Pendant plus de trente ans je me suis demandée pourquoi je trouvais tant de situations absurdes et pourquoi j'étais incapable d'adherer à tout ces phénomènes de groupe, quand tout les autres y prenaient collectivement un plaisir fou, et ne semblaient se poser aucunes questions .. Ca, entre autres choses, m'a fait me sentir tellement inadequate, et j'y ai toujours vu quelque chose de pathologique et donc à corriger. C'est la première fois que j'entends quelqu'un évoquer ça.. c'est un énorme soulagement que vous y apportiez ce regard. Vos vidéos sont tellement précieuses.
Une sensibilité extrême est pour moi un atout. une sorte de radar - détecteur "hypersensible" d'une finesse extraordinaire, un vrai trésor! une merveille, un cadeau. À chacun d entre nous appartient de l'apprivoiser. ressentir intensément, c'est vivre!
J'ai lu et entendu beaucoup de choses sur les "hors zones"… mais rien ne me convenait vraiment même si bon nombre de choses faisaient écho. J'ai découvert que j'étais "normal", à la suite d'un test pour mon fils qui n'allait "pas droit" à l'école. J'ai mis 3 années à me décider pour faire de même et constater… ce que je savais déjà… pourquoi je suis graphiste freelance, pourquoi j'ai une vie à cheval entre deux pays, pourquoi je fais du ski de rando seul la nuit, pourquoi le "sens des choses" m'est primordial, pourquoi j'ai divorcé… des choses les plus futiles aux plus impactantes. J'en ai eu besoin par soucis de légitimité vis à vis de mon fils, dans mes remarques, mes approches, mes mots, mes choix. Mais aucune référence lue ou entendue ne me convenait après avoir bien vécu ma vie jusqu'à aujourd'hui dans les cases "autres"… Et là, je vous entends… et je m'entends totalement… même sur les approches et les analogies. Limpide et simplement claire (ce n'est pas péjoratif !!). Merci pour cet exercice de voltige qui, j'en conviens peut paraître du charabia pour ceux et celles qui sont toujours (ou presque) dans les "bonnes" cases, mais qui justement met en lumière ces autres chemins plus dans l'ombre qui permettent aussi d'avancer dans une vie… avec bonheur et liberté. Cette liberté à un coût… certes… mais c'est le prix à payer. Bon vent…
Bonjour, Merci beaucoup, je viens de commander votre livre. C'est terrible, j'ai l'impression de m'entendre parler, quelque soit la vidéo de votre chaîne. Merci encore d'avoir pris le temps de verbaliser et d'expliciter toutes ces choses qui peuvent parfois nous tourmenter. Bravo pour ce travail. Bonne journée, Bien cordialement,
On devrait faire des soirées discussions avec tous vos abonnés, je suis sûr que je kifferai pouvoir discuter avec autant de gens que ce soit sur le sujet des surdoués ou autre, de plus j'adore vos vidéos continuez comme ça je serai vite accro :P (ce serait cruel de commenter cette vidéo sans vous remercier pour les doutes que vous m'aidez à éclaircir)
C'est émouvant de t'entendre! Je retiens l'illustration du voilier. J’intègre que si j'accepte que,mes émotions sont comme les éléments beaucoup plus puissants que moi. Au lieu de tenter de lutter contres elles, je me servirai de leurs puissances pour naviguer avec elles dans la direction que je choisie. Comme un marin je développerai mon habilité et ne m’abîmerai de moin en moin dans les écueils. Merci Carlos Les changements de perspectives que vous opérez dans votre démarche la rend féconde. Elles m'ouvre la perspective de l'expression de ce que je suis dans toute sa puissance. Je peux sortir des doubles contraintes qui parfois m’anéantissent. Je le savais mais là je le vois. Bon vent!!
Je parlerais d'hyper attention, d'hyper vigilance, qui augmentent le nombre de stimuli; or un " surdoué" étant entier dans son vécu, entier dans ses ressentis réagit à ceux-ci d'une manière qui paraît exagérée du simple fait que les autres n'ont rien vu. Et je crois même, que parmi cette cécité généralisée, le désarroi, pour ne pas dire désespoir, entraîne une expression emphatique comme pour se rassurer, essayer de trouver écho, provoquer un réveil, ce qui, bien entendu n'arrive jamais! on a coupé un arbre? oui et alors? le surdoué est complétement déchiré, surtout quand il n'y avait aucune raison de le faire, l'autre peut le déplorer, mais mollement. C'est un mélange de chagrin d'enfant devant l'injustice et l'arbitraire, mais peut-être surtout une colère devant la puissance absolue d'un pouvoir destructeur. Je crois que le "surdoué" ne gomme jamais l'enfant en lui.
Aussi! mais au sujet des stimuli qui titillent l'émotion, il y a quelque chose d'enfantin à être curieux et attentif à tout, émotion du beau, de l'humain chez le passant qu'on croise mais, malheureusement aujourd'hui, voir et souffrir du moindre détail de la destruction organisée comme fondement d'une société! L'impuissance qui s'ensuit a vraiment besoin, oui, que, parallèlement, ne soient pas effacées l'âme et la connexion au divin, au sacré.
