Les exercices que tu montres dans ta vidéos sont les exercices que m’a montré ma podologue pour gagner en stabilité et pour me renforcer. Résultat pas de douleurs lors de mon derniers trek et plus stable sur les sentiers de randonnées. Merci pour ton analyse pertinente
Hello Kevin, interessant cette réflexion à contre courant de la doxa actuelle ! J'aimerai te poser deux questions : Quel est l'intérêt du travail en instabilité si il y en a un ? Pour les sports de glisse ( roller skate ski surf ...) cela te parait t'il pertinent d'amener une composante instable ? merci pour le contenu, tu as gagné un abonné !
Merci pour ton retour et soutien. Personnellement je ne vois aucun intérêt au « travail d’instabilité » tel qu’il utilisé aujourd’hui sur des surfaces instables. Et quand bien même on pourrait trouver un argument pour son utilité comme dans l’exemple que tu as donné pour les sports de glisse; la question se pose est la suivante: n’a-t-on pas mieux à faire avec le peu de temps qu’on a à disposition pour la préparation physique des athlètes? Selon moi, on pourrait dédier ce peu de temps à des choses qui nous rendraient un meilleur retour sur investissement. La deuxième question qui vient en tête est la suivante: si la configuration du roller skate ou autre outil, nous met dans une position dites instable de par sa configuration, et que l’athlète à clairement maîtriser cette instabilité de par la capacité de pratiquer son sport, pourquoi vouloir passer du temps à travailler sur la stabilité de l’athlète avec d’autres modalités instables alors que l’athlète a déjà cette qualité? De plus chaque modalité instable est différente, le corps s’organise différemment, un athlète de stackline n’est pas forcément « stable » sur des patins et vice versa, donc qui nous dit qu’une surface instable en salle de sport aura un transfert sur l’activité de l’athlète?
@@Kswiss_fit merci pour ta réponse ! Effectivement en utilisant ces outils on part d'un postulat de départ : le travail en instabilité est transférables à d'autres situations ( instables par exemple). Pour le coup sur les sports de glisse, plusieurs pratiquants ont des affinités avec différentes sports, ça porte à croire que l'aspect équilibre se retrouve dans chacun d'entre eux. J'entends ta remarque, mais j'ai du mal à y adhérer, est ce que les powerlifters courent vite ? pour autant on propose souvent du squat pour les sprinters ... enfin ce n'est qu'un exemple, malheureusement les sports de glisse disposent de peu de revues de littératures et études scientifiques qui permettraient d'y voir plus clair.
@@inlineboy7749 je pense qu’il y a des liens de causalités & corrélations qui sont mal créé dans ce dernier commentaire (sans aucun manque de respect). Ce n’est pas parce qu’ils ont des affinités dans différents sports que l’équilibre est la qualité déterminant leur capacité à performer dans ces différents sports. Je ne suis pas sur d’avoir compris ta remarque sur les powerlifters et les sprinters…
Merci pour l'attention porté à cette réflexion, c'est très interessant ! Je réponds en deux parties. 1) je pense qu'il y a une transversalité des qualités d'équilibre. Les différents sports de glisse ont tous des "modalités instable" différentes, et pourtant avoir déjà pratiqué l'un ou l'autre ( par exemple le roller, puis le skate ou le ski ) va aider dans l'apprentissage, la performance etc ... ( ça c'est mon observation, je peux me tromper !) ça peux laisser supposer que travailler son équilibre sur support instable aide à perfectionner cette qualité pour un sport où l'équilibre et/ou la gestion de l'instabilité est central. ( en trail sur le sable, en appui sur une jambe en patinage artistique, en équilibre sur la pointe pour une danseuse ... ) 2) c'est en réponse à ta réflexion, très pertinente je trouve : un pratiquant de slack line a de l'équilibre en slackline. et il n'en a pas forcément en roller ( ça c'est une théorie, je suis coach pro de roller, et je peux te dire que les pratiquants de slackline assurent souvent !) Du coup je proposais un contre exemple : les pratiquant de squat (powerlifter par exemple) sont très bons en squat.pourtant ils ne courent pas forcément vite. Beaucoup de sprinters font du squat pour développer de la force et à terme de l'explosivité, et pourtant chez eux ça participent à courir vite. Enfin rien n'est tranché, je reste pour ma part sur un avis mitigé sur le travail en instabilité. Bien sûr je respecte l'avis de chacun, ce qui m'intéresserait c'est d'avoir l'avis d'experts sur l'instabilité, mais je peine à trouver. as tu des pistes ? merci pour ces échanges !
