Bonjour à tous les navigateurs. Vidéo très instructive, claire et passionnante. Au delà de la force du vent et des courants ce que je rencontre sur des mouillages un peu exposés c’est la houle ou les vagues qui soulèvent le bateau en tirant très fortement et violemment sur la chaîne. Dans ces conditions une longueur de chaîne de 5 à 7 fois la hauteur d’eau n’est pas un luxe.
Bonjour Didier, Merci pour ton commentaire. Effectivement, la houle est un élément extrêmement important. Si en saison cyclonique, lors du passage d'un système, nous nous rapprochons des mangroves, c'est essentiellement pour limiter l'impact de la houle. Selon l'environnement, une longueur de chaîne importante (x7 ou plus) permet d'absorber ces différences de hauteur d'eau. En associant à celle-ci un système efficace permettant d'absorber les coups de butoir et on est au complet. À bientôt, Lilian 😀
Top ! Excellentes explications. Comme tu le dis, le sujet est vaste, les avis nombreux, les faits un peu moins, les expériences variées. L’important est la confiance que chacun a en sa propre ligne de mouillage pour son propre bateau et sa propre famille. C’est dans les conditions extrêmes que les « bons » choix effectifs se montreront plus efficaces, et nous faisons tous en sorte de ne pas nous retrouver dans ces conditions 😊.
Salut, encore un sujet traité très simplement mais très complet !!! Tes vidéos sont toujours aussi instructives et intéressantes. Merci pour le partage de ton expérience. !!!!
Tout a fait d'accord avec ton analyse et tes choix. Sur Jade nous avons un mouillage principal tout chaine (120 m de chaine forgée de 12 mm) avec une ancre Spade de 35 Kg que nous allons remplacer par une 45 Kg (ancre commandée). Nous mettons aussi 5 fois la hauteur d'eau: bonne pratique, pas uniquement anglo-saxonne ! 🙂Nous avons dû mouiller par 27 m de fond à Fatu Hiva (Baie des Vierges) et ce jour là, les derniers maillons utilisables ont pris l'eau pour la première fois ...
Bonjour Balade de Jade, Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire. Concernant le mouillage, mes deux autres variables d'ajustement vont être, d'un côté l'échelle Beaufort comme coefficient multiplicateur de la hauteur d'eau et la longueur de ma ligne de main de fer pour l'amorti. À bientôt, Lilian 😀
, bonjour je ne suis pas encore voileux... j'espère l'être bientôt..tes explications sont simples et compréhensible...et ta sinphatie fait le reste... pour info je suis a Bamako..oui je sais... j'ai trouvé la plage... pas encore la Mer !mai je cherche...bon vent
Bonjour Louis-Jean, Merci de nous suivre et merci pour ton commentaire. Je te souhaite de réaliser ton objectif de voile. J'espère que nos vidéos y contribueront. À bientôt, Lilian 😀
Hello Lilian, aurais-tu la gentillesse de faire une vidéo sur les détails des clearances (delais pour s'annoncer n comment savoir où les faire) et des pavillons de courtoisie(obligations, où se les procurer, etc). Un grand merci et encore bravissimo pour tes vidéos si instructives. Bonne mer
je navigue depuis plus de 50 ans et j'ai bien sûr eu tous les problèmes qu'on peut tester dans une vie de marin de plaisance. Mon conseil : soulager la chaîne avec une main de fer et autant devcordage flexible que la longueur du bateau en le frappant sur un taquet arrière. Hisser une très petite voile de mouillage à la proue du bateau pour éviter les mouvements pendulaires dans les rafales.
Bonjour Mathias, Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire. Je partage tout à fait ton propos. Sur Ikigaï, entre le double pataras et le portique nous ne pouvons pas gréer de tape cul. Les ketch utilisent souvent leur voile d'artimon à cet effet. À bientôt, Lilian 😀
Pour le mouillage , on a choisi pour un ketch de 13 mètres env et 15 tonnes en premier mouillage une ancre sable de 25 kg et 50 mètres de chaîne de 12 et en mouillage ''lourd'' secondaire j'ai 40 mètres de 14 et un grosse ancre plate de 50 kg montée sur un deuxième guindeau d'urgence, puis de la ligne en gros diamètre style bout démarrage mais en 6cm de diamètre. Par 80 mètres efficace elle nous a sauvé déjà une fois ou le bateau était quasi condamné. ..