Je te remercie pour tes vidéos, j'ai l'impression de trouver les phrase et les mots pour enfin faire un constat amer du "réel" que javais en tête et j'ai pourrait finir chacune de tes pensées c'est étrange, j'ai 33ans et j'ai jamais autant validé une personne la je te valide à 99%, tout ce que tu dit est tellement fluide et chaud comme une libération mental mille merci
Je vais m'acheter votre livre au plus vite, j'ai vu une dizaine de vos vidéos en quelques jours, votre manière de parler est parfaite a la fois claire et profonde, je me reconnais dans chaque mot c'est presque effrayant, moi qui ai passé 30 ans a renier ma "douance" je ne peux plus lui tourner le dos et tant mieux.
j'ai vu pas mal de vos vidéos, je suis d'accord avec tout mais il y a un point ou je ne voit pas. Vous parlez souvent de la mort, et de la peur de la mort. Personnellement, je ne ressent pas ou très peu la mort dans ma vie ou dans mes choix. Peut être parce-que je m'en suis fait une idée plaisante, moi j'aime bien l'idée de vieillir graduellement et la décrépitude comme un service de la vie qui nous aide à nous détacher lentement des pulsions désagréable d’instinct de survie. C'est vrai que quand j'étais petit je voulais vivre éternellement, et ma mère m'avait dit que ce serait une horreur. Maintenant je ressent comme ma mère, je suis heureux à l'idée qu'un jour toutes ces bêtises de la vie prendront fin. Non moi mon moteur c'est résolument ma curiosité. D’ailleurs avant de savoir que j'étais surdoué à 32 ans, je me qualifiait toujours comme ca : moi je suis un ultra curieux, c'est pour ca que des fois je suis chiant. Dans cette vidéo j’apprends que je suis un drogué à l'émotion, et c'est bien vrai, je passe mon temps à chercher ma nouvelle lubie qui vas me tenir en haleine un moment. Tout ca pour dire, est-ce que vous allez faire une vidéo sur votre conception de la mort pour les ultra curieux ? merci
Je te donne la mienne au cas ou ... La mort correspond à la remise de copie d'examen au bac( la vie, le prof connaît les réponses, mais te surveille sans dire un mot)... La tombe c'est l'attente des résultats... Le jugement c'est l'affichage... L'enfer c'est la PACES XD Le paradis je n'ai pas qlq chose pour ça
MAIS OUI... comme l'écrit une autre lectrice, où étiez-vous toutes ces années ? Tout ce que je pense tout bas et que je ne peux pas dire tout haut (enfin pas avec tout le monde)... L'institution du mariage LOL... la recherche de sens...
Il y a dans tout ça, il me semble, un problème de cadrage à la limite du paradigme produisant des incohérences de par la simple distinction champs/hors-champs. Simplement parce que ce cadrage respecte malgré tout le placement d'une certaine doxa, de laquelle des éléments un peu trop éloignés sont malgré tout, tacitement, acceptés et intégrés par la majorité et sans lesquels tout s'écroule, forcément. Éléments qui sont difficilement accessibles par la raison pure, justement parce que rendue "hors du champs des possibles" par leurs éloignement avec ledit cadrage... C'est un exercice difficile que d'expliciter cela clairement. Je prendrai pour exemple la construction mentale du pays, mentionnée dans ces vidéos. Très parlante pour la simple raison qu'il est aisé et tout naturel de balayer le concept comme il a été fait dans ces vidéos alors qu'en réalité il s'agit probablement d'une des constructions mentales les plus fondées, et essentielles, qu'on ait. (Et qui est en péril, mais c'est un tout autre sujet.) Le pays, c'est le terroir pour synthétiser rapidement. Le terroir, ça ne s'invente pas. La fierté qu'on peut avoir pour la victoire d'une équipe de foot le représentant est exactement la même que celle qu'on pourrait ressentir par le succès d'à peu près n'importe quoi qui ait été produit dans le même terroir que soi, ou auquel on est attaché d'une manière ou d'une autre. Animaux sociaux, nous sommes. Parait-il. Sans entrer dans des détails scabreux pouvant tomber sous le coups de certaines lois de nos jours (oui, hors de la doxa à ce point), on ne nait pas quelque part par pur hasard, comme on a pu l'entendre dans ces vidéos. Ça n'a aucun sens de dire cela. Nous sommes le produit d'un environnement nous précédant et qui nous survivra. Dans ce paradigme-là, qui n'exclut pas ou plutôt qui ne bannit pas certaines idées essentielles... L'hypersensibilité perçue comme simplement être plus sensible que la moyenne, et le fait de chanter "on est les champions" quand notre équipe gagne, ça prend tout son sens. Puisqu'il n'est alors plus question d'une philosophie centrée sur sa petite personne tronquée de son environnement, comme seul sujet d'étude valable, mais de groupes dont les caractéristiques ne sont exprimables que par des probabilités, des tendances, des moyennes...etc C'est justement le clash entre individualisme teinté d'hédonisme, et collectivisme plutôt versé dans la spiritualité. Je pense sincèrement qu'il serait judicieux de redescendre le curseur vers le collectivisme, pour apprécier les différences dans un spectre aux nuances subtiles plutôt que dans des cases rigides. Mais je n'ai encore aucun argument valable pour soutenir cette opinion, si ce n'est mon instinct qui m'a rarement fait défaut. PS: En fait, en écrivant ce petit pavé je me suis rendu compte qu'il y aurait énormément à développer au sujet de cette histoire de paradigme sculptant jusqu'aux conclusions les plus poussées en jouant simplement sur les axiomes du raisonnement, via les bases ; nos constructions mentales nous permettant d’appréhender le monde. En soi, cette petite démonstration, si j'ose dire, prouve également que l'idée d'un groupe auquel on puisse appartenir, avec des codes, des idées, des concepts qui lui sont propres, est bien plus qu'une construction mentale dénuée de sens. Non seulement cette construction n'est pas que mentale, elle nous influence à un point difficilement concevable.
