Retrouvez toutes nos formations maraichage (finançable VIVEA et/ou CPF) : formation.verdeterreprod.fr/pages/filiere-maraichage Plus de ressources sur la page Triple Performance dédié aux tomates sous couvert végétal : wiki.tripleperformance.fr/wiki/Tomates_sous_couvert_v%C3%A9g%C3%A9tal_en_MSV_:_r%C3%A9sultats_d%27essais_aux_Serres_de_Marcel_(27),_Francois_Mulet
Dommage pour le coup d'épée dans l'eau, mais si on reporte la progression en occultant la "chute", on voit bien que çà aurais du continuer de progresser... et puis on voit quand même pas mal de choses. et puis comme tu dis c'est normal de faire des erreurs... En tout cas la démarche est formidable, les réponses soulèvent de nouvelles questions mais quand on dézoome un peu on comprend les que tout se passe bien avec 1 MO, ce qui conforte la méthode 5cm par an, après çà reste aussi à voir sur le long terme, peut être qu'avec le temps çà se bonifie un peu comme une levure... et comme un apport en surface doit mettre au moins 4-5 ans à se dissoudre dans le sol... Et même qu' on dirait que çà raconte que peut être un peu moins c'est bien aussi, peut être tester aussi à 2.5cm 😅... De mon côté je teste, le 1 MO, à l'échelle de mon jardin sur sol sablolimoneux, sur du sable de grès, où poussent pas mal de rosacées (aubépines, pruneliers, églantiers, vesce, berce, rumex, graminées.) 8m² de fumier frais sous bâche et 8m² sous 5cm de mélange BRF/compost de 2 ans/fumier frais, depuis début septembre, çà à réveillé la population du sol, y a la moitié du volume qui a disparu, et 2/3 sous bâche, le sol s'est aéré et il s'est assombri sur au moins 5 cm de profondeur. y a du turricule partout sur les planches! Tout çà pour dire qu'entre permaculture et MSV, on suit à fond la recherche sur le Vivant. Mille fois merci pour tout ce que vous faites, courage, on va finir par apprendre à savoir cultiver en accompagnant le cercle vertueux de la nature. 🪱🐜🐞🪲🐛🦋🕸🌳🍀🌾🍃🪱
Hyper instructif et intéressant, merci beaucoup pour ce travail pionnier, on sent vraiment qu’on avance ! Ce qui m’a manqué, peut être une suggestion pour 2024 : faire des suivis de rendement en fruits, quantitatif et qualitatifs (taux de nitrates, brix, saveur, état sanitaire, conservation…) Car avoir des lianes qui croissent en longueur et diamètre et font des feuilles en bonne santé, on sent bien que c’est la base pour une production de fruits, mais par exemple : Les ordres de grandeur de réduction de croissance observés sur les modalités avec couverts, comment se traduisent-ils dans la production de tomates, qui reste l’objectif principal de la culture ?
Un grand merci pour ce retour attendu et très enrichissant ! Une question me vient à l'esprit, les analyses se concentrent sur la plante et le sol, quand est-il des valeurs nutritionnelles et qualitatives des tomates sous couvert vs MO (avec excès de nitrates) ?
Je vous conseille les travaux et conseils de Johanna Villenave-Chasset pour toutes les questions autour de la biodiversité fonctionnelle. Merci pour votre travail, votre énergie et le temps consacré à ces retours précieux.
Video d'un intérêt majeur ! Avez-vous également fait un suivi des récoltes sur les différentes modalités ? Des analyses de Brix ou passage au food scanner pour voir les différences ? C'est peut être une partie des travaux pour 2024 :) Petite remarque concernant les mycorhizes et leur faible retour dans les cultures. Les travaux de Marc André Selosse notamment témoignent que ectomycorhizes et endomycorhizes pour ce qui nous intéresse ici ont du mal à s'installer quand les plantes sont fortement alimentées en phosphore. Cet élément a peu été évoqué ici mais on sait que les rations de MO sont équilibrées et apportent en plus de l'azote des rations pour les autres éléments minéraux. Il est possible que les plantes ne répondent pas au stimulis des mycorhizes pour cette raison, qu'en pensez-vous ?
