JACK BURTON - DOIGT DANS LE CULTE
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- Опубликовано: 10 сен 2024
- A l'occasion de la petite ressortie des AVENTURES DE JACK BURTON DANS LES GRIFFES DU MANDARIN, on revient sur le film de John Carpenter dans un DOIGT DANS LE CULTE spécial en vidéo !
Image et montage : Thomas Lacombe et Clémentine Isaac
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J’adore Kurt Russell dedans, il me fait trop rire.
Ce rôle lui va à la perfection
All is in the reflex!
Très bonne présentation, naturel et tout. Merci pour ce moment.
La coupe finale pile-poil au bon moment :)
Peut-être mon Carpenter préféré, avec ce coté complètement foutraque qui donne une impression d'un monde ultra vivant au delà même de ce qui arrive à Jack Burton. Mise en scène qui serait impossible à réalisé aujourd'hui, tant les décideurs aplanirait tout çà pour que ce soit digeste.
Avec ny 97 c est mon jc préféré
Jack burton au final c est le sidekick sympa, bien bourru, pas très efficace mais sur qui on peut toujours compter et n hésite pas à y aller quand faut y aller. Et puis de toute façon, tout n est qu une question de réflexe !
Classique éternel du cinéma, hyper novateur et incompris, comme dhab, il a été sauvé, Réhabilité par la vidéo. Un des premiers Carpenter que j'ai vu et l'un des plus optimistes aussi, malgré un regard doux amer sur la diaspora chinoise aux Usa. C'est pas du Ingmar Bergman, mais c'est du grand cinéma quand même, croyez le ou non.
C'est sûr que ça méritait un Jack Burton 2😃
J’aurais adoré
Bof. Je respecte ton avis, mais perso, je ne vois pas l'intérêt d'une suite tardive.
Jack burton, je le considère juste comme un bon nanar.
Perso, y a strictement rien que j’ai trouvé drôle et bizarrement, y a aucune critiques qui parlent du nombre hallucinant de répliques racistes. Ni du fait que le méchant soit une véritable caricature sortie tout droit du péril jaune.
J’avais entendu parlé de se film comme un classique, effectivement, mais aussi comme une comédie d’action et de SF (autant dire mes styles favoris), mais je me suis juste retrouvée devant un film lourdeau, extrêmement lent, pas drôle pour un sous (et pourtant, j’ai persévéré jusqu’à la moitié en me disant que c’était juste le début), mais surtout ce qui a fini par me faire lâcher, c’est la quantité hallucinant de répliques racistes et anti-asiatique. Même si je me suis bien rendue compte que les personnages asiatiques étaient traités au même niveau que les américains, voir même de faire du pote de Burton, le véritable héros de l’histoire.
Franchement, je ne comprends pas du tout qu’on puisse qualifier se film de « culte », alors que j’ai plus l’impression que les gens se basent plus sur le fait que ce soit Carpenter derrière.
Pour ma part, je déconseille le film.
C’est juste une perte de temps, lourde et chiant comme la mort avec tellement de ridicule que ça en devient affligeant…
Dans ce cas, regardez la deuxième moitié pour vous faire un avis. Ça part dans des délires très revigorants
Le film est tout sauf raciste, si vous le regardez avec les filtres actuels oui il risque de vous faire tousser. Mais il se moque ouvertement de l'américain lambda et de ses préjugés, le personnage féminin principal est aussi déphasé par rapport à l'action que son homologue masculin. Les dialogues des personnages chinois reflètent très bien comment cette communauté utilise ces mêmes préjugés à son avantage et s'en défend. Il rend hommage au cinéma fantastique chinois des années 70-80 avec le même genre de délires de carton pâtes et de méchants très méchants avec de longues barbes filasses. L'humour populaire chinois de cinéma est très bien rendu, c'est pas le plus subtil, loin de là, beaucoup de comique de situation, assez graveleux, pipi caca prout. Il rend très bien l'ambiance des quartiers d'immigration chinoise ou même de Chine même (allez faire un tour chez Tang le matin avenue de Choisy dans le 13e, assistez aux défilés du nouvel an, visitez les quartiers populaires de Shanghai, visitez une officine de médecine traditionnelle...). C'est quand même un film où un asiatique séduit une blanche et dans le début des années 80 fallait oser même si ce sont des personnages secondaires. Le vrai héros dans le sens hollywoodien, c'est un asiatique. On pourra rappeler le sale coup fait par Hollywood à Bruce Lee avec la série kung-fu pour illustrer ce point. Si vous voulez du racisme asiatique, regardez Diamants sur canapé (1962) et le rôle du voisin japonais, une superbe yellow face de Mickey Rooney
Là où je ne rejoins pas la critique c'est que si Jack reste un beauf, il n'est pas si inutile que cela, il a des moments où il est déterminant, il est courageux et fidèle à son ami dont il est au final le sidekick comique. Egg Shen a raison de dire au début qu'ils lui doivent beaucoup