J'allais écrire un commentaire qui me semblait être très proche des idées développées ici, alors tant qu'à faire, autant répondre à celui qui m'a précédé. Je pense effectivement qu'il y a un problème, une limite conceptuelle, qui parcourt ce propos (aussi intéressant soit-il !). J'ai tiqué quand monsieur a commencé à parler de l'individu et du collectif, de ce qui les sépare, d'anthropologie et de ce qu'on pourrait apparenter au "conformisme". Ayant reçu une formation en sciences sociales, je peux déjà dire que ce sur quoi s'appuie monsieur est dépassé dans la discipline. "Comparer les cultures", faire une distinction entre le "rationnel" et "l'irrationnel"... Ça n'a pas de sens ! Les concepts de culture et de raison en tant qu'entités essentielles sont aussi arbitraires que celui de nation ou de patrie. Sans entrer dans les détails ici, j'en appelle donc à se méfier des essences. Je pense effectivement que cette pensée est teintée d'individualisme, une valeur si chère à nos sociétés occidentales. Le problème c'est qu'elle limite notre capacité à nous penser nous-même en tant qu'êtres humains. Nous construisons notre identité, notre pensée et nos préférences grâce à notre environnement, grâce à l'expérience que l'ont fait du monde qui nous entour. Notre faculté à éprouver des émotions est tout aussi liée à une base biologique qu'à des constructions et des représentations formées d'abord inconsciemment. Dans un tel paradigme, l'idée de se détacher du collectif pour accepter un certain individuel ne fait pas de sens, tant les deux sont intrinsèquement liés. Tout ce que l'on peut faire c'est problématiser cette part acquise que l'on ne peut pas contrôler à 100% : c'est grosso modo ce que l'on appelle la "réfléxivité" en anthropologie, justemment. Pour en revenir aux "surdoués", je pense effectivement qu'il faut accepter que cette part d'émotif est plus forte que nous. Il ne faut pas essayer de se battre contre elle, mais plutôt faire au mieux pour qu'elle nous permette d'avancer. En revanche, ça ne devrait pas être fait en vertu d'une individualité absolue et essentielle, qu'on essaierait de respecter à tout prix : cela s'appelle courir après une chimère. Je conseillerais plutôt d'adopter une posture d'observateur de soi-même, de prendre du recul par rapport à ce que l'on ressent instinctivement et par rapport à ce que l'on pense a posteriori. Avec une telle posture, on est bien plus à même de commencer à se comprendre soi-même en tant qu'être particulier mais en constante mutation, de mettre non seulement des mots mais aussi un récit, une histoire et des interprétations derrière ce on-ne sait-quoi qui nous rend différent des autres. C'est aussi l'occasion de toucher à nous-même en tant que source inépuisable de réflexions, de questionnements, ainsu qu'en tant qu'objet (ou plutôt sujet) d'interprétations toujours renouvellées. Que rêver de mieux lorsque c'est la réflexion justement, et les émotions qui y sont liées, qui nous donnent le sentiment de vivre ? J'ai beau me reconnaître dans beaucoup de choses concernant cette condition, je n'ai jamais été formellement diagnostiqué/identifié comme surdoué/HP (appelez ça comme vous le voulez, si tant est que ce soit pertinent de nommer cela). Ce que je sais, c'est que depuis que je pense dans le paradigme que je viens d'exposer, j'arrive enfin à donner du sens à ce décalage que j'ai toujours perçu et qui, pour la première fois, commence à m'apparaître comme n'étant plus seulement un fardeau mais surtout une opportunité de me développer dans un sens qui me convienne. J'invite donc quiconque ressentirais un décalage semblable à se poser les bonnes questions pour pouvoir avancer, à trouver un moyen (qui n'est pas forcément le même que le mien) pour donner du sens à son existence. Une telle personne gagnerait selon moi à se considérer en tant qu'elle est à la fois un être humain particulier et un animal social ; ça lui permettrait de renouer avec soi-même autant qu'avec les autres et à mener une vie probablement bien plus heureuse.
Corpus Armatae j’avoue que certaines choses mentionnés était bien faillible en vue des schématisations* , j’approuve dans ce contexte l’impact de l’influence* émise en consistance avec ces constructions mentales. A ce niveau nous pouvons saisir une déclinaison du conformisme..Et cette configuration verticale d’arrivistes laisse place à maintes catégorisations, et est désormais soumises aux plusieurs enjeux ( animal social* de la part d’un commentateur de ton pavé ^^) , psychologiques , économiques etc.. A ce niveau je rejoins ce même commentateur pour venir sur un long recul pour l’identité de chacun , voire son Idiosynchrasie. Ainsi la configuration devient horizontale et donc plus d’objectivité, et il serait tout simplement efficient pour faire avancer les choses..
Comment reconnaitre un surdoué?? Et bien c'est tres simple. Mettez un surdoué dans un endroit quelconque..si il flotte .c'est qu'il ne l'est pas...c'est bizarre ,j'ai ecris ca juste avant d'ecouter la fin ou vous parlez du vent et de la mer....bref qu'importe...a force de couler.reviens t'on un jour a la surface...?
Dans la partie 1 tu nous parle de la conformisation de la société mais internet est il aussi une conformisation des émotions ou non et comment savoir s'il faut s'adapté ou non au autre , il y a plein de possibilité et c'est compliqué de choisir comment faire. J'ai des problèmes émotionnel envers certaine personne que j'aime et il y a des périodes ou j'ai des excès de bonheur ou je souhaite prendre tout le monde dans les bras, parfois de la tristesse et de la compassion envers ce monde. L'altruisme démesuré est il un problème pour les surdoué ou même une personne dite normale?
Esteban Salvador moi je ne pense pas, il y'a soit un manque que l'on retrouve chez l'autre ou alors un bonté et une générosité naturel inhérent a la personne que l'on es, alors pour maitriser tes émotions en tant qu'homme ou femme il te faut une morale un code qui t'es propres, le question du pourquoi et et du comment des ressenti se manifeste après les événements qui nous mène a ce raisonnement a cette douleur en général . Saisie le moment ou tu sens ce bascule et dissèque la comme une souris en y imcorporent ta personne.