Salut Nathan, J'ai un copain, sur un cata de 55 pieds et dans mon souvenir 16 tonnes, a pris cette option : 50m de chaîne de 12 plus gros cablot. Il en est satisfait. À bientôt, Lilian 😀
Bonjour Tout d'abord merci pour tes vidéos Sur le mouillage tu n'as pas parlé de la main de fer ? Par manques de temps ou par oublies ? Merci pour le partage car je sais que ce prend beaucoup de temps Bon voyage Hervé et Coralie
Bonjour Hervé et Coralie, Merci de nous suivre et merci pour ton commentaire. Effectivement, je n'ai pas parlé de la main de fer. Je préfère aborder cet élément dans une vidéo davantage orientée sur la technique de mouillage. Dans les vidéos, je cherche un équilibre entre donner de l'info et ne pas m'éparpiller. Dans tous les cas je te remercie également de prendre le temps de faire des commentaires. C'est très motivant, car tu as parfaitement raison, faire des vidéos prend du temps. Du temps d'élaboration des contenus, du temps de tournage en conditions extérieures (vent, soleils qui tourne, bruits parasites....), du temps de montage et de transcription des contenus. De fait, je me réjouis de lire des commentaires constructifs, de découvrir les expériences et astuces ou compléments d'information apportés par les abonnés. À bientôt, Lilian 😀
Merci pour ta vidéo, je voudrais partager une récente découverte, sortie d’un coffre de mon nouveau bateau, un poids très lourd qui pour moi était un shimiliblik. Un copain m’a dit que c’était un lest de chaîne !!. Il a une forme étrange qui d’emboîtements sur la chaîne et par conséquent alourdit la ligne de mouillage. Je trouve ça intéressant à expérimenté , mais je n’ai pas encore eu l’occasion de le faire car je suis au sec 😂
Bonjour Hervé, Merci de nous suivre et merci pour ton commentaire. Ce que tu me décris ressemble fortement à une gueuse. Effectivement, elle se place sur la chaîne pour rabaisser le point de tire. Comme elle reste reliée au bateau une fois la manœuvre de mouillage finie je testerais le dispositif par beau temps et mouillage de bonne tenue, car si tu dois remonter le mouillage et la gueuse et un orin en urgence ça peut faire un beau paquet de spaghettis 😄 À bientôt, Lilian 😀
Sauf si la CQR se met en travers, et bascule. Elle aura du mal à s enfoncer et se met à déraper en travers.. La CQR, je l utilisais comme secu en plomb de sonde après avoir mouillé la principale. Cela permettait de limiter le dérapage éventuel...
Salut Syliz, Merci pour ton commentaire. Je partage ton point de vue. Comme tu le sais sur Ikigaï nous avons une Mantus M2 de 30kg. Nous n'avons jamais dérapé. Si je devais en changer je resterais sur ce type d'ancre dernière génération : Spade, Rocna, Mantus. En mouillage secondaire nous utilisons une Fortress FX23. Elle se transporte facilement sur le dinghy et ventouse hyper bien sur le fond. Nous avons également une Britany de 22kg au cas ou. À bientôt, Lilian 😀
J’ai entendu une remarque qui me semble pertinente sur les 3x ou 5x. Ces 3x seraient relatifs à la hauteur davier et les 5 x à la surface. Ce qui donne l’angle de 20’
Salut Parlam provençaux, Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire. Dans les faits, la seule profondeur utile c'est la hauteur : fond de l'eau/davier. Car ensuite, lorsque la chaîne se tend tu as une ligne droite : ancre/davier, et c'est sur la base de cette diagonale que tu calcules l'angle de la chaîne avec le fond au niveau de l'ancre. Personnellement, je ne tiens jamais compte du 3X la hauteur d'eau, ce n'est valable que pour un mouillage à la journée sans vent en restant sur le bateau. Pour moi, c'est automatiquement 5X la hauteur d'eau (fond/davier) + 1X la hauteur d'eau par point de l'échelle Beaufort prévu. Par exemple : force 6 = 6X la hauteur d'eau. Ensuite, chacun est libre de procéder comme bon lui semble. Lorsque ton bateau dérape et qu'il n'y a personne à bord, la surprise peut être mauvaise au retour. Mais bon, on peut dire que c'est ton problème. Cependant, lorsque ton bateau dérape et vient taper celui des voisins, voir embarquer leur chaîne, là les conséquences prennent une autre dimension. Nous pouvons témoigner que des bateaux qui dérapent, ce n'est pas rare. À bientôt, Lilian 😀
Bonjour, l'empreinte "torx" de la manille que tu décris, n'en est pas une. C'est une "btr". Et c'est bien dommage, car la torx admet des couples de serrage plus importants et surtout ses 6 lobes permettent le desserrage sans l'abimer. Les accastilleurs seraient bien inspirés de faire des manilles avec cette empreinte. Très intéressante ton analyse des formes d'ancres.
