The "Gifted" and school
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- Опубликовано: 19 май 2018
- The "Gifted" in school failure, is it a myth or a reality? What if the question was poorly put and masked issues which are much more disturbing for the institution? Sorry for the fixed screen at the end of this video... This is related to the limitation of 30 minutes on hybrid cameras. I am waiting for the delivery of a new camera which will prevent this problem.
C’est presque un séisme dans ma tête. Je mets une pause sur la vidéo à la minute 25 pour dire qu’enfin j’entends des choses qui me parlent et qui retracent mon ressenti durant cette période scolaire si frustrante, si difficilement supportable. Moi aussi j’ai pas mal zigzagué obtenant mes diplômes à chaque fois sur le fil, du Bepc au Bts en passant par le Bep. Avec cette difficulté à rester concentré sur le cours que je recopiais machinalement jusqu’au jour où (en bts) je décidais de ne plus rien recopier et de ne plus écouter (surtout en maths) ces cours qui n’avaient presque aucun sens. Ce bts je l’ai finalement eu grâce à une grosse entorse de la cheville 🙈 qui m’a cloué dans ma chambre d’étudiant juste avant les examens. J’ai emprunté les cours à un camarade de classe et j’ai rattrapé 2 ans de programme en 1 mois ce fut la seule et unique fois de ma vie scolaire que je fournissais un réel travail.
Mais malgré tout cela, je dois dire que j’ai quand même eu un pincement au cœur lorsque j’ai définitivement quitté l’école...sûrement le syndrome de Stockholm 😄
Erreur. Les dinosaures ne pouvaient pas souligner leurs titres en rouge à cause de leurs bras trop petits.
Je me suis tellement reconnu dans la partie sur la "tenue du cahier"... J'ai toujours du mal à comprendre en quoi c'est une "compétence importante". Avec certains profs on dirait que c'est ce qui compte le plus... J'ai l'impression qu'une partie de moi pense que je ne mérite pas de réussir, d'avoir des bonnes notes parce que je ne prends presque pas le cours, que je ne fais pas vraiment les exercices en classe, que je fais mes devoirs tard quand je les fais, que je ne lève pas la main avant de parler, que je dessine/lis en classe, et que je suis incapable d'écrire la moitié des pages que les autres écrivent.
Et une autre partie me dit qu'à l'école les règles sont littéralement pour les autres (sous-entendu les "profils scolaires), que ne jamais lever la main quand on a quelque chose à dire est une règle de survie élémentaire, que les exercices ad nauseam ne sont pas utiles pour tout le monde, et qu'écrire est très difficile (physiquement) pour moi (incapable d'utiliser un stylo bille, d'écrire plus de 10 lignes avec le même stylo ou plus de 3 pages avec la même main) et que c'est normal que j'aie toujours essayé de l'éviter. Mais ensuite j'imagine un prof me dire "les règles ne sont pas pour les autres, tu n'as pas un traitement spécial!" sur un ton de prof et je retombe dans le premier état d'esprit.
"ne jamais lever la main quand on a quelque chose à dire est une règle de survie élémentaire" 😂 en effet, arrivée à la même conclusion.
Je n'aimais pas non plus les lignes des cahiers ou feuilles de classeurs - bruit visuel inutile, avec toujours cette marge prenant de la place et qui n'a aucun sens dans une leçon (ok en contrôle) - donc je ne prenais que des feuilles 80gr d'imprimante mais de toute façon, comme j'étais infichu d'avoir un cours complet parce que je n'avais pas suivi la moitié, ça finissait que ma leçon, je "l'apprenais" (la découvrais plus véritablement) dans un bouquin. C'était généralement bien mieux fait et plus efficace que recopier bêtement le tableau ou mes utiliser mes écrits incomplets. J'allais davantage en cours pour savoir où l'on en était dans le programme et savoir ce que je devais apprendre (et surtout faire bonne figure et ne surtout pas me faire remarquer).
Mes c'est vrai que je ne comprenais pas tellement pourquoi je m'agaçais aussi souvent sur les moindres détails alors que ça ne dérangeait apparemment personne : mais pourquoi on utilise des colles aussi merdiques à l'école quand on sait qu'il y a bien mieux sur le marché et moins "cochon" (vous savez, ces tubes jaunes où les feuilles ne collent plus au bout d'un mois, font des gros pâtés et où l'embout se barre vers la fin du tube) mais donc on oblige l'achat dés le CP à un type spécifique et presque à la marque prêt sur la liste de fournitures en septembre.
C'est pour ça, vraiment les prépas, je ne pouvais viscéralement pas, la FAC ça m'allait vraiment très bien : on se fout de ton organisation, si tu travailles ou pas, comment tu travailles, les cours que tu suis, les bouquins que tu sélectionnes, personnes derrière ton dos, etc. Ce qui compte c'est restituer des connaissances attendues le jour de l'examen (décembre et juin). Je n'ai jamais compris pourquoi en terminale on me disait "quand on est bon, en fait une prépa, c'est la suite logique". J'ai toujours trouvé ça assez idiot dans l'affirmation... Pour moi les prépas, c'est bien pour ceux qui avaient besoin d'être surveillés et drivés dans leur apprentissage, assurer une régularité nécessaire dans le travail. Je voyais plutôt ça comme des méthodologies d'apprentissage qui s'opposent.
Moi la fac, j'ai réappris le goût d'apprendre. Je me serai même bien vu à l'époque comme une éternelle étudiante. Je comprenais tellement les rares papis qui reprenaient des études en fac à 65 ans et fréquentaient avec bonheur ses bans. Il y avait un bon nombre de profs qui adoraient faire cours à des gens qui avaient vraiment décidés d'être là et avait de la passion manifeste, rendant le cours captivant. C'était bien plus rare au collègue où c'est plus leur attitude blasée que je lisais.
@@caroleledos3576 Tellement!
(j'ai arrêté de coller dés que j'ai pu) (il y a carrément du lobby dans les fournitures scolaires ça se voit, surtout au CP où on nous en faisait acheter des tonnes et la moitié est ramassée au début de l'année et devient propriété commune)
je suis en prépa, et j'ai 1 prof qui s'obsède sur la présentation (et je peux pas le voir), gros avantage du confinement à ce niveau d'ailleurs; j'ai pu me débrouiller sur onenote l'année dernière et je me suis rarement senti aussi efficace. le retour au papier cette année a été très difficile, l'année a été très difficile globalement, et j'aime beaucoup la prépa que l'an dernier.
La réussite ou l'échec scolaire est une chose toute relative, j'ai été jusqu'en 2 ème année de fac (deug Mias) après mon Bac S, sans le moindre travail de ma part, mais j'ai laissé tombé sans regrets après avoir tout de même essayé d'autres études (Beaux arts et psycho).
D'un point de vue extérieur, je ne sais pas si je suis classé en échec scolaire, mais de mon point de vue oui.
Jamais je n'ai réussi à trouver ma place dans ce système scolaire, il n'est pas fait pour nous, il est conçu pour le plus grand nombre dès que l'on s'écarte trop de la moyenne on en est exclu d'une manière ou d'une autre.
Je suis relativement apaisé avec ça, pas trop de rancune envers l'éducation nationale et j'ai passé un seuil ou le sentiment de gâchis ne me fait plus ni chaud ni froid.
Mais j'ai 2 filles dont la plus grande à été "diagnostiquée" à 145, et je refuse qu'elles subissent le même sort. Au moins elles seront au courant de leur douance quand elles commenceront à se poser la question de leur différence, mais je ne sais pas comment faire au mieux... Mais je ferai mieux que pour moi, c'est certain.
Bon courage ! Vu votre expérience vous ne pourrez que faire mieux !