Je fais ma thèse sur les surdoués et scientifiquement parlant il n y a pas vraiment de consensus concernant l hypersensibilité chez le surdoué. Il y a beaucoup trop d études contradictoires et c est un non sens car ce qui fonde la personnalité de l individu entre en jeux beaucoup trop de facteurs. C est chouette de donner son avis sur un sujet mais encore faut il dire que c est son avis et non une sorte de vérité. Être hypersensible c est une part et être surdoué est une autre part on peut être les deux mais ce n est pas forcément corréler pour autant
S.G. : Bonjour, en effet, l'hypersensibilité n'est pas une condition sine qua non ni l'apanage des "surdoués", ce que Carlos n'affirme à aucun moment dans cette vidéo ni ailleurs. Qu'une tendance à l'hypersensibilité existe probablement chez les "surdoués" n'implique aucunement un lien de nécessité ou d'équivalence entre hypersensibilité et douance. Lisez plutôt ce que j'écris dès les premières pages de notre essai : « Si beaucoup de gens se reconnaissent dans les traits du portrait listés par les psychologues, c’est parce qu’on y trouve tout et son contraire. Or on peut, par exemple, être « hypersensible » et ne pas être « surdoué », comme on peut être « surdoué » et tout aussi « hyposensible » que le reste de la population. Cela fonctionne avec chacun de ces traits psychologiques. Bien entendu, ceux qu’on appelle les « surdoués » auront tendance à en réunir davantage. Les tests, quant à eux, ne constituent pas davantage un critère absolu : on le sait, on peut y sous-performer allègrement. Par ailleurs, être officiellement estampillé « surdoué » tient à l’obtention d’un score de plus de 130 aux tests : or, personne n’est un score. Ce chiffre n’en dit finalement pas plus que le mot, il n’est qu’une trace indirecte, parmi d’autres signes possibles, probables, sans qu’aucun d’eux ne soit pour autant nécessaire. Traits de personnalité ou résultats aux tests, il est temps d’arrêter de contempler de manière hypnotique ces ombres sur la paroi de la caverne et de remonter nos regards vers ce qui les cause. »
Ouais enfin résumer la surdouance a un QI au dessus de 130 c'est mettre a l'écart tout les HP complèxes qui ont un QI total non représentatif des capacités cognitives due a une dysharmonie cognitive , pour des gens qui écrivent un livre a ce sujet je trouve sa quand même triste de directement parler d'un QI supèrieur a 130 :/ .... vous contribuez a une désinformation énorme sur ce que sont les HP juste avec cette phrase....
Je pense que c'est pas ce qu'il veut dire. Justement ce chiffre est officiel et n'est qu'un indice pour détecter une "surdouance" mais il peut aussi passer à côté si le test n'est pas concluant. Un hypersensible par exemple pourra avoir du mal à exécuter le test, par manque de concentration, par stress, etc. Personnellement d'ailleurs, j'étais un enfant précoce, j'ai subi des traumas, grandi dans un milieu sous-cultivé, n'ai jamais été suivi par des spécialistes adaptés, et ce test je n'en vois pas l'intérêt, je sais ce que je suis. En outre, comme dit dans la vidéo sur l'autorité, il ne faut même pas me proposer ce test, je regarderais les oiseaux et le mouvement du vent dans les arbres voire la coiffure de l'examinateur ou sa chemise ^^
Inventer un autre terme alors car HP, Surdoué veut dire avoir un QI au dessus de 130 points à la ligne. Par exemple moi j'ai le TDA/H mais j'ai pu tout de même obtenir un score m'ayant placé dans la moyenne forte, je me fiche éperdument de savoir si le score serait plus élevé si je n'avais pas ce trouble (ce qui serait surement le cas car + d'attention, concentration= performance plus accrue. Ceux qui sont en dessous ne sont pas considéré comme surdoué. A croire que cela est une punition ou un fardeau de ne pas être surdoué lol. On dirait que beaucoup de personnes mettent l'intelligence sur un piédestal comme si cela était la valeur absolu. Notons tout même que je ne dis pas que le QI est la valeur absolue de intelligence mais c'est le seul qui a été démontré scientifiquement de mesurer une intelligence générale de la personne. La définition même de l'intelligence sera surement mieux peaufinée avec le temps mais pour le moment nous n'avons rien de mieux qui est prouvé (surtout pas la théorie de Gardner qui est louable mais malheureusement non mesurable par la méthodologie scientifique et donc non recevable par la communauté scientifique
Personnellement je pense que même TDAH n'est pas une dénomination explicite, avoir des troubles de l'attention n'implique pas d'être hyperémotif ou plus intelligent que la moyenne. Ni surdoué, ni zèbre, ni TDAH, ni HP, et tout ça à la fois, je n'ai jamais été convaincu par les termes qui pourraient définir ma différence, je n'en ai que l'usage, parce pour le moment ce sont ceux là qu'on utilise, même si c'est à tort.
Pendant plus de trente ans je me suis demandée pourquoi je trouvais tant de situations absurdes et pourquoi j'étais incapable d'adherer à tout ces phénomènes de groupe, quand tout les autres y prenaient collectivement un plaisir fou, et ne semblaient se poser aucunes questions .. Ca, entre autres choses, m'a fait me sentir tellement inadequate, et j'y ai toujours vu quelque chose de pathologique et donc à corriger.
C'est la première fois que j'entends quelqu'un évoquer ça.. c'est un énorme soulagement que vous y apportiez ce regard.
Vos vidéos sont tellement précieuses.
Une sensibilité extrême est pour moi un atout. une sorte de radar - détecteur "hypersensible" d'une finesse extraordinaire, un vrai trésor! une merveille, un cadeau. À chacun d entre nous appartient de l'apprivoiser. ressentir intensément, c'est vivre!
