Tres belle production. Merci beaucoup. En reponse au autres commentaires, c'est bien d'etre critique, mais il faut aussi etre humble et apprecier la beaute, qui est evidente dans ce film, et bien sur dans l'art de Durer, un artiste de valeur universelle.
Excellent documentaire sur la vie de Durer mais aussi sur la vie de ses contemporains avec les chagrins, les nombreux deuils, difficultés et espoirs de leur époque...❤❤
Linda recreacion de Albretch Durer y parte de su vida y lase su familia. Me gustó su relacioncon su madre. Quizas el personaje de Agnes cobra mucho protagonismo en relacion a Durer..es mas..pareciera que la historia esta contada por ella..verdad? Debe ser asi. Igual faltó mas protagonismo del personaje de Durero y su actividad artistica. Centrarse mas en su actividad artistica. El comienzo esta muy bueno. Decae al final. Saludos desde Argentina
Malgré sa qualité, ce documentaire n'est pas sans défaut. Appeler le père de Dürer un "migrant" introduit une certaine confusion, d'après le sens actuel de ce mot. C'était un orfèvre réputé. Ce serait comme de qualifier de migrant un financier étranger qui s'établirait à NYC pour travailler à Wall Street. Ce n'est pas mieux dans la version originale allemande puisqu'il me semble que le monsieur emploie (à 4:29) le terme "Flüchtling" (réfugié), ce que n'était pas du tout le père de Dürer. On peut en dire autant des relations de Dürer avec sa femme, qui étaient bien plus tièdes (euphémisme) que ce film le montre. N'oublions pas qu'il s'agissait d'un mariage arrangé, comme presque tous les mariages de l'époque. Le couplet féministe final est anachronique : un historien (et même une historienne) cherche à comprendre le passé, pas à le juger d'après les considérations morales actuelles, aussi justifiées puissent-elles être par ailleurs dans notre présent. Ce qui est vrai, en revanche, c'est qu'Agnes Frey était une femme d'affaires avisée. Plus fondamentalement, on reste sur sa faim quant à l'analyse de l'œuvre de Dürer, son développement, ses significations. Notamment, les relations de Dürer avec l'art italien sont ici expédiées en quelques minutes. La question cruciale de sa formation d'artiste est escamotée. Rien n'est dit sur l'influence de Dürer, et Hans Baldung Grien n'est dans ce film qu'un comparse qui ne pense qu'à trousser la servante. Etc. C'est fort dommage. Par un reste de charité chrétienne, je ne ferais aucun commentaire sur les effets spéciaux (comme le lièvre qui bouge son museau) et le smartphone. Un détail. À 53:40 : la traduction de "propriis" par "permanentes" est largement contestée. Voir la Note 1 de la fiche Wikipedia de l'Autoportrait.
Ce très beau documentaire est davantage un portrait de Dürer qu'une rétrospective de son oeuvre. Quelques petites erreurs, exemple: Dürer ne fut pas le premier à marquer ses oeuvres de son monogramme; Martin Schongauer son ainé et que Dürer rencontra et admirait, marquait également ses gravures du monogramme M T, ces deux lettres entourant une croix.
i think you can find good documentarys in german about Durer if you want. I don't understand your vision about the art. Art and culture is free and have to be share with all the humanity.
Ich habe diese Doku letztens auf RUclips auf deutsch gesehen! Ich kann sie nur nicht mehr finden... wurde die vielleicht gelöscht? Die hieß da "Popstar seiner Zeit" oder so
Pour attirer et retenir l'attention des jeunes. Vous n'avez pas remarqué par exemple que dans les pubs (télé ou autres), systématiquement maintenant, à de rares exceptions près, l'interface d'un PC ou d'un smartphone/tablette est mimée, imitée visuellement à l'écran ? Uniquement pour avoir de la visibilité et vendre le produit. Et bien ça se déplace dans les documentaires également ces derniers temps. Sinon une bonne majorité des jeunes décroche avant la fin ou ne prête même pas attention au sujet traité, surtout que les formats courts sont privilégiés par les jeunes aujourd'hui (pour les mêmes raisons). Et pour être juste, ça ne se limite pas aux jeunes, ça s'étend à toutes les générations puisque c'est sociétal et que nous subissons tous plus ou moins ces influences (et injonctions).
Mais quelle honte de "documentaire" autant sur le fond que sur la forme. Pourquoi raconter avec des anachronismes des pans de sa vie privée dont on se moque éperdument. Des reconstitutions ridicules de et inappropriées. Las du blabla inutile, et hors sujet, et puis.. quoi sur son art, son génie artistique, ... rien de la bouillie pour chat.
Belle reconstitution, beau portrait, mais les spéculations de cette psychanalyste ont en partie gâché mon plaisir (comme le saupoudrage "un tantinet" wokiste de la narration, dont les documentaires estampillés arte sont devenus par trop coutumiers).
Tres belle production. Merci beaucoup. En reponse au autres commentaires, c'est bien d'etre critique, mais il faut aussi etre humble et apprecier la beaute, qui est evidente dans ce film, et bien sur dans l'art de Durer, un artiste de valeur universelle.
Excellent documentaire sur la vie de Durer mais aussi sur la vie de ses contemporains avec les chagrins, les nombreux deuils, difficultés et espoirs de leur époque...❤❤
Vraiment Superbe évocation magnifiquement interprétée Merci ARTE
49:08 Felix Kammerer🫶
and at 1:01:15
Is there a version in German ? 😢
@@Marie-xh3nq I don't think there is unfortunately
Merveilleux documentaire
Très beau reportage belle sensible subtile interprétation ❤
Très instructif, merci.