Je regrette de ne pas avoir les compétences nécessaires pour vous aider à démêler tout ça. Je suis certain que des ingénieurs vont venir vers vous pour collaborer à de merveilleuses découvertes.
Bonjour, je me souviens du questionnement concernant la consommation de chlore par la plante, et j'ai farfouillé un peu sur le web pour voir, et il semblerai qu'il y ait une piste à creuser du côté de la photosynthèse, principalement. Et c'est marrant parceque au départ je savais que la chlorophylle sert a faire la photosynthèse, et je me suis demandé si le therme chlore ne faisait pas partie de la racine du mot.... Et en faite je suis pas certain que ce soit le cas ...bref. Voici ce que j'ai pu trouver, ca reste a confirmer, mais il semblerait que : Le chlore est un élément essentiel pour les plantes car il participe à plusieurs processus biologiques, notamment la photosynthèse, la régulation de l'ouverture et de la fermeture des stomates, et la synthèse des protéines. Les plantes n'ont pas besoin de grandes quantités de chlore, mais elles en utilisent régulièrement. Les plantes peuvent absorber le chlore présent dans le sol par leurs racines. De plus, une petite quantité de chlore peut également être absorbée par les feuilles à partir de l'air ambiant. le chlore est considéré comme un micronutriment, ce qui signifie que les plantes n'ont besoin que de petites quantités par rapport aux macronutriments tels que l'azote, le phosphore et le potassium. Une concentration de chlore dans le sol d'environ 1 à 2 parties par million (ppm) est souvent considérée comme adéquate pour de nombreuses cultures le chlore est souvent présent dans le sol sous forme d'ions chlorure (Cl-), qui peuvent être mobiles dans le sol et peuvent être lessivés. À développer ou pas voilà 😉
Vraiment très instructif, merci pour ce retour d'expériences 👍 Pour l'irrigation, pourquoi pas tester les ollas/oyas ? On peut les fabriquer pour pas cher, automatiser le remplissage sans trop de difficulté et ainsi faire des économies en eau.
Bonjour à tous, merci pour vos recherches dans le sens du, vivant.... et la perturbation des couverts posés au sol et le cycle de l'eau observé en syntropie ne modifierait pas vos taux de nitrates et d'hydratation du sol ?
Concernant la mesure de la perte de luminosité au pied de la culture, il faut aussi tenir compte de la nature physique de la lumière. La loi du carré inverse stipule en effet que la puissance de la lumière diminue de manière inversement proportionnelle au carré de la distance entre la source lumineuse et le sujet. Bref, couvert végétal ou pas, plus on s'éloigne de la source, moins il y a de lumière.
Le plus probable PH et conductivité une gouttes de liquide de papier pH et une goutte conductimetre Pour l’azote et le différente forme analyse IR avec les bonnes basses de données et courbes étalonnages cela se fait Pour les minéraux je te dirais un analyse élémentaire FX ( l’erreur est énorme par contre) Pour 20€ cela est déjà beaucoup La minéralisation pour du multielements tu devrais être vers 150€/200€ après avec la bonne machine et peu d’humain cela peut passer à 20€ Je suis chimiste organicien ( donc je paie et fait des analyses)
Bonjour,quel progrès depuis 15 ans,on vas peut-ètre moins passer pour des ?????(utopiste,çela ne marchera jamais,tu te crois plus malin etc)'comme tojours du très bon boulot,pourrais-tu nous donner les dosages à l'ha de tes engrais verts?Kénavo avéchal.
À 5 minutes ça parle d'outil pas cher pour mesurer la performance du protocole. Du coup comme préconisé par le même intervenant il faut avant tout mesurer la qualité nutritionnelle du produit fini. Et là "banger" il y a le FOOD SCANNER ! La boucle est bouclée. Mulet c'était quasi mon héros y'a presque 10 ans et je me rends compte depuis quelques années qu'il recherche son retour sur investissement façon Ponzi. Y'a des parcelles de vérité dans tout ça mais n'allez pas tout miser sur ce qui est promis, surtout payer une formation alors que tout est dit.
