"Hermite et les mystères de l'exponentielle" par François Charles

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  • Опубликовано: 22 окт 2024

Комментарии • 17

  • @brevnobia1238
    @brevnobia1238 Год назад +2

    très bon conférencier qui fait passer son enthousiasme

  • @MichelBriand
    @MichelBriand 2 года назад +1

    pi - pi = ?
    Il pourrait y avoir un gag :)
    Énorme !!!
    François Charles est très talentueux et a beaucoup d'humour !

  • @georgesmiley713
    @georgesmiley713 2 года назад +2

    Super exposé, merci beaucoup.

  • @marielizysurourcq
    @marielizysurourcq 2 года назад +1

    Les gens sont très troublés par le fait que 0, 999...=1 et les réponses apportées sont un peu maladroites car le vrai problème pour ces gens vient qu'ils distinguent les maths des nombres vus sur un plan scolaire AVANT les maths, avant le collège- lycée. Or, non, les nombres font effectivement intégralement partie d'un cadre mathématique donné, avec ses hypothèses et paradoxes par ex, et c'est vrai, comme il le dit, on pourrait tout à fait imaginer des maths aussi valides où 0,999... serait différent de 1 ou comme cela existe, qu'on puisse diviser par zéro. Et là, tout le ptit monde qui lit ce commentaire angoisse de savoir si tout ce qu'ils ont appris comme des certitudes à l'école n'en sont pas... ah ah ah

  • @dominiquehandelsman9333
    @dominiquehandelsman9333 2 года назад

    32: il ne s'agit pas ici de "rembourser" (le principal), mais de "payer" les intérêts.

  • @JeanSarfati
    @JeanSarfati Год назад

    Intéressante comparaison avec l'informatique (le numérique !) : voilà qu'un nombre "réel" est on ne peut plus irrrréel ! Car le nombre vraiment réel de l'informatique est discontinu... Pardon discret par opposition peut-être à indiscret ? Comprenez enfin qu'on est dans l'élite optère. Enfin quoi.

  • @diktakt1187
    @diktakt1187 7 месяцев назад

    41 30 Converge mais n 'atteint pas

  • @Igdrazil
    @Igdrazil 2 года назад +1

    Et pour finir sur l'analyse d'une dernière chimère emblématique, qui dépasse le cadre strict de la Science, des mathématiques en particulier, quand bien même là encore, on prétend très abusivement l'y confiner. Et c'est extrêmement grave pour le coup. Je veux parler justement de la si fameuse, et si méprisée en fait, "quadrature du cercle". Car il s’agit de rien de moins EN FAIT, que DU symbole métaphysique central par excellence. Pas du tout confinée en fait à aucune discipline, bien que nombreuses sont celles qui essaient de « voler la vieille génisse Europe »; la « Vieille Déesse ».
    Car la façon dont DES mathématiciens ont défini cette fameuse "Escalibure", ce fameux "Graal", cette "mission impossible", est foncièrement réductrice, incorrecte, vidée de son sens et de son essence.
    Il est très facile en effet de détruire en un instant toutes les soit disant "démonstrations" de sa soit disant "impossibilité". En donnant notamment la MOINDRE ÉPAISSEUR epsilon, aux traits de cette "figure". Car toute la problématique n'apparaît artificiellement QUE parce qu'on suppose l'épaisseur du cercle et du carré strictement NULLE.
    Or ceci viole totalement l'esprit et l'essence même de ce qu'est la "quadrature du cercle". Des mathématiciens ce sont en effet abusés eux-mêmes en édulcorant une chose, en la sortant de son contexte, en la réduisant à ce qu'elle n'est pas, en usurpant son nom pour démontrer des choses sur un fantôme osseux qu'elle n'est justement PAS.
    Et ce n'est pas un "détail". Ce n'est pas du tout un "pinaillage", mais au contraire un problème métaphysique fondamental.
    Car ce que veut dire en effet la "quadrature du cercle", avant que des mathématiciens aveuglés ne s'emparent de son ombre sur le mur mal éclairé de la Caverne où ils sont emprisonnés et brodent aveuglément sur cette chimère, c'est que le monde est construit sur deux piliers, deux archétypes, dont le cercle et le carré sont deux emblèmes remarquables qui les symbolisent. C'est exactement ce que les anciens taoïstes de la dynastie Han nommèrent respectivement Yin et Yang.
    Mais le point fondamental n'est PAS leur existence séparée, mais précisément leur conjonction, leur "quadrature", leurs épousailles, leur fusion, leurs noces de Cana, etc... C'est le fameux "Solve ET Coagula" des alchimistes occidentaux du moyen âge, qui ne faisaient que de nommer a leur façon ce COUPLE DIVIN UNIVERSEL, pour ne pas le nommer!
    Et c'est là que le bas blesse et que toutes les idéologies, "religieuse" comme "scientifiques" explosent littéralement. Car ce principe trinitaire est indestructible et immortel. Rien ne pourra jamais le détruire ni l'enterrer, malgré les légions d'endormis qui s'y attelent!
    Et très concrètement, de supposer le carré sans épaisseur passe encore, même si cela contredit déjà l'essence même de ce que signifie cette Trinité complémentaire et COIMBRIQUÉE (du rond donc du charnel dans le carré) qu'est la "quadrature du cercle". Mais devient totalement illicite à propos du cercle, qui est précisément le symbole de ce qui n'a pas d'angle, de ce qui n'est pas osseux, de ce qui est charnel, épais, rond, dodu, etc...
    Et dans cette prise en compte INCONTOURNABLE de L'ÉPAISSEUR des traits de La Figure, qui n'est autre que celle du TaiJiTu (Le Grand Emblème, l'Emblème suprême) sous une forme similaire, essentiomorphe, toute soit disant "démonstration" d'une telle impossibilité explose et tombe en ruine, comme le troisième oeil de tout ceux qui s'étaient endormi au point d'oublier jusqu'à ce que signifie véritablement CE SYMBOLE CENTRAL DE LA VIE.
    La naissance de "l'Académie" a d’ailleurs coïncidé avec l'engloutissement de cette Atlantide cognitive et sapientiale. Il est plus que temps de revenir, des chimères à la Source, des ombres au Feu sacré, des myopes ligotés aux libres éveillés, des images virtuelles aux êtres animés, des apparences trompeuses à l'essence.
    Non, "l'existence" ne précède PAS l'Essence. Cette ineptie est le coeur du problème, du malaise et du mal. Toute figure, idée, représentation concrète ou abstraite de la "quadrature du cercle ", n'est pas cette quadrature elle-même, mais une REPRÉSENTATION, partielle et incomplète. Les mathématiciens ne devraient avoir aucune excuse d'ignorer cela, depuis Lagrange, Galois, Lie, Klein, Poincaré, etc...

