J'ai 57 ans, j'ai toujours bossé au feeling....Vendeuse parapharmacie, secrétaire, garde enfants/malades, monitrice équitation, chargée d'accueil, assistante administrative/comptable, Secrétaire médicale, ASH USI/USC, dialyse où peut-être un peu d'abus : une fois le patient débranché je faisais les pansements, la pesée, le brancardage, je remettais la perf "en action" une fois le patient en chambre😁, je suis plus calme maintenant je vais rester Secrétaire commerciale... Mais je voulais tout essayer et je me suis donnée à fond à chaque fois ! Bonne fin de journée et, Merci à vous.
Je suis neuropsychologue clinicienne, et pour moi c'était une vocation. Par contre, vocation ou pas, une fois dans le cursus il a fallu énormément travailler. Je pense que ma motivation pour exercer ce métier m'a énormément apportée, comparé à d'autres étudiants qui avaient choisi au moment du choix de la spécialisation et qui face à la difficulté ont abandonné. Par contre, je pense que si il n'y a pas vocation mais qu'il y envie de se donner les moyens, c'est tout à fait possible!
Professeure d'anglais et de FLE : c'était une vocation. Je reconnais néanmoins que la réalité du métier remets bien les idées en place ! 😂🥲 Je suis tout à fait d'accord avec ta position.
ça fait 20 ans que je suis aide soignante maintenant en reconversion, la vocation pour le médecin ou le personnel soignante ,je n'y croit pas c'est la société qui nous a formater , il faut poursuivre avoir de la bienveillance et de l'empathie. après si le corps le permet continuer
Vidéo hyper intéressante , ça me rassure même , j’ai choisi la médecine , en ayant peur de ne pas être assez impliquée /compétente ou de ne pas assez ressentir la « vocation » à cause d’un discours qu’on entend trop (pour être un bon médecin il faut absolument que ce soit une vocation). Alors qu’en réalité j’aime les sciences, j’aime aider les gens et je pense avoir les compétences pour encaisser les 10ans et exercer ce métier parfois difficile . En espérant que cela suffise et si c’est pas le cas je ferais autre chose. Conclusion il faut essayer pour savoir, et ne pas précipiter le choix de son orientation , Il ne faut pas s’enfermer dans une case sous prétexte de la vocation.
@@laverite2451 ok donc les robots remplacent les médecins ? Pourquoi pas mais il manque quand même un truc fondamental , l’empathie et le dialogue avec le patient mdrrr , si tu connais des robots psychiatres ou capables d’être pédiatres etc…. J’veux bien voir ça , Jvais pas trop parler mais aux dernières nouvelles nous ne sommes pas des machines réglées au millimètre près , il existe de variations anatomiques individuelles etc…. Que les robots aident aux diagnostics c’est super mais de la à complètement remplacer le médecin ça m’étonnerait. Surtout qu’il faut aussi de la maintenance pour entretenir ces robots et vérifier qu’ils sont fonctionnels.
J’ai fait médecine parce que j’aime les sciences et je voulais avoir un métier qui m’offre de la liberté et une bonne rémunération. J’ai pas l’impression de mal m’occuper de mes patients ou de manquer d’empathie pour autant. Je ne pense pas qu’il y ait réellement beaucoup de médecins qui s’infligent 10 ans d’études juste pour aider l’autre.
J'ai fait médecine pour les mêmes raisons que toi mais finalement perso ça ne m'a pas suffi, j'ai détesté l'hôpital et le contact avec les patients notamment, les examens cliniques etc bref et j'ai donc décidé d'arrêter début externat parce que je ne me voyais pas continuer ainsi. Donc je pense que ça dépend vraiment de la mentalité de chaque personne
Et si, ça existe des personnes qui font 10 ans d'études pour aider les autres, surtout en médecine. Il y a des gens dont je fais partie qui pense qu'une journée sans aider son prochain, c'est une journée de perdue, et je ne suis pas la seule. ( chez les pompiers, ils sont nombreux, et heureusement !)