C'est quand même ballot de pousser les tests à ce point là, mais de partir d'une base de F1 à port déterminé surtout... Forcément les résultats vont très peu varier d'un rang à l'autre, enfin je ne suis pas expert hein, juste je trouve ça limitant et un peu couillon 😅
En conditions de sol très riche, les plantes ont peu intérêt à investir dans une symbiose mycorhizienne. Ça risque de ne jamais revenir, faute d'une utilité suffisante.
100T par hectare pour inoculer de la matière organique et obtenir ensuite une autonomie quasi-totale voir totale. Oui, restaurer des sols dégradés par l'activité humaine pendant des décennies, cela demande du travail et des resources, surtout si on est agriculteur et que l'on doit produire vite et en quantité pour survivre. Et donc quelle autre alternative ? Par ce que à ma connaissance l'agronomie conventionnelle est bien plus consomatrice en resources et en énergie, et cela indéfiniment. Il s'agit ici de relancer les mécanismes naturels. Difficile donc de battre leur efficacité. Je ne sais pas ce qui vous a déçu chez François Mullet, et personnellemment je ne le connais pas si ce n'est à travers ses vidéos, mais je trouve son travail et celui de son équipe plutôt rigoureux. D'autant plus lorsque l'on met en parallèle les budgets et les équipes des laboratoires agroindustriels qui n'ont eu cesse de détruire notre patrimoine agricole et intellectuel.
Retrouvez toutes nos formations maraichage (finançable VIVEA et/ou CPF) : formation.verdeterreprod.fr/pages/filiere-maraichage
Plus de ressources sur la page Triple Performance dédié aux tomates sous couvert végétal : wiki.tripleperformance.fr/wiki/Tomates_sous_couvert_v%C3%A9g%C3%A9tal_en_MSV_:_r%C3%A9sultats_d%27essais_aux_Serres_de_Marcel_(27),_Francois_Mulet
Ça c’est du retour d’expérience!!
Un immense merci!!
Dommage pour le coup d'épée dans l'eau, mais si on reporte la progression en occultant la "chute", on voit bien que çà aurais du continuer de progresser... et puis on voit quand même pas mal de choses. et puis comme tu dis c'est normal de faire des erreurs...
En tout cas la démarche est formidable, les réponses soulèvent de nouvelles questions mais quand on dézoome un peu on comprend les que tout se passe bien avec 1 MO, ce qui conforte la méthode 5cm par an, après çà reste aussi à voir sur le long terme, peut être qu'avec le temps çà se bonifie un peu comme une levure... et comme un apport en surface doit mettre au moins 4-5 ans à se dissoudre dans le sol...
Et même qu' on dirait que çà raconte que peut être un peu moins c'est bien aussi, peut être tester aussi à 2.5cm 😅...
De mon côté je teste, le 1 MO, à l'échelle de mon jardin sur sol sablolimoneux, sur du sable de grès, où poussent pas mal de rosacées (aubépines, pruneliers, églantiers, vesce, berce, rumex, graminées.) 8m² de fumier frais sous bâche et 8m² sous 5cm de mélange BRF/compost de 2 ans/fumier frais, depuis début septembre, çà à réveillé la population du sol, y a la moitié du volume qui a disparu, et 2/3 sous bâche, le sol s'est aéré et il s'est assombri sur au moins 5 cm de profondeur. y a du turricule partout sur les planches!
Tout çà pour dire qu'entre permaculture et MSV, on suit à fond la recherche sur le Vivant. Mille fois merci pour tout ce que vous faites, courage, on va finir par apprendre à savoir cultiver en accompagnant le cercle vertueux de la nature. 🪱🐜🐞🪲🐛🦋🕸🌳🍀🌾🍃🪱
Hyper instructif et intéressant, merci beaucoup pour ce travail pionnier, on sent vraiment qu’on avance !