J'ai lu et entendu beaucoup de choses sur les "hors zones"… mais rien ne me convenait vraiment même si bon nombre de choses faisaient écho. J'ai découvert que j'étais "normal", à la suite d'un test pour mon fils qui n'allait "pas droit" à l'école. J'ai mis 3 années à me décider pour faire de même et constater… ce que je savais déjà… pourquoi je suis graphiste freelance, pourquoi j'ai une vie à cheval entre deux pays, pourquoi je fais du ski de rando seul la nuit, pourquoi le "sens des choses" m'est primordial, pourquoi j'ai divorcé… des choses les plus futiles aux plus impactantes. J'en ai eu besoin par soucis de légitimité vis à vis de mon fils, dans mes remarques, mes approches, mes mots, mes choix. Mais aucune référence lue ou entendue ne me convenait après avoir bien vécu ma vie jusqu'à aujourd'hui dans les cases "autres"… Et là, je vous entends… et je m'entends totalement… même sur les approches et les analogies. Limpide et simplement claire (ce n'est pas péjoratif !!).
Merci pour cet exercice de voltige qui, j'en conviens peut paraître du charabia pour ceux et celles qui sont toujours (ou presque) dans les "bonnes" cases, mais qui justement met en lumière ces autres chemins plus dans l'ombre qui permettent aussi d'avancer dans une vie… avec bonheur et liberté. Cette liberté à un coût… certes… mais c'est le prix à payer.
Bon vent…
Ski de rando la nuit... Excellent.
Rien de plus authentique..
Tellement vrai. Mais où étiez-vous toutes ces années ? :) Je suis heureuse de vous avoir trouvé.
Bonjour,
Merci beaucoup, je viens de commander votre livre.
C'est terrible, j'ai l'impression de m'entendre parler, quelque soit la vidéo de votre chaîne.
Merci encore d'avoir pris le temps de verbaliser et d'expliciter toutes ces choses qui peuvent parfois nous tourmenter.
Bravo pour ce travail.
Bonne journée,
Bien cordialement,
idem.
Tout pareil !!
J'avais perdu mes sensations et mon intelligence. Merci de m'en avoir rappelé le chemin.
On devrait faire des soirées discussions avec tous vos abonnés, je suis sûr que je kifferai pouvoir discuter avec autant de gens que ce soit sur le sujet des surdoués ou autre, de plus j'adore vos vidéos continuez comme ça je serai vite accro :P (ce serait cruel de commenter cette vidéo sans vous remercier pour les doutes que vous m'aidez à éclaircir)
C'est émouvant de t'entendre! Je retiens l'illustration du voilier. J’intègre que si j'accepte que,mes émotions sont comme les éléments beaucoup plus puissants que moi. Au lieu de tenter de lutter contres elles, je me servirai de leurs puissances pour naviguer avec elles dans la direction que je choisie. Comme un marin je développerai mon habilité et ne m’abîmerai de moin en moin dans les écueils.
Merci Carlos
Les changements de perspectives que vous opérez dans votre démarche la rend féconde. Elles m'ouvre la perspective de l'expression de ce que je suis dans toute sa puissance. Je peux sortir des doubles contraintes qui parfois m’anéantissent. Je le savais mais là je le vois. Bon vent!!
Je parlerais d'hyper attention, d'hyper vigilance, qui augmentent le nombre de stimuli; or un " surdoué" étant entier dans son vécu, entier dans ses ressentis réagit à ceux-ci d'une manière qui paraît exagérée du simple fait que les autres n'ont rien vu. Et je crois même, que parmi cette cécité généralisée, le désarroi, pour ne pas dire désespoir, entraîne une expression emphatique comme pour se rassurer, essayer de trouver écho, provoquer un réveil, ce qui, bien entendu n'arrive jamais!
on a coupé un arbre? oui et alors? le surdoué est complétement déchiré, surtout quand il n'y avait aucune raison de le faire, l'autre peut le déplorer, mais mollement. C'est un mélange de chagrin d'enfant devant l'injustice et l'arbitraire, mais peut-être surtout une colère devant la puissance absolue d'un pouvoir destructeur. Je crois que le "surdoué" ne gomme jamais l'enfant en lui.
Moi je dirais que c'est son âme qu'il ne gomme jamais. Sa connexion au divin.
Aussi! mais au sujet des stimuli qui titillent l'émotion, il y a quelque chose d'enfantin à être curieux et attentif à tout, émotion du beau, de l'humain chez le passant qu'on croise mais, malheureusement aujourd'hui, voir et souffrir du moindre détail de la destruction organisée comme fondement d'une société! L'impuissance qui s'ensuit a vraiment besoin, oui, que, parallèlement, ne soient pas effacées l'âme et la connexion au divin, au sacré.
Je te remercie pour tes vidéos, j'ai l'impression de trouver les phrase et les mots pour enfin faire un constat amer du "réel" que javais en tête et j'ai pourrait finir chacune de tes pensées c'est étrange, j'ai 33ans et j'ai jamais autant validé une personne la je te valide à 99%, tout ce que tu dit est tellement fluide et chaud comme une libération mental mille merci
Tout pareil !!
idem super merci
Je vais m'acheter votre livre au plus vite, j'ai vu une dizaine de vos vidéos en quelques jours, votre manière de parler est parfaite a la fois claire et profonde, je me reconnais dans chaque mot c'est presque effrayant, moi qui ai passé 30 ans a renier ma "douance" je ne peux plus lui tourner le dos et tant mieux.
Ca fait un bien fou merci vraiment
Excellentes vidéos ! Je viens de le découvrir.
vous m'éclairez beaucoup. merci.
C'est bon de réfléchir !
Merci.
Toujours autant de plaisir à découvrir votre pensée, qui avance hors des sentiers battus.