Bonjour Marin Tonic, Merci pour ton commentaire. Ce que tu me décrit ressemble fortement à un empennelage. Une ancre reliée à une autre par une chaîne. Cette technique est plutôt utilisée lors que les conditions météo vont montée. Il faut faire attention à ce que la longueur de chaîne soit supérieure à la hauteur d'eau pour ne pas avoir à remonter les 2 ancres en même temps. À bientôt, Lilian 😀
@@ikigai-voyages entre autre... mais c'est pas cela que je voulais dire on acroche une ancre plus légère sur la chaîne principale pour empêcher celle-ci de se lever en coup vent... mais je suis comme toi, ardent convaincu du tout chaîne j'en ai 90 m😇
Salut, effectivement les manilles toujours au minimum de la même taille que la ligne de mouillage sinon cela fait une faiblesse sur la ligne et à coup sûr c'est la que cela casse lors de fort a coup ... Coucou à toute la tribu ikillai ! On est à port Nap on prépare le navire ... bientôt le départ ! Bon encore pas mal de rouille à traiter et safran à souder il prend l'eau le bougre mais on va y arriver !
Salut Nathan, Pour les manilles : un taille au dessus de la chaîne ( chaîne de 10, manille de 12). Avec le recul, je te confirme que le temps de préparation du voyage fait bien partie du voyage. Profites en bien, même si c'est pas toujours facile. On se croisera peut-être de l'autre côté de l'atlantique 😀 À bientôt, Lilian
Pas d'emerillon pour moi. J'en ai eu un qui s'est tordu, travaillant en porte à faux sur l'ancre. La solution préventive est d'intercaler une manille mais pas toujours facile suivant la distance guindeau/davier. J'ai préféré mettre une solide manille spéciale mouillage. Bonne idée d'inverser la chaîne !
Bonjour Yves, Tu n'es pas le seul à avoir eu des déboires avec un émerillon Au final, on revient souvent à des solutions plus simples. Après, nos déboires sont sources de meilleures compréhension de nos voiliers et de la vie en croisière et nous permettent de progresser. L'expérience des autres ne nous fait pas changer. Elle nous donne un angle de vue, une compréhension des choses qui reste intellectuelle. C'est la mise en œuvre, la sommes des essais/erreurs qui nous fait monter en compétences. À bientôt, Lilian 😀
Bonjour, Une observation et une question. Attention aux chaînes inox. Il arrive que cela casse comme du verre. Quid d'une main de fer quand une tempête exige de quitter le mouillage ?
Bonjour Pascal, Concernant la main de fer, ça peut être intéressant d'envisager la résistance de ll'ensemble du dispositif "mouillage". Quelle est la limite de rupture des éléments suivants : - l'ancre, - la liaison ancre/chaîne (par exemple l'émerillon si il y a lieu), - la chaîne, - la liaison chaîne/cablot, - le cablot, - le taquet sur le pont. Ensuite, où places tu le fusible ? Si quelque chose doit rompre quel élément choisir ? Ce que je sais, me concernant, j'ai pas envie que ce soit le ou les taquets sur le pont. À bientôt, Lilian 😀
J'ai une ancre plate et je descend une gueuse de 5 kg le long de la chaîne de 8 a un mètre du fond par vent fort , ce qui donne une élasticité, 3 fois voir plus selon le vent , voilier 27 pieds 25 mètres de chaîne de 8 .
Bonjour Martial, Merci pour ton commentaire. Effectivement, la gueuse est très efficace et souvent peu utilisé. J'aborderai ce sujet dans une vidéo dédiée à la manœuvre de mouillage. À bientôt, Lilian 😀
C'est dommage que vous ne mettiez pas assez d'images de ce que vous expliquez... Vous avez un visage sympathique mais vos explications sont un peu trop magistrales, un peu plus de schémas et d' illustrations rendraient vos explications beaucoup plus compréhensibles... Merci tout de même pour ces explications assez claires...
