Un exposé sur la souveraineté populaire qui débouche finalement sur les acquis sociétaux du Chili contemporain. C'est intéressant à plusieurs titres, et il ne faudrait pas le nier, mais j'ai quand même du mal à comprendre cette invisibilisation du fait social dans la progression de l'exposé : ça démarre sur les chapeaux de roues avec le concept de souveraineté chez Bodin, avec les réflexions foisonnantes et fécondes qu'il implique, pour finir sur la célébration du féminisme chilien contemporain. Un final bien décevant de mon point de vue.
Un exposé sur la souveraineté populaire qui débouche finalement sur les acquis sociétaux du Chili contemporain. C'est intéressant à plusieurs titres, et il ne faudrait pas le nier, mais j'ai quand même du mal à comprendre cette invisibilisation du fait social dans la progression de l'exposé : ça démarre sur les chapeaux de roues avec le concept de souveraineté chez Bodin, avec les réflexions foisonnantes et fécondes qu'il implique, pour finir sur la célébration du féminisme chilien contemporain. Un final bien décevant de mon point de vue.
Merci bien. Pourquoi vous n'avez pas pensé nécessaire traiter le problème en se fondant sur Machiavel pour L'ÉTAT et Bodin pour la souveraineté?