Question pas facile, vocation, évidence.. l'époque, l'utopie. Je suis photographe, au lendemain de 1968 , on avait rêvé devant les photos de Bob Dylan faites par Jean Marie Perrier ou de mode faites par Cecil Beaton ou Richard Avedon ou les reportage de Gilles Caron, au lendemain de 68 je crois que le choix d'un métier se faisait avec un mélange de rêve, d'utopie et de liberté...35 ans plus tard, j'ai un fils qui a fait médecine et dont j'ai du mal à comprendre le choix, peut-être un sacerdoce, aider ceux dans la difficulté, la maladie. Choisir entre l'ENS, l'X, Centrale, Mines etc et à coté, médecine, quand on a 17 ans en 2 eme année de prépa, pas facile le choix à faire. .Les prépa, diplômé en math et biochimie puis médecine ..Un parcours sans faute de la 1ère année à la thèse, de la maternelle au master de recherche. La question est "Quelle choix pour celles et ceux qui peuvent tout choisir". Et moi en tant que père incapable de l'orienter, 2 époques différentes, 2 générations différentes.. L'influence de sa mère? sage femme, pas de week-end, de fête, les gardes de jour, de nuit, une image pas idyllique du monde du travail, de l'hôpital, de la médecine.. Pour revenir à mon fils, il me disait qu'il semble être le seul satisfait de son métier parmi ses amis ou relations. .
@@dr.walid.mekeddem Merci mais sans avoir le culte du "Moi je" que conseiller en tant que parents à un enfant qui a fait sa 1 ère lecture dans "La guerre des Gaules", à 4 ans s'interrogeait sur la relativité du mouvement et philosophait sur la mort avec son instit de maternelle, lisait Proust en CM2, présentait des devoirs de terminale en math quand il était au collège et a été présenté au concours général en math et physique chimie par son lycée.. Puis 2 ans de prépa à Henri IV et bien que reçu dans divers grandes écoles, n'a pas trouvé sa voie. Inscrit en médecine, reçu 1 er à la fin de la première année, 1430 (je crois) à l'internat. Thèse avec mention très honorable, médaille et diffusion dans la presse spécialisé et la semaine d'après réussi un master de recherche ..pour finir, un QI de 135. On conseille quoi en tant que parents ou enseignants quand on a un enfant ou élève comme ça ?
Bonjour Walid, j'ai une idée de nouveau contenu : pourrais-tu nous expliquer quelle est la maladie dont souffre Bruce Willis? Merci et continue comme ça ta chaîne est géniale 👌
@@dr.walid.mekeddem Je m'engage à faire des études de médecine bientôt; pour cela j'aimerais vous partager les propositions suivantes: Pourriez-vous faire une vidéo longue sur les différents types de démences (démence à corps de Levy...) et expliquer leur mécanismes, symptômes, comment en fait-on le diagnostique, les différentes classifications utilisés par le médecin généraliste exp. Mini Mental State Evaluation Examination. Merci d'avance.
Je travaille dans l'informatique (logiciels) et je n'ai pas fait ce travail par vocation ou par passion même si j'aime ce que je fais de manière générale. Ce discours m'a valu une fois le fait de ne pas être embauché car pour l'employeur, il fallait forcément être un geek pour être un bon développeur ...
J'ai du mal avec le terme "vocation". Surtout s'il s'inscrit dans le temps. Quand on est jeune on ne se rend pas bien compte de ce que certains métiers vont impliquer ou pas, alors dans l'absolu ça ne veut pas dire grand chose je trouve. Tout comme le "fait pour". Personnellement j'ai souvent changé d'idée, j'ai adapté parfois mon discours pour faire plaisir (il est vrai que pour peu qu'on ne sache pas très bien à 17 ans c'est déjà le drame ;)), et bien que je ne travaille pas j'ai souvent encore à mon âge de nouvelles idées très différentes qui me viennent à l'esprit. Sinon il ne faut pas forcément de tout pour faire un monde, on se passerait bien de... bon, pas de "point Godwin" pour ce soir et je vois l'idée en gros. Et oui, certains médecins manquent d'empathie et sont désagréables mais peuvent avoir des qualités d'analyse ou de geste (chirurgie) par ailleurs.