Linda recreacion de Albretch Durer y parte de su vida y lase su familia. Me gustó su relacioncon su madre. Quizas el personaje de Agnes cobra mucho protagonismo en relacion a Durer..es mas..pareciera que la historia esta contada por ella..verdad? Debe ser asi. Igual faltó mas protagonismo del personaje de Durero y su actividad artistica. Centrarse mas en su actividad artistica. El comienzo esta muy bueno. Decae al final. Saludos desde Argentina
Malgré sa qualité, ce documentaire n'est pas sans défaut.
Appeler le père de Dürer un "migrant" introduit une certaine confusion, d'après le sens actuel de ce mot. C'était un orfèvre réputé. Ce serait comme de qualifier de migrant un financier étranger qui s'établirait à NYC pour travailler à Wall Street. Ce n'est pas mieux dans la version originale allemande puisqu'il me semble que le monsieur emploie (à 4:29) le terme "Flüchtling" (réfugié), ce que n'était pas du tout le père de Dürer.
On peut en dire autant des relations de Dürer avec sa femme, qui étaient bien plus tièdes (euphémisme) que ce film le montre. N'oublions pas qu'il s'agissait d'un mariage arrangé, comme presque tous les mariages de l'époque. Le couplet féministe final est anachronique : un historien (et même une historienne) cherche à comprendre le passé, pas à le juger d'après les considérations morales actuelles, aussi justifiées puissent-elles être par ailleurs dans notre présent. Ce qui est vrai, en revanche, c'est qu'Agnes Frey était une femme d'affaires avisée.
Plus fondamentalement, on reste sur sa faim quant à l'analyse de l'œuvre de Dürer, son développement, ses significations. Notamment, les relations de Dürer avec l'art italien sont ici expédiées en quelques minutes. La question cruciale de sa formation d'artiste est escamotée. Rien n'est dit sur l'influence de Dürer, et Hans Baldung Grien n'est dans ce film qu'un comparse qui ne pense qu'à trousser la servante. Etc. C'est fort dommage.
Par un reste de charité chrétienne, je ne ferais aucun commentaire sur les effets spéciaux (comme le lièvre qui bouge son museau) et le smartphone.
Un détail. À 53:40 : la traduction de "propriis" par "permanentes" est largement contestée. Voir la Note 1 de la fiche Wikipedia de l'Autoportrait.
lloved it
Ce très beau documentaire est davantage un portrait de Dürer qu'une rétrospective de son oeuvre. Quelques petites erreurs, exemple: Dürer ne fut pas le premier à marquer ses oeuvres de son monogramme; Martin Schongauer son ainé et que Dürer rencontra et admirait, marquait également ses gravures du monogramme M T, ces deux lettres entourant une croix.
L'Histoire s'enrichit toujours de la connaissance de ce genre de "détails"!👍
Where is the version in German ? After all he was OUR painter, like Gauguin, Monet, Corot and Renoir were YOUR painters.
i think you can find good documentarys in german about Durer if you want. I don't understand your vision about the art. Art and culture is free and have to be share with all the humanity.
@@corentinboivin45 There I agree ! Je suis d'accord.
Ich habe diese Doku letztens auf RUclips auf deutsch gesehen! Ich kann sie nur nicht mehr finden... wurde die vielleicht gelöscht? Die hieß da "Popstar seiner Zeit" oder so
@@DatLucyIsDa je ne comprends pas l'allemand désolé.
@@DatLucyIsDa Sie liegen falsch! nicht die gleiche Fernsehdokumentation
Pourquoi faire une sorte de reconstitution et mettre une actrice qui montre son iPhone ? j'ai pas compris x)
Le père du Durer ce qu'on appelle aujourd'hui un migrant. ,Arte toujours aussi moraliste à deux balles. On en veux des migrants comme ça.
Pour créer davantage de confusion et d'anachronisme dans la tête de nos jeunes.
Dommage . On n'est plus dans l'histoire avec l'iPhone.
parce que déjà en à cette époque, les gourgandines frimaient avec leurs iPhones,, et leurs sabots Nike au pieds... 🙂
Pour attirer et retenir l'attention des jeunes.
Vous n'avez pas remarqué par exemple que dans les pubs (télé ou autres), systématiquement maintenant, à de rares exceptions près, l'interface d'un PC ou d'un smartphone/tablette est mimée, imitée visuellement à l'écran ? Uniquement pour avoir de la visibilité et vendre le produit.
Et bien ça se déplace dans les documentaires également ces derniers temps. Sinon une bonne majorité des jeunes décroche avant la fin ou ne prête même pas attention au sujet traité, surtout que les formats courts sont privilégiés par les jeunes aujourd'hui (pour les mêmes raisons). Et pour être juste, ça ne se limite pas aux jeunes, ça s'étend à toutes les générations puisque c'est sociétal et que nous subissons tous plus ou moins ces influences (et injonctions).
On se serait passé des états d'âme de sa gourgandine. Arte toujours tributaire du cahier des charges de la propagande.
Mdr l'analyse freudienne claquée à 52:55.. Sinon c'est un beau documentaire
Mais quelle honte de "documentaire" autant sur le fond que sur la forme. Pourquoi raconter avec des anachronismes des pans de sa vie privée dont on se moque éperdument. Des reconstitutions ridicules de et inappropriées. Las du blabla inutile, et hors sujet, et puis.. quoi sur son art, son génie artistique, ... rien de la bouillie pour chat.
Il en avait rien à foutre d'Agnes il était homosexuel
Belle reconstitution, beau portrait, mais les spéculations de cette psychanalyste ont en partie gâché mon plaisir (comme le saupoudrage "un tantinet" wokiste de la narration, dont les documentaires estampillés arte sont devenus par trop coutumiers).