La première question concernant le risque d'encouragement à l'ethnocentrisme et de nationalisme est effectivement fondée. Cependant il faut relever le fait que ce risque existe indépendamment de la position des uns et des autres sur la question de la restitution, car le fait de s'obstiner à conserver des artéfacts culturels d'un peuple contre son gré emporte aussi le risque d'exacerbation des tendances ethnocentriques et nationalistes au sein de ce peuple. Moi, je pense que dans le cas des biens africains qui ont été spoliés dans le cadre d'une entreprise coloniale d'aliénation et d'acculturation, Il faut tout simplement rendre les artéfacts réclamés ou à tout le moins acter juridiquement le transfert des droits de propriétés aux peuples africains spolié. Ce geste fort reviendrait à rendre au africains la dignité et le respect qui leur sont dus. Ensuite seulement, on pourra ouvrir les débats sur le partage, la conservation et autres, lesquels sont à mon sens des préoccupations pertinentes voir légitimes, qui ne pourront trouver des solutions satisfaisantes pour toutes les parties que dans un contexte plus serein, de reconnaissance et de respect mutuelles.
C’è monsieur est chargé de faire accepter petit à petit les idées de et de restitutions partielles et copies .l’ethnocentrisme “des autres “ fait peur,mais pas le sien propre..les œuvres d’art sont des bien symboliques,qui ont rapport avec la mémoire collective,.
L’Afrique se fait respecter car le monde capitaliste a besoin des richesses qu’il ne peut plus spolier comme auparavant,la France a commencé par les œuvres africaines,pourquoi pas le moyen orient la Mésopotamie.,l’Égypte, l’Asie etccc
Ça aurait été intéressant d'avoir un autre universitaire pour faire le contradicteur
La première question concernant le risque d'encouragement à l'ethnocentrisme et de nationalisme est effectivement fondée. Cependant il faut relever le fait que ce risque existe indépendamment de la position des uns et des autres sur la question de la restitution, car le fait de s'obstiner à conserver des artéfacts culturels d'un peuple contre son gré emporte aussi le risque d'exacerbation des tendances ethnocentriques et nationalistes au sein de ce peuple. Moi, je pense que dans le cas des biens africains qui ont été spoliés dans le cadre d'une entreprise coloniale d'aliénation et d'acculturation, Il faut tout simplement rendre les artéfacts réclamés ou à tout le moins acter juridiquement le transfert des droits de propriétés aux peuples africains spolié. Ce geste fort reviendrait à rendre au africains la dignité et le respect qui leur sont dus. Ensuite seulement, on pourra ouvrir les débats sur le partage, la conservation et autres, lesquels sont à mon sens des préoccupations pertinentes voir légitimes, qui ne pourront trouver des solutions satisfaisantes pour toutes les parties que dans un contexte plus serein, de reconnaissance et de respect mutuelles.
C’è monsieur est chargé de faire accepter petit à petit les idées de et de restitutions partielles et copies .l’ethnocentrisme “des autres “ fait peur,mais pas le sien propre..les œuvres d’art sont des bien symboliques,qui ont rapport avec la mémoire collective,.
L’Afrique se fait respecter car le monde capitaliste a besoin des richesses qu’il ne peut plus spolier comme auparavant,la France a commencé par les œuvres africaines,pourquoi pas le moyen orient la Mésopotamie.,l’Égypte, l’Asie etccc
Quel démagogue cet homme !
Et ça se dit universitaire hein!