@@inlineboy7749 Merci pour ta réponse. Je répondrai point par point 1. ce n’est pas le fait d’avoir travaillé sur des surfaces instables qui a un transfert sur une autre activité mais le fait d’être fort au niveau de tissus bien précis et à un niveau global. Mon argument est d’expliquer que le fait de travailler sur des surfaces instables n’est pas spécifique d’un point de vue intensité & tissus visés. Le fait d’être stable représente simplement le fait de pouvoir produire assez de force pour contrer une force opposée. Or on sait que de travailler sur des surfaces instables diminue de manière conséquente notre production de force, d’où mon argument initiale. 2. Si tu as vu un transfert d’une activité à une autre c’est parce que les personnes effectuant cette activité avait la capacité de produire assez de force pour contrer les forces opposées. Alors oui un athlète fort au niveau du complexe pied & cheville et autres sera fort également sur des rollers. Mais maintenant pose toi la question est-ce que l’inverse est vrai en tout temps? Est-ce que les athletes de rollers sont aussi fort et maitrise “l’équilibre” lorsqu’ils font du stackline? Est-ce que les athletes de roller ont de l’équilibre lorsqu’ils font un relevé de ballet ? Ou un high kick figé de taekwondo ? Il suffit d’UN contre exemple pour contredire la règle. Ce principe est un principe universel connu sous le SAID principle aka le principe de la spécificité. Lorsqu’un sport qui inclu plusieurs articulations et donc une coordination inter&intra musculaire particulière, seule le sport en lui même est spécifique pour travailler “l’équilibre” de ce dernier, qui le dit? Le principe de la spécificité! Pas moi! Donc le fait de travailler sur une surface instable, comme un bosu, au delà du manque de spécificité dans les variables de l’entraînement de force, n’a rien de spécifique avec le facteur instabilité du sport. C’est d’ailleurs pourquoi tous les enfants peuvent faire du rollers sans jamais n’avoir mis un pied sur un bosu. 3. Ton contre argument n’en est pas un, c’est plutôt un argument qui va en ma faveur et qui illustre le SAID principle. Ce n’est pas parce que les sprinters font des squats que les squats font courir plus vite, comme tu l’illustres. Faire du squat rend meilleur au squat! Maintenant pourquoi les athlètes, comme les sprinters, font des squats? Il n’y a rien de magique avec le squat, il n’est qu’un outil externe permettant de travailler sur sa force absolue et c’est cette dernière qui a un transfert sur nos activités respectives pas le squat (aka l’outil). Le problème de l’industrie est que l’on comprend les choses en surface au lieu de les comprendre fondamentalement. Amitiés sportives
Le problème est que ta définition n'est pas complète, la proprioception est la sensibilité du système nerveux aux informations provenant des muscles des articulations et des os. Si une part de cette faculté est inconsciente, elle peut également être travaillée pour être plus efficace. Donc pour travailler la proprioception il faut stimuler le SNC par tous différents type de stimulis qui in fine permettra d'avoir un meilleur schéma corporel conscient et inconscient, la proprioception ne peut se limiter qu'à un seul type de travail donc aucun problème avec le travail de préparation physique que font les sportifs du Real Madrid ou autre.
C’est marrant que tu dises que « ma définition » est incomplète alors qu’ils s’agit de la définition donnée par le dictionnaire et non pas MA définition. Mais j’imagine que le dictionnaire a faux également et que le dictionnaire ne sait absolument pas de quoi il parle! Tout ça pour dire que dans cette définition il n’y a pas de subjectivité. Quand je parle de faire de la force et du travail articulaire c’est bien entraîner le SNC. Tous les mécanorécepteurs les plus « importants » concernant l’activité du SNC se trouve dans la capsule articulaire, mais je n’ai pas le temps, en commentaire, de faire un cours d’anatomie. Je te laisse faire ta recherche.