Ce qui m’a manqué, peut être une suggestion pour 2024 : faire des suivis de rendement en fruits, quantitatif et qualitatifs (taux de nitrates, brix, saveur, état sanitaire, conservation…)
Car avoir des lianes qui croissent en longueur et diamètre et font des feuilles en bonne santé, on sent bien que c’est la base pour une production de fruits, mais par exemple :
Les ordres de grandeur de réduction de croissance observés sur les modalités avec couverts, comment se traduisent-ils dans la production de tomates, qui reste l’objectif principal de la culture ?
Un grand merci pour ce retour attendu et très enrichissant !
Une question me vient à l'esprit, les analyses se concentrent sur la plante et le sol, quand est-il des valeurs nutritionnelles et qualitatives des tomates sous couvert vs MO (avec excès de nitrates) ?
complètement d'accord. On produit de la nourriture, des calories du coup ce paramètre est central.
Merci pour ces retours d’essais gratuit. Hâte de suivre les suites 🌱😉
Très instructif. Merci Pierre de cette vidéo. On perçoit bien ton implication 👍👏
Je vous conseille les travaux et conseils de Johanna Villenave-Chasset pour toutes les questions autour de la biodiversité fonctionnelle.
Merci pour votre travail, votre énergie et le temps consacré à ces retours précieux.
👍
Le stagiaire future ministre 🎉
Et pourquoi pas😂
Ce serait super mais proximité de réalité : se dirige plutôt vers des voies non viciées.
Vraiment très bon travail !
J'adore cette série. Merci pour ce retour
Video d'un intérêt majeur ! Avez-vous également fait un suivi des récoltes sur les différentes modalités ? Des analyses de Brix ou passage au food scanner pour voir les différences ? C'est peut être une partie des travaux pour 2024 :)
Petite remarque concernant les mycorhizes et leur faible retour dans les cultures. Les travaux de Marc André Selosse notamment témoignent que ectomycorhizes et endomycorhizes pour ce qui nous intéresse ici ont du mal à s'installer quand les plantes sont fortement alimentées en phosphore. Cet élément a peu été évoqué ici mais on sait que les rations de MO sont équilibrées et apportent en plus de l'azote des rations pour les autres éléments minéraux. Il est possible que les plantes ne répondent pas au stimulis des mycorhizes pour cette raison, qu'en pensez-vous ?
Je regrette de ne pas avoir les compétences nécessaires pour vous aider à démêler tout ça. Je suis certain que des ingénieurs vont venir vers vous pour collaborer à de merveilleuses découvertes.
Bonjour, je me souviens du questionnement concernant la consommation de chlore par la plante, et j'ai farfouillé un peu sur le web pour voir, et il semblerai qu'il y ait une piste à creuser du côté de la photosynthèse, principalement. Et c'est marrant parceque au départ je savais que la chlorophylle sert a faire la photosynthèse, et je me suis demandé si le therme chlore ne faisait pas partie de la racine du mot.... Et en faite je suis pas certain que ce soit le cas ...bref.
Voici ce que j'ai pu trouver, ca reste a confirmer, mais il semblerait que :
Le chlore est un élément essentiel pour les plantes car il participe à plusieurs processus biologiques, notamment la photosynthèse, la régulation de l'ouverture et de la fermeture des stomates, et la synthèse des protéines. Les plantes n'ont pas besoin de grandes quantités de chlore, mais elles en utilisent régulièrement. Les plantes peuvent absorber le chlore présent dans le sol par leurs racines. De plus, une petite quantité de chlore peut également être absorbée par les feuilles à partir de l'air ambiant.
le chlore est considéré comme un micronutriment, ce qui signifie que les plantes n'ont besoin que de petites quantités par rapport aux macronutriments tels que l'azote, le phosphore et le potassium. Une concentration de chlore dans le sol d'environ 1 à 2 parties par million (ppm) est souvent considérée comme adéquate pour de nombreuses cultures
le chlore est souvent présent dans le sol sous forme d'ions chlorure (Cl-), qui peuvent être mobiles dans le sol et peuvent être lessivés.
À développer ou pas voilà 😉
Vraiment très instructif, merci pour ce retour d'expériences 👍
Pour l'irrigation, pourquoi pas tester les ollas/oyas ? On peut les fabriquer pour pas cher, automatiser le remplissage sans trop de difficulté et ainsi faire des économies en eau.