Bonjour Sylvain, Merci pour ton commentaire. J'ajouterais concernant le cablot : Certains, comme sur Banik, utilisent du polypropylène qui flotte. Ils y trouvent avantages et inconvénients. D'autres utilisent du polyamide qui coule. À bientôt, Lilian 😀
Bonjour, La Rocna et la CQR, sont des ancres de génération et de technologie différentes. Leurs caractéristiques et leurs performances sont donc différentes Leur point commun c'est qu'elles appartiennent toutes les 2 à la famille des ancres charues. À bientôt, Lilian 😀
"le mouillage est un sujet qui a fait couler beaucoup d'encre"... Bravo ! Joli !
Bonjour,
Merci pour ton commentaire.
À bientôt,
Lilian 😀
Bonjour à tous les navigateurs. Vidéo très instructive, claire et passionnante. Au delà de la force du vent et des courants ce que je rencontre sur des mouillages un peu exposés c’est la houle ou les vagues qui soulèvent le bateau en tirant très fortement et violemment sur la chaîne. Dans ces conditions une longueur de chaîne de 5 à 7 fois la hauteur d’eau n’est pas un luxe.
Bonjour Didier,
Merci pour ton commentaire.
Effectivement, la houle est un élément extrêmement important. Si en saison cyclonique, lors du passage d'un système, nous nous rapprochons des mangroves, c'est essentiellement pour limiter l'impact de la houle.
Selon l'environnement, une longueur de chaîne importante (x7 ou plus) permet d'absorber ces différences de hauteur d'eau. En associant à celle-ci un système efficace permettant d'absorber les coups de butoir et on est au complet.
À bientôt,
Lilian 😀
Top ! Excellentes explications. Comme tu le dis, le sujet est vaste, les avis nombreux, les faits un peu moins, les expériences variées. L’important est la confiance que chacun a en sa propre ligne de mouillage pour son propre bateau et sa propre famille. C’est dans les conditions extrêmes que les « bons » choix effectifs se montreront plus efficaces, et nous faisons tous en sorte de ne pas nous retrouver dans ces conditions 😊.
Salut Steph et Béa,merci pour votre commentaire.
La confiance que l'on a dans sa ligne de mouillage fait toute la différence.
À bientôt,
Lilian 😀
Salut, encore un sujet traité très simplement mais très complet !!! Tes vidéos sont toujours aussi instructives et intéressantes. Merci pour le partage de ton expérience. !!!!
Salut Nono,
Ça me fait toujours plaisir de lire tes commentaires et ça m'encourage à continuer.
À bientôt,
Lilian 😀
Tout a fait d'accord avec ton analyse et tes choix.
Sur Jade nous avons un mouillage principal tout chaine (120 m de chaine forgée de 12 mm) avec une ancre Spade de 35 Kg que nous allons remplacer par une 45 Kg (ancre commandée).
Nous mettons aussi 5 fois la hauteur d'eau: bonne pratique, pas uniquement anglo-saxonne ! 🙂Nous avons dû mouiller par 27 m de fond à Fatu Hiva (Baie des Vierges) et ce jour là, les derniers maillons utilisables ont pris l'eau pour la première fois ...
Bonjour Balade de Jade,
Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire.
Concernant le mouillage, mes deux autres variables d'ajustement vont être, d'un côté l'échelle Beaufort comme coefficient multiplicateur de la hauteur d'eau et la longueur de ma ligne de main de fer pour l'amorti.
À bientôt,
Lilian 😀
Chouette vidéo , le sujet est bien développé ⚓👍😉
Bonjour,
Merci pour ton commentaire.
À bientôt,
Lilian 😀
, bonjour je ne suis pas encore voileux... j'espère l'être bientôt..tes explications sont simples et compréhensible...et ta sinphatie fait le reste... pour info je suis a Bamako..oui je sais... j'ai trouvé la plage... pas encore la Mer !mai je cherche...bon vent
Bonjour Louis-Jean,
Merci de nous suivre et merci pour ton commentaire.
Je te souhaite de réaliser ton objectif de voile.