Merci pour ce que vous faites
Vision très intéressante, merci :)
j'ai vu pas mal de vos vidéos, je suis d'accord avec tout mais il y a un point ou je ne voit pas. Vous parlez souvent de la mort, et de la peur de la mort. Personnellement, je ne ressent pas ou très peu la mort dans ma vie ou dans mes choix. Peut être parce-que je m'en suis fait une idée plaisante, moi j'aime bien l'idée de vieillir graduellement et la décrépitude comme un service de la vie qui nous aide à nous détacher lentement des pulsions désagréable d’instinct de survie. C'est vrai que quand j'étais petit je voulais vivre éternellement, et ma mère m'avait dit que ce serait une horreur. Maintenant je ressent comme ma mère, je suis heureux à l'idée qu'un jour toutes ces bêtises de la vie prendront fin. Non moi mon moteur c'est résolument ma curiosité. D’ailleurs avant de savoir que j'étais surdoué à 32 ans, je me qualifiait toujours comme ca : moi je suis un ultra curieux, c'est pour ca que des fois je suis chiant. Dans cette vidéo j’apprends que je suis un drogué à l'émotion, et c'est bien vrai, je passe mon temps à chercher ma nouvelle lubie qui vas me tenir en haleine un moment. Tout ca pour dire, est-ce que vous allez faire une vidéo sur votre conception de la mort pour les ultra curieux ? merci
Je te donne la mienne au cas ou ...
La mort correspond à la remise de copie d'examen au bac( la vie, le prof connaît les réponses, mais te surveille sans dire un mot)...
La tombe c'est l'attente des résultats...
Le jugement c'est l'affichage...
L'enfer c'est la PACES XD
Le paradis je n'ai pas qlq chose pour ça
J'adore ! Merci
vous devriez donner des conférences, je viens direct
Merci pour la vidéo :)
PS : Je vous conseille d'enrichir la description de la vidéo pour améliorer le référencement sur YT.
Merci. J adore.
Merci Beaucoup pour l'aide.
MAIS OUI... comme l'écrit une autre lectrice, où étiez-vous toutes ces années ? Tout ce que je pense tout bas et que je ne peux pas dire tout haut (enfin pas avec tout le monde)... L'institution du mariage LOL... la recherche de sens...
C'est beau...Merci !
Livre commandé !
Pourriez vous venir avec moi lors de la prochaine séance avec mon psy svp ,
je n arrive pas à comprendre le désir de certains de s assurer que la multitude soit uniforme et contrôlable.c est quoi ce raisonnement ?
Peut on faire un récit collectif de singuliers ?
@Demonstrer.fr Les sous-titres français sont complétés pour l'hyperémotivité des surdoués 2/2.
@demonstrer.fr Les sous-titres anglais sont prêts à mettre en ligne pour « L'hyperémotivité des "surdoués" 2/2 ».
Il y a dans tout ça, il me semble, un problème de cadrage à la limite du paradigme produisant des incohérences de par la simple distinction champs/hors-champs. Simplement parce que ce cadrage respecte malgré tout le placement d'une certaine doxa, de laquelle des éléments un peu trop éloignés sont malgré tout, tacitement, acceptés et intégrés par la majorité et sans lesquels tout s'écroule, forcément. Éléments qui sont difficilement accessibles par la raison pure, justement parce que rendue "hors du champs des possibles" par leurs éloignement avec ledit cadrage... C'est un exercice difficile que d'expliciter cela clairement.
Je prendrai pour exemple la construction mentale du pays, mentionnée dans ces vidéos. Très parlante pour la simple raison qu'il est aisé et tout naturel de balayer le concept comme il a été fait dans ces vidéos alors qu'en réalité il s'agit probablement d'une des constructions mentales les plus fondées, et essentielles, qu'on ait. (Et qui est en péril, mais c'est un tout autre sujet.) Le pays, c'est le terroir pour synthétiser rapidement. Le terroir, ça ne s'invente pas. La fierté qu'on peut avoir pour la victoire d'une équipe de foot le représentant est exactement la même que celle qu'on pourrait ressentir par le succès d'à peu près n'importe quoi qui ait été produit dans le même terroir que soi, ou auquel on est attaché d'une manière ou d'une autre. Animaux sociaux, nous sommes. Parait-il.
Sans entrer dans des détails scabreux pouvant tomber sous le coups de certaines lois de nos jours (oui, hors de la doxa à ce point), on ne nait pas quelque part par pur hasard, comme on a pu l'entendre dans ces vidéos. Ça n'a aucun sens de dire cela. Nous sommes le produit d'un environnement nous précédant et qui nous survivra.
Dans ce paradigme-là, qui n'exclut pas ou plutôt qui ne bannit pas certaines idées essentielles... L'hypersensibilité perçue comme simplement être plus sensible que la moyenne, et le fait de chanter "on est les champions" quand notre équipe gagne, ça prend tout son sens. Puisqu'il n'est alors plus question d'une philosophie centrée sur sa petite personne tronquée de son environnement, comme seul sujet d'étude valable, mais de groupes dont les caractéristiques ne sont exprimables que par des probabilités, des tendances, des moyennes...etc
C'est justement le clash entre individualisme teinté d'hédonisme, et collectivisme plutôt versé dans la spiritualité.
Je pense sincèrement qu'il serait judicieux de redescendre le curseur vers le collectivisme, pour apprécier les différences dans un spectre aux nuances subtiles plutôt que dans des cases rigides. Mais je n'ai encore aucun argument valable pour soutenir cette opinion, si ce n'est mon instinct qui m'a rarement fait défaut.