Je n'ai pas d'enfants, mais je pense comme vous: pourquoi infliger cette errance ? Il n'y a pas de raisons de nous laisser, nous et tous les autres qui ne sont pas là majorité. C'est long très certainement mais ça avance :)
26:00 Sur la question du sens de la méthode, c'est quelque chose qui m'a sidéré toute ma scolarité. Lorsque j'étais en en première et terminale j'avais un prof de SVT qui était l'archétype du prof ultra scolaire/académique. Il nous faisait son cours magistral à partir de ses notes manuscrites qu'il peaufinait au fil des ans et qu'il nous distribuait avec des trous.
On devait ensuite compléter certaines notions importantes. Il nous disait également d'écrire certaines choses de certaines couleur, encadrer certains titres, et même apprendre certaines phrases par cœur, et que c'était ces phrases là qui étaient attendues dans certains exercices.
Je trouvais tout ça d'une absurdité incroyable. Je n'ai jamais relu ces cours une seule fois, qui après la classe finissaient au fond d'un classeur, dans le désordre, parfois avec des pages manquantes, et la plupart des trous non complétés car je n'étais pas du tout attentif en classe. Je n'ai jamais non plus appris la moindre phrase par cœur. Je n'ai pas une seule fois eu la moyenne en SVT en première et terminale. Pour autant c'était un prof que j'appréciais énormément et pour qui j'avais une grande admiration, ça se voyait qu'il y mettait du cœur et qu'il cherchait à petit à petit construire son cours pour qu'il soit le plus parfait possible et le transmettre. Mais impossible d'adhérer à cette méthode d'apprentissage.
Puis le bac est arrivé, je savais que les chances de l'avoir étaient extrêmement minces. La SVT était un des plus gros coefs, et une des matières qui me semblaient être les plus faciles. Mais ne sachant pas comment m'y prendre je me suis (plus ou moins inconsciemment) mis à faire ce que les autres faisaient et ce que le prof voulait : j'ai réorganisé mes cours, réorganisé tous les chapitres pour en comprendre la continuité, appris par cœur les phrases encadrées et soulignées en rouge. Et lors de l'épreuve du bac, je me suis senti confiant en ressortant mot pour mot ces phrases, et en structurant mon raisonnement exactement comme dans les exemples du cours. Ça a été ma meilleure note du bac, j'ai eu le double de ma moyenne annuelle.
Et là j'ai compris à cet instant que le prof ne nous avait pas (seulement) enseigné des connaissances en bio, il nous avait surtout préparé à faire ce que l'on attendait de nous pendant un exam. Toutes les choses absurdes qu'il avait pu nous dire pendant deux ans étaient en fait une recette à suivre : "si vous faites ce que je vous dis, vous aurez une bonne note au bac" parce qu'il connaissait avec précision ce qui était attendu des élèves et que notre réussite le préoccupait.
Et je pense que j'ai été un de ses plus mauvais élèves pendant ces deux ans et qu'il devait être déçu voire désemparé face à cet élève, intelligent et qui pourtant n'arrivait pas à simplement retenir et restituer les choses importantes du cours, alors qu'il faisait tout pour nous simplifier le travail. Mais j'espère aussi qu'il a été fier de ma note au bac, que je n'ai pu avoir que grâce à lui finalement ! Une partie de moi regrette en un sens de ne pas avoir réussi à adhérer à cette méthode plus tôt, mais c'était aussi un effort colossal de me contraindre à ce travail, même si le bénéfice était là et que je suis content d'avoir pu le mesurer. (Si j'avais eu une mauvaise note au bac malgré tout, je n'aurais jamais pu réaliser à quel point c'était effectivement un bon prof, tout du moins qui excellait dans le rôle de nous préparer à avoir notre bac).
Cela soulève aussi la question de l'échange avec les élèves sur les méthodes et le contenu des cours. Peut-être que tout ça aurait été beaucoup plus simple pour moi (et fort possiblement d'autres élèves) si dès le départ il nous avait expliqué le formalisme qu'on attendait de nous au bac et s'il nous disait d'apprendre telle phrase par coeur, ce n'était pas pour lui faire plaisir, parce qu'il était narcissique et qu'il voulait qu'on retienne exactement ce qu'il nous disait, ou quelque autre raison qu'on puisse imaginer, mais tout simplement parce qu'il était attendu à l'examen qu'on ressorte précisément certains termes et que ça nous assurerait la réussite. Toujours une question de sens, tant qu'on ne trouve pas de sens à faire quelque chose, alors il semble impossible de la faire. Dès qu'on en comprend l'utilité, il devient tout de suite bien plus simple de se mettre en mouvement. J'aurais seulement mis deux ans à en comprendre l'utilité par moi-même.
Et je conclurai enfin en disant qu'un prof qui peut paraître mauvais parce que sa méthode d'enseignement ne convient pas, n'est pas nécessairement un mauvais prof, il ne fait que se plier au système. Hate the game, not the player. (Ça n'enlève pas le fait qu'il y a de mauvais profs tout court, mais c'est un autre sujet).
J’adore l’écosystème du cartable bravo 😉👍🏻
Quelle vidéo intéressante ! Enfin un discours qui fait sens concernant l'école. Mon parcours scolaire a été chaotique, toujours à 2 doigts de redoubler... Des résultats en dents de scies comme disaient mes profs, capable du pire comme du meilleur ! Une dyslexie en primaire, un désintérêt total pour beaucoup de matière au collège où on devait apprendre par coeur, sans raison. Si j'avais pas de réponse à mes pourquoi, je ne pouvais pas apprendre... Un blocage avec les math. Bref, j'ai quand même réussi, le brevet, le Bac, le DUT, le master... Je ne sais toujours pas vraiment comment !
Toute ma scolarité c'est passé sur "la lune" d'après les professeurs alors c'est d'une logique imparable de ne pas pouvoir souligner des titres et voyager sur la lune en même temps!
Grâce à cette chaîne j'arrive à comprendre des choses sur moi et sur ce que les gens disent à propos de ma "bizarre".
Moi personnellement pendant ma scolarité j'ai fait des efforts incroyables pour m'adapter au système scolaire, et j'ai réussi j'ai toujours été gentille studieuse je m'epanuisser à l'école contrairement à la maison ou on me comprener pas, j'ai réussi mais je cherche toujours ma voix, je souffre autant de part mon hypersensibilité.
Merci pour vos vidéos
Prend un solupred.
Merci pour toutes vos vidéos, elles sont de toute évidence un grand bol d'air frais pour plus d'un.
Le caractère subversif que reflète malgré eux les "lucides" dans leur manière de mettre en exergue, voire d'incarner les dysfonctionnements institutionnels (écoles, monde du travail, etc...) me semble en effet être une clé de voûte pertinente, via le prisme de la relation au récit collectif à toute une réflexion sur le système en place.
Votre projet d'expansion et de diversification de la chaîne, s'il suit cet élan, s'avère éminemment ambitieux et c'est avec un intérêt certain que je visionnerai les prochaines vidéos.
Bravo, enfin quelqu'un qui exprime l'idée de la souffrance et de l'échec scolaires à travers un autre prisme que celui des notes. En khâgne, j'ai eu droit à des réflexions incroyables : "Vous ne pourrez pas continuer à faire partie de l'élite de la nation en venant en cours à la carte."
Bravo encore 👏👏 On demande aux gens de s'adapter à l'aberration, de quoi virer fou !
"Par leur malaise, les surdoués surexposent toute l'ineptie du fonctionnement institutionnel"...il fallait le dire.
Merci .
On attend encore les solutions miracles révolutionnaires qui permettront à chacun d'avoir une école adaptée à son cas personnel...