J'espère que nos vidéos y contribueront.
À bientôt,
Lilian 😀
Salut je trouve tes vidéos vraiment extra :)
J'adore ta chaîne que j'ai découvert depuis peu.
Bon vent et belle mer.
Profites bien de ton périple ;)
Salut,
Merci de nous suivre et merci pour ton commentaire.
À bientôt,
Lilian 😀
Salut , comme d'habitude sujet bien traité , merci 👍
bateau à moteur vendu ,après 30 ans de "moteur" j'aurai mon 1er voilier courant avril j'ai hâte .
Bonjour,
Merci pour ton commentaire.
Une nouvelle aventure commence, c'est super.
Tiens moi au courant.
À bientôt,
Lilian 😀
Super vidéo 👍
Bonjour David,
Merci pour ton commentaire.
À bientôt,
Lilian 😀
Hello Lilian, aurais-tu la gentillesse de faire une vidéo sur les détails des clearances (delais pour s'annoncer n comment savoir où les faire) et des pavillons de courtoisie(obligations, où se les procurer, etc). Un grand merci et encore bravissimo pour tes vidéos si instructives. Bonne mer
Salut Alain,
Merci de nous suivre et merci pour ton commentaire.
C'est une super idée. Elle sera au programme de la semaine 👍
À bientôt,
Lilian 😀
je navigue depuis plus de 50 ans et j'ai bien sûr eu tous les problèmes qu'on peut tester dans une vie de marin de plaisance. Mon conseil : soulager la chaîne avec une main de fer et autant devcordage flexible que la longueur du bateau en le frappant sur un taquet arrière. Hisser une très petite voile de mouillage à la proue du bateau pour éviter les mouvements pendulaires dans les rafales.
Bonjour Mathias,
Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire.
Je partage tout à fait ton propos. Sur Ikigaï, entre le double pataras et le portique nous ne pouvons pas gréer de tape cul. Les ketch utilisent souvent leur voile d'artimon à cet effet.
À bientôt,
Lilian 😀
Pour le mouillage , on a choisi pour un ketch de 13 mètres env et 15 tonnes en premier mouillage une ancre sable de 25 kg et 50 mètres de chaîne de 12 et en mouillage ''lourd'' secondaire j'ai 40 mètres de 14 et un grosse ancre plate de 50 kg montée sur un deuxième guindeau d'urgence, puis de la ligne en gros diamètre style bout démarrage mais en 6cm de diamètre. Par 80 mètres efficace elle nous a sauvé déjà une fois ou le bateau était quasi condamné. ..
Salut Nathan,
J'ai un copain, sur un cata de 55 pieds et dans mon souvenir 16 tonnes, a pris cette option : 50m de chaîne de 12 plus gros cablot. Il en est satisfait.
À bientôt,
Lilian 😀
Bonjour
Tout d'abord merci pour tes vidéos
Sur le mouillage tu n'as pas parlé de la main de fer ?
Par manques de temps ou par oublies ?
Merci pour le partage car je sais que ce prend beaucoup de temps
Bon voyage
Hervé et Coralie
Bonjour Hervé et Coralie,
Merci de nous suivre et merci pour ton commentaire.
Effectivement, je n'ai pas parlé de la main de fer. Je préfère aborder cet élément dans une vidéo davantage orientée sur la technique de mouillage.
Dans les vidéos, je cherche un équilibre entre donner de l'info et ne pas m'éparpiller.
Dans tous les cas je te remercie également de prendre le temps de faire des commentaires. C'est très motivant, car tu as parfaitement raison, faire des vidéos prend du temps. Du temps d'élaboration des contenus, du temps de tournage en conditions extérieures (vent, soleils qui tourne, bruits parasites....), du temps de montage et de transcription des contenus.
De fait, je me réjouis de lire des commentaires constructifs, de découvrir les expériences et astuces ou compléments d'information apportés par les abonnés.
À bientôt,
Lilian 😀
Bien le jeu de mot! « Le mouillage a fait couler beaucoup d’encre «
Merci pour ta vidéo, je voudrais partager une récente découverte, sortie d’un coffre de mon nouveau bateau, un poids très lourd qui pour moi était un shimiliblik. Un copain m’a dit que c’était un lest de chaîne !!. Il a une forme étrange qui d’emboîtements sur la chaîne et par conséquent alourdit la ligne de mouillage. Je trouve ça intéressant à expérimenté , mais je n’ai pas encore eu l’occasion de le faire car je suis au sec 😂
Bonjour Hervé,
Merci de nous suivre et merci pour ton commentaire.