PS: En fait, en écrivant ce petit pavé je me suis rendu compte qu'il y aurait énormément à développer au sujet de cette histoire de paradigme sculptant jusqu'aux conclusions les plus poussées en jouant simplement sur les axiomes du raisonnement, via les bases ; nos constructions mentales nous permettant d’appréhender le monde. En soi, cette petite démonstration, si j'ose dire, prouve également que l'idée d'un groupe auquel on puisse appartenir, avec des codes, des idées, des concepts qui lui sont propres, est bien plus qu'une construction mentale dénuée de sens. Non seulement cette construction n'est pas que mentale, elle nous influence à un point difficilement concevable.
J'allais écrire un commentaire qui me semblait être très proche des idées développées ici, alors tant qu'à faire, autant répondre à celui qui m'a précédé.
Je pense effectivement qu'il y a un problème, une limite conceptuelle, qui parcourt ce propos (aussi intéressant soit-il !). J'ai tiqué quand monsieur a commencé à parler de l'individu et du collectif, de ce qui les sépare, d'anthropologie et de ce qu'on pourrait apparenter au "conformisme". Ayant reçu une formation en sciences sociales, je peux déjà dire que ce sur quoi s'appuie monsieur est dépassé dans la discipline. "Comparer les cultures", faire une distinction entre le "rationnel" et "l'irrationnel"... Ça n'a pas de sens ! Les concepts de culture et de raison en tant qu'entités essentielles sont aussi arbitraires que celui de nation ou de patrie. Sans entrer dans les détails ici, j'en appelle donc à se méfier des essences.
Je pense effectivement que cette pensée est teintée d'individualisme, une valeur si chère à nos sociétés occidentales. Le problème c'est qu'elle limite notre capacité à nous penser nous-même en tant qu'êtres humains. Nous construisons notre identité, notre pensée et nos préférences grâce à notre environnement, grâce à l'expérience que l'ont fait du monde qui nous entour. Notre faculté à éprouver des émotions est tout aussi liée à une base biologique qu'à des constructions et des représentations formées d'abord inconsciemment. Dans un tel paradigme, l'idée de se détacher du collectif pour accepter un certain individuel ne fait pas de sens, tant les deux sont intrinsèquement liés.
Tout ce que l'on peut faire c'est problématiser cette part acquise que l'on ne peut pas contrôler à 100% : c'est grosso modo ce que l'on appelle la "réfléxivité" en anthropologie, justemment.
Pour en revenir aux "surdoués", je pense effectivement qu'il faut accepter que cette part d'émotif est plus forte que nous. Il ne faut pas essayer de se battre contre elle, mais plutôt faire au mieux pour qu'elle nous permette d'avancer. En revanche, ça ne devrait pas être fait en vertu d'une individualité absolue et essentielle, qu'on essaierait de respecter à tout prix : cela s'appelle courir après une chimère. Je conseillerais plutôt d'adopter une posture d'observateur de soi-même, de prendre du recul par rapport à ce que l'on ressent instinctivement et par rapport à ce que l'on pense a posteriori. Avec une telle posture, on est bien plus à même de commencer à se comprendre soi-même en tant qu'être particulier mais en constante mutation, de mettre non seulement des mots mais aussi un récit, une histoire et des interprétations derrière ce on-ne sait-quoi qui nous rend différent des autres. C'est aussi l'occasion de toucher à nous-même en tant que source inépuisable de réflexions, de questionnements, ainsu qu'en tant qu'objet (ou plutôt sujet) d'interprétations toujours renouvellées. Que rêver de mieux lorsque c'est la réflexion justement, et les émotions qui y sont liées, qui nous donnent le sentiment de vivre ?
J'ai beau me reconnaître dans beaucoup de choses concernant cette condition, je n'ai jamais été formellement diagnostiqué/identifié comme surdoué/HP (appelez ça comme vous le voulez, si tant est que ce soit pertinent de nommer cela). Ce que je sais, c'est que depuis que je pense dans le paradigme que je viens d'exposer, j'arrive enfin à donner du sens à ce décalage que j'ai toujours perçu et qui, pour la première fois, commence à m'apparaître comme n'étant plus seulement un fardeau mais surtout une opportunité de me développer dans un sens qui me convienne. J'invite donc quiconque ressentirais un décalage semblable à se poser les bonnes questions pour pouvoir avancer, à trouver un moyen (qui n'est pas forcément le même que le mien) pour donner du sens à son existence. Une telle personne gagnerait selon moi à se considérer en tant qu'elle est à la fois un être humain particulier et un animal social ; ça lui permettrait de renouer avec soi-même autant qu'avec les autres et à mener une vie probablement bien plus heureuse.
Corpus Armatae j’avoue que certaines choses mentionnés était bien faillible en vue des schématisations* , j’approuve dans ce contexte l’impact de l’influence* émise en consistance avec ces constructions mentales. A ce niveau nous pouvons saisir une déclinaison du conformisme..Et cette configuration verticale d’arrivistes laisse place à maintes catégorisations, et est désormais soumises aux plusieurs enjeux ( animal social* de la part d’un commentateur de ton pavé ^^) , psychologiques , économiques etc.. A ce niveau je rejoins ce même commentateur pour venir sur un long recul pour l’identité de chacun , voire son Idiosynchrasie. Ainsi la configuration devient horizontale et donc plus d’objectivité, et il serait tout simplement efficient pour faire avancer les choses..
Comment reconnaitre un surdoué?? Et bien c'est tres simple. Mettez un surdoué dans un endroit quelconque..si il flotte .c'est qu'il ne l'est pas...c'est bizarre ,j'ai ecris ca juste avant d'ecouter la fin ou vous parlez du vent et de la mer....bref qu'importe...a force de couler.reviens t'on un jour a la surface...?
