@edwigeguerin894
Et surtout familial.
50 % des actes pédophiles seraient commis dans ces milieux.
Si c’était possible, il faudrait faire un film sur l’affaire de Villiers.
Laurent le plus jeune fils de Philippe de Villiers avait porté plainte contre son frère aîné Guillaume qui l’avait semble-t-il violé quand il n’avait que 10 ans.
Si vous ne voulez voir que le côté esthétique il faut bien remarquer la justesse du jeu des deux principaux acteurs et je trouve qu'on assiste à la naissance d'une très grande actrice en la personne de Kim Higelin. Le jeu des acteurs fait aussi partie de la critique des films, normalement.
C'est tellement bien joué que ça crée le malaise. Jean Paul Rouve ressemble à un vrais pervers manipulateur. Et la fille a une jeune ados naïf amoureuse et totalement perdue. J'ai été très mal à l'aise en regardant le film tellement c'est réaliste et bien fait . J'aurais préféré que ce soit mal joué et moins explicite. Mais ça prouve une chose c'est que Gabriel Mazdef est un vrais pervers et j'espère que ce film lui a fait du mal à ce vieux pédophile.
C'est tellement bien joué que ça crée le malaise. Jean Paul Rouve ressemble à un vrais pervers manipulateur. Et la fille a une jeune ados naïf amoureuse et totalement perdue. J'ai été très mal à l'aise en regardant le film tellement c'est réaliste et bien fait . J'aurais préféré que ce soit mal joué et moins explicite. Mais ça prouve une chose c'est que Gabriel Mazdef est un vrais pervers et j'espère que ce film lui a fait du mal à ce vieux pédophile.
C'est tellement bien joué que ça crée le malaise. Jean Paul Rouve ressemble à un vrais pervers manipulateur. Et la fille a une jeune ados naïf amoureuse et totalement perdue. J'ai été très mal à l'aise en regardant le film tellement c'est réaliste et bien fait . J'aurais préféré que ce soit mal joué et moins explicite. Mais ça prouve une chose c'est que Gabriel Mazdef est un vrais pervers et j'espère que ce film lui a fait du mal à ce vieux pédophile.
Vous avez raison - le boulot de Kim Higelin et Jean-Paul Rouve est énorme, et celui de Laetitia Casta aussi - elle est en retraite par rapoort aux deux principaux, mais elle contirube fortement....
D'accord avec les commentaires que ces chroniqueurs sont bien à côté de la plaque
Ils mélangent tout c'est fou
😮 pas d accord du tout avec cette critique pseudo intellectuelle.c est un film qui colle exactement a la réalité du livre ...je suis sorti bouleversé de ce film. Très bonne adaptation, les acteurs jouent juste et l adaptation n est pas voyeuriste et heureusement.....vous vous trompez carrément
" pseudo" intellectuel, c'est bien (malheureusement) ça.... Ceux-là cautionnent ces horreurs, ce pedo la même, viens de CE milieu même..... Tout est dit....
Ça fait 7 min et le mot pédocriminel ou pédocriminalité n'a toujours pas été prononcé.
Incroyable, ...
Tout à fait - toujours le blablabla et pas voir la réalité des choses
Il a vraiment dit histoire d'amour ?
A lire et à voir tout comme "sound of freedom " pour un réveil des consciences. 🕊 face au sound of silence des mérdias.
Oui, c’est un film absolument nécessaire.
c'est jamais une erreur d'adapté pour en faire un film , surtout quand tout est fait pour en faire un bon film
le cinéma est le roi des arts
le film est choquant et il montre pour démontré
on peut choisir de faire un film qui ne montre rien perso je prefere que le film montre sont sujet qu'il soit choquant si il le faut pour marquer les gens
un film peut changer une personne , un film peut faire comprendre des choses aux gens
ce genre de film peut permettre a des personnes de prendre conscience des predateurs / des monstres qui existent
la femme dedans raconte n'importe quoi
Le livre est grandiose, je l'ai dévoré une nuit durant, le film que je n'ai pas encore vu doit l'être tout autant, c'est un sujet de société profond, qui a une place incontournable, oui ce film était nécessaire pour mettre en lumière les profondeurs noires de l'ombre des prédateurs qui agissent encore en toute impunité, et oui il faut enfermer d'une façon ou d'une autre les criminels sexuels dans les prisons, dans les livres où autres... comment ne pas être bouleversée et sensibilisée par l'emprise que subissent des millions d'enfants et d'adultes fragiles.... Comment accepter autant de violence ? c'est la question
Vous ne semblez pas avoir lu le livre dans le détail, dans ce qu'il dit. Que Matzneff soit un pédocriminel dans d'autres cas, oui mais pas avec Springora qui a 14 ans (donc adolescente et non enfant car le mot pédo veut dire enfant). La majorité sexuelle en France est 15 ans et en Allemagne 14. De plus, elle dit qu'elle était amoureuse de lui et qu'il a été d'une grande délicatesse en plus de vouloir une telle relation (milieu littéraire). Qu'elle ait une faille affective, c'est son problème.