Hego Ney de toute façon dès que le terme « révolutionnaire » est utilisé de cette façon... du coup vous seriez pour le statut quo ? Bien entendu que l’école est faite pour constituer une éducation de masse. Mais pour l’avoir expérimenté des deux côtés de la barrière, il y a aujourd’hui près de deux fois plus d’élèves en échec scolaire qu’il y a 20 ans. Au delà de trouver des solutions qui peut régler les « cas » personnels, à croire que c’est pathologique à vous lire, c’est essentiellement une histoire de confiance. Et c’est surtout une histoire de latitude et de revoir l’organisation de l’ensemble du système. Il y a moins d’enseignants spécialisés, maître e et g, moins de psychologues scolaires à même de détecter ce genre de profil et enfin moins d’infirmières scolaires qui sont à mon sens essentiel pour les soucis intimes des élèves qui sont balancés aujourd’hui aux enseignants qui sont impuissants. Au delà de régler les différents cas, l’en y a pensé avec sa fameuse « pédagogie différenciée », l’objectif est de construire l’identité propre de chaque élève et surtout ne pas totalement perdre leur confiance. À vous lire, on passerait d’un extrême à un autre, aujourd’hui aucune liberté de mouvement est accordée aux élèves. Pas de développement d’esprit critique, dès qu’on sort de la maternelle, de moins en moins de liberté pédagogique et surtout aucunes formations dispensées aux enseignants sur le développement de leur propre confiance, on parle d’une « stature » qui devrait être similaire chez tous les enseignants. Au delà d’une pédagogie « à la carte », on peut moderniser le fonctionnement éducatif sans pour autant changer sans vraiment changer les programmes tous les six mois. Et enfin arrêter avec ces tableaux de préparation qui ne servent à rien.
@@hegoney5841 Ca existe déjà, ça s'appelle les écoles Sudbury
Très intéressant. Je remercie un professeur d'histoire qui m'a dit "ce qui était attendu" - "tu réponds à la question, point" et tout est devenu limpide, alors que je me demandais pourquoi, on m'a fourni la structure. Je n'avais plus qu'à copier et reproduire cette structure. Pourtant en maths, impossible, je dois l'une de mes séances d'humiliation au théorème de pythagore qu'il fallait entièrement écrire. Alors que j'avais de grosses difficultés à prendre les cours dans le temps imparti.
On ne nous explique pas le pourquoi des signes, la grammaire et la syntaxe de cette langue mathématique, et je n'ai toujours pas compris la structure car aucun prof ne peut discuter de ça, aucun ami n'a pu m'en parlé. Tout le monde fait des maths, mais rares sont ceux qui peuvent l'expliquer vraiment comme des maths.
J'ai zigzagué, je suis passé par un lycée agricole bac techno, puis j'échoue en BTS Gemeau, puis je réussis avec facilité mon BTS service en espace rural, je fais une L3 de communication et j'échoue plusieurs fois mon master de communication. J'arrête. Je fais de tous et n'importe quoi niveau boulot, mais toujours en privilégiant l'humain (au détriment du salaire). Pôle emploi trouve mon CV magnifique et riche, pourtant toutes personnes de RH y voient un mec qui n'a pas d'expérience, un type diffus qui fait tout et rien à la fois.
J'ai plus de trente ans, et je ne sais pas vraiment où je vais. Ce qui est une énorme souffrance, car on ne pardonne pas ce qu'on appelle les errances, celles qui m'ont pourtant enrichies. Je suis un bouche trou professionnel, un type qui ne réussit pas vraiment, mais qui n'est pas dans une difficulté extrême.
Je finirais peut-être à l'usine pour ne plus entendre les mots de la société à mon égard, taire mes pensées qui ici ne servent à personne.
12:05 un écosystème, la vie aurait pu germer !😂😂😂😂😂😂tu m'as achevé là !😄😂
Le coup du classeur m'a fait tellement rire tant je m'y suis reconnue. Je n'ai jamais été fichue de prendre un cours correctement, si bien que même si l'envie de réviser m'avait effleurée j'en aurais été incapable car je n'avais pas les cours. Ca ne m'a pas empêchée d'avoir mon bac sans rien faire et en n'étant pas allée en cours les 3/4 du temps. Ce qui ressortait le plus souvent comme commentaire dans mes bulletins c'était "se repose trop sur ses acquis". ^^
Merci beaucoup pour toutes ces vidéos très intéressantes !
Merci d'abord et encore. Ayant eu ce problème précis des cours à recopier ou de l'organisation globale de la paperasse écolière, j'ai du aussi souffrir de tous les regards et remarques possibles et imaginables ! Mais j'ai remarqué une chose, c'est le fait que j'avait toujours moins de mal ou même parfois beaucoup de motivation à transcrire des cours ou les organiser quand et seulement quand j'avait en face de moi des professeurs et des cours passionnants !
Bonjour,
Avez-vous prévu de faire une vidéo sur l'usage de drogues, considéré comme plus élevé chez les "surdoués" ?
En effet, beaucoup d'études démontrent ce fait sans pour autant l'expliquer de façon précise.
Bonne continuation dans votre travail
j'ai trouvé votre analyse très fine. Merci pour vos vidéos
haha ca me rappel moi, heuresement j'étais dans un lycée et une époque ou on faisait tous ce que on voulait. j'ai séché tout un trimestre en terminal quand la CPE à mis bout à bout mes absences. Et le directeur voulais ne pas me présenter au bac. Au final je l'ai eu tout juste, javais jamais rien bosser, uniquement les points que j'avais naturellement aimé. Et alors ca a été l'incompréhension de mes camarades qui me voyaient redoubler, et de certains profs. Car oui j'avais eu mes meilleurs notes le jour du bac au final. Parceque javais eu la trouille le jour J. Apres j'ai très vite compris ( au CP ) et très vite décidé, que jallais apprendre uniquement dans le cadre de ma sincérité. Et que je ne pouvais pas faire autrement. J'étais hermétique à l'inculcation. l'enseignement ( la mise en signe ) des savoir m'était presque une gêne, je préférais que l'on me propose de comprendre l'idée général et de moi même découvrir ou de dialoguer ( jaurais aimé ) les aboutissants. Je l'ai pas mal fait puisque je monopolisait les proffs avec des questions hors sujets sans arret.
Et bien tout cela doit bien exprimer le ressentiment général quand on voit que des enseignants de maternelle se suicident par désespoir c’est qu’on commence à arriver au fond du fond. Personnellement je ne m’y suis pas retrouvé car je dois être « normo pensant » mes cahiers étaient parfaitement tenus et j’ai gardé cette habitude qui au fond rassure on ne va pas se cacher. Mais j’ai reconnu là, surtout dans la deuxième partie un de mes amis les plus proches. Il n’était pas du tout scolaire, il se mettait au fond de la classe est il attendait la fin. Pourtant il apprenait quasi instantanément les chansons qui passaient à la télé car il aimait la musique. Totalement décalé par rapport à la « norme », il a erré entre jardinier, marine nationale, il s’est blessé et enfin aujourd’hui dans l’alimentaire. Mais quand on le voit et on l’écoute un peu parler, on sent quelque chose, je ne saurais dire quoi. Il n’est pas particulièrement cultivé mais il est capable de parler d’un sujet qui l’intéresse à fond, capable de prendre les choses en main quand c’est compliqué et surtout il exprime indirectement ce profond sentiment d’isolement vis à vis de la « masse » même si on le prend pour le « rigolo » de service. Quand on avance une expérimentation sous le prisme de la découverte, il est prêt à y aller, on a ainsi « appris » seul à jouer au tennis alors qu’on n’avait jamais tenu une raquette de not vie. Au bout du compte, on se marrait bien et on savait presque tout faire mise à part les revers qui étaient en cours d’apprentissage. Au bout de ce raisonnement on voit bien là l’immense gâchis que l’on fait avec ce groupe qui aurait tant à apporter à l’humanité dans son ensemble.