Quand le corps refait surface ce n'est pas un indicateur d'une santé éclatante.
merci
Dans la partie 1 tu nous parle de la conformisation de la société mais internet est il aussi une conformisation des émotions ou non et comment savoir s'il faut s'adapté ou non au autre , il y a plein de possibilité et c'est compliqué de choisir comment faire. J'ai des problèmes émotionnel envers certaine personne que j'aime et il y a des périodes ou j'ai des excès de bonheur ou je souhaite prendre tout le monde dans les bras, parfois de la tristesse et de la compassion envers ce monde. L'altruisme démesuré est il un problème pour les surdoué ou même une personne dite normale?
Esteban Salvador moi je ne pense pas, il y'a soit un manque que l'on retrouve chez l'autre ou alors un bonté et une générosité naturel inhérent a la personne que l'on es, alors pour maitriser tes émotions en tant qu'homme ou femme il te faut une morale un code qui t'es propres, le question du pourquoi et et du comment des ressenti se manifeste après les événements qui nous mène a ce raisonnement a cette douleur en général . Saisie le moment ou tu sens ce bascule et dissèque la comme une souris en y imcorporent ta personne.
Je fais ma thèse sur les surdoués et scientifiquement parlant il n y a pas vraiment de consensus concernant l hypersensibilité chez le surdoué. Il y a beaucoup trop d études contradictoires et c est un non sens car ce qui fonde la personnalité de l individu entre en jeux beaucoup trop de facteurs. C est chouette de donner son avis sur un sujet mais encore faut il dire que c est son avis et non une sorte de vérité. Être hypersensible c est une part et être surdoué est une autre part on peut être les deux mais ce n est pas forcément corréler pour autant
S.G. : Bonjour, en effet, l'hypersensibilité n'est pas une condition sine qua non ni l'apanage des "surdoués", ce que Carlos n'affirme à aucun moment dans cette vidéo ni ailleurs. Qu'une tendance à l'hypersensibilité existe probablement chez les "surdoués" n'implique aucunement un lien de nécessité ou d'équivalence entre hypersensibilité et douance. Lisez plutôt ce que j'écris dès les premières pages de notre essai :
« Si beaucoup de gens se reconnaissent dans les traits
du portrait listés par les psychologues, c’est parce qu’on
y trouve tout et son contraire. Or on peut, par exemple,
être « hypersensible » et ne pas être « surdoué », comme on
peut être « surdoué » et tout aussi « hyposensible » que le
reste de la population. Cela fonctionne avec chacun de ces
traits psychologiques. Bien entendu, ceux qu’on appelle
les « surdoués » auront tendance à en réunir davantage. Les
tests, quant à eux, ne constituent pas davantage un critère
absolu : on le sait, on peut y sous-performer allègrement.
Par ailleurs, être officiellement estampillé « surdoué » tient
à l’obtention d’un score de plus de 130 aux tests : or, personne
n’est un score. Ce chiffre n’en dit finalement pas plus
que le mot, il n’est qu’une trace indirecte, parmi d’autres
signes possibles, probables, sans qu’aucun d’eux ne soit pour
autant nécessaire. Traits de personnalité ou résultats aux
tests, il est temps d’arrêter de contempler de manière hypnotique
ces ombres sur la paroi de la caverne et de remonter
nos regards vers ce qui les cause. »
Ouais enfin résumer la surdouance a un QI au dessus de 130 c'est mettre a l'écart tout les HP complèxes qui ont un QI total non représentatif des capacités cognitives due a une dysharmonie cognitive , pour des gens qui écrivent un livre a ce sujet je trouve sa quand même triste de directement parler d'un QI supèrieur a 130 :/ .... vous contribuez a une désinformation énorme sur ce que sont les HP juste avec cette phrase....
Je pense que c'est pas ce qu'il veut dire. Justement ce chiffre est officiel et n'est qu'un indice pour détecter une "surdouance" mais il peut aussi passer à côté si le test n'est pas concluant. Un hypersensible par exemple pourra avoir du mal à exécuter le test, par manque de concentration, par stress, etc. Personnellement d'ailleurs, j'étais un enfant précoce, j'ai subi des traumas, grandi dans un milieu sous-cultivé, n'ai jamais été suivi par des spécialistes adaptés, et ce test je n'en vois pas l'intérêt, je sais ce que je suis. En outre, comme dit dans la vidéo sur l'autorité, il ne faut même pas me proposer ce test, je regarderais les oiseaux et le mouvement du vent dans les arbres voire la coiffure de l'examinateur ou sa chemise ^^
Inventer un autre terme alors car HP, Surdoué veut dire avoir un QI au dessus de 130 points à la ligne. Par exemple moi j'ai le TDA/H mais j'ai pu tout de même obtenir un score m'ayant placé dans la moyenne forte, je me fiche éperdument de savoir si le score serait plus élevé si je n'avais pas ce trouble (ce qui serait surement le cas car + d'attention, concentration= performance plus accrue. Ceux qui sont en dessous ne sont pas considéré comme surdoué. A croire que cela est une punition ou un fardeau de ne pas être surdoué lol. On dirait que beaucoup de personnes mettent l'intelligence sur un piédestal comme si cela était la valeur absolu. Notons tout même que je ne dis pas que le QI est la valeur absolue de intelligence mais c'est le seul qui a été démontré scientifiquement de mesurer une intelligence générale de la personne. La définition même de l'intelligence sera surement mieux peaufinée avec le temps mais pour le moment nous n'avons rien de mieux qui est prouvé (surtout pas la théorie de Gardner qui est louable mais malheureusement non mesurable par la méthodologie scientifique et donc non recevable par la communauté scientifique
Personnellement je pense que même TDAH n'est pas une dénomination explicite, avoir des troubles de l'attention n'implique pas d'être hyperémotif ou plus intelligent que la moyenne. Ni surdoué, ni zèbre, ni TDAH, ni HP, et tout ça à la fois, je n'ai jamais été convaincu par les termes qui pourraient définir ma différence, je n'en ai que l'usage, parce pour le moment ce sont ceux là qu'on utilise, même si c'est à tort.