Ce que tu me décris ressemble fortement à une gueuse. Effectivement, elle se place sur la chaîne pour rabaisser le point de tire. Comme elle reste reliée au bateau une fois la manœuvre de mouillage finie je testerais le dispositif par beau temps et mouillage de bonne tenue, car si tu dois remonter le mouillage et la gueuse et un orin en urgence ça peut faire un beau paquet de spaghettis 😄
À bientôt,
Lilian 😀
Sauf si la CQR se met en travers, et bascule. Elle aura du mal à s enfoncer et se met à déraper en travers.. La CQR, je l utilisais comme secu en plomb de sonde après avoir mouillé la principale. Cela permettait de limiter le dérapage éventuel...
Salut Syliz,
Merci pour ton commentaire. Je partage ton point de vue.
Comme tu le sais sur Ikigaï nous avons une Mantus M2 de 30kg. Nous n'avons jamais dérapé. Si je devais en changer je resterais sur ce type d'ancre dernière génération : Spade, Rocna, Mantus.
En mouillage secondaire nous utilisons une Fortress FX23. Elle se transporte facilement sur le dinghy et ventouse hyper bien sur le fond.
Nous avons également une Britany de 22kg au cas ou.
À bientôt,
Lilian 😀
J’ai entendu une remarque qui me semble pertinente sur les 3x ou 5x. Ces 3x seraient relatifs à la hauteur davier et les 5 x à la surface. Ce qui donne l’angle de 20’
Salut Parlam provençaux,
Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire.
Dans les faits, la seule profondeur utile c'est la hauteur : fond de l'eau/davier. Car ensuite, lorsque la chaîne se tend tu as une ligne droite : ancre/davier, et c'est sur la base de cette diagonale que tu calcules l'angle de la chaîne avec le fond au niveau de l'ancre.
Personnellement, je ne tiens jamais compte du 3X la hauteur d'eau, ce n'est valable que pour un mouillage à la journée sans vent en restant sur le bateau.
Pour moi, c'est automatiquement 5X la hauteur d'eau (fond/davier) + 1X la hauteur d'eau par point de l'échelle Beaufort prévu. Par exemple : force 6 = 6X la hauteur d'eau.
Ensuite, chacun est libre de procéder comme bon lui semble. Lorsque ton bateau dérape et qu'il n'y a personne à bord, la surprise peut être mauvaise au retour. Mais bon, on peut dire que c'est ton problème. Cependant, lorsque ton bateau dérape et vient taper celui des voisins, voir embarquer leur chaîne, là les conséquences prennent une autre dimension.
Nous pouvons témoigner que des bateaux qui dérapent, ce n'est pas rare.
À bientôt,
Lilian 😀
Bonjour, l'empreinte "torx" de la manille que tu décris, n'en est pas une. C'est une "btr". Et c'est bien dommage, car la torx admet des couples de serrage plus importants et surtout ses 6 lobes permettent le desserrage sans l'abimer. Les accastilleurs seraient bien inspirés de faire des manilles avec cette empreinte.
Très intéressante ton analyse des formes d'ancres.
Rien à dire 😊 à part , que penses-tu d'une deuxième ancre plus petite acrocher à principal avec un bout des chaîne bien évidemment ?
Bonjour Marin Tonic,
Merci pour ton commentaire.
Ce que tu me décrit ressemble fortement à un empennelage. Une ancre reliée à une autre par une chaîne. Cette technique est plutôt utilisée lors que les conditions météo vont montée. Il faut faire attention à ce que la longueur de chaîne soit supérieure à la hauteur d'eau pour ne pas avoir à remonter les 2 ancres en même temps.
À bientôt,
Lilian 😀
@@ikigai-voyages entre autre... mais c'est pas cela que je voulais dire on acroche une ancre plus légère sur la chaîne principale pour empêcher celle-ci de se lever en coup vent... mais je suis comme toi, ardent convaincu du tout chaîne j'en ai 90 m😇
Salut, effectivement les manilles toujours au minimum de la même taille que la ligne de mouillage sinon cela fait une faiblesse sur la ligne et à coup sûr c'est la que cela casse lors de fort a coup ... Coucou à toute la tribu ikillai ! On est à port Nap on prépare le navire ... bientôt le départ ! Bon encore pas mal de rouille à traiter et safran à souder il prend l'eau le bougre mais on va y arriver !