Elle dit et vous êtes priée de lire et de relire : « La situation aurait été bien différente si, au même âge, j’étais tombée follement amoureuse d’un homme de cinquante ans qui, en dépit de toute morale, avait succombé à ma jeunesse, après avoir eu des relations avec nombre de femmes de son âge auparavant, et qui, sous l’effet d’un coup de foudre irrésistible, aurait cédé, une fois, mais la seule, à cet amour pour une adolescente. Oui, alors là, d’accord, notre passion extraordinaire aurait été sublime, c’est vrai, si j’avais été celle qui l’avait poussé à enfreindre la loi par amour, si au lieu de cela G. n’avait pas rejoué cette histoire cent fois tout au long de sa vie ; peut-être aurait-elle été unique et infiniment romanesque, si j’avais eu la certitude d’être la première et la dernière, si j’avais été, en somme, dans sa vie sentimentale, une exception. Comment ne pas lui pardonner, alors, sa transgression ? L’amour n’a pas d’âge, ce n’est pas la question. » Alors ?
« L’amour n’a pas d’âge, ce n’est pas la question. » Phrase-clef. Ce qui corrobore qu’elle voulait que Matzneff fût conforme à son fantasme de Prince charmant. Ni plus ni moins.
Deux ans plus tard, elle lui écrit une lettre d'amour. En fait, ce qu'elle n'a pas supporté, c'est qu'il ne corresponde pas à son fantasme. Transposons. Une femme de trente ans sort avec un homme (son fantasme) et s'aperçoit qu'il est un Casanova. Oui et alors ? Cela arrive tous les jours et de l'autre côté aussi.
Le mot emprise est encore un mot bidon car qui n'est pas sous emprise en étant amoureux ?
Vous ne semblez pas avoir lu le livre dans le détail, dans ce qu'il dit. Qu'il soit un p*docriminel dans d'autres cas, oui mais pas avec elle qui a 14 ans (donc adolescente et non enfant car le mot p*do veut dire enfant). La majorité sexuelle en France est 15 ans et en Allemagne 14. De plus, elle dit qu'elle était amoureuse de lui et qu'il a été d'une grande délicatesse en plus de vouloir une telle relation (milieu littéraire). Qu'elle ait une faille affective, c'est son problème.
Elle dit et vous êtes priée de lire et de relire : « La situation aurait été bien différente si, au même âge, j’étais tombée follement amoureuse d’un homme de cinquante ans qui, en dépit de toute morale, avait succombé à ma jeunesse, après avoir eu des relations avec nombre de femmes de son âge auparavant, et qui, sous l’effet d’un coup de foudre irrésistible, aurait cédé, une fois, mais la seule, à cet amour pour une adolescente. Oui, alors là, d’accord, notre passion extraordinaire aurait été sublime, c’est vrai, si j’avais été celle qui l’avait poussé à enfreindre la loi par amour, si au lieu de cela G. n’avait pas rejoué cette histoire cent fois tout au long de sa vie ; peut-être aurait-elle été unique et infiniment romanesque, si j’avais eu la certitude d’être la première et la dernière, si j’avais été, en somme, dans sa vie sentimentale, une exception. Comment ne pas lui pardonner, alors, sa transgression ? L’amour n’a pas d’âge, ce n’est pas la question. » Alors ?
« L’amour n’a pas d’âge, ce n’est pas la question. » Phrase-clef. Ce qui corrobore qu’elle voulait qu'il fût conforme à son fantasme de Prince charmant. Ni plus ni moins.
Deux ans plus tard, elle lui écrit une lettre d'amour. En fait, ce qu'elle n'a pas supporté, c'est qu'il ne corresponde pas à son fantasme. Transposons. Une femme de trente ans sort avec un homme (son fantasme) et s'aperçoit qu'il est un Casanova. Oui et alors ? Cela arrive tous les jours et de l'autre côté aussi.
Le mot emprise est encore un mot bidon car qui n'est pas sous emprise en étant amoureux ?
A propos du consentement: Critiques nulles: vu du petit bout de la lorgnette. Je ne sais plus qui disait que les critiques etaient des artistes ratés. On entend un peu d aigreur a travers des paroles " toutes faites" genre critiquer le fait qu un livre soit porté a l ecran je ne sais plus quoi pfff Si vous n avez rien a dire d interessant et construit vous pouvez parler d autres films.
