super instructif et pour infos le parapluie c est depuis l age de 14 ans ,c est quand ds les cevennes je voyais les bergers avec le parapluie et c est vrai que beaucoup de randonneur rigole quand il te voit avec parapluie
Héhé, il y a donc bien autant de chargements de sac que de randonneurs même pour des milieux proches. Je viens de voir que vous avez un matelas avec duvet. J'ai hésité d'en prendre un pour la simple crainte de voir le duvet tomber au fond et s'aplatir et donc perdre son gonflant isolant. Etait ce une crainte non fondée ou avez vous eu ce genre de problème ? Sur le papier les performances des matelas avec duvet sont prodigieuses : poids, isolation. A part dans les sacs de couchage (je n'ai que des sarcophage et en toute logique je devrais aussi prendre des quilts), je ne prends pas de duvet à cause de la compression qui nuit aux performances. Je privilégie la laine (tricot, loden, mérinos). C'est plus lourd, plus volumineux, perméable mais avec je peux dormir dans mon sac, avoir des appuis, manger "à la romaine" sans perdre de l'isolation. Sur la table de présentation, je pense voir un panneau de mousse pour s'asseoir. Mon pull en laine est mis dans un sac zippé. Quand je fais une petite pause, je m'assied dessus. Pour les pauses plus longue, sur un rocher gelé ou sur la neige tassée, le dilemme c'est de choisir entre l'isolation du torse ou du popotin... Désormais, mes batons sont monobrins. Ils sont plus légers et théoriquement plus résistants. Concretement, il n'y a pas de risque de voir le système de serrage lâcher au moment ou on appuie le plus dessus, c'est à dire là où on a le moins confiance pour ses appuis plantaires ! Certes ça peut paraitre encombrant mais ça devient relatif quand on porte ses skis sur le sac à dos et qu'on coupe à travers bois... J'ai laissé tomber tout ce qui est poncho. J'ai souvent la hardshell avec moi et jelui fait confiance. Les pantalons en G1000 cirés 3 couches sechent assez rapidement... Au pire, j'ai toujours ma feuille de tyvek. Elle protege le sac à dos, une partie du bonhomme et si on réussi à la fixer aux batons on peut se faire un bon petit parapluie en marche ou en statique. Bon, le style n'est pas terrible. Les marmottes et les bouquetins peuvent se foutre de ma tronche : osef. J'ai hésité à prendre une gourde flexible. C'est léger et vide ça ne prends pas de place. Mais j'ai décidé de rester avec ma nalgène qui résiste à l'eau chaude. Quand la période de forte chaleur arrive, je bois beaucoup alors je prends une bouteilles de 2l d'orangina. Au début, l'eau garde le gout de l'orange (désagréable alors pendant une semaine je me sers de la bouteille pour arroser les plantes. Après dans le sac à dos ou elle se comporte bien grace à sa solidité et surtout elle ne fatique pas trop vite avec les problemes de cha,gement de pression ( dénivellé + ou - qui font travailler le plastique des bouteilles non pleine). la bouteille ne pèse pas grand chose. Pas de système d'hydratation par tube donc pas de soucis... J'ai un réchaud à alcool. Des contraintes et bcp d'avantages. A savoir que l'alcool s'enflamme très très mal quand il est froid. Quand je dis très c'est avec un grand T. Donc la fiole ( voire le réchaud)c'est dans la poche quand il fait froid. La semaine dernière, après 15 ans d'utilisation hivernale j'ai enfin découvert par hasard la solution pour enflammer l'alcool froid sans se prendre la tête et surtout concretement sans se bruler les doigts ou les gants : utiliser la coupelle et le fil de fer du système d'attache des bouchons de certaines bieres ou autres boissons gazeuses. On réchauffe au briquet et brule l'alcool mis dans la coupelle puis on le verse enflammé délicatement dans le bruleur. Pour info, quand on veut boire une bière à haute altitude, il vaut mieux prendre une bière qui ne mousse déjà pas beaucoup à la base... Si vous avez des petites techniques perso, je suis preneur.
super instructif et pour infos le parapluie c est depuis l age de 14 ans ,c est quand ds les cevennes je voyais les bergers avec le parapluie et c est vrai que beaucoup de randonneur rigole quand il te voit avec parapluie
Héhé, il y a donc bien autant de chargements de sac que de randonneurs même pour des milieux proches.
