Incroyable !! Cela me rappelle des cours de musique au lycée Jeanne d'Arc, en seconde un professeur très apprécié m'avait déjà éclairé de cette manière sur Tristan !! Pour Mozart, c'est la française (fa la si re# - mi M en la m).
Ben alors tu me rassures, je ne suis pas encore totalement gâteux ! Tiens c'est marrant, tu sais que ma nouvelle collègue qui a remplacé Patrice Latour parti en retraite, est issue de ta promo au lycée !
Bravo et merci pour cet exposé. Oui, ... pour le F7 plutôt que le B7b5/F (ou le D#mm5b7mm/F !!!), difficile de lutter contre le raccourci orthographique du jazz/pop. En tout cas c'est toujours bon de comprendre sa genèse. Pour ma part je m'interroge sur la transposition du mécanisme de 6# du classique vers le jazz. Comment, quand, pourquoi est -on passé d'une tension entre II et V (classique) à une (sur-)tension entre V et I (jazz) avec la fameuse substitution-tritonique caractéristique du style. Sans avoir suffisamment épluché de musique j'en ai trouvé une chez Liszt (sa version de "la marseillaise" ! avant la coda, un Cb (alt) qui ramène au ton de Bb.) ... sujet à creuser ?
Merci pour votre message et votre réflexion super intéressante que je n'ai pas abordée dans la vidéo. Effectivement, on trouve beaucoup plus fréquemment l'accord de sixte augmentée comme substitution tritonique de la dominante en jazz (Night in Tunisia, Well You Need'nt, Caravan.....) donc une sorte de IIe degré abaissé, altéré, cousin du degré napolitain mais pas avec la même intention !... Merci pour l'exemple de Liszt que je ne connaissais pas. Il y en a un magnifique aussi dans le 4e mouvement de la 4e symphonie de Brahms à la 7e mesure du fameux thème de la Passacaille. Je suis intéressé à l'occasion d'avoir votre vraie identité pour continuer cette conversation ! Emmanuel Thiry
Bonjour. II avant V n'est pas l'apanage du Jazz . Dans la musique Baroque IV et II se confondent souvent. 0n rajoute la sixte à IV ce qui par renversement donne l'accord de 7 è du second degré. IV V ( en accord de 3 sons) est très très rare jusqu'à Bach compris, notamment en musique française ( Lully, Rameau) . merci pour cette vidéo
Très intéressant. Je n'avais jamais fait le lien entre l'accord de Tristan et l'accord de 6te française. Par ailleurs, dans le même ordre d'idée il y a le finale du 1er mouvement de la sonate n°16 en la mineur de Schubert (opus 42) qui cumule deux sixtes augmentées enchaînées (écrites en réalité comme des 7e de dominante) qui descendent chromatiquement. Effet dramatique garanti ! Ici à 10'43: ruclips.net/video/QyTb0ThLCyo/видео.html
C'est comme l,'accord suisse avec la frite une fois ? 😂 Mais d'ailleurs savez-vous d'où viennent toutes ces fines appellations ? 😂 De mon temps, il y avait la sixte augmentée, point barre, seul le chiffrage faisait les différences.
Incroyable !! Cela me rappelle des cours de musique au lycée Jeanne d'Arc, en seconde un professeur très apprécié m'avait déjà éclairé de cette manière sur Tristan !!
Pour Mozart, c'est la française (fa la si re# - mi M en la m).
Ben alors tu me rassures, je ne suis pas encore totalement gâteux ! Tiens c'est marrant, tu sais que ma nouvelle collègue qui a remplacé Patrice Latour parti en retraite, est issue de ta promo au lycée !
Le 1 er accord est une sixte allemande avec le do mais les 2 accord encadrés suivant son français avec un si ! Très bonne vidéo merçi !
Parfaitement vous avez raison !
Bravo et merci pour cet exposé.
Oui, ... pour le F7 plutôt que le B7b5/F (ou le D#mm5b7mm/F !!!), difficile de lutter contre le raccourci orthographique du jazz/pop. En tout cas c'est toujours bon de comprendre sa genèse.
Pour ma part je m'interroge sur la transposition du mécanisme de 6# du classique vers le jazz. Comment, quand, pourquoi est -on passé d'une tension entre II et V (classique) à une (sur-)tension entre V et I (jazz) avec la fameuse substitution-tritonique caractéristique du style.
Sans avoir suffisamment épluché de musique j'en ai trouvé une chez Liszt (sa version de "la marseillaise" ! avant la coda, un Cb (alt) qui ramène au ton de Bb.) ... sujet à creuser ?
Merci pour votre message et votre réflexion super intéressante que je n'ai pas abordée dans la vidéo. Effectivement, on trouve beaucoup plus fréquemment l'accord de sixte augmentée comme substitution tritonique de la dominante en jazz (Night in Tunisia, Well You Need'nt, Caravan.....) donc une sorte de IIe degré abaissé, altéré, cousin du degré napolitain mais pas avec la même intention !... Merci pour l'exemple de Liszt que je ne connaissais pas. Il y en a un magnifique aussi dans le 4e mouvement de la 4e symphonie de Brahms à la 7e mesure du fameux thème de la Passacaille. Je suis intéressé à l'occasion d'avoir votre vraie identité pour continuer cette conversation !
Emmanuel Thiry
Bonjour. II avant V n'est pas l'apanage du Jazz . Dans la musique Baroque IV et II se confondent souvent. 0n rajoute la sixte à IV ce qui par renversement donne l'accord de 7 è du second degré. IV V ( en accord de 3 sons) est très très rare jusqu'à Bach compris, notamment en musique française ( Lully, Rameau) . merci pour cette vidéo
Absolument. J'ai un peu simplifié les choses dans un souci de synthèse et de compréhension mais la réalité est bien plus complexe !
Très intéressant. Je n'avais jamais fait le lien entre l'accord de Tristan et l'accord de 6te française. Par ailleurs, dans le même ordre d'idée il y a le finale du 1er mouvement de la sonate n°16 en la mineur de Schubert (opus 42) qui cumule deux sixtes augmentées enchaînées (écrites en réalité comme des 7e de dominante) qui descendent chromatiquement. Effet dramatique garanti !
Ici à 10'43: ruclips.net/video/QyTb0ThLCyo/видео.html
Ah, génial ton exemple !
Vous oubliez l'accord belge de sixte augmentée
C'est comme l,'accord suisse avec la frite une fois ? 😂
Mais d'ailleurs savez-vous d'où viennent toutes ces fines appellations ? 😂
De mon temps, il y avait la sixte augmentée, point barre, seul le chiffrage faisait les différences.
@@cyclobasse C'est sans la sixte…
😂🤣😂🤣😅@@Pianojazzconcept
On ne voit pas le clavier...
Mettez le son et écoutez alors 😀