Comme souvent, un débat de grande qualité. La santé d'une économie dépend (et a toujours dépendu) en large part de l'incitation publique. Mais l'erreur est de la penser en volume au lieu de la structurer sectoriellement pour susciter en réponse l'investissement privé. Les pays européens ne doivent pas poursuivre le financement de leurs dépenses courantes par la dette, mais l'Eurozone doit mettre en place une relance de très grande ampleur dans les trois domaines technologiques urgents: transition énergétique, AI, réarmement. L'obstacle est le Conseil des ministres qui gouverne l'Europe et dont le premier produit et le refus des coopérations supplémentaires.
Comme souvent, un débat de grande qualité. La santé d'une économie dépend (et a toujours dépendu) en large part de l'incitation publique. Mais l'erreur est de la penser en volume au lieu de la structurer sectoriellement pour susciter en réponse l'investissement privé. Les pays européens ne doivent pas poursuivre le financement de leurs dépenses courantes par la dette, mais l'Eurozone doit mettre en place une relance de très grande ampleur dans les trois domaines technologiques urgents: transition énergétique, AI, réarmement. L'obstacle est le Conseil des ministres qui gouverne l'Europe et dont le premier produit et le refus des coopérations supplémentaires.