Je viens de visionner la dernière vidéo de la fédération française de basket sur la prépa de l'équipe de France.. sur 2 min de vidéo on les voit la moitié du temps sur des surfaces instables travailler leur "proprioception" 😭
Peut être quils ne travaillent pas la proprioception mais ça travaille l'equilibre , ça renforce les chevilles etc... Il faudrait etre footballeur ou joueur de basketball pour comprendre l'utilité Des exercices
@@damanjones merci d'avoir pris le temps de répondre à mon commentaire pour partager ton point de vue. J'ai fait du basket pendant près de 20 ans et ce type de travail ne m'a pas empêché de me blesser régulièrement aux chevilles). Je t'invite à prendre le temps de regarder les récentes vidéos de Kévin qui explique très bien pourquoi travailler son équilibre sur ce type d'objet ne donne pas un meilleur équilibre dans l'activité (ici le basket). De plus le travail n'est pas assez intense sur ce type de surface. Je pense que cela permet uniquement aux joueurs d'avoir confiance en leur corps de par leurs croyances (même si elles sont erronées malheureusement). Bref je ne suis pas un spécialiste mais je trouve ça dommage que des préparateurs à un aussi haut niveau ne se mettent pas à la page pour le bien et la carrière de ces excellents athlètes. ✌️
Perso j’arrivais même pas a marcher en 20 ans d’existence à cause du manque d’équilibre, et depuis mes entraînements avec des bozus j’arrive a être funambule !! Donc arrête de critiquer les meilleurs du monde stp reste à ta place et fais ce que l’école dit !!
Je pense que les termes "proprioception" "réactivité musculaire" et " équilibre" sont confondu dans ce débat, il faudrait déjà être d'accord sur le sens de ces mots ... la proprioception par exemple ce n'est pas que de la kinésthésie, cela englobe pour moi d'autres facteurs
Les exercices que tu montres dans ta vidéos sont les exercices que m’a montré ma podologue pour gagner en stabilité et pour me renforcer. Résultat pas de douleurs lors de mon derniers trek et plus stable sur les sentiers de randonnées.
Merci pour ton analyse pertinente
Hello Kevin, interessant cette réflexion à contre courant de la doxa actuelle !
J'aimerai te poser deux questions :
Quel est l'intérêt du travail en instabilité si il y en a un ?
Pour les sports de glisse ( roller skate ski surf ...) cela te parait t'il pertinent d'amener une composante instable ?
merci pour le contenu, tu as gagné un abonné !
Merci pour ton retour et soutien.
Personnellement je ne vois aucun intérêt au « travail d’instabilité » tel qu’il utilisé aujourd’hui sur des surfaces instables. Et quand bien même on pourrait trouver un argument pour son utilité comme dans l’exemple que tu as donné pour les sports de glisse; la question se pose est la suivante: n’a-t-on pas mieux à faire avec le peu de temps qu’on a à disposition pour la préparation physique des athlètes? Selon moi, on pourrait dédier ce peu de temps à des choses qui nous rendraient un meilleur retour sur investissement.
La deuxième question qui vient en tête est la suivante: si la configuration du roller skate ou autre outil, nous met dans une position dites instable de par sa configuration, et que l’athlète à clairement maîtriser cette instabilité de par la capacité de pratiquer son sport, pourquoi vouloir passer du temps à travailler sur la stabilité de l’athlète avec d’autres modalités instables alors que l’athlète a déjà cette qualité? De plus chaque modalité instable est différente, le corps s’organise différemment, un athlète de stackline n’est pas forcément « stable » sur des patins et vice versa, donc qui nous dit qu’une surface instable en salle de sport aura un transfert sur l’activité de l’athlète?
@@Kswiss_fit merci pour ta réponse !
Effectivement en utilisant ces outils on part d'un postulat de départ : le travail en instabilité est transférables à d'autres situations ( instables par exemple).
Pour le coup sur les sports de glisse, plusieurs pratiquants ont des affinités avec différentes sports, ça porte à croire que l'aspect équilibre se retrouve dans chacun d'entre eux.