Bonjour, merci pour cette excellente analyse. Concernant le chlore, je me demande si cela est dû à un arrosage avec de l'eau du réseau?
quel boulot ! bravo c etait passionant
Bonjour à tous, merci pour vos recherches dans le sens du, vivant....
et la perturbation des couverts posés au sol et le cycle de l'eau observé en syntropie ne modifierait pas vos taux de nitrates et d'hydratation du sol ?
Merci
super inintéressant après je suis pas le bon public je fais du potager en ville. Mais merci c'est très instructif.
Merci pour tout.,
excellents travaux
Concernant la mesure de la perte de luminosité au pied de la culture, il faut aussi tenir compte de la nature physique de la lumière. La loi du carré inverse stipule en effet que la puissance de la lumière diminue de manière inversement proportionnelle au carré de la distance entre la source lumineuse et le sujet. Bref, couvert végétal ou pas, plus on s'éloigne de la source, moins il y a de lumière.
Le plus probable
PH et conductivité une gouttes de liquide de papier pH et une goutte conductimetre
Pour l’azote et le différente forme analyse IR avec les bonnes basses de données et courbes étalonnages cela se fait
Pour les minéraux je te dirais un analyse élémentaire FX ( l’erreur est énorme par contre)
Pour 20€ cela est déjà beaucoup
La minéralisation pour du multielements tu devrais être vers 150€/200€ après avec la bonne machine et peu d’humain cela peut passer à 20€
Je suis chimiste organicien ( donc je paie et fait des analyses)
Bonjour,quel progrès depuis 15 ans,on vas peut-ètre moins passer pour des ?????(utopiste,çela ne marchera jamais,tu te crois plus malin etc)'comme tojours du très bon boulot,pourrais-tu nous donner les dosages à l'ha de tes engrais verts?Kénavo avéchal.
tres pedagogique , ca encourage a adhere a cette pratique de conservation du sol
À 5 minutes ça parle d'outil pas cher pour mesurer la performance du protocole.
Du coup comme préconisé par le même intervenant il faut avant tout mesurer la qualité nutritionnelle du produit fini.
Et là "banger" il y a le FOOD SCANNER !
La boucle est bouclée.
Mulet c'était quasi mon héros y'a presque 10 ans et je me rends compte depuis quelques années qu'il recherche son retour sur investissement façon Ponzi.
Y'a des parcelles de vérité dans tout ça mais n'allez pas tout miser sur ce qui est promis, surtout payer une formation alors que tout est dit.
👍👍👍
C'est quand même ballot de pousser les tests à ce point là, mais de partir d'une base de F1 à port déterminé surtout... Forcément les résultats vont très peu varier d'un rang à l'autre, enfin je ne suis pas expert hein, juste je trouve ça limitant et un peu couillon 😅
En conditions de sol très riche, les plantes ont peu intérêt à investir dans une symbiose mycorhizienne. Ça risque de ne jamais revenir, faute d'une utilité suffisante.
100T par hectare ? Mais c'est qui qu'on déshabille pour habiller l'autre ?
Ça rend fou se genre de raisonnement.
100T par hectare pour inoculer de la matière organique et obtenir ensuite une autonomie quasi-totale voir totale. Oui, restaurer des sols dégradés par l'activité humaine pendant des décennies, cela demande du travail et des resources, surtout si on est agriculteur et que l'on doit produire vite et en quantité pour survivre.
Et donc quelle autre alternative ? Par ce que à ma connaissance l'agronomie conventionnelle est bien plus consomatrice en resources et en énergie, et cela indéfiniment. Il s'agit ici de relancer les mécanismes naturels. Difficile donc de battre leur efficacité.
Je ne sais pas ce qui vous a déçu chez François Mullet, et personnellemment je ne le connais pas si ce n'est à travers ses vidéos, mais je trouve son travail et celui de son équipe plutôt rigoureux. D'autant plus lorsque l'on met en parallèle les budgets et les équipes des laboratoires agroindustriels qui n'ont eu cesse de détruire notre patrimoine agricole et intellectuel.
Merci 👍