Je viens de voir que vous avez un matelas avec duvet. J'ai hésité d'en prendre un pour la simple crainte de voir le duvet tomber au fond et s'aplatir et donc perdre son gonflant isolant. Etait ce une crainte non fondée ou avez vous eu ce genre de problème ?
Sur le papier les performances des matelas avec duvet sont prodigieuses : poids, isolation.
A part dans les sacs de couchage (je n'ai que des sarcophage et en toute logique je devrais aussi prendre des quilts), je ne prends pas de duvet à cause de la compression qui nuit aux performances.
Je privilégie la laine (tricot, loden, mérinos). C'est plus lourd, plus volumineux, perméable mais avec je peux dormir dans mon sac, avoir des appuis, manger "à la romaine" sans perdre de l'isolation.
Sur la table de présentation, je pense voir un panneau de mousse pour s'asseoir. Mon pull en laine est mis dans un sac zippé. Quand je fais une petite pause, je m'assied dessus. Pour les pauses plus longue, sur un rocher gelé ou sur la neige tassée, le dilemme c'est de choisir entre l'isolation du torse ou du popotin...
Désormais, mes batons sont monobrins. Ils sont plus légers et théoriquement plus résistants. Concretement, il n'y a pas de risque de voir le système de serrage lâcher au moment ou on appuie le plus dessus, c'est à dire là où on a le moins confiance pour ses appuis plantaires !
Certes ça peut paraitre encombrant mais ça devient relatif quand on porte ses skis sur le sac à dos et qu'on coupe à travers bois...
J'ai laissé tomber tout ce qui est poncho. J'ai souvent la hardshell avec moi et jelui fait confiance. Les pantalons en G1000 cirés 3 couches sechent assez rapidement... Au pire, j'ai toujours ma feuille de tyvek. Elle protege le sac à dos, une partie du bonhomme et si on réussi à la fixer aux batons on peut se faire un bon petit parapluie en marche ou en statique.
Bon, le style n'est pas terrible. Les marmottes et les bouquetins peuvent se foutre de ma tronche : osef.
J'ai hésité à prendre une gourde flexible. C'est léger et vide ça ne prends pas de place. Mais j'ai décidé de rester avec ma nalgène qui résiste à l'eau chaude.
Quand la période de forte chaleur arrive, je bois beaucoup alors je prends une bouteilles de 2l d'orangina. Au début, l'eau garde le gout de l'orange (désagréable alors pendant une semaine je me sers de la bouteille pour arroser les plantes. Après dans le sac à dos ou elle se comporte bien grace à sa solidité et surtout elle ne fatique pas trop vite avec les problemes de cha,gement de pression ( dénivellé + ou - qui font travailler le plastique des bouteilles non pleine). la bouteille ne pèse pas grand chose.
Pas de système d'hydratation par tube donc pas de soucis...
J'ai un réchaud à alcool. Des contraintes et bcp d'avantages. A savoir que l'alcool s'enflamme très très mal quand il est froid. Quand je dis très c'est avec un grand T. Donc la fiole ( voire le réchaud)c'est dans la poche quand il fait froid. La semaine dernière, après 15 ans d'utilisation hivernale j'ai enfin découvert par hasard la solution pour enflammer l'alcool froid sans se prendre la tête et surtout concretement sans se bruler les doigts ou les gants : utiliser la coupelle et le fil de fer du système d'attache des bouchons de certaines bieres ou autres boissons gazeuses. On réchauffe au briquet et brule l'alcool mis dans la coupelle puis on le verse enflammé délicatement dans le bruleur. Pour info, quand on veut boire une bière à haute altitude, il vaut mieux prendre une bière qui ne mousse déjà pas beaucoup à la base...
Si vous avez des petites techniques perso, je suis preneur.