Je pense que les études de médecines sont naturellement sélectives. Il faut être motivé au vu des compétences intellectuelles, qualités humaines, du travail qu' il faut pour arriver au bout. Et au 1/2 bout il y a encore une sélection (ECN) avec plein de spécialités diverses
Bonjour, et premièrement merci pour cette video qui m'a permis de me questionner. Je penses en fait que le mieux est un mixte des deux, si par exemple on veut devenir champion de ski et que l'on est pas assez bon cela peut rester une passion, ou pour en revenir à la medecine, si on a une phobie du sang on peut peut être se réorienter, le tout, je penses, est d'être lucide sur ces capacités et sur ce que l'on est capable de faire mais aussi sur ce qui nous permettrait de se lever et d'être heureux d'aller au travail :)
Ah super je viens de voir que cette vidéo est mise en ligne je ne sais pas pourquoi je pensais qu'il y en aurait pas alors top génial je regarde et commente après
C'est un vaste sujet mais c'est surtout très franco français A tel âge il faut faire ceci, il faut faire cela... Contrairement aux USA par exemplaire ou il n'est pas rare de voir des personnes qui reprennent des études, sans que cela ne choque personne. Une chose me semble également très importante à aaborder, c'est qu'il y a beaucoup de personnes qui exercent un métier qu'elles n'ont pas forcement choisi, car pour faire des études longues, il faut avoir les moyens financiers, et tout le monde n'a pas la chance d'avoir des parents qui peuvent assurer; c'est pour cela que lorsque j'entends parler d'égalité des chances, je ne suis pas d'accord. Enfin, pour ce qui est d'avoir la vocation ou pas, je suis intimement convaincue que c'est un sujet beaucoup plus complexe et plus vaste que cela, et que beaucoup de paramètres peuvent rentrer en ligne de compte. Pour la petite anecdote, lorsque j'ai demandé à mon médecin pour quelle raison il avait choisi la médecine, et bien sa réponse fût celle ci : "mon père était medecun, je ne connaissais que ça". Pour conclure, je pense que pour certaines professions, au-delà des compétences professionnelles, il faut aimer les gens, savoir faire preuve d'une certaine abnégation, ce qui n'est pas donner à tout le monde, et qui ne s'apprend pas.
Ils y en a qui ne savent pas encaisser la frustration , le stress et par manque de personnels et il deviennent " agressif" et s'en prennent a leurs collègue s ou aux patients mais comme ils sont fait un crédits logement et auto ils sont dans la merde
Ce que tu soulèves comme question , ça ne paraît ambigu tel que tu l'exprimes. Avoir la vocation, c'est " être fait pour" donc à partir de ce moment là, ce doit bien se passer pour la personne qui se lance dans le métier censé lui correspondre. Si l'on n'a pas la vocation, ce n'est pas la peine, ou alors je n'ai pas saisi vraiment ton idée. Je suis professeur de musique en libéral et je suis arrivé à ce métier par prise de conscience de mes amis, qui me sentaient fait pour ça, j'ai pourtant hésité au départ, pensant qu'il fallait être parfait pour exercer, maîtriser à fond son instrument etc...par contre, expliquer, transmettre mon savoir, je savais que j'avais le sens. Autrement c'est tout ce qui est autour qui m'ennuie, la publicité, gérer les états d'âmes de mes élèves, constituer mon planning qui est bien pénible parfois , plus ou moins selon les saisons. Mais pour le reste, pouvoir travailler dans sa passion est super.
Nn moi c'etait medecin en maternelle jai choisi la malette à noel ça porte malheure. Puis archéologue en CP puis j'ai complètement oublier se métier. Juriste en ce2 a force de mes aller retours dans le 94 pour chercher les enfants de ma mère.
4e année de medecine et je deteste mon cursus. Je reste par peur de recommencer à zero ou de me retrouver dans un état précaire alors que la medecine nois en protège. Or je me sens tres nul dans mes études et je n'ai pas de motivation pour aucune spécialité... Est ce que je fonce dans le mur ? Ou dois je serrer les dents et persister? J'ai peur d'être un médecin médiocre et de faire du tort aux autres en plus de moi-même...
