La semaine verte | L'industrie serricole en plein essor

Québec souhaite doubler la superficie de la culture en serre d'ici 5 ans et ainsi augmenter notre niveau d'autonomie alimentaire. Mais comment doit s'articuler ce développement et quels sont les enjeux auxquels fait face l'industrie serricole québécoise pour espérer réussir ce virage et se tailler une place de choix sur les tablettes et dans nos assiettes?
journaliste : France Beaudoin
réalisateur : Luc Rhéaume
#lasemaineverte

[@collinmayrand1]

Merci pour ce reportage! Quelle belle stratégie pour le Québec!

[@chantallachance4905]

On a pas le choix nous nous dirigeons vers une air glaciaire donc moins de mois pour cultiver en terre

[@korelly]

La prochaine étape serait de produire des fruits exotiques locaux au lieu de les importer de loin, avec les coûts de diesel que ça implique, plus les pénuries en eau qui sévissent par exemple en Californie. Ces investissements sont encourageants, contrairement à la vague de destruction de légumes qui a eu lieu quand le cannabis venait d'être légalisé et qu'il a été utilisé pour remplacer les cultures de légumes, pas assez payantes aux yeux des cultivateurs. Maintenant, il faut comprendre que si on cultive du pot, on ne peut pas s'en nourrir et on doit acheter nos légumes à l'étranger.

[@christianhamel4862]

L'autosuffisance locale, la meilleure solution à long terme pour la planète 🌏

[@slavoie1027]

Doubler la superficie des serres n'est vraiment pas assez. Il faut décupler.

[@hasanouardani8000]

pourquoi

[@eluzif250]

Parlons de la lumière que toute ces serres génèrent la nuit.

[@patrickandries7412]

« Above curtain » sur l'écran d'ordinateur ? Serres Toundra n'a pas de programme en français ?

[@chantallachance4905]

Ce que je suis déçu dans le reportage c’est de voir que des immigrants travailler
Une serre ça fonctionne 12 mois donc parfait pour des employés québécois
Comme les serres sont installé en région éloigné ça ne paye pas assez cher pour qu’un employé québécois puisse se payer une voiture
Combien de jeune d’ici ont terminé leur étude en agronomie et qui ne travaille pas dans le milieu à cause du problème de salaire, ??
moi j’en connais 2 et je trouve ça très ordinaire