Asile? Fous? On est pas au 19ème siècle! Il s'agit de médecine, de patients et d'hôpital. C'est honteux d'utiliser ce vocabulaire vis à vis des personnes malades et qui souffrent.
Je suis psychiatre et je vous remercie de souligner le manque de moyen dans notre profession, que ce soit dans le médical ou le paramédical. Effectivement on voit les structures se fermer les unes après les autres alors que la demande est de plus en plus grande. Par contre, qualifier les patients de "fous" ne nous aident pas en ce qui concerne la stigmatisation de nos patients, je vous prie d'utiliser le mot de "malades psychiatriques", qui est moins fataliste et effrayant.
@@Philppe009 Du grand n'importe quoi.... Arrêtez de vous laisser embobiner par ceux qui n'y connaissent rien....Je ne suis pas psychiatre, juste une infirmière en psychiatrie....et j'en ai connu des très bien. Une amie est psychiatre : elle s'est occupée de ma maman durant sa maladie. La chimio lui occasionnait des hallucinations. Je ne lui dirai jamais assez MERCI.
Merci monsieur. J'ajouterai que le terme " patients " me plaît bien. Car il en faut de la patience à ces personnes pour lutter contre ces maladies qui frappent leurs êtres tout entiers.
@@CLAUDECHABAUD-r7j je suis d accord avec vous,les gens sont en font une idée grotesque tout comme ce journaliste,bien dur que ce n est pas un endroit de joie,ce qu il faut savoir,l enferment fait parti du soin, ce sont des patients en extrême fragilité, qui ont besoin de sécurité, et beaucoup la ressente,c est le premier soin...mais bon ,pour comprendre une prise en charge,fait être soignant,et pas journaliste !ce témoignage parle de tout,sauf de psychiatrie
Mon expérience de la psychiatrie est tout autre, sans doute parce qu’à la différence de ce monsieur j’ai connu la violence du délire et le véritable enfermement que provoque la paranoïa. Sans doute parce que, le temps d’un accès maniaque, je peux me vanter d’avoir été véritablement dans la peau d’un schizophrène. L’hôpital était pour moi un asile, malgré tout, malgré ce manque criant de personnel et de moyens. J’emploie ce mot volontairement et dans le sens le plus noble du terme. Non pas comme cette journaliste aux interventions ineptes, qui ne saisit pas la portée du vocabulaire qu’elle emploie et dont l’ignorance est une insulte à ceux qui savent de quoi ils parlent.
Ecoute cousin, t'as fais quoi toi pour tes compères de cellules? Le mec il a l'air, mais la chanson tu la connais pas. Ni lui, ni moi connaissons la tienne. Lui, il a bougé, moi aussi, j'ai essayé, je vais continuer à dénoncer des merdes dans mon coin. Ne crache pas sur les gens au hasard, tu feras ta part pour la cause.
J'aime la conclusion: 1 personne sur quatre est touchée par un problème de Santé Mentale au cours de sa Vie. Ma conclusion est la suivante, il y plus de gens ayant connus un accident de Santé Mentale, vulgairement appelés fous par la population , que de personnes n'en ayant jamais rencontrés. Je pense que des outils existent pour apprendre à aider une personne en situation de troubles de sa Santé Mentale, je cite le PSSM: LES Premiers Secours en Santé Mentale. Une formation accessible à chaque citoyen qui permet d'apprendre les gestes qui sauvent en Santé Mentale. Parce qu'aider une personne qui se sent mal ça s'apprend. Tout comme les gestes de Premiers secours "classiques" et eux dédiés à la santé physique.
Les fous, les dingues, asiles psychiatriques, se faire interner, se faire passer pour un fou... Tous ces termes qui montrent bien la méconnaissance de la Psychiatrie. Il serait important de se rappeler que les patients hospitalisés en psychiatrie sont, comme les patients hospitalisés dans tout autre service, malades. "Le médicament n'est pas une solution", on est bien d'accord qu'il est nécessaire d'y associer une autre forme d'accompagnement. Mais interrogerait-on l'utilisation de médicaments pour une maladie cardiaque, ou autre ? Bien évidemment, l'accompagnement en psychiatrie n'est pas idéal et manque de moyens, mais la présentation faite ici est extrêmement caricaturale.
Je me joins aux nombreux commentaires pour encourager les médias à prendre soin à leur vocabulaire quand ils evoquent la santé mentale. Les patients ne sont pas fous, ils sont malades et les professionnels de la psychiatrie pour la plupart font leur possible pour les accompagner malgré un système qu'on pourrait pour le coup qualifier de 'fou'.
