Traduction mélodique de : DJAMILA - à 5.42 Compagnon, assez pleuré Ce qui te dépasse, laisse-le La chance vient, différée On ne peut pas la changer Habitués, tous les deux Construite, vite, effondrée Des nouvelles, attendons Elles ne viennent pas Ton image, attendons Pour toi, brûlons Donne ta main, et puis Ton visage, montrant Ah, que ton nom est joli O Djamila Trop tard, il n'est pas Impossible, n'est pas Lors d'une rencontre, là Je lui dirai Content qu'elle paraisse Retour, la tristesse Avec elle, paix totale trouvée Cheveux-mais, blonds Rose blanche, elle est Bonheur mérité Lui souhaitant Quand, à la fontaine, elle va Quand elle va au champ L’œil, quand il la voit Tout oubliant Quelconque, elle n'est pas Une rare beauté Demandez au touché Il vous dira Celui qui la voit Une trace, lui laissant Comme dans un rêve,là Nous la voyons Mieux qu'elle soit cloîtrée On la trouve trop belle On craint d'être timbrés A cause d'elle Celui qui l'aura Vrai, il possédera Mieux que l'or, elle sera Dans son foyer Trop de prétendants C'est faux, paraissant Les même âge qu'elle Souffrent à cause d'elle. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Lehlak (La maladie) - à 0.00 Le mal que tu m'as laissé Ne peut se soigner Par ta faute, j'en suis atteint C'est comme s'il avait juré Qu'il va me rester Et ainsi, jusqu'à la fin Il ne sert pas de pleurer Et l'âme s'éteignant Comme une lumière faiblissant De la vie, tu m'as ôté A Dieu, je m'en remets Par ta mort, il va me venger Mon esprit tel un pigeon Ira à ta maison Il se posera sur le mur Par sa voix, te saluera Et ce, avant la nuit Il ira vers l'après-midi Regarde-le bien, tu verras Il porte ta blessure Une cicatrice de trahison Il sera oiseau de nuit Il ira par surprise Vois-le, par les interstices Il te citera le délaissé jusqu'à le tuer Sous les pierres tombales, il pourrit Son esprit où que tu sois Chaque nuit, tu le verras Il te causera des insomnies Le mal qui ira à toi Ce sera mon âme, là La maladie qui m’a pris Ton cœur sera flagellé Pour ce qu’il a fait Sans viatique, tu partiras Ton âme, il l’arrachera Avec lui, la prendra A Dieu, ils iront, ainsi Des pierres que l’ont m’a placées Beaucoup sont restées On les placera pour toi Parmi les tombes, tu habiteras Des maisons nivelées Ton voisin, ce sera moi Ceux qui espèrent te saisir Le temps va les trahir A moi, il te fera revenir. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Très belle chanson et la coupe de cheveux reflète l'ambiance de l'époque 😅
Traduction mélodique de : DJAMILA - à 5.42
Compagnon, assez pleuré
Ce qui te dépasse, laisse-le
La chance vient, différée
On ne peut pas la changer
Habitués, tous les deux
Construite, vite, effondrée
Des nouvelles, attendons
Elles ne viennent pas
Ton image, attendons
Pour toi, brûlons
Donne ta main, et puis
Ton visage, montrant
Ah, que ton nom est joli
O Djamila
Trop tard, il n'est pas
Impossible, n'est pas
Lors d'une rencontre, là
Je lui dirai
Content qu'elle paraisse
Retour, la tristesse
Avec elle, paix totale trouvée
Cheveux-mais, blonds
Rose blanche, elle est
Bonheur mérité
Lui souhaitant
Quand, à la fontaine, elle va
Quand elle va au champ
L’œil, quand il la voit
Tout oubliant
Quelconque, elle n'est pas
Une rare beauté
Demandez au touché
Il vous dira
Celui qui la voit
Une trace, lui laissant
Comme dans un rêve,là
Nous la voyons
Mieux qu'elle soit cloîtrée
On la trouve trop belle
On craint d'être timbrés
A cause d'elle
Celui qui l'aura
Vrai, il possédera
Mieux que l'or, elle sera
Dans son foyer
Trop de prétendants
C'est faux, paraissant
Les même âge qu'elle
Souffrent à cause d'elle.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Lehlak (La maladie) - à 0.00
Le mal que tu m'as laissé
Ne peut se soigner
Par ta faute, j'en suis atteint
C'est comme s'il avait juré
Qu'il va me rester
Et ainsi, jusqu'à la fin
Il ne sert pas de pleurer
Et l'âme s'éteignant
Comme une lumière faiblissant
De la vie, tu m'as ôté
A Dieu, je m'en remets
Par ta mort, il va me venger
Mon esprit tel un pigeon
Ira à ta maison
Il se posera sur le mur
Par sa voix, te saluera
Et ce, avant la nuit
Il ira vers l'après-midi
Regarde-le bien, tu verras
Il porte ta blessure
Une cicatrice de trahison
Il sera oiseau de nuit
Il ira par surprise
Vois-le, par les interstices
Il te citera le délaissé
jusqu'à le tuer
Sous les pierres tombales, il pourrit
Son esprit où que tu sois
Chaque nuit, tu le verras
Il te causera des insomnies
Le mal qui ira à toi
Ce sera mon âme, là
La maladie qui m’a pris
Ton cœur sera flagellé
Pour ce qu’il a fait
Sans viatique, tu partiras
Ton âme, il l’arrachera
Avec lui, la prendra
A Dieu, ils iront, ainsi
Des pierres que l’ont m’a placées
Beaucoup sont restées
On les placera pour toi
Parmi les tombes, tu habiteras
Des maisons nivelées
Ton voisin, ce sera moi
Ceux qui espèrent te saisir
Le temps va les trahir
A moi, il te fera revenir.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.