  • @fodilmerakeb3959
    @fodilmerakeb3959 Год назад

    2,22222...+,00001. diff. / 0,0000000..1 + , 0,9999999..=1, claire. Bien : div. Euclidienne/ fractions continues: fraction des diamètres moyens. Et l'étude: (nbr transcendant) exposant(X) ; aires diff.( carré/ cercle): fraction continue.

  • @pierreforestier9916
    @pierreforestier9916 2 года назад

    Bernard l'Hermitte reste dans ta coquille

  • @savonliquide7677
    @savonliquide7677 2 года назад

    12min53 grosse coquille lol

  • @frsqsqsqsq7439
    @frsqsqsqsq7439 Год назад +1

    ques qu'elle a l’aire con avec sont marsk

    • @astazou1720
      @astazou1720 9 месяцев назад +1

      Et toi avec tes fautes d’orthographe…

  • @Igdrazil
    @Igdrazil 2 года назад

    L'exposé est intéressant mais essentiellement incomplet, et même fondamentalement mensonger sur plusieurs points cruciaux. Tout d'abord c'est toujours de fait, historiquement malhonnête de parler des Grecs, et pire de parler en leur nom pour prétendre pa exemple qu'ils démontraient que racine de deux est irrationnel. Ceci est on ne peut plus abusif et incorrect. Car il y a un jeux assez sournois sur les mots. Il y a en effet une différence potentiellement colossale entre NON RATIONNEL et "IRRATIONNEL". Les grecs démontraient la non rationalité de √2 sans ni donner une existence de "nombre", ni "d'irrationnel", à une telle magnitude, ni écrire ainsi sa magnitude par un symbole « racinaire » qui ne sera inventé qu'au temps d'Argan et de Viète.
    Euclide notamment est très clair. Ne mérite a leurs yeux le titre de "nombre" que les fractions, i.e. que les grandeurs mesurables, par leur commensurabilité à une unité, ou sous unité donnée. Clair, logique et imparable!
    Et par cette définition très claire, pi est par exemple parfaitement rationnel, tant qu'on le comesure relativement à lui-même ou a une fraction du périmètre du cercle unité. Idem pour racine de deux, des qu'on prend pour unité une fraction de la diagonale du triangle isocèle unité.
    Ceci montre déjà que la "rationalité" n'est pas un concept absolu mais relatif au point de vu référentiel dans lequel on se place.
    La notion clé que les Grecs utilisaient avec sagesse, pertinence, rigueur et profondeur, était donc judicieusement la COMMENSURABILITÉ.
    Ils ne disaient donc pas du tout que pi ou racine de deux étaient irrationnels, mais qu'ils n'étaient pas COMMENSURABLES au diamètre pour le premier, et aux deux autres côtes de l'isocèle pour le second. Ce qui est extrêmement différent.
    Et plus avant, partant du point de vu préférentiel du référentiel diamétral pour le cercle et non diagonal pour l'isocèle, ils ne considéraient pas les grandeurs comme pi ni racine de deux comme des "nombres". Mais comