On a le même âge. J'ai l'impression que tous le monde subit un trauma avant 45-50 ans. On doit faire en sorte que ce soit pas irréversible. Elle a eu cette chance. J'ai demandé un test d'effort à 45 ans. Mais il a fallu que je le demande et que j'insiste. D'autres pathologies sont asymptomatiques et on ne peut pas scanner tous le corps. Quelqu'un a découvert après 70 ans qu'il avait deux vertèbres cervicales collées suite à un torticoli et une radio. Et on peut avoir un ménisque du genou partiellement fissuré ou un ligament du poignée arraché sans le savoir. La problématique du coeur est devenu encore plus importante depuis la crise sanitaire. Les artères des gens ont l'air d'être plus enflammées. Et on ne fait pas le test D-dimères pour avoir une idée de cette inflammation qui pourrait avoir un impact sur la manière de s'entraîner. Comme on n'a pas cette donnée et l'échographie, on devrait rester sous les 80-85 % de la FC max par précaution. Mais un sportif veut du 100 %. À mon avis, on est loin de la perfection pour ce qui est de la prévention des blessures et des risques cardiovasculaires dans le fitness et le coaching sportif. Mais je ne veux pas non plus exagerer. J'ai juste une impression qui me semble de plus en plus être une certitude. Les preuves et les témoignages s'accumulent au fil du temps.
On a le même âge. J'ai l'impression que tous le monde subit un trauma avant 45-50 ans. On doit faire en sorte que ce soit pas irréversible. Elle a eu cette chance. J'ai demandé un test d'effort à 45 ans. Mais il a fallu que je le demande et que j'insiste. D'autres pathologies sont asymptomatiques et on ne peut pas scanner tous le corps. Quelqu'un a découvert après 70 ans qu'il avait deux vertèbres cervicales collées suite à un torticoli et une radio. Et on peut avoir un ménisque du genou partiellement fissuré ou un ligament du poignée arraché sans le savoir. La problématique du coeur est devenu encore plus importante depuis la crise sanitaire. Les artères des gens ont l'air d'être plus enflammées. Et on ne fait pas le test D-dimères pour avoir une idée de cette inflammation qui pourrait avoir un impact sur la manière de s'entraîner. Comme on n'a pas cette donnée et l'échographie, on devrait rester sous les 80-85 % de la FC max par précaution. Mais un sportif veut du 100 %. À mon avis, on est loin de la perfection pour ce qui est de la prévention des blessures et des risques cardiovasculaires dans le fitness et le coaching sportif. Mais je ne veux pas non plus exagerer. J'ai juste une impression qui me semble de plus en plus être une certitude. Les preuves et les témoignages s'accumulent au fil du temps.