Merci de t'être intéressé au sujet, je te conseille de diriger ton ami vers les vidéos et écrits de Carlos. Perso j'ai besoin de croire que tout le monde au fond ressent cette profonde absurdité de la plupart des institutions, surdoué ou pas, et c'est juste que les surdoués ont un "truc" qu'ils ont récupéré de leur très jeune enfance qui ne leur permet pas de s'y soumettre. Je pense comme Carlos qu'une potentialité "surdouée" existe chez tout individu, et je suis convaincu que nombre de "non-surdoués" peuvent basculer dans un mode de pensée différent quand ils perdent leur sens et n'ont comme seul choix que de le reconstruire par eux-même.
Merci. S'il vous plait continuez sur votre chaîne youtube.
Excellent la fin, j'adore le ton ironique ahah.
c'est cool d'entendre quelques histoires de votre vie personnelle !
Merci bcps surtout de la minute 32 à la fin....
ç'a m'a toujours fascinée les cahiers bien tenu de mes camarades ahah. Moi j avais toujours des petits dessins dans la marge des ratures un peu partout et bien sur, je ne soulignais jamais. Très belle figurine en arrière plan Carlos !
Merci, ça fait tellement de bien à entendre, beaucoup de souvenirs sont remontés, mais pourquoi on arrive pas à tenir un cahier et prendre des notes ? Et faire mes devoirs j'ai jamais pu, après 8h d'ennuie absolue ressortir un cahier c'était au dessus de mes forces.... Aujourd'hui je fais des formations en ligne et j'adore, j'ai des stylos de toutes les couleurs pour dessiner des schémas heuristiques et j'utilise la saisie vocale, un bonheur, et mon dieu mais qu'est ce que j'aime apprendre, de mon côté je n'avais pas de soutien à la maison, feignasse voila tu es diagnostiquée, et puni, des lignes à copier encore et encore, j'avais 0 puis 20, ça ne me faisait plus rien, certain prof me demandait de faire la sieste, ok, 1h de moins à tirer. C'est vraiment pas une période facile ! Bon courage aux ptits loups qui doivent encore vivre ça un moment, bientôt le monde va changer ;)
Tu as raison, surtout vers la fin, ses gens qui ferment les yeux en accusant les autres parce que ça les arrangent car ils ne veulent pas retravailler le monde tel qu il faudrait qu il soit vraiment, après on s étonne que nous trouvons ce monde complaitement dingue...
Que vous etes passionnant ! Si tous mes profs l avaient ete autant que vous, mes notes auraient certainement ete superieures, bien que dans l ensemble, elles n aient pas ete si mal. En fait, elles pouvaient varier considerablement : autant dans certaines matieres je pouvais avoir des 85-90%, voire, 95 (comme dans les domaines social et litteraire), autant je peinais a obtenir la note de passage dans d autres (maths et physiques, que je trouvais trop froides). Mais il y a aussi, et vous ne l avez pas mentionne, la relation qu on a avec notre professeur, ce qui peut tout changer. Si, en effet, on a un prof qui a de la consideration pour nous, qui a la passion de ce qu il enseigne et qui explique la raison d etre de sa matiere, autrement dit, qu il y donne du sens, on a beaucoup plus de chances d avoir un bon resultat. Cependant, je crois que c est logique qu un surdoue eprouve des difficultes scolaires, ayant du mal avec l autorite, mais aussi, parce que c est un etre qui a besoin de connaitre le pourquoi des choses, ce qu on ne nous explique pas a l ecole. Et si, par malheur, on ose justement demander le pourquoi des choses, on nous repondra, d un ton sans appel et qui ne tolere pas la remise en question, que c est comme ca parce que c est comme ca. Wow ! Quelle reponse ! Et ceci ne se produit pas uniquement a l ecole, mais aussi, dans le milieu du travail, d ou, surement, la difficulte des surdoues a s y integrer et s y adapter. Mais tout comme vous, je crois que c est une force incroyable que celle de remettre en question nos regles et institutions, car ce n est que de cette maniere qu on pourra faire avancer la societe.
Mon prof. d'histoire en 4ème, sur mon bulletin trimestriel : "Fumiste brillant et distingué."
Wow 😯, tu viens de décrire mon parcours scolaire !
wahihihih ;-D j'ai ri, mais j'ai ri, c'est compliment bien sûr, merci Carlos, U made my day :-)
Je me suis procuré votre livre ce jeudi. Très étonné qu'il soit disponible ds la librairie juste à côté de chez moi. C'est avec plaisir que je le dévorerai.
Bonjour.
J'ai découvert votre livre et vos réflexions sur les surdoués par une amie qui m'en a parlé. Au début j'étais assez fermé a cause de la présentation "psychanalyste" et que cette approche a fait beaucoup de mal a d'autres problèmes (notamment le TSA). Cependant j'ai ensuite vu que j'avais en fait déjà un de vos livre chez moi (le corpus GF sur la sensation) et que a travers votre formation philosophique je me suis dit que je devrais y arriver (j'ai aussi cette formation, et j'enseigne tant bien que mal aux terminales). Puis j'ai lu un peu et j'ai vu que de toute façon votre source principale revendiquer pour le livre était l'anthropologie. Donc, bon. J'ai ensuite écouter les vidéos de la chaîne, celle-ci est p.ê celle-ci me parle parmi d'autres parce que j'ai vécu des difficultés dans mon parcours scolaire, même si en même temps Nicolas Gauvrit dans son livre "les surdoués ordinaires" montre que c'est un biais de croire que la majorité ou une grande partie des surdoués ont des difficultés.
Moi même je ne me reconnais toujours pas vraiment surdoués, même si on me le répète a longueur de temps, mais ces gens qui me le disent, bien que "détecté jeune", ont une lecture du sujet assez inquiétante. Il conseille par ex. Colin, mais elle donne dans son livre (je pense trop) des pouvoirs paranormaux aux surdoués (télépathie etc.), siaud fachin de son côté a un biais du a la construction de son discours uniquement sur les personnes qui viennent la voir, c'est à dire des gens qui ont des problèmes, du coup = la plupart des surdoués aurait des problèmes. Bref. Je me suis dit, mes connaissances sont elles p.ê surdoués, elles ont été détectés, mais moi vu ce que je lis, je vois surtout que c'est du n'importe quoi, ce qui m'a fait redescendre d'un stade ou j'avais été temporairement bien car je me disais que ça expliquait quand même pas mal de chose dans mon parcours.Bref, j'avais abandonné l'idée, par ailleurs, j'ai sur certains aspects des comportement qui cadre en partie avec le TSA (enfin selon le DSM) et en grande partie avec le TDAH (ça dés que j'étais jeune on l'a soupçonné, mais rien n'a suivi)... cependant ça colle pas pour tout, et mon parcours scolaire est cahotique (je reviens enfin au sujet). Plusieurs redoublement, une réorientation vers un BEP, BAC PRO, puis une fois un bac en poche.... je fais 7 ans de philo à la fac et j'obtiens mon master 2 (contre l'avis de ma prof de français en bac pro qui me disais que ce serait trop difficile pour moi).Du coup j'enseigne, et je galère car je passe effectivement mon temps à tout ré-inventé et parce que aussi je n'ai pas du tout le bon entourage. Enfin, mes parents sont biens, mais je suis toujours passé pour l'extraterrestre de la famille (un surnom que l'on m'a donné enfant au collège et qui a été dur a porter, mais être très calé en astronomie amateur pendant que les autres ont d'autres centres d'intérêts :/ ).Bref, tout ça pour vous dire, que je commence à y croire un peu, mais en même temps je n'ai pas envie de faire de faux diagnostic personnel, mais en même temps j'ai tjs du mal a faire confiance aux psy, mais en même temps il faut que je finisse par trouver un mode de fonctionnement qui me permettrait de vivre un peu mieux.