Peut être manques-tu seulement de confiance en toi ? Tu es dans une situation difficile et je ne sais pas qui pourrait t'aider : 1 ami.e, 1 parent, 1 psy, 1 coach, ou quelqu'un de ton école de médecine ? Les études ne te plaisent pas mais le métier te plaira peut-être ? Tu auras peut-être une "révélation", ou au moins une reponse, lors d'un stage ? Tu n'as pas de possibilité d'une réorientation où tu puisses utiliser tes années de médecine (pharmacie, dentaire, ostéo...)? Bon courage !
@@enyrisart1907 meme si je ne souhaite a personne d'etre dans cette situation, ça fait du bien de se savoir pas seul. Tu comptes faire quoi comme reo du coup? A moins que ça ne soit une cesure?
@@enyrisart1907 actuellement je suis en 6ème année je vais passer l'ECn et je suis paumé, en 4eme annee après un stage en chirurgie j'ai voulu arrêter, burn out Et puis ça viens et ça repars en fonction des stages et des résultats des exams Je me dit autant continuer et puis je verrais bien
Puisque tu poses la question en début de vidéo, j’y répondrai donc avant de regarder la suite. Je répondrai « oui » car dans « vocation » je mets le savoir-faire + le savoir-être (qui inclut notamment empathie + éthique).
J'ai 57 ans, j'ai toujours bossé au feeling....Vendeuse parapharmacie, secrétaire, garde enfants/malades, monitrice équitation, chargée d'accueil, assistante administrative/comptable, Secrétaire médicale, ASH USI/USC, dialyse où peut-être un peu d'abus : une fois le patient débranché je faisais les pansements, la pesée, le brancardage, je remettais la perf "en action" une fois le patient en chambre😁, je suis plus calme maintenant je vais rester Secrétaire commerciale... Mais je voulais tout essayer et je me suis donnée à fond à chaque fois !
Bonne fin de journée et, Merci à vous.
Je suis content d'avoir un public riche d'expériences !
@@dr.walid.mekeddemruclips.net/video/VEq0N8JHZ-o/видео.html
Je suis neuropsychologue clinicienne, et pour moi c'était une vocation. Par contre, vocation ou pas, une fois dans le cursus il a fallu énormément travailler. Je pense que ma motivation pour exercer ce métier m'a énormément apportée, comparé à d'autres étudiants qui avaient choisi au moment du choix de la spécialisation et qui face à la difficulté ont abandonné. Par contre, je pense que si il n'y a pas vocation mais qu'il y envie de se donner les moyens, c'est tout à fait possible!
Professeure d'anglais et de FLE : c'était une vocation. Je reconnais néanmoins que la réalité du métier remets bien les idées en place ! 😂🥲 Je suis tout à fait d'accord avec ta position.
ça fait 20 ans que je suis aide soignante maintenant en reconversion, la vocation pour le médecin ou le personnel soignante ,je n'y croit pas c'est la société qui nous a formater , il faut poursuivre avoir de la bienveillance et de l'empathie. après si le corps le permet continuer
Vidéo hyper intéressante , ça me rassure même , j’ai choisi la médecine , en ayant peur de ne pas être assez impliquée /compétente ou de ne pas assez ressentir la « vocation » à cause d’un discours qu’on entend trop (pour être un bon médecin il faut absolument que ce soit une vocation). Alors qu’en réalité j’aime les sciences, j’aime aider les gens et je pense avoir les compétences pour encaisser les 10ans et exercer ce métier parfois difficile . En espérant que cela suffise et si c’est pas le cas je ferais autre chose. Conclusion il faut essayer pour savoir, et ne pas précipiter le choix de son orientation , Il ne faut pas s’enfermer dans une case sous prétexte de la vocation.
ruclips.net/video/VEq0N8JHZ-o/видео.html
@@laverite2451 ok donc les robots remplacent les médecins ? Pourquoi pas mais il manque quand même un truc fondamental , l’empathie et le dialogue avec le patient mdrrr , si tu connais des robots psychiatres ou capables d’être pédiatres etc…. J’veux bien voir ça , Jvais pas trop parler mais aux dernières nouvelles nous ne sommes pas des machines réglées au millimètre près , il existe de variations anatomiques individuelles etc…. Que les robots aident aux diagnostics c’est super mais de la à complètement remplacer le médecin ça m’étonnerait. Surtout qu’il faut aussi de la maintenance pour entretenir ces robots et vérifier qu’ils sont fonctionnels.