J'entends ta remarque, mais j'ai du mal à y adhérer, est ce que les powerlifters courent vite ? pour autant on propose souvent du squat pour les sprinters ...
enfin ce n'est qu'un exemple, malheureusement les sports de glisse disposent de peu de revues de littératures et études scientifiques qui permettraient d'y voir plus clair.
@@inlineboy7749 je pense qu’il y a des liens de causalités & corrélations qui sont mal créé dans ce dernier commentaire (sans aucun manque de respect). Ce n’est pas parce qu’ils ont des affinités dans différents sports que l’équilibre est la qualité déterminant leur capacité à performer dans ces différents sports.
Je ne suis pas sur d’avoir compris ta remarque sur les powerlifters et les sprinters…
Merci pour l'attention porté à cette réflexion, c'est très interessant !
Je réponds en deux parties.
1) je pense qu'il y a une transversalité des qualités d'équilibre. Les différents sports de glisse ont tous des "modalités instable" différentes, et pourtant avoir déjà pratiqué l'un ou l'autre ( par exemple le roller, puis le skate ou le ski ) va aider dans l'apprentissage, la performance etc ... ( ça c'est mon observation, je peux me tromper !)
ça peux laisser supposer que travailler son équilibre sur support instable aide à perfectionner cette qualité pour un sport où l'équilibre et/ou la gestion de l'instabilité est central.
( en trail sur le sable, en appui sur une jambe en patinage artistique, en équilibre sur la pointe pour une danseuse ... )
2) c'est en réponse à ta réflexion, très pertinente je trouve : un pratiquant de slack line a de l'équilibre en slackline. et il n'en a pas forcément en roller ( ça c'est une théorie, je suis coach pro de roller, et je peux te dire que les pratiquants de slackline assurent souvent !)
Du coup je proposais un contre exemple : les pratiquant de squat (powerlifter par exemple) sont très bons en squat.pourtant ils ne courent pas forcément vite.
Beaucoup de sprinters font du squat pour développer de la force et à terme de l'explosivité, et pourtant chez eux ça participent à courir vite.
Enfin rien n'est tranché, je reste pour ma part sur un avis mitigé sur le travail en instabilité.
Bien sûr je respecte l'avis de chacun, ce qui m'intéresserait c'est d'avoir l'avis d'experts sur l'instabilité, mais je peine à trouver. as tu des pistes ?
merci pour ces échanges !
@@inlineboy7749 Merci pour ta réponse.
Je répondrai point par point
1. ce n’est pas le fait d’avoir travaillé sur des surfaces instables qui a un transfert sur une autre activité mais le fait d’être fort au niveau de tissus bien précis et à un niveau global. Mon argument est d’expliquer que le fait de travailler sur des surfaces instables n’est pas spécifique d’un point de vue intensité & tissus visés. Le fait d’être stable représente simplement le fait de pouvoir produire assez de force pour contrer une force opposée. Or on sait que de travailler sur des surfaces instables diminue de manière conséquente notre production de force, d’où mon argument initiale.
2. Si tu as vu un transfert d’une activité à une autre c’est parce que les personnes effectuant cette activité avait la capacité de produire assez de force pour contrer les forces opposées. Alors oui un athlète fort au niveau du complexe pied & cheville et autres sera fort également sur des rollers. Mais maintenant pose toi la question est-ce que l’inverse est vrai en tout temps? Est-ce que les athletes de rollers sont aussi fort et maitrise “l’équilibre” lorsqu’ils font du stackline? Est-ce que les athletes de roller ont de l’équilibre lorsqu’ils font un relevé de ballet ? Ou un high kick figé de taekwondo ? Il suffit d’UN contre exemple pour contredire la règle. Ce principe est un principe universel connu sous le SAID principle aka le principe de la spécificité. Lorsqu’un sport qui inclu plusieurs articulations et donc une coordination inter&intra musculaire particulière, seule le sport en lui même est spécifique pour travailler “l’équilibre” de ce dernier, qui le dit? Le principe de la spécificité! Pas moi! Donc le fait de travailler sur une surface instable, comme un bosu, au delà du manque de spécificité dans les variables de l’entraînement de force, n’a rien de spécifique avec le facteur instabilité du sport. C’est d’ailleurs pourquoi tous les enfants peuvent faire du rollers sans jamais n’avoir mis un pied sur un bosu.