En tout cas, merci pour ces quelques vidéos, je vois les choses un peu autrement.
Dans tous les cas... À quoi bon se trouver son mode de fonctionnement vis à vis de divers tableaux cliniques ?
Personnellement à un moment j'ai été obsédé par le fait d'être haut potentiel, car ça expliquait beaucoup de mes problèmes et manière de faire, j'ai osciller entre le je le suis et je ne le suis pas...
Pour au final me réconcilier avec moi-même et me dire que peu m'importe, et que seul mon mode de fonctionnement à moi ne pourra jamais être qu'entierement reconnu par moi-même... Alors surdoué ça parle aux gens et ça fait un raccourci qui convient pour de décrire rapidement.. Mais qu'importe... Le fait de savoir que nous sommes surdoués en général n'apporte pas vraiment de solutions
Il m'est arrivé la même histoire de bordel quand une nouvelle ''surgée'' est arrivée et a décidé d'ouvrir les casiers de l'internat.
Contrairement à toi je m'en doutais ça glissait sur moi la condescendance et tout le bazar,
Je voulais faire de la philo mais mon père n'a pas voulu.
J'ai repris mes études à 45 ans pour devenir prof d'arts plastiques mais je ne suis pas titulaire.
Je sais pourquoi on est bordélique. On retient davantage de choses du coup il faut avoir un autre rapport aux documents écrits. La simplification des fiches de préparation m'aide beaucoup, mais je ai jamais pu faire une fiche normale.
.
Scolarité en école primaire excellente dans l’apprentissage des fondamentaux. Au collège ça s’est corsé avec d’une part des cours inintéressants et les élèves qui te brisent psychologiquement car t’es qualifié d’intello. Du coup création d’un faux self qui se met au niveau des autres. Le reste de la scolarité à végéter jusqu’à un bac+2 et une confiance perdue malgré des coups d’éclats dans certaines matières.
Merci, juste merci.
Ah, merci: j'avais été assez déboussolée par les articles virulents (et très intéressants pas ailleurs - des chercheurs en sciences cognitives que vous évoquez, tout en ayant du mal, depuis longtemps, avec le gang des pleureuses qu'ils remettent en cause. Votre synthèse, comme toujours, permet de re-poser la réflexion!
Le coup ds classeurs et des feuilles volantes ...!!!! Lol....
Le coup du cartable en chiffon.... mon Dieu du vécu pour moi comme pour 2 de mes enfants...
Une horreur l’école.
Je me reconnais tellement dans l'histoire du classeur ! Quoi de plus horrible qu'un classeur, que toutes ces feuilles volantes qu'il faut un jour tenter d'ordonner car le professeur souhaite "contrôler" l'état des cours par élève… L'angoisse et la nuit blanche ! L'organisation papier reste d'une logique des plus absconses pour moi. Quant aux titres soulignés en rouge, ça a été un motif de rupture entre la faculté et moi ; lorsqu'on annonce une "matière" dédiée à part entière à l'aide à l'organisation du travail, où il faut réunir 3h de temps dans la semaine avec deux autres personnes pour mettre en commun sa prise de notes (sa prise de quoi ?), où les grands titres doivent être soulignés en rouge, les sous-titres en vert, la police de taille 12 et l'interligne de 1,5, et qu'en plus on vous annonce que tout ceci donne lieu à une notation impactant la moyenne générale… Poudre d'escampette !
Bonjour :)
Cela fait quelques jours déjà que j’ai découvert votre chaîne RUclips et je pense prochainement acheter votre livre. Comme beaucoup c’est la question « suis-je surdoué, hp, zèbre, ou autres variantes ? » qui a guidé mon chemin vers vous. J’en ai vu des vidéos à la pelle, j’ai lu des articles sur le sujet et il faut dire qu’à chaque fois que je pensais avoir trouvé une piste éclairée, elle se trouvait systématiquement, dans la foulée démolie par une autre personne (un.e autre spécialiste ?). J’ai été sidéré par la manière (de certains) de réduire ce concept à des vidéos de divertissements. En réalité je suis une personne assez difficile à convaincre d’après mes proches, pourtant quand je trouve une réflexion cohérente je l’accepte facilement (dans un premier temps) puis je ne peux m’empêcher d’y penser longuement après pour voir (enfin essayer de percevoir) les possibilités de contradictions. Je me sens différent, souvent perdu dans ce monde bizarre parfois insupportable et je me reconnais dans énormément de traits qui sont (en théorie) similaires à tous les HP. Pourtant je ne crois absolument pas avoir un Qi > 130 (non non ça m’étonnerait beaucoup) mais je sais seulement que je réfléchi différemment.
Je souhaiterai vous poser une question. En effet, j’adore écrire, déjà enfant (primaire) j’écrivais de très beaux poèmes et je voulais au fond de moi devenir poète. Mais j’ai renié cette envie pour ne pas passer pour un fragile ou fou et pour m’adapter à ce que les autres attendaient de moi et ce que je croyais être le mieux pour que mes parents soient fiers de moi. Aujourd’hui encore je ne peux structurer mes idées et suivre une ligne rouge de pensée sans une feuille et un stylo. Impossible. Mais parfois même quand j’écris j’abandonne rapidement, agacé, parce que j’réfléchis à trop de choses à la fois. Mon cerveau part dans tous les sens les idées fusent comme des énormes vagues et elles me paraissent toutes créatives, du coup je n’arrive pas à tout retranscrire (phénomène que je trouve très bizarre et que je ne comprends pas). Avez-vous un avis sur ce que ce pourrait être svp ?
Par ailleurs ce qui m’attire dans vos vidéos, c’est le fait que, l’espace d’un instant j’oublie toutes mes problématiques liées à la question de la douance (dois-je faire le test ou pas etc..) et je me laisse envelopper, emporter par votre réflexion et les hypothèses que vous soulevez (ou contredisez). Chacune de vos vidéos est une richesse de connaissance et quand on commence à creuser un peu après, on peut aller très loin sans même s’en rendre compte. Merci pour cela :)
Pour finir, je voulais vous dire que j’ai aussi fait un Bac S et je l’ai passé exactement (à quelques détails près, mais vraiment) comme vous. M’autorisez-vous à vous envoyer un mail ? Je souhaite aborder avec vous certaines choses très personnelles.
Merci encore pour tout !
Bonjour, oui, bien sûr, vous pouvez m'envoyer un mail : carlos.tinoco@sfr.fr
demonstrer.fr D’accord et merci :)
c'est comme l'obligation de réferencer sa pensée à un autre, cela présuppose qu'on admet ne pas être capable de créer sa propre pensée.
Merci!! C'est très inspirant, j'ai même ri quelques fois (mieux vaut ça que pleurer) :-) Dommage qu'on apprenne aux filles à si bien la boucler, autrement on verrait plus de "bonnes élèves" prendre conscience que ce n'est pas normal de s'ennuyer à ce point, et agir...
J'ai ris, mais ce qui m'a tué de rire c'est le : "ha tiens c'est moi qui ai écrit ça !".
À 29 mn 40 : énorme fou rire.
Nooonooooo!
Le nunchaku est une arme CHINOISE, Raaaaaaaah! c'était un fléau à céréale. Les fermiers l'utilisaient pour se défendre contre les brigands car les armes leurs étaient interdite. Le Japon, et même les chinobi n'ont jamais utilisé cette arme.
Sinon merci pour ces nombreuses vidéo, je me régale :)
Salut comme vous le dites c'était un fléau et tout les pays qui cultivé du riz en avaient (à peut près toute l'Asie) et le mot nunchaku vient d'un mots japonnais
ah ouais, t'as raison! on m'as encore mentis, sans doute l'influence de Bruce Lee :). à ma décharge, je ne l'ai jamais pratiqué par les discipline japonaise en 25 ans. Mais bon, Okinawa ... c'est pas Chinois.
ça me prouve une fois de plus que je ne dois pas seulement vérifier ce que disent les autres, mais aussi ce que je crois savoir moi-même...
meerciiiiii
euh si si, "nunchaku" c'est un mot japonais.L'arme chinoise, d'origine paysanne certes, est un siu so gee, avec un bâton plus court et ne se trouve utilisée que dans quelques styles de kung-fu du sud. Les arts martiaux japonais l'ont modifié avec deux bâtons égaux.
j'aime bien votre discussion
Lol...j étais trop patachon avc mn matériel scolaire ....mdr...même moi , je ne m y retrouvais plus 😅🤣.!!!! Les Profs , ça les rendait fous , surtout que j avais des notes excellentes...mon " cartable était rempli de feuilles volantes froissées et déchirées....🤣🥴😬😱
Mon fils a 148 de QI verbal mais son institutrice de CM2 prétendait qu'il ne pourrait jamais suivre au collège. Il est actuellement en master 2...
Bonjour
la réflexion autour des dossiers, dissert' et cie vers 27:00 , je suis en plein dans cette réflexion, actuellement en L3. J'ai conscience de ce que l'on va me demander pour les mémoires, les TER ect... je trouve ça chiant, du coup, j'essaie de créer du sens autour du "pourquoi", je me rends compte que j'dois faire de moi même cette réflexion bien que voyant qu'à la fac que ce soit certains profs ou étudiants sont focalisés sur la copie d'un modèle et j'suis comme un couillon à côté à me prendre la tête car j'trouve ça incohérent et insensé de le faire de leur façon. Au final, je ferai ces choses là mais en empruntant cet autre chemin et après revisionnage de cette vidéo (j'l'ai regardé une fois tout les ans j'dirais, depuis sa publication) je comprends mieux à présent (et j'comprends que j'suis pas fou). Merci encore!
J'ajouterai que je n'ai justement pas eu (dans mon passé) ces outils dont vous parlez, soit un climat social propice à une approche universitaire en général. Je suis le seul de la fratrie en étude supérieure, ma grande soeur ayant abandonné face à la charge de travail en étude de médecine et à son attachement au fonctionnement du système typique. D'autres part, ma petite soeur n'a pas réussi son bac. Mes parents ont leur brevet. Bien que tout cela, j'effectue cette déconstruction/reconstruction de ma façon d'envisager tout cela, d'une façon très zigzagante... mais cela me demande un effort assez particulier que je ne saurais décrire et dont je ne peux même pas parler avec ma famille pour le coup.
j'ai baucoup rie dans la partie de l'enfance le cartable et tout le reste, cela ma fait resurgir des souvenirs. Mon cas en peu de mots:dislexic uuufff celui qui a pondu ce mots ne pensait pas a nous, jeje. ; Echec solaire, arret´en 2º, service militaire st cir l'ecole a 17ans. 18ans au revoir la france, sac a dos, diverses vies, lors d'un retour en France après plusieurs années: obtention d'une validation des acquis professionnels, niveau bac +5 rechangement de vie et là, a 58ans je suis en train de rentrer dans une autre qui je croie va etre aussi interessante et intence que les autres.
Merci de vous etre confier
Merci 😊
Punaise, je n'ai pas eu le même parcourt scolaire, mais ce que tu débris je l'ai vécu à ma manière, et je suis arrivé à la même conclusion. Aujourd'hui j'ai deux enfants et l'une est TDAH, et je l'aide come je peux, mais mon fils est trop "immature", l'école parle de redoublement pour son CP... J'ai l'impression de devoir apprendre à mes enfants à survivre à l'école...
j'étais pareil, mes feuilles de courts étaient illisibles, incompréhensibles, plein de dessins, froissées. Je ne les consultais jamais, je révisais uniquement à travers les livres, quand je le faisais. Mon sac était une poubelle, je ne savait jamais ou se trouvaient les salles de court, et j'écoutais jamais. J'ai décroché en terminal ES car mon pour m'avait destiné à devenir menuisier, BAC ou pas.
A mes yeux l'école est là pour faire rentrer dans les cases et récompenser l'obéissance. On peut avoir de l'instruction sans aller à l'école, pour moi c'était plus une épreuve d'humiliation qu'autre chose.
C'est exactement ça : masquer la portée subversive de cette remise en cause.
moi aussi ça me rappel de pas mal de mauvais souvenir l'histoire du cartable et tout ce merdier avec le recul pourquoi nous avoir infligé ça bordel ? En plus je me suis vite rendu compte que ça me servirai jamais à rien mais l'éducation national nous tient par la peur.
PowerFuel et ça continue encore après... #tenusparlapeur
C’est drôle, j’ai moi aussi eu le traumatisme du cartable ^^ ...
Perso je passe mon bac actuellement et je déteste tellement ce système scolaire, tout ça me dégoûte quand je vois tous ces élèves qui se tuent à la tâche et qui sont persuadés de jouer leurs vies là dedans je trouve ça triste. finalement j’ai qu’une envie c’est de tout lâcher et de me barrer très loin 😞
Fais le moi j'ai pas attendu le bac j'ai fait la moitié de ma seconde et je me suis barré je savais que ça ne me servirai jamais à rien au temps au niveau intellectuel que financier
Homme DeVie moi aussi je confirme.
Merci. On me traitait "d'élèment dérangeant"
J'ai 15 ans et jusqu'ici j'ai fait comme toi
Tous les systèmes fonctionnels ont une partie rigide et une partie souple. Les immeubles japonais, les voitures... pour résister aux chocs et séismes ont ces critères.
Les institutions doivent ou plutôt devraient correspondre à ses critères. La question qui se pose est le dosage et "l'emplacement".
Notre ami scolaire Jean de La Fontaine et les Japonais par le judo ont glorifier l'art de la souplesse. Pour autant entre choisir une maison en roseau ou en chêne... Et les judokas qui cherchent des titres fréquentent plus les salles de musculation que les écoles de contorsionnisme.
L'école contrairement à ce qu'elle prêtant pompeusement n'est pas là pour l'épanouissement mais pour une transmission partielle du savoir. Permetant parfois à un plus intelligent de recevoir d'un moins intelligent.
Il normal de critiquer les institutions, mais attention à ne pas utiliser leurs faiblesses comme excuses aux échecs.
Pour ma part l'échec scolaire je connais alors les explications de douance et de failles du système scolaire me conviendrait parfaitement si je voulais rester avachi tranquillement dans un canapé trop mou...
Ceci étant dit, merci pour ses vidéos très éclairantes et sources de questionnements. J'achèterai votre livre rapidement. Je me pose la question de savoir si je vais utiliser l'excuse de la dyslexie pour ne le lire que partiellement, mais ceci est une autre histoire 😀😀😀.
Si tu écoute vraiment tu réalisera qu'il ne se donne pas d'excuses, il exprime l'incompatibilité flagrante à la quelle il s’est heurté malgré tous ses efforts. Il a réussit pas grâce à la torture scolaire mais à ses recherches personnelles et au soutient familiale. On lui avait même refusé un diplôme malgré le fait au' il en avait les acquis.'' Jeux de pouvoir''
Ídem ! Pour les maths en terminal ! 😍
C'est tellement tragique que je suis tordue de rire!
Et si chacun qui s'identifie surdoué t'écrivait leur parcours?