La psychiatrie est un secteur qui a perdu la moitié de ses capacités, de son personnel, quand la population a fortement augmenté, et de facon qualitative avec des populations fragilisées. Meme la formation infirmière a été quasiment abandonnée. Ce sont les choix qui ont été faits par les gouvernements et acceptés par la population.
Tellement de problèmes dans la société qui viennent de ce domaine ! Quand on voit les expertises qui confondent un fou, d'un criminel et du coup ils ressortent au lieu d'avoir de vraies prisons psychiatriques ça ne va pas aller en s'arrangeant 😢
Arrêter d'utiliser le mot "fou"😡. Je suis choqué par les propos et la réaction de cette animatrice qui sourit à chaque fois qu'elle utilise le mot fou. Quel manque de respect. Ce sont des personnes avec des troubles ! Mon fils est schizo, il a fait 5 hospitalisations en 1 an dont une car il avait fait une tentative de suicide, les autres car il c'était scarifié et avait des propos incohérents. C'était pour le protéger de lui même. A chaque fois il restait au maximum 3 semaines. Lui non plus ne reconnaissait pas sa maladie maintenant il l'a accepté. L'hopital où il allait a différents services, un était adapté pour les jeunes, ils faisaient des activitées au moins 2 fois par semaine ( vélo, dans le parc, gravures, brosser les chevaux au centre équestre à côté)le personnel était bienviellent, l'autre service était complètement différent, il était avec des personnes de tout âges, il restait dans sa chambre car pas assez de personnel pour les accompagner dehors. C'est bien que l'on parle plus de la psychiatrie car oui quand on y est confronté on s'apperçoit que n'importe qui peut un jour y être confronté. Et ce sera de plus en plus vu le monde dans lequel nous vivons. Après, il y a des médecins incompétents et d'autres qui font tout pour aider les patients.
@@virginiezaepffel6424 merci de préciser qu'un malade ne reconnaît pas systématiquement sa maladie. Le journaliste qui parle quelques jours avec un déduit qu'une personne, sans troubles, est embastillée...
Dans quel hôpital à t’il été hospitalisé ? Certains hôpitaux où certains services sont plus humains avec du personnel mieux formés et empathiques . Ça a beaucoup évolué en psy mais ça dépend des psychiatres : certains sont « incompétents » et ne font que prescrire. Malheureusement Sarkozy puis Hollande et ont limité les budgets de plus en plus. Des services pointus ont été fermés ! Macron a massacré la psychiatrie.
Ce reportage n'est absolument pas une réalité 😂😂 j'ai travaillé 12 ans en psychiatrie et je peux vous assurer que ça ne ressemble absolument pas à ce qui est décrit !!! Les patients sont dans un hôpital ouvert et participe à des activités, les entretiens dure plus de 30 min par patient sauf qd le patient refuse d'y participer, concernant les traitements les patients connaisse leur traitement par cœur !! C'est honteux ce retour qui est complètement faux !!!
En tant qu'aide-soignante la qualification des patients de "fous" me dérange énormément. Vous êtes une journaliste qui manque de respect envers les patients de psychiatrie.
Je suis internée en psychiatrie en ce moment. Et ce que je vis avec les autres patients et les soignants autour de moi n'a absolument rien à voir avec ce que raconte ce monsieur.
Je trouve dommage de faire d'un cas une généralité. Il y a un vrai manque de moyen mais en tant que patient on est respecté, des activités sont proposées...
L'exemple de la schizophrénie est mal choisi pour dire que les médicaments ne doivent être pris qu'en cas de crise. Une prise réguliere et sans interruption permet justement de les éviter. Pour le reste ... c'est la cata et c'est bien triste, ça me semble bien plus dégradé qu'en Belgique.