J’ai fait médecine parce que j’aime les sciences et je voulais avoir un métier qui m’offre de la liberté et une bonne rémunération. J’ai pas l’impression de mal m’occuper de mes patients ou de manquer d’empathie pour autant.
Je ne pense pas qu’il y ait réellement beaucoup de médecins qui s’infligent 10 ans d’études juste pour aider l’autre.
J'ai fait médecine pour les mêmes raisons que toi mais finalement perso ça ne m'a pas suffi, j'ai détesté l'hôpital et le contact avec les patients notamment, les examens cliniques etc bref et j'ai donc décidé d'arrêter début externat parce que je ne me voyais pas continuer ainsi. Donc je pense que ça dépend vraiment de la mentalité de chaque personne
@@enyrisart1907 pq tes pas aller en radiologie !?
Et si, ça existe des personnes qui font 10 ans d'études pour aider les autres, surtout en médecine. Il y a des gens dont je fais partie qui pense qu'une journée sans aider son prochain, c'est une journée de perdue, et je ne suis pas la seule. ( chez les pompiers, ils sont nombreux, et heureusement !)
@@tototata2295J’ai dit qu’il y en avait peu, pas que ça n’existait pas.
@@Gbzissou ça m'intéresse pas du tout la radiologie
Étant étudiante en médecine, je pense la vocation est arrivé au fur et à mesure de mes études
encore une tres bonne video qui tombe au bon moment, merci beaucoup d'avoir cette vocation de partager tes idees ;)
Question pas facile, vocation, évidence.. l'époque, l'utopie. Je suis photographe, au lendemain de 1968 , on avait rêvé devant les photos de Bob Dylan faites par Jean Marie Perrier ou de mode faites par Cecil Beaton ou Richard Avedon ou les reportage de Gilles Caron, au lendemain de 68 je crois que le choix d'un métier se faisait avec un mélange de rêve, d'utopie et de liberté...35 ans plus tard, j'ai un fils qui a fait médecine et dont j'ai du mal à comprendre le choix, peut-être un sacerdoce, aider ceux dans la difficulté, la maladie. Choisir entre l'ENS, l'X, Centrale, Mines etc et à coté, médecine, quand on a 17 ans en 2 eme année de prépa, pas facile le choix à faire. .Les prépa, diplômé en math et biochimie puis médecine ..Un parcours sans faute de la 1ère année à la thèse, de la maternelle au master de recherche. La question est "Quelle choix pour celles et ceux qui peuvent tout choisir". Et moi en tant que père incapable de l'orienter, 2 époques différentes, 2 générations différentes.. L'influence de sa mère? sage femme, pas de week-end, de fête, les gardes de jour, de nuit, une image pas idyllique du monde du travail, de l'hôpital, de la médecine.. Pour revenir à mon fils, il me disait qu'il semble être le seul satisfait de son métier parmi ses amis ou relations. .
Très interessant témoignage !
@@dr.walid.mekeddem Merci mais sans avoir le culte du "Moi je" que conseiller en tant que parents à un enfant qui a fait sa 1 ère lecture dans "La guerre des Gaules", à 4 ans s'interrogeait sur la relativité du mouvement et philosophait sur la mort avec son instit de maternelle, lisait Proust en CM2, présentait des devoirs de terminale en math quand il était au collège et a été présenté au concours général en math et physique chimie par son lycée.. Puis 2 ans de prépa à Henri IV et bien que reçu dans divers grandes écoles, n'a pas trouvé sa voie. Inscrit en médecine, reçu 1 er à la fin de la première année, 1430 (je crois) à l'internat. Thèse avec mention très honorable, médaille et diffusion dans la presse spécialisé et la semaine d'après réussi un master de recherche ..pour finir, un QI de 135. On conseille quoi en tant que parents ou enseignants quand on a un enfant ou élève comme ça ?