18:20 Cette remarque me fait halluciner. Je n'ai entendu aucune excuse par la suite.
De toute façon, elle a visiblement besoin d'aller voir un psychiatre, elle. Et de se faire soigner.
Une interview de Gabriel Matzneff après avoir vu le film ? Et si sa condamnation juridique était d'ordre artistique avec le visionnage forcé de l'art à la parole libre ? Et dire que cet homme ne comprend toujours pas ses victimes... Inconscience, quand tu nous tiens, tu ne fais pas de bien aux autres.
Si je comprends les commentaires ,le film est très bien pour ceux qui ne lisent pas ( dont on se demande ce qu'ils font sur France Culture)
Oui, ça, ou alors vous n'avez pas compris les commentaires, au choix.
Avec un acteur aussi moche et caricatural que Jean paul Rouve ( jeff Tuche ) on ne peut rien comprendre a l'attirance de jeunes filles pour GM ( on l'appelait l'archange ! ) ...
A la femme insensible (ouais ils disent le nom je crois, mais vu les propos pseudo intellectuels pour se faire passer pour sachante et prendre tout le monde de haut, pas envie de le retenir ni même de faire l'effort de le retrouver) qui dit clairement qu'il ne faut pas adapter tout et n'importe quoi en livre, oui, ok. Sauf que là il était primordial de l'adapter : sauf si on recherche un peu, tout le monde ne connaissait pas le livre de Vanessa springora. Le fait de le mettre sur grand écran permet de le faire connaître et surtout de mettre en lumière ce genre d'histoire qui peut encore être cautionnée de nos jours je n'en doute pas, et de mettre en lumière le monstre qu'était matzneff, pour éviter que d'autres jeunes filles/hommes tombent dans le piège de ce genre de prédateurs. Donc attention à vos propos, madame.
Serieusement , on fait un débat sur cette adapation. Bien sûr, encore des fans de Matzneff. 😮
La critique de la nana est complètement nulle. Elle montre surtout qu'elle ne connait rien au sujet et qu'elle est incapable de comprendre l'impact que ce film peut avoir sur le grand public par rapport au sujet. A trop se vouloir intellectuelle et esthète, on ne critique que des à côtés et on passe à côté de l'essentiel. Comme toujours. Les '' beaux discours '' de la bourgeoisie qui se perd dans la '' grandeur de son esprit analytique '' mais qui ne produit que du vent. Totalement à côté de la plaque. Hors réel
Ça n a rien de bourgeois son analyse. La bourgeoisie était une caste sociale qui vivait dans les bourg et était surtout marchands et donc générerait de l argent. Vous dites n importe quoi. Après que son analyse ne vous convienne pas c est autre chose. Mais ça n a rien de Bourgeois. Pfff...
@@marnie5482 je ne parle ni au sens historique, des bourgs et marchands, ni au sens marxiste, détenteurs de capitaux et exploitants, mais au sens commun pour le quel la bourgeoisie désigne la classe moyenne, celle qui se croit détentrice du bon savoir et de la bonne culture. Rappelons que les musées ont d'ailleurs été fondés par la bourgeoisie post- révolution française et ont instauré le début de '' la bonne culture bourgeoise '' que chacun devrait atteindre par l'effort et le '' mérite'', là où la bonne culture noble était liée auparavant à la naissance
@@marnie5482 vous pouvez lire Bourdieu, ça vous donnera une autre vision de la bourgeoisie
Je dirai même plus. A vouloir faire une critique uniquement formelle, esthétique ou cinématographique en occultant complètement le sujet - il n''y a pas de sujet dans l''art (tient, ça c'est du Mazneff), cela démonter que ce microcosme continue à se fourvoyer. Se rend-elle compte de la perversité de cette posture ? C'est beaucoup plus dangereux que du vent, à mon humble avis.
@@yvesderoten3103 merci ! Je suis pas la seule à être dérangée par sa posture qui rappelle le passé. Merci pour votre commentaire
Pourquoi ne pas parler des ressors de la pedocriminalité? De l'impunité de ces pratiques criminelles. Et s'il faut resserrer sur le cas de M. citer quelques uns de ses amis "bienfaiteurs": Mitterand, Solers, BHL, Bergé etc.
Il était nécessaire ce film j ai emmené voir mon ado elle a compris de faire attention aux prédateurs comme mazneff, interview intéressant le monsieur parle bien mais la dame j ai du mal a la comprendre
Oui, si on se plait à dire qu'on a vu des images "glaçantes".
Critiques pas intéressantes,ils parlent pour rien dire,le film est nécessaire
pas du tout d'accord