Alors en tant qu'infirmier il est tout à fait faux de dire qu'il n'y a plus de psychiatrie dans la formation infirmière ! La santé mentale est un axe majeur de notre formation. Effectivement il n'y a plus de spécialisation, les infirmiers de psychiatrie et de somatiques ont le même cursus ce qui n'était pas le cas avant. Jusque dans les années 90 les infirmiers de psychiatrie et les infirmiers de soins généraux avaient un cursus différent malgré un tronc commun. De plus les infirmiers se forment à leur spécialité après leur DE, il existe de nombreux DU en psychiatrie sans parler des formations intra. Bref la seule vraie question est la question des moyens ! Bien sûr qu'on peut améliorer notre formation, celle de nos psychiatres, de nos ergo, de nos psychologues, de nos psychomotriciens etc. Mais avant tout nous avons besoin de vrais moyens ! De services dignes de ce nom, chaleureux avec des salles adaptées, du matériel, des professionnels supplémentaires, du budget pour mieux préparer et accompagner la sortie... Bref de la thune en direct pour les services ! Voilà ce dont on a besoin ! Qu'on arrête de remettre en question nos capacités alors que nous n'avons aucun moyen ! Ce serait comme de dire d'un chef cuisinier qu'il doit manquer de formation ou bien remettre en cause ses compétences parce qu'il n'arrive pas à faire une paella avec trois clous et un élastique à cheveux ! Ça n'a aucun sens ! Et on en parle de cette animatrice qui emploi le terme de "fou" sans arrêt ? C'est pas un manque de formation ça ? Visiblement en 50 ans le journalisme et la façon dont on parle de santé mentale n'a pas tellement évoluée non plus ! De plus il ne faut pas prendre tout ce qui est balancés comme ça par n'importe qui pour argent comptant ! On ne connaît pas la réalité des situations des gens et l'interprétation qu'ils en font, preuve en est avec le témoignage de cette dame qui n'a visiblement rien compris à la maladie de sa fille ni à la psychologie mais qu'on érige en expert...
Monsieur est journaliste ou médecin ? Il semble savoir comment traiter les patients et sait même faire un diagnostic ! C’est toujours facile de critiquer, vous gênez pas allé de l’autre côté du miroir pour y travailler et apporter vos solutions.
Que dire de ces patients malade qui sont dans le déni, et se mettent en danger. La société doit les soigner. Il faut pas généraliser c est au cas par cas.
Après une tentative de suicide il a trente ans et bien je peux vous dire que c'est un cauchemar , j'ai même failli être violé et sauvé par une patiente qui a hurlé car était dans ce centre pour alcoolisme ... heureusement que ma sœur pour me sortir de cette enfer 😢😢😢je ne souhaite jamais a personne 😢 même le pire des ennemis 😢de vivre un tel cauchemar 🤔🤔🤔🤔
Le travail de ce journaliste est admirable car il faut un courage hors du commun pour s'impliquer de la sorte. J'apprécie également la volonté de dénoncer ce qui est sans accuser ni accabler, uniquement dans le but et le désir de faire connaître ce qu'il se passe. Merci également à la journaliste de Sud Radio pour la pertinence des questions posées. Certains mots utilisés choquent les auditeurs mais ne sont-ils pas le reflet de l'inconscient collectif qui porte encore un regard archaïque sur le monde de la psychiatrie?!
Comment a t il fait pour sortir au bou que d une semaine ? A t il du dire qu il était Journaliste pour pouvoir sortir ? A t il pris les médicaments qu on lui donnait ???
Quand tu es en hospitalisation libre tu sors quand tu veux, c'est le cas de la grande majorité des patients hospitalisés en psy. Quand au traitement un patient est en droit de le refuser.
On parle encore de fous ? Non mais sérieux !!!!! Pour rectifier les choses : les infirmiers sont tous diplômés d'état, il y a des accréditations pour maintenir ouvert une structure et des comptes à rendre pour que les patients soient dans les meilleurs conditions ; les supervisions, les analyses de pratiques permettent les réflexions pour le bien des patients etc.... Bref, c'est trop simple de voir ce que l'on veut !
Des controles ?? Pas dans le public en tout cas . J y ai travaillé 12 ans et je peux vous assurer qu'il n y a déjà pas que de belles personnes dans les soignants et que si abus on n écoutera jamais le patient car psy tout simplement. Peut être le privé est différent
Je suis d accord avec vous que cette journaliste arrête de prononcer le mot fou ce mot n existe plus il y a de bons établissements rares mais cela existe elle devrait faire attention à son vocabulaire
Sud radio, la radio du complot, la radio du ragot la radio qu'il vous faut. Franchement c'est pas mieux que France Inter. Que de l'émotionnel qui vous guide doucement vers le vote FN.
Insupportable ! Le sujet est grave, intéressant et relève de l'urgence absolue alors c'est quoi cette "journaliste" qui emploi le mot "fou" dans la plus grande détente pour parler des personnes atteintes de troubles psychiatriques ? OK, c'est sud radio mais quand même !
1ère remarque c'est quand même pas banal de se faire passer pour un schizophrène d'abord et enfin d'y parvenir,est ce à dire que les psychiatres sont incompétents ? Rassurez vous braves gens, tout ce qu'il raconte dans cet entretien est complètement faux.
Je tiens à souligner que malheureusement parfois c'est pire, j'ai été hospitalisé et j'ai eu la possibilité de travailler par la suite avec des psychiatres en tant que pair aidant, j'ai vu et entendu des choses ( mort d'usagers, usage de drogue et même prostitution) qui vous feraient blemir
Pas du tout, personne ne pose de diagnostic en dix minutes. Mais la présence de certains troubles peut justifier le placement pour protéger le patient et observer son évolution.
Pour avoir fait plusieurs séjour en hôpital psy je trouve que c'est éxagéré même si beaucoup de choses sont vraies...j'en suis revenue apaisée la Camisole étant nécessaire les murs le permettent...que ferait on de personnes qui partent de nuit pieds nus en pyjamas en leur hiver sur le bord de la route....et pire des gens qui s'en prendraient violemment à eux même ou aux autres....
Faut savoir aussi que les activités pour les personnes ayant des troubles psychique cest tres difficile dy adherer et de sy tenir donc mettre en place des choses cest une choses mais il faut aussi que les personnes sen saississent et cq cest autre chose il y a le manque denvie , lincapacité, les traitement qui ralentissent dc moyen ou pas lennui est limite partie integrante du trouboe et de lhp
Desolé mais sans traitement je natrive pas a minserer dans la société et pourtant je ne fais pas parti des personnes les plus malades de la psychiayrie donc oui medoc mais a un moment donné faut se rendre a levidence cest utile et necessaire
DOMMAGE,PAS DE SITE MENTIONNÉ POUR ÉVENTUELLEMENT SUIVRE ALEXANDRE MACÉ SUR LES RÉSEAUX. J'AI REMARQUÉ QUE SOUVENT,VOUS N'AFFICHEZ PAS LE LIVRE DES AUTEURS QUE VOUS RECEVEZ CONTRAIREMENT À D'AUTRES SITES. Y A T IL UNE RAISON PARTICULIERE? MERCI BIEN
Asile? Fous? On est pas au 19ème siècle!
Il s'agit de médecine, de patients et d'hôpital.
C'est honteux d'utiliser ce vocabulaire vis à vis des personnes malades et qui souffrent.
À Savoir qu il y a plus de fous dehors que dans les hôpitaux psychiatriques...
On est d'accord
Eduquez-vous madame ! Arrêtez de stigmatiser les patients des HP en les appelant "fous" ... incroyable ce manque de nuance et d'éducation....
Merci!
On ne dit plus des fous et des asiles et ce sujet n'est pas drôle madame
Les fous ?? C'est pour ça que personne ose admettre ses séjours en hôpital psy. Y'a encore du boulot !
j'aime pas sa façon de parler de fous avec son sourire figé , il y a des termes plus appropriés . Pas correcte cette journaliste !!!!
c'est parce que quand elle pense fou ,elle voit de suite mac rond, enfin, c'est une question que je pose comme dirait Praud
@@aiglequatre3275 Elle coupe la parole , elle regarde la caméra tjrs avec son sourire idiot à la Bruce Toussaint ...
Intellectuellement parlant, elle ne casse pas des briques
Je suis psychiatre et je vous remercie de souligner le manque de moyen dans notre profession, que ce soit dans le médical ou le paramédical. Effectivement on voit les structures se fermer les unes après les autres alors que la demande est de plus en plus grande. Par contre, qualifier les patients de "fous" ne nous aident pas en ce qui concerne la stigmatisation de nos patients, je vous prie d'utiliser le mot de "malades psychiatriques", qui est moins fataliste et effrayant.
Oui Dr, elle aurais du précisé que les fous, ce sont vous, les psychiatres, c'est surtout ça, qui est effrayant.
@@Philppe009😂
@@Philppe009 Du grand n'importe quoi.... Arrêtez de vous laisser embobiner par ceux qui n'y connaissent rien....Je ne suis pas psychiatre, juste une infirmière en psychiatrie....et j'en ai connu des très bien. Une amie est psychiatre : elle s'est occupée de ma maman durant sa maladie. La chimio lui occasionnait des hallucinations. Je ne lui dirai jamais assez MERCI.
Merci monsieur. J'ajouterai que le terme " patients " me plaît bien. Car il en faut de la patience à ces personnes pour lutter contre ces maladies qui frappent leurs êtres tout entiers.
@@CLAUDECHABAUD-r7j je suis d accord avec vous,les gens sont en font une idée grotesque tout comme ce journaliste,bien dur que ce n est pas un endroit de joie,ce qu il faut savoir,l enferment fait parti du soin, ce sont des patients en extrême fragilité, qui ont besoin de sécurité, et beaucoup la ressente,c est le premier soin...mais bon ,pour comprendre une prise en charge,fait être soignant,et pas journaliste !ce témoignage parle de tout,sauf de psychiatrie
Il faut donner beaucoup plus de moyens a cette profession et explorer toutes les pistes hors medicaments
Déjà remettre le diplôme et la formation infirmier de secteur psychiatrique en place, ce serait déjà pas mal...
Mon expérience de la psychiatrie est tout autre, sans doute parce qu’à la différence de ce monsieur j’ai connu la violence du délire et le véritable enfermement que provoque la paranoïa. Sans doute parce que, le temps d’un accès maniaque, je peux me vanter d’avoir été véritablement dans la peau d’un schizophrène. L’hôpital était pour moi un asile, malgré tout, malgré ce manque criant de personnel et de moyens. J’emploie ce mot volontairement et dans le sens le plus noble du terme. Non pas comme cette journaliste aux interventions ineptes, qui ne saisit pas la portée du vocabulaire qu’elle emploie et dont l’ignorance est une insulte à ceux qui savent de quoi ils parlent.
Ecoute cousin, t'as fais quoi toi pour tes compères de cellules?
Le mec il a l'air, mais la chanson tu la connais pas.
Ni lui, ni moi connaissons la tienne.
Lui, il a bougé, moi aussi, j'ai essayé, je vais continuer à dénoncer des merdes dans mon coin.
Ne crache pas sur les gens au hasard, tu feras ta part pour la cause.
J'aime la conclusion: 1 personne sur quatre est touchée par un problème de Santé Mentale au cours de sa Vie.
Ma conclusion est la suivante, il y plus de gens ayant connus un accident de Santé Mentale, vulgairement appelés fous par la population , que de personnes n'en ayant jamais rencontrés.
Je pense que des outils existent pour apprendre à aider une personne en situation de troubles de sa Santé Mentale, je cite le PSSM: LES Premiers Secours en Santé Mentale. Une formation accessible à chaque citoyen qui permet d'apprendre les gestes qui sauvent en Santé Mentale.
Parce qu'aider une personne qui se sent mal ça s'apprend. Tout comme les gestes de Premiers secours "classiques" et eux dédiés à la santé physique.
Cette journaliste c'est un calvaire !!!! Vraiment !!!! Qi 0,5
Les fous, les dingues, asiles psychiatriques, se faire interner, se faire passer pour un fou... Tous ces termes qui montrent bien la méconnaissance de la Psychiatrie. Il serait important de se rappeler que les patients hospitalisés en psychiatrie sont, comme les patients hospitalisés dans tout autre service, malades. "Le médicament n'est pas une solution", on est bien d'accord qu'il est nécessaire d'y associer une autre forme d'accompagnement. Mais interrogerait-on l'utilisation de médicaments pour une maladie cardiaque, ou autre ?
Bien évidemment, l'accompagnement en psychiatrie n'est pas idéal et manque de moyens, mais la présentation faite ici est extrêmement caricaturale.
Tres bon commentaire. Tout est dis.
Merci pour eux de témoigner, dénoncer tout ce à quoi le système de santé veut les réduire que ce soit les malades comme les soignants.
Je me joins aux nombreux commentaires pour encourager les médias à prendre soin à leur vocabulaire quand ils evoquent la santé mentale. Les patients ne sont pas fous, ils sont malades et les professionnels de la psychiatrie pour la plupart font leur possible pour les accompagner malgré un système qu'on pourrait pour le coup qualifier de 'fou'.
La psychiatrie est un secteur qui a perdu la moitié de ses capacités, de son personnel, quand la population a fortement augmenté, et de facon qualitative avec des populations fragilisées. Meme la formation infirmière a été quasiment abandonnée. Ce sont les choix qui ont été faits par les gouvernements et acceptés par la population.
Tellement de problèmes dans la société qui viennent de ce domaine ! Quand on voit les expertises qui confondent un fou, d'un criminel et du coup ils ressortent au lieu d'avoir de vraies prisons psychiatriques ça ne va pas aller en s'arrangeant 😢
@zaiapaton6588 même pas. La plupart du temps c'est voté. Dès qu'il y a besoin d'argent, on taille dans la psychiatrie.
La population n’a aucune connaissance de ce qui se passe en psychiatrie.
Arrêter d'utiliser le mot "fou"😡. Je suis choqué par les propos et la réaction de cette animatrice qui sourit à chaque fois qu'elle utilise le mot fou. Quel manque de respect. Ce sont des personnes avec des troubles ! Mon fils est schizo, il a fait 5 hospitalisations en 1 an dont une car il avait fait une tentative de suicide, les autres car il c'était scarifié et avait des propos incohérents. C'était pour le protéger de lui même. A chaque fois il restait au maximum 3 semaines. Lui non plus ne reconnaissait pas sa maladie maintenant il l'a accepté. L'hopital où il allait a différents services, un était adapté pour les jeunes, ils faisaient des activitées au moins 2 fois par semaine ( vélo, dans le parc, gravures, brosser les chevaux au centre équestre à côté)le personnel était bienviellent, l'autre service était complètement différent, il était avec des personnes de tout âges, il restait dans sa chambre car pas assez de personnel pour les accompagner dehors. C'est bien que l'on parle plus de la psychiatrie car oui quand on y est confronté on s'apperçoit que n'importe qui peut un jour y être confronté. Et ce sera de plus en plus vu le monde dans lequel nous vivons. Après, il y a des médecins incompétents et d'autres qui font tout pour aider les patients.
@@virginiezaepffel6424 merci de préciser qu'un malade ne reconnaît pas systématiquement sa maladie. Le journaliste qui parle quelques jours avec un déduit qu'une personne, sans troubles, est embastillée...
Dans quel hôpital à t’il été hospitalisé ? Certains hôpitaux où certains services sont plus humains avec du personnel mieux formés et empathiques . Ça a beaucoup évolué en psy mais ça dépend des psychiatres : certains sont « incompétents » et ne font que prescrire. Malheureusement Sarkozy puis Hollande et ont limité les budgets de plus en plus. Des services pointus ont été fermés ! Macron a massacré la psychiatrie.
Et la destruction du diplôme spécifique d'infirmier de secteur psychiatrique en 92, on en parle ?
Je me demande pourquoi enfermer des individus étant donné que le monde est un immense asile de fous en plein air?
Ce reportage n'est absolument pas une réalité 😂😂 j'ai travaillé 12 ans en psychiatrie et je peux vous assurer que ça ne ressemble absolument pas à ce qui est décrit !!! Les patients sont dans un hôpital ouvert et participe à des activités, les entretiens dure plus de 30 min par patient sauf qd le patient refuse d'y participer, concernant les traitements les patients connaisse leur traitement par cœur !! C'est honteux ce retour qui est complètement faux !!!
Ne pas avoir detecte quec'etait une comedie ça en dit long . gravissime
En tant qu'aide-soignante la qualification des patients de "fous" me dérange énormément.
Vous êtes une journaliste qui manque de respect envers les patients de psychiatrie.
Tout à fait d'accord avec ce journaliste, c'est une horreur le mélange dans les HP ( comme en prison d'ailleurs)🤢🤮
Madame revisez la définition de comparse
Je suis internée en psychiatrie en ce moment. Et ce que je vis avec les autres patients et les soignants autour de moi n'a absolument rien à voir avec ce que raconte ce monsieur.
Je trouve dommage de faire d'un cas une généralité. Il y a un vrai manque de moyen mais en tant que patient on est respecté, des activités sont proposées...
@@christianajbcela doit dépendre aussi des établissements mais on peut dire que d'une manière générale, le manque de moyen est flagrant.
L'exemple de la schizophrénie est mal choisi pour dire que les médicaments ne doivent être pris qu'en cas de crise. Une prise réguliere et sans interruption permet justement de les éviter. Pour le reste ... c'est la cata et c'est bien triste, ça me semble bien plus dégradé qu'en Belgique.
Alors en tant qu'infirmier il est tout à fait faux de dire qu'il n'y a plus de psychiatrie dans la formation infirmière ! La santé mentale est un axe majeur de notre formation. Effectivement il n'y a plus de spécialisation, les infirmiers de psychiatrie et de somatiques ont le même cursus ce qui n'était pas le cas avant. Jusque dans les années 90 les infirmiers de psychiatrie et les infirmiers de soins généraux avaient un cursus différent malgré un tronc commun.
De plus les infirmiers se forment à leur spécialité après leur DE, il existe de nombreux DU en psychiatrie sans parler des formations intra. Bref la seule vraie question est la question des moyens ! Bien sûr qu'on peut améliorer notre formation, celle de nos psychiatres, de nos ergo, de nos psychologues, de nos psychomotriciens etc.
Mais avant tout nous avons besoin de vrais moyens ! De services dignes de ce nom, chaleureux avec des salles adaptées, du matériel, des professionnels supplémentaires, du budget pour mieux préparer et accompagner la sortie... Bref de la thune en direct pour les services ! Voilà ce dont on a besoin ! Qu'on arrête de remettre en question nos capacités alors que nous n'avons aucun moyen ! Ce serait comme de dire d'un chef cuisinier qu'il doit manquer de formation ou bien remettre en cause ses compétences parce qu'il n'arrive pas à faire une paella avec trois clous et un élastique à cheveux ! Ça n'a aucun sens !
Et on en parle de cette animatrice qui emploi le terme de "fou" sans arrêt ? C'est pas un manque de formation ça ?
Visiblement en 50 ans le journalisme et la façon dont on parle de santé mentale n'a pas tellement évoluée non plus ! De plus il ne faut pas prendre tout ce qui est balancés comme ça par n'importe qui pour argent comptant ! On ne connaît pas la réalité des situations des gens et l'interprétation qu'ils en font, preuve en est avec le témoignage de cette dame qui n'a visiblement rien compris à la maladie de sa fille ni à la psychologie mais qu'on érige en expert...
« Fou » c’est Non
Monsieur est journaliste ou médecin ? Il semble savoir comment traiter les patients et sait même faire un diagnostic ! C’est toujours facile de critiquer, vous gênez pas allé de l’autre côté du miroir pour y travailler et apporter vos solutions.
Il voulait peut-être ,seulement,passer une semaine au calme.
LFI y tenait même une réunion avec le NPA .🤣🤣🤣
Allez, tu as mérité un gros poutou ! 😂😂😂
@@ClaraBistouille644 🤣🤣🤣🤣🤣
Ma compagne est infermière en Psychiatrie.....Cela ne correspond pas à ce que Monsieur décrit. Ne pas faire un cas pour une généralité!!!!!!!!!!!!
La journaliste n y connaît et véhicule des préjugés par son vocabulaire ... vraiment pénible.
Que dire de ces patients malade qui sont dans le déni, et se mettent en danger. La société doit les soigner. Il faut pas généraliser c est au cas par cas.
Après une tentative de suicide il a trente ans et bien je peux vous dire que c'est un cauchemar , j'ai même failli être violé et sauvé par une patiente qui a hurlé car était dans ce centre pour alcoolisme ... heureusement que ma sœur pour me sortir de cette enfer 😢😢😢je ne souhaite jamais a personne 😢 même le pire des ennemis 😢de vivre un tel cauchemar 🤔🤔🤔🤔
Le travail de ce journaliste est admirable car il faut un courage hors du commun pour s'impliquer de la sorte.
J'apprécie également la volonté de dénoncer ce qui est sans accuser ni accabler, uniquement dans le but et le désir de faire connaître ce qu'il se passe.
Merci également à la journaliste de Sud Radio pour la pertinence des questions posées. Certains mots utilisés choquent les auditeurs mais ne sont-ils pas le reflet de l'inconscient collectif qui porte encore un regard archaïque sur le monde de la psychiatrie?!
Comment a t il fait pour sortir au bou que d une semaine ? A t il du dire qu il était Journaliste pour pouvoir sortir ? A t il pris les médicaments qu on lui donnait ???
Quand tu es en hospitalisation libre tu sors quand tu veux, c'est le cas de la grande majorité des patients hospitalisés en psy.
Quand au traitement un patient est en droit de le refuser.
On parle encore de fous ? Non mais sérieux !!!!!
Pour rectifier les choses : les infirmiers sont tous diplômés d'état, il y a des accréditations pour maintenir ouvert une structure et des comptes à rendre pour que les patients soient dans les meilleurs conditions ; les supervisions, les analyses de pratiques permettent les réflexions pour le bien des patients etc....
Bref, c'est trop simple de voir ce que l'on veut !
Des controles ?? Pas dans le public en tout cas . J y ai travaillé 12 ans et je peux vous assurer qu'il n y a déjà pas que de belles personnes dans les soignants et que si abus on n écoutera jamais le patient car psy tout simplement. Peut être le privé est différent
Est-ce que cette dame pourrait revoir son vocabulaire il n'y a pas d'asile mais des hôpitaux psychiatriques et on ne dit pas fous mais malades😢
Je suis d accord avec vous que cette journaliste arrête de prononcer le mot fou ce mot n existe plus il y a de bons établissements rares mais cela existe elle devrait faire attention à son vocabulaire
C est tout à fait ça. On n utilise plus le mot de fous 😅 on n a pas de diagnostic. Les cas sont plus ou moins graves.
Sud radio, la radio du complot, la radio du ragot la radio qu'il vous faut.
Franchement c'est pas mieux que France Inter.
Que de l'émotionnel qui vous guide doucement vers le vote FN.
Insupportable ! Le sujet est grave, intéressant et relève de l'urgence absolue alors c'est quoi cette "journaliste" qui emploi le mot "fou" dans la plus grande détente pour parler des personnes atteintes de troubles psychiatriques ? OK, c'est sud radio mais quand même !
Je confirme mme la journaliste ( ? ) Un avis precedent .
Eduquez vous ,oui .
Combien de fois avez vous citez le mot : Fou ???
Citer
Beaucoup de maltraitance dans ces établissements. Mon fils en est sorti traumatisé et a rechuté encore plus gravement
1ère remarque c'est quand même pas banal de se faire passer pour un schizophrène d'abord et enfin d'y parvenir,est ce à dire que les psychiatres sont incompétents ? Rassurez vous braves gens, tout ce qu'il raconte dans cet entretien est complètement faux.
Je tiens à souligner que malheureusement parfois c'est pire, j'ai été hospitalisé et j'ai eu la possibilité de travailler par la suite avec des psychiatres en tant que pair aidant, j'ai vu et entendu des choses ( mort d'usagers, usage de drogue et même prostitution) qui vous feraient blemir
Pas du tout, personne ne pose de diagnostic en dix minutes. Mais la présence de certains troubles peut justifier le placement pour protéger le patient et observer son évolution.
Pourquoi dites-vous fou...!!! Je ne comprends pas.....😮
Feu mon mari un vrai zkizophrene avait bien du mal a y entrer bizarre !!! A pied nu c un cas ça !!!!!!!
Pour avoir fait plusieurs séjour en hôpital psy je trouve que c'est éxagéré même si beaucoup de choses sont vraies...j'en suis revenue apaisée la Camisole étant nécessaire les murs le permettent...que ferait on de personnes qui partent de nuit pieds nus en pyjamas en leur hiver sur le bord de la route....et pire des gens qui s'en prendraient violemment à eux même ou aux autres....
Vraiment honteux ce discours
Faut savoir aussi que les activités pour les personnes ayant des troubles psychique cest tres difficile dy adherer et de sy tenir donc mettre en place des choses cest une choses mais il faut aussi que les personnes sen saississent et cq cest autre chose il y a le manque denvie , lincapacité, les traitement qui ralentissent dc moyen ou pas lennui est limite partie integrante du trouboe et de lhp
C’est pénible ces commentaires automatiques ridicules
ah, c'est justement ce que j'allais dire sur ton commentaire, tu m'as volé mon commentaire, c'est pas juste.
@@aiglequatre3275 😂😂😂
Desolé mais sans traitement je natrive pas a minserer dans la société et pourtant je ne fais pas parti des personnes les plus malades de la psychiayrie donc oui medoc mais a un moment donné faut se rendre a levidence cest utile et necessaire
Super journaliste franchement sa c’est un vrai journaliste et en plus il reverse les dons à une charité respect à lui
Albert LONDRES 1925
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DOMMAGE,PAS DE SITE MENTIONNÉ POUR ÉVENTUELLEMENT SUIVRE ALEXANDRE MACÉ SUR LES RÉSEAUX.
J'AI REMARQUÉ QUE SOUVENT,VOUS N'AFFICHEZ PAS LE LIVRE DES AUTEURS QUE VOUS RECEVEZ CONTRAIREMENT À D'AUTRES SITES.
Y A T IL UNE RAISON PARTICULIERE?
MERCI BIEN