3. Ton contre argument n’en est pas un, c’est plutôt un argument qui va en ma faveur et qui illustre le SAID principle. Ce n’est pas parce que les sprinters font des squats que les squats font courir plus vite, comme tu l’illustres. Faire du squat rend meilleur au squat! Maintenant pourquoi les athlètes, comme les sprinters, font des squats? Il n’y a rien de magique avec le squat, il n’est qu’un outil externe permettant de travailler sur sa force absolue et c’est cette dernière qui a un transfert sur nos activités respectives pas le squat (aka l’outil). Le problème de l’industrie est que l’on comprend les choses en surface au lieu de les comprendre fondamentalement.
Amitiés sportives
Le problème est que ta définition n'est pas complète, la proprioception est la sensibilité du système nerveux aux informations provenant des muscles des articulations et des os.
Si une part de cette faculté est inconsciente, elle peut également être travaillée pour être plus efficace.
Donc pour travailler la proprioception il faut stimuler le SNC par tous différents type de stimulis qui in fine permettra d'avoir un meilleur schéma corporel conscient et inconscient, la proprioception ne peut se limiter qu'à un seul type de travail donc aucun problème avec le travail de préparation physique que font les sportifs du Real Madrid ou autre.
C’est marrant que tu dises que « ma définition » est incomplète alors qu’ils s’agit de la définition donnée par le dictionnaire et non pas MA définition. Mais j’imagine que le dictionnaire a faux également et que le dictionnaire ne sait absolument pas de quoi il parle! Tout ça pour dire que dans cette définition il n’y a pas de subjectivité.
Quand je parle de faire de la force et du travail articulaire c’est bien entraîner le SNC. Tous les mécanorécepteurs les plus « importants » concernant l’activité du SNC se trouve dans la capsule articulaire, mais je n’ai pas le temps, en commentaire, de faire un cours d’anatomie. Je te laisse faire ta recherche.
Je viens de visionner la dernière vidéo de la fédération française de basket sur la prépa de l'équipe de France.. sur 2 min de vidéo on les voit la moitié du temps sur des surfaces instables travailler leur "proprioception" 😭
Peut être quils ne travaillent pas la proprioception mais ça travaille l'equilibre , ça renforce les chevilles etc... Il faudrait etre footballeur ou joueur de basketball pour comprendre l'utilité Des exercices
@@damanjones merci d'avoir pris le temps de répondre à mon commentaire pour partager ton point de vue. J'ai fait du basket pendant près de 20 ans et ce type de travail ne m'a pas empêché de me blesser régulièrement aux chevilles). Je t'invite à prendre le temps de regarder les récentes vidéos de Kévin qui explique très bien pourquoi travailler son équilibre sur ce type d'objet ne donne pas un meilleur équilibre dans l'activité (ici le basket). De plus le travail n'est pas assez intense sur ce type de surface.
Je pense que cela permet uniquement aux joueurs d'avoir confiance en leur corps de par leurs croyances (même si elles sont erronées malheureusement). Bref je ne suis pas un spécialiste mais je trouve ça dommage que des préparateurs à un aussi haut niveau ne se mettent pas à la page pour le bien et la carrière de ces excellents athlètes. ✌️
Perso j’arrivais même pas a marcher en 20 ans d’existence à cause du manque d’équilibre, et depuis mes entraînements avec des bozus j’arrive a être funambule !! Donc arrête de critiquer les meilleurs du monde stp reste à ta place et fais ce que l’école dit !!
😂😂😂 moi aussi je n’arrivais pas à marcher avant d’avoir mis un pied sur le BOSU lol
Comment ça du mal à marcher en 20 ans ???
Je pense que les termes "proprioception" "réactivité musculaire" et " équilibre" sont confondu dans ce débat, il faudrait déjà être d'accord sur le sens de ces mots ... la proprioception par exemple ce n'est pas que de la kinésthésie, cela englobe pour moi d'autres facteurs
@@Sams-kd3du Oulah