Qu’en est-il des personnes qui sont découvert comme surdoué à l’âge adulte ? ça ne serait pas de là que viendrait l’échec ? au fond, on ne comprends rien aux autres, du coup on se sent comme nul et concrètement si on est nul, on ne peut pas réussir...
quand j’écoute et que je transpose à ma petite expérience, je n’ai jamais travaillé ni à l’école, ni à la maison mais j’étais discrète et je me fondais dans la masse, au final ça n’est pas là l’échec ? pouvoir aller plus loin, plus haut mais se sentir tellement nul qu’on ne fait strictement rien, ne pas comprendre qu’en réalité les autres bossent vraiment leurs cours !, de lire ses cours pour le bac à 8h du matin pour celui-ci qui a lieu à 14h et en ressortir en ne sachant même plus ce que l’on a lu le matin ?
Pour les autres, les adultes, les profs tout ça n’existe pas, au final ils se disent que l’on bosse et que si on a 10 c’est que l’on est moyen, pas perturbateur ni intelligent...Moyen...
et si au final l’échec n’était pas de réussir ou non des études, d’avoir ou non des difficultés dans ce parcours, mais de ne pas apprendre à utiliser ses propres facultés ? de se détacher de diplômes et de mettre en avant d’autres qualités ?
Pourquoi aussi devoir tenir des livres ou cahiers qui contiennent es sujets qui ne nous intéressent pas du tout? L'école à été un ennuie mortel pour ma part tant et aussi longtemps qu'on nous jugeait et critiquait sur la "propreté" es cahiers. Une fois au lycée c'était "libre" prenez le support que vous voulez, la couleur encre que vous voulez, écrivez ce que vous voulez ou non en gros c'est à toi et voir si tu veux bosser ou pas. Et ça a été une libération pour moi!😊
❤
MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI ;D !!!!!!! POUR TOUT !!!!!!! :D
Pour moi, l’échec a commencé quand j'ai énerve la plupart de mes profs....=))
Tant de similitudes entre le parcours énoncé par Carlos et celui qui fut le mien que j'en ai été ému.
Mes parents étaient des ouvriers, et même si je n'ai manqué de rien, je n'ai joui d'aucun avantage culturel de par notre milieu social.
Pourtant, je lisais en maternelle. Autant dire que comme mes parents étaient trop humbles pour envisager de me faire sauter le CP, l'année scolaire a dû être particulièrement insupportable autant pour mon institutrice que pour moi. (Ma mère m'a appris récemment que petit, ayant lu tous les livres de ma chambre, je décortiquais le dico le soir... Quel branleur.)
Primaire sans encombre, avec un vague souvenir d'ennui ponctuellement rompu par les parties de foot aux récréations.
Arrivé au collège, on me taxe d'intello, ce qui au regard des efforts que je fournis est rigoureusement infondé, mais devient compréhensible à la lumière de mon doigt constamment levé (autant pour poser des questions que donner des réponses, si ce n'est plus...). Arrive la 5ème où je comprends que mon intégration passera par une attitude différente en classe. Je deviens un mariole qui n'en branlera plus une de sa vie. Mais ça passe très facilement malgré quelques remontrances. Les langues, le français sont suffisants pour pallier au naufrage constaté dans les autres matières où l'intérêt m'échappe cruellement (si ce n'est quelques chapitres d'histoire qui suscitent un semblant d'attention.).
Bac en 5 ans faute d'être suffisamment présent en cours, ou d'y être bien vu quand je m'y rendais, entrée aux beaux arts (je remercie au passage l'éducation nationale de m'avoir donné tant de temps pour developer mes compétences en dessin !) pour constater que ce n'est pas fait pour moi.
Bifurcation en fac d'anglais. J'ai ma licence en 3 ans en ne faisant rigoureusement RIEN.
J'enseigne 3 ans en tant que remplaçant (3 remplacements sur des années scolaires quasi complètes) et la mascarade me désempare. Les navrantes conversations en salle de classe que je fuis comme la peste, les directives qui ne laissent aucune lattitude pour permettre aux retardataires d'embarquer sur le train en marche. Tout sonne terriblement faux...
Parallèlement, j'ai commencé à faire du théâtre d'impro. Au sortir de mon expérience en tant que prof, je lis l'annonce d'un café théâtre qui recherche des comédiens. Je frappe à leur porte au culot, j'obtiens, fort de mon CV bancal à souhaits, une audition.
Voilà bientôt 2 ans que je travaille en tant que comédien professionnel, un rêve que je caressais silencieusement étant jeune. Et déjà, la lassitude me guette... Oui, le parcours chaotique, je m'y reconnais pas mal.
Je n'ai pas été diagnostiqué HP, mais j'envisage de passer les tests prochainement, pour être validé dans mes errements, ou me prendre le coup de pied au cul qui me fera filer un peu plus droit.
PS: Ce classeur, mais tellement...
je me demande si le personnage de Louis de Funes n'était pas un surefficient dans certains rôles
@Demonstrer.fr Les sous-titres anglais sont complétés pour « Les surdoués et l’école ». Plusieurs jours de travail… ce long vidéo de 35min37 fut assez demandant.
Mais cela me console (après avoir entendu 2 fois plutôt qu’une chaque bout de phrase), cela me rassure que nous ne sommes pas « fous » d’exiger de l’école et que le gouvernement cessent de nous catégoriser en tant que « handicapés mentaux », et que nous avons assurément « quelque chose d’autre » qui doit être de l’ordre assurément d’un « dysfonctionnement mental », qui doit impérativement (à coup de marteau sur la tête) être « ramené au bon sens », et qu’il n’y a rien, absolument rien à leurs systèmes qui soit disharmonieux ou dysfonctionnel.
Et c’est ce que nous avons fait, nous avons démontré depuis 11 mois - point par point, morceau par morceau, élément par élément - que le système entier nécessitait des améliorations. Avec les nouveaux ministres en poste depuis le 18 octobre 2018, dont un spécialement confié d’une mission de neuropsychologie pour l’enfance, et un autre d’une mission de transformation numérique, il reste à voir si ces gens-là, qui se disent « plus humain » parviendront à entendre nos arguments. It remains to be seen… Mais nous n’allons pas nous « adapter » ni non plus nous efforcer de « guérir ». Ces idées-là ne nous rentrent plus du tout dans la caboche, ça ne « pogne » plus, comme on dit en québécois. C’est ici que nous devenons vraiment très subversifs...
bravo
Je ne sais pas si je suis surdoué (au fond, ça n'a pas d'importance). Ceci dit, j'ai passé toute ma scolarité dans une espèce d'entêtement à vouloir aller au fond des choses, à comprendre le pourquoi du comment de ce qu'on cherchait à m'apprendre. Je suis passé complétement à côté des matières comme l'Histoire, la Géographie, la Philosophie, car pour aucune de ces disciplines, on nous exposait leur fondement et pour ainsi dire leurs enjeux. Je pestais contre le "corpus de savoir" qu'on voulait me fourrer dans la tête "gratuitement", et contre les branches des mathématiques auxquelles on nous introduisait sans aucune mise en perspective. On nous apprenait tout sauf l'essentiel , on résonnait mais l'on ne pensait pas. Ce n'est que plus tard, en m'immergeant dans les livres et les auteurs, que je pus enfin et par bonheur toucher à l'essentiel et découvrir dans ce que, jusque là, je regardais comme des démiurges froids à la supériorité intimidante et donc aux vérités fondamentalement inaccessibles aux communs des mortels, des êtres tout à fait humains dont la seule force aura été de se hisser à la hauteur de leurs urgentes et décisives interrogations…
Seulement un tiers ? Moi je pense qu'une personne intelligente est par définition en échec scolaire... à moins que l'intelligence soit exclusive de l'esprit critique...
D'un autre côté, vu que la notion de surdoué est en elle-même sujette à caution, peut-être cette statistique ne reflète-elle que la multitude de biais de ceux qui l'ont produite ?