Bonjour Walid, j'ai une idée de nouveau contenu : pourrais-tu nous expliquer quelle est la maladie dont souffre Bruce Willis? Merci et continue comme ça ta chaîne est géniale 👌
Hello ! video déjà faite il y a plusieurs mois, je te mets le lien : ruclips.net/video/9gpWhoRdByg/видео.html
@@dr.walid.mekeddem
Je m'engage à faire des études de médecine bientôt; pour cela j'aimerais vous partager les propositions suivantes:
Pourriez-vous faire une vidéo longue sur les différents types de démences (démence à corps de Levy...) et expliquer leur mécanismes, symptômes, comment en fait-on le diagnostique, les différentes classifications utilisés par le médecin généraliste exp. Mini Mental State Evaluation Examination.
Merci d'avance.
Je travaille dans l'informatique (logiciels) et je n'ai pas fait ce travail par vocation ou par passion même si j'aime ce que je fais de manière générale. Ce discours m'a valu une fois le fait de ne pas être embauché car pour l'employeur, il fallait forcément être un geek pour être un bon développeur ...
J'ai du mal avec le terme "vocation". Surtout s'il s'inscrit dans le temps. Quand on est jeune on ne se rend pas bien compte de ce que certains métiers vont impliquer ou pas, alors dans l'absolu ça ne veut pas dire grand chose je trouve. Tout comme le "fait pour".
Personnellement j'ai souvent changé d'idée, j'ai adapté parfois mon discours pour faire plaisir (il est vrai que pour peu qu'on ne sache pas très bien à 17 ans c'est déjà le drame ;)), et bien que je ne travaille pas j'ai souvent encore à mon âge de nouvelles idées très différentes qui me viennent à l'esprit.
Sinon il ne faut pas forcément de tout pour faire un monde, on se passerait bien de... bon, pas de "point Godwin" pour ce soir et je vois l'idée en gros. Et oui, certains médecins manquent d'empathie et sont désagréables mais peuvent avoir des qualités d'analyse ou de geste (chirurgie) par ailleurs.
Je pense que les études de médecines sont naturellement sélectives. Il faut être motivé au vu des compétences intellectuelles, qualités humaines, du travail qu' il faut pour arriver au bout. Et au 1/2 bout il y a encore une sélection (ECN) avec plein de spécialités diverses
Bonjour, et premièrement merci pour cette video qui m'a permis de me questionner. Je penses en fait que le mieux est un mixte des deux, si par exemple on veut devenir champion de ski et que l'on est pas assez bon cela peut rester une passion, ou pour en revenir à la medecine, si on a une phobie du sang on peut peut être se réorienter, le tout, je penses, est d'être lucide sur ces capacités et sur ce que l'on est capable de faire mais aussi sur ce qui nous permettrait de se lever et d'être heureux d'aller au travail :)
Ah super je viens de voir que cette vidéo est mise en ligne je ne sais pas pourquoi je pensais qu'il y en aurait pas alors top génial je regarde et commente après
Quand j'ai commence la medecine je ne savais meme pas que la specialite que j'exerce actuellemet existait...
C'est un vaste sujet mais c'est surtout très franco français
A tel âge il faut faire ceci, il faut faire cela...
Contrairement aux USA par exemplaire ou il n'est pas rare de voir des personnes qui reprennent des études, sans que cela ne choque personne.
Une chose me semble également très importante à aaborder, c'est qu'il y a beaucoup de personnes qui exercent un métier qu'elles n'ont pas forcement choisi, car pour faire des études longues, il faut avoir les moyens financiers, et tout le monde n'a pas la chance d'avoir des parents qui peuvent assurer; c'est pour cela que lorsque j'entends parler d'égalité des chances, je ne suis pas d'accord.
Enfin, pour ce qui est d'avoir la vocation ou pas, je suis intimement
convaincue que c'est un sujet beaucoup plus complexe et plus vaste que cela, et que beaucoup de paramètres peuvent rentrer en ligne de compte.
Pour la petite anecdote, lorsque j'ai demandé à mon médecin pour quelle raison il avait choisi la médecine, et bien sa réponse fût celle ci : "mon père était medecun, je ne connaissais que ça".
Pour conclure, je pense que pour certaines professions, au-delà des compétences professionnelles, il faut aimer les gens, savoir faire preuve d'une certaine abnégation, ce qui n'est pas donner à tout le monde, et qui ne s'apprend pas.
Façon : ruclips.net/video/VEq0N8JHZ-o/видео.html
Merci beaucoup c est vrai vaste sujet la vocation et vous docteur aviez vous ou pas la vocation ? Bonne nuit Joëlle
Ils y en a qui ne savent pas encaisser la frustration , le stress et par manque de personnels et il deviennent " agressif" et s'en prennent a leurs collègue s ou aux patients mais comme ils sont fait un crédits logement et auto ils sont dans la merde
C'est tellement véridique et à tout niveau du personnel médicale
Ce que tu soulèves comme question , ça ne paraît ambigu tel que tu l'exprimes.
Avoir la vocation, c'est " être fait pour" donc à partir de ce moment là, ce doit bien se passer pour la personne qui se lance dans le métier censé lui correspondre. Si l'on n'a pas la vocation, ce n'est pas la peine, ou alors je n'ai pas saisi vraiment ton idée.
Je suis professeur de musique en libéral et je suis arrivé à ce métier par prise de conscience de mes amis, qui me sentaient fait pour ça, j'ai pourtant hésité au départ, pensant qu'il fallait être parfait pour exercer, maîtriser à fond son instrument etc...par contre, expliquer, transmettre mon savoir, je savais que j'avais le sens.
Autrement c'est tout ce qui est autour qui m'ennuie, la publicité, gérer les états d'âmes de mes élèves, constituer mon planning qui est bien pénible parfois , plus ou moins selon les saisons.
Mais pour le reste, pouvoir travailler dans sa passion est super.
Nn moi c'etait medecin en maternelle jai choisi la malette à noel ça porte malheure. Puis archéologue en CP puis j'ai complètement oublier se métier. Juriste en ce2 a force de mes aller retours dans le 94 pour chercher les enfants de ma mère.
4e année de medecine et je deteste mon cursus. Je reste par peur de recommencer à zero ou de me retrouver dans un état précaire alors que la medecine nois en protège. Or je me sens tres nul dans mes études et je n'ai pas de motivation pour aucune spécialité... Est ce que je fonce dans le mur ? Ou dois je serrer les dents et persister? J'ai peur d'être un médecin médiocre et de faire du tort aux autres en plus de moi-même...
Peut être manques-tu seulement de confiance en toi ?
Tu es dans une situation difficile et je ne sais pas qui pourrait t'aider : 1 ami.e, 1 parent, 1 psy, 1 coach, ou quelqu'un de ton école de médecine ?
Les études ne te plaisent pas mais le métier te plaira peut-être ? Tu auras peut-être une "révélation", ou au moins une reponse, lors d'un stage ?
Tu n'as pas de possibilité d'une réorientation où tu puisses utiliser tes années de médecine (pharmacie, dentaire, ostéo...)?
Bon courage !
4e année aussi et pareil que toi je déteste mais du coup perso je compte arrêter mdr
@@Orianne_G merci pour ta reponse
@@enyrisart1907 meme si je ne souhaite a personne d'etre dans cette situation, ça fait du bien de se savoir pas seul. Tu comptes faire quoi comme reo du coup? A moins que ça ne soit une cesure?
@@enyrisart1907 actuellement je suis en 6ème année je vais passer l'ECn et je suis paumé, en 4eme annee après un stage en chirurgie j'ai voulu arrêter, burn out
Et puis ça viens et ça repars en fonction des stages et des résultats des exams
Je me dit autant continuer et puis je verrais bien
Franchement si les études de médecine était moins longue , je l'aurait fais genre 4 ans par exemple
il faut toujours avoir un plan B 😁dans la vie
Je pense que oui il faut avoir la VOCATION car si une personne veut devenir médecin pour les « mauvaises » se métier ne lui plaira pas réellement
Puisque tu poses la question en début de vidéo, j’y répondrai donc avant de regarder la suite.
Je répondrai « oui » car dans « vocation » je mets le savoir-faire + le savoir-être (qui inclut notamment empathie + éthique).
AnnaL Lyse
Arrivisme qui n'a pas finnit d'arriver
vous faites un sale metier d empoisonneur.....
Aha ouai...
@@Sami24778 tu sais plus quoi dire..tu m etonnes....