Salut Nathan,
Pour les manilles : un taille au dessus de la chaîne ( chaîne de 10, manille de 12).
Avec le recul, je te confirme que le temps de préparation du voyage fait bien partie du voyage.
Profites en bien, même si c'est pas toujours facile.
On se croisera peut-être de l'autre côté de l'atlantique 😀
À bientôt,
Lilian
Pas d'emerillon pour moi. J'en ai eu un qui s'est tordu, travaillant en porte à faux sur l'ancre. La solution préventive est d'intercaler une manille mais pas toujours facile suivant la distance guindeau/davier. J'ai préféré mettre une solide manille spéciale mouillage.
Bonne idée d'inverser la chaîne !
Bonjour Yves,
Tu n'es pas le seul à avoir eu des déboires avec un émerillon Au final, on revient souvent à des solutions plus simples.
Après, nos déboires sont sources de meilleures compréhension de nos voiliers et de la vie en croisière et nous permettent de progresser.
L'expérience des autres ne nous fait pas changer. Elle nous donne un angle de vue, une compréhension des choses qui reste intellectuelle. C'est la mise en œuvre, la sommes des essais/erreurs qui nous fait monter en compétences.
À bientôt,
Lilian 😀
Bonjour,
Une observation et une question.
Attention aux chaînes inox. Il arrive que cela casse comme du verre.
Quid d'une main de fer quand une tempête exige de quitter le mouillage ?
Bonjour Pascal,
Concernant la main de fer, ça peut être intéressant d'envisager la résistance de ll'ensemble du dispositif "mouillage".
Quelle est la limite de rupture des éléments suivants :
- l'ancre,
- la liaison ancre/chaîne (par exemple l'émerillon si il y a lieu),
- la chaîne,
- la liaison chaîne/cablot,
- le cablot,
- le taquet sur le pont.
Ensuite, où places tu le fusible ? Si quelque chose doit rompre quel élément choisir ?
Ce que je sais, me concernant, j'ai pas envie que ce soit le ou les taquets sur le pont.
À bientôt,
Lilian 😀
J'ai une ancre plate et je descend une gueuse de 5 kg le long de la chaîne de 8 a un mètre du fond par vent fort , ce qui donne une élasticité, 3 fois voir plus selon le vent , voilier 27 pieds 25 mètres de chaîne de 8 .
Bonjour Martial,
Merci pour ton commentaire.
Effectivement, la gueuse est très efficace et souvent peu utilisé.
J'aborderai ce sujet dans une vidéo dédiée à la manœuvre de mouillage.
À bientôt,
Lilian 😀
Moi je sais, c'est 3*Racine de 2 et puis c'est tout😂
C'est dommage que vous ne mettiez pas assez d'images de ce que vous expliquez...
Vous avez un visage sympathique mais vos explications sont un peu trop magistrales, un peu plus de schémas et d' illustrations rendraient vos explications beaucoup plus compréhensibles...
Merci tout de même pour ces explications assez claires...
Bonjour Luc,
Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire.
À bientôt,
Lilian 😀
Cablo peut être coupé par une hélice...
Bonjour Sylvain,
Merci pour ton commentaire.
J'ajouterais concernant le cablot : Certains, comme sur Banik, utilisent du polypropylène qui flotte. Ils y trouvent avantages et inconvénients.
D'autres utilisent du polyamide qui coule.
À bientôt,
Lilian 😀
@@ikigai-voyages un retex de cablo coupé par helice a saint martin pendant cyclone sur youtube
Apparemment pas flottant mais en tension un bateau moteur l'a coupé
ha mon avis tu induit grave en erreur ceux qui sont nivide et t ecoute . car tu met dans le meme sacs la rocna et la cqr .....
Bonjour,
La Rocna et la CQR, sont des ancres de génération et de technologie différentes. Leurs caractéristiques et leurs performances sont donc différentes Leur point commun c'est qu'elles appartiennent toutes les 2 à la famille des ancres charues.
À bientôt,
Lilian 😀
à la poupe, bien sûr, la voile de mouillage, pardon !
😀