électron libre, toute ma scolarité. Mon dernier bultin (de la part mon professeur principal) "a parfois fait preuve d'originalitée vestimentaire.
Mon echec sclocaire est clairement la faute du sisteme de mon epoque. vous dit une personne avec un enorme don de la transmision de savoir. j'au aurrais baucoup de chose a dire si l'ecriture n'etait pas mon suplice. cela me fait penser que 2 de mes professeur de francais ne me corrigeaient pas les faute d'hortographes. j'avais 0 en 5 ligne. j'obetenais de notes entre 15 et 19 en dicerte. desole je ne corrige pas les faute ici non plus car mon ordi ecrit español.
Petite correction : le Nunshaku aurait une origine chez les paysans okinawaiens et non chez les "ninjas".
La douance c'est ne jamais atteindre son but.
La réussite n'est jamais un but car il y a toujours qqchose après, pas lié au confort
Je ne sais pas si je suis surdoué, mais je sais que j'aurais pu mieux faire à l'école. L'une des raisons, outre mon étourderie, était que mes classeurs étaient un vrai bordel, je perdais les feuilles, j'écrivais mal, jusqu'à la fac...
Au BEPC J'ai eu 21 sur 20, en biologie et 1 sur 20 en allemand, que je parle maintenent relativement bien. en Francais ca été l'enfer. la panic total. le reste moyen.
Erreur le nunchaku était un fléau à blé (remplace la meule) utilisé par les populations rurales au Japon, à commencé à être utilisé comme arme lors de révoltes.
Bizarrement pour ma part.. J'ai toujours fait simple... 12 -14 de moyenne à l école...J'ai rigolé à la face des 3 personnes à l oral du bac qui posaient des questions pour niais..Je suis àrrivé en short en tongs... Les mains dans les poches sans dossier... Donc Bac foiré... Et arrivé à l âge adulte.. Les meilleurs et les plus faibles sont rendus de vrais moutons.a mon sens .. Suis je douant ?? Euh.. J en sais rien..... Bizarre, un peu plus rapide à la réflexion, très anti système et peu enclin à bouffer la débilité ambiante... Et je fais la plonge dans un centre de vacances.... Juste pour dire que l école rend débile autant que la tv.... Je vis en camion maintenant... Libre ou presque.... J apprends bien plus sur l histoire, l économie la géopolitique et les sciences humaines en free style depuis internet... J'ai 38 ans et ça roule pour moi mais totalement hors système.
Moi non plus impossible d’écouter et je suis prof maintenant... J’essaie d’être un prof différent mais ... j’ai tout le monde contre ... il faut que je trouve le moyen ...
Le problème c'est l'égalitarisme. L'école n'est pas faite pour que les enfants puissent aller aux mieux que leur permet leur possibilité, ce qui serait un principe pédagogique plutôt évident, mais pour égaliser autant que possible les individus.
Vu que vous vous êtes fait chier en cours, vous comprendrez sans doute aisément que je meurt d'ennui en attendant l'accouchement...
Ce n'est pas trop long mais trop lent et un peu trop nombriliste...
Je ne sais pas, mais ça me paraît être une erreur de croire que pcq L'HP se perd facilement dans ses pensées qu'il aime suivre la pensée éclatée d'un autre HP qui raconte sa vie...
Desolé mais je décroche car cela manque de pertinence pour capter tout mon intérêt et je m'évade ... C'est un supplice
Vous êtes déçu et donc assez cassant , je crois que c'est parce que vous êtesencore plus surdoué que Carlos. Trop cool :)
😂😂😂😂De la vie qui aurait pu en germer..
Tout individu ne s'adapte-t-il pas à une société qui a évolué grâce à des gens dotés d'une pensée divergente considérés à leur époque comme des personnes inadaptées? Le comble !
Pourrait-on assisté un jour à l'extinction des zèbres si la majorité conservatrice rigidifie trop une société ? Moins de diplôme ->plus de précarité->moins d'enfants...
il y a énormément de surdoué non détecté en echec
qd t as pas envie de travailler tant tu trouves ça emmerdant....
absence car ennui
Bonjour bonjour! Sur ma chaîne je fais découvrir pleins de sujets d'une façon que j'espère un peu différente de d'habitude. Exemple la Russie, la dyslexie, le féminisme, la politique et viendrons plus tard, l'Allemagne et la Chiropraxie.
J'ai découvert votre chaine il y a un peu près une semaine et je trouve que vous apportez une autre analyse que celle communément admise, que ça apporte beaucoup de compréhension et d'espoir pour les personnes sur-doués.
J'aimerai donc savoir si ça vous tente de faire une collaboration en vous invitant sur ma chaine par exemple? Ou quelque chose dans ce genre là.
Si ça vous tente, vous pouvez me contacter sur ma page facebook: facebook.com/VueAutrement/
La vulgarité? Alors ça, je ne l'avais pas encore entendu... Cite moi un exemple?
Et bien si tu avais cliqué, tu aurais su que ce n'est que le nom d'un titre d'un chapitre d'un livre... C'est ultra vulgaire de lire des livres engagées c'est vrai
Moi je m'en fiche. J'ai vu le com de Sara Gr et j'ai fait un tour sur ta chaîne pour savoir pourquoi elle dit ça.
ce qui fait la différence, ce n'est pas une intelligence différente ou supérieure, mais "c'est un défaut d'adhésion au récit collectif", récit collectif incompréhensible, mensonger. Oui c'est ça. Merci
Étrange sentiment d'un humain placer dans l'enclos d'un parc zoologique observer par des singes . Ce décors en carton pâte la poupée dansante que l'on remonte afin que s'anime la mécanique et la musique du jouet tout inerte figer . drôle de sentiment que de percevoir la société humaine sur pause ou au ralenti alors que la nature est mouvante tout ce qui est observable dans la nature est dynamique et changeant .ce qui est insupportable a vivre vient de tout ce qui est inerte figer pour toujours dans l'esprit des gens, les institutions . Ce qui est dramatique c'est que tout ce que nous pensons avoir construit acquis depuis des millénaires peut en une fraction de seconde être annihiler l'être humain a sa conception et perception du monde de son monde ,mais la nature est une lois global dynamique un chaos organiser dynamique .les surdoués ont conservé la nature profonde des premiers hommes nous savons ce qui est utile ou non vrai ou faux cela ne s'explique pas ça se ressent ,tout comme les animaux ressentent leurs environnement .Il n'y a donc rien de pathologique à s'apercevoir de la nécessité ou non de ce qui nous entourent
Ont me disait "comment peut il si écrire si mal, ètres si brouillon et désordonné et dessiné si bien. je fesais des caligrafie a 8 ou 9ans.
avec cette video j'imagine maintenant les profs avec un masque de cheval disant "je vois sur les côtés je vais tout droit" XD. Sinon l'echec scolaire je connais trop bien j'ai des problèmes d'attention depuis principalement la secondaire et les réunions c'était toujours ce schéma => prof : votre enfant à des problèmes d'attention il faudrait voir ce qu'il faut faire / mon-père : oui on travaillera dessus c'est promis / moi : qui espère profondément .... et à la voiture => mon-père : " tu feras jamais rien dans ta vie, t'auras même pas un diplôme de maçonnier" / moi : pleure ou est en colère qu'on s'acharne sur ce que j'arrive pas / finalement rien n'a été résolu et jamais réussi de truc même que j'aime car à une période de l'année (genre novembre/décembre ) mon courage m'abandonne car je me trouve incapable voir non méritant de terminer quoi que ce soit et en plus je suis frustré de rien réussir (p.s. : les profs et même d'autre personnes s'inquiète de ma non sociabilité car je parle à personne )