Notez que dans certains contextes sportifs, de pathologies physiques ou encore le niveau physique de chacun, le terme amplitude « complète » d’un mouvement est subjectif. C’est-à-dire que parfois ce qui semble être une amplitude partielle est validé comme complète dans certains sports et/ou que certaines personnes n’auront pas d’intérêt à aller trop dans l’étirement à cause de restrictions articulaires ou de réhabilitation. Ainsi, selon le contexte sportif, les restrictions, et/ou le stade de santé physique d’une personne, l’amplitude varie. De plus lorsque que l’on comprend cette relation force longueur, les exercices avec amplitude « partielle » peuvent être volontaires, voire nécessaires selon les objectifs. Maintenant d’un point de vue purement musculaire, l’amplitude complète, c'est lorsqu’un muscle passe par les trois phases de longueurs : étirements, repos et raccourcissement. Ainsi, les tractions en supination, avec ouverture d'épaule à 180° étirent efficacement les dorsaux, mais pas les biceps. Le curl biceps incliné sera plus efficace pour ces derniers dû à leur fonction bi-articulaires. Sur cette note, j’insiste sur le fait de ne pas mettre l’accent sur les charges excessives, lorsque vous amenez un muscle en étirement surtout lors d'exercices d’isolations. Pour la bonne est simple raison que la tension peut très vite être supporté par les tendons lors de l’étirement et le risque devient alors trop important si les charges sont trop élevées et que votre niveau de souplesse/force musculaire n'a pas bien était entraîné. Par conséquent pensez à rétrograder les charges avant d’augmenter l’amplitude. D'autant plus que comme on a pu le voir, il n'est pas nécessaire de soulever lourd en fin de mouvement. Toujours faire preuve de mesure et respecter un rythme de progression adapté.
super video comme toujours... en plus on a pu remarquer tes talents de plombier pour les paralettes ^^, que je saurai d'ailleurs utiliser à bon escient maintenant...
Notez que dans certains contextes sportifs, de pathologies physiques ou encore le niveau physique de chacun, le terme amplitude « complète » d’un mouvement est subjectif. C’est-à-dire que parfois ce qui semble être une amplitude partielle est validé comme complète dans certains sports et/ou que certaines personnes n’auront pas d’intérêt à aller trop dans l’étirement à cause de restrictions articulaires ou de réhabilitation. Ainsi, selon le contexte sportif, les restrictions, et/ou le stade de santé physique d’une personne, l’amplitude varie. De plus lorsque que l’on comprend cette relation force longueur, les exercices avec amplitude « partielle » peuvent être volontaires, voire nécessaires selon les objectifs.
Maintenant d’un point de vue purement musculaire, l’amplitude complète, c'est lorsqu’un muscle passe par les trois phases de longueurs : étirements, repos et raccourcissement.
Ainsi, les tractions en supination, avec ouverture d'épaule à 180° étirent efficacement les dorsaux, mais pas les biceps. Le curl biceps incliné sera plus efficace pour ces derniers dû à leur fonction bi-articulaires.
Sur cette note, j’insiste sur le fait de ne pas mettre l’accent sur les charges excessives, lorsque vous amenez un muscle en étirement surtout lors d'exercices d’isolations. Pour la bonne est simple raison que la tension peut très vite être supporté par les tendons lors de l’étirement et le risque devient alors trop important si les charges sont trop élevées et que votre niveau de souplesse/force musculaire n'a pas bien était entraîné. Par conséquent pensez à rétrograder les charges avant d’augmenter l’amplitude. D'autant plus que comme on a pu le voir, il n'est pas nécessaire de soulever lourd en fin de mouvement. Toujours faire preuve de mesure et respecter un rythme de progression adapté.
super video comme toujours... en plus on a pu remarquer tes talents de plombier pour les paralettes ^^, que je saurai d'ailleurs utiliser à bon escient maintenant...
Ahah rien ne t'échappe! 😄