Étienne Klein - Appréhender la mort
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- Опубликовано: 7 фев 2025
- Etienne Klein souligne ici que les atomes qui constituent notre corps sont les mêmes, que nous soyons vivants ou morts. Par ailleurs les cellules de notre corps se renouvellent sans cesse alors que nous restons nous-mêmes. La question est de savoir pourquoi des molécules qui participaient à la vie de notre corps subitement lorsque nous mourons perdent cette fonction et ne « fabriquent » plus la vie.
Pour rendre compte de ce fait, il fait l’analogie avec les neutrons dont la durée de vie n’excède pas un quart d’heure et qui pourtant sont toujours présents de nos jours alors qu’ils ont été créés il y a des milliards d’années.
Au niveau scientifique la mort est un problème qui n’est toujours pas résolu.
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Bonjour et Merci a Vous Mr Klein...Etant Devenue Spirituelle en ayant Recue la Gràce de DIEU....J'ai Compris le Grand Mystère de la Mort...et Cela en Ayant fait en Nous un Grand Travail de Purification de Milliers d'Heures de Travail...et dans de Grandes Epreuves !!! Car, avant de Bien Vivre, Vous avons le Devoir de Bien Mourir , en Détruisant notre Mental !!!Car, L'Esprit en traversant chaque Cellule de Notre Corps, Passe a travers la Cellule Morte et lui Redonne la Vraie Vie de l' Ame qui Appartient a DIEU ...L'Esprit Incarné Rends notre Corps Spirituel !!! et L' Ame Guèrit le Corps !!!Je ne suis qu'une toute puce, sans instruction, Mais j'ai Compris cela !!! etc etc etc avec un Maitre Intérieur...Amen...Nicole.
Et les koalas dans tout ça ?
Encore génial...merci Docteur
c'était incroyablement captivant et intéressant, merci !
Cela est vrai, j ai vécu vers 1860 assassiné par un mec que l on m'a fait rencontrer dans cette vie comme mon guide me l'avez dit Je suis réincarné dans cette vie
Le remplacement des pièces qui nous constituent ne nous change pas. C'est peut être aussi comme cela après : le remplacement de la vie par la mort ne nous changerait pas. Ce que nous sommes continuant d'être ce que nous sommes une fois libéré(e) de l'étreinte de nos corps ? Mais à la différence près que cela se fera sans voir, sans toucher ... les sens n'ayant plus de récepteurs adéquats pour être excités. La transformation me donne à penser à un rythme nycthéméral : jour + jour = vie / jour + nuit = mort / nuit + nuit = mort / nuit + jour = vie, etc. La difficulté de revenir d'une transition jour+nuit ou nuit+nuit ne s'opère qu'à condition de sauter une étape, et de prendre place à la fin de la mort. Enfin, il me semble qu'une graine, de l'eau, de la terre et du soleil ne suffisent pas à donner la vie. Il faut une variable additionnelle, un champ morphique. On rapporte de Lacan : "Monsieur, vous croyez que nous allons mourir ?" et lui de répondre : "Vous avez raison de croire"
La mort de nos parents....difficile...mais encore merci à certains médecins qui comprennent qu une petite dose supplémentaire de morphine pouvait abreger des souffrances inutiles...sachant que l euthanasie est encore interdite en France....
La vie n'est qu'un souvenir de la Mort, où bien l'inverse.....
La mort clinique correspond à une brève période d'inconscience causée par un apport sanguin insuffisant au cerveau dû à une mauvaise circulation sanguine, à une insuffisance respiratoire, ou aux deux. On parle de mort clinique lorsque les tests cliniques effectués - et répétés plusieurs fois - pour vérifier la mort d'une personne montrent que, simultanément, le patient n'a plus d'activité musculaire spontanée, n'a plus de réflexe - pas de réaction à la douleur par exemple - et ne respire plus17.
En fait, il n'existe pas de définition scientifique de la mort (passage de la vie à la mort), ni de la mort cérébrale. Il s'agit de définitions médico-légales (juridiques) dans le cadre d'un consensus socio-culturel. La mort cardio-respiratoire diagnostiquée par le médecin isolé a été supplantée par la mort cérébrale diagnostiquée par une équipe hospitalière avec plateau technique. Cette évolution s'est faite dans la perspective (pour les besoins de) de la transplantation. Mais le problème n'est pas résolu pour autant : les critères actuels de la mort cérébrale peuvent encore évoluer. Par exemple mort de structures particulières cérébrales (diagnostiquée par de nouveaux moyens techniques), ou tout au contraire retour à la mort cardio-respiratoire
fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_mort_imminente
La mort est due à un transfert d’énergie ; soit brutal (ex: trauma balistique , caricatural ) , soit lent (ex: prolifération tumorale ,caricaturale aussi mais inverse de la précédente en cinétique seulement) . Mais dans tous les cas , elle résulte d ’un transfert d’énergie "defavorable" à l’organisme entier qui le subit , "algebriquement de signe variable ", un peu comme certaines fonctions thermodynamiques..Il peut y avoir des causes macroscopique apparentes , mais ce n’est pas le mécanisme fondamental commun. Tout repose sur la rupture d’équilibre énergétique irréversible, une sorte d’entropie inarretable..
Il faut arrêter la moquette par contre 😂
la mort c’est la vie!
Entre la naissance et la mort, la physique ( mesure une période T de l'onde ( ou de l' énergie). La naissance et la mort seraientt les deux points d'une des alternances positives de la courbe.
Ce qui intrigue un peu c'est l'existence
d' alternances negatives dans la courbe. Quelles explications peut-on supposer ou imaginer pour tenter de comprendre cette alternance negative ? Est-elle dans la période de l' anti-vie où se préparerait la resurection? La réincarnation ?...
Est-ce là que subsiste le néant ?
Sinon, la mort ne serait-elle donc qu'un point nul de la courbe? Le point de la naissance et le point de la mort ne seraient-il pas carrément les deux repères de notre ignorance totale?
@ Etienne Klein - A Partir du Néant
A priori, il serait logique qu’il n’y ait rien plutôt que quelque chose puisque rien ne saurait émerger du néant sans aboutir à une aporie.
Or, nous existons en ayant l’idée du néant.
Dès lors, la question de la conception du néant s’impose.
Concevoir le néant par l’esprit, c’est annihiler de façon récursive toute chose présente à soi.
Mais au paroxysme d’un tel processus, quelle que soit la réalité de départ, il faudrait malgré tout qu’il restât l'inconscience, cette métaphore sensible du néant que seule la mort inspire dont il faudrait encore juger.
L’être doué de conscience correspondrait ainsi à l’acmé d’un processus d’annihilation perpétuel dont l’unique reliquat possible, en l'absence de concept plus fondamental qu'être, serait jamais que l’ignorance d’être soi.
Car l’inconscience ne saurait être annihilée de manière antithétique que par la conscience, la mort par la vie, de sorte que pour tout réduire à néant jusqu’à l’ignorance d’être soi, il faille enfin toujours créer paradoxalement.
L’impression du Temps qui passe en serait ainsi la manifestation la plus évidente puisqu’une succession d’instants recèle l’idée d’annihilation de ce qui est présent ; faisant ainsi de l’annihilation, le moteur du Temps.
Le néant ne saurait donc constituer l’aporie d’un milieu ontologisant mais plutôt l’évocation sensible de l’inconscience que seule la mort inspire.
Car sans conscience, au diable l’éternité puisque cela équivaudrait alors à n’être pas de sorte qu’aucune différence sensible ne pourrait jamais être mise en évidence entre un tel état et le néant.
Bravo vous pratiquez l’art du sophisme avec excellence alors que la consistance de vos propos a trait au néant...
@@TheLeodu26 La mort est simplement l'évocation sensible du néant. Aucun sophisme.
He aquí una visión colonialista de la muerte, kein ignora completamente la sabiduría del budismo y se pone a hablar como un sabio Universalista de lo que es la muerte...su egocentrismo es el de su cultura
Il est la en temps que scientifique, et meme en temps que Physicien. Il a raison de parler de ses compétences. Il laisse les Bouddhismes aux Bouddhistes et meme, par éthique, la biologie aux biologues. Je ne vois pas le rapport avec le colonialisme. Je vois là un bien honnete homme.
@@matthieudemaximycombe7980 encore la visión colonialista, eurocentrica del hombre europeo y de su ciencia mentirosa
Quelle pédagogie et clarté ! Merci !!
Qu'ait ce que la mort n'ait pas ... au fond.de
Je suggère la lecture du Catéchisme de l'Eglise Catholique
Je pense que cette remarque est inappropriée…
Ce qui relève des croyances, doit rester à la place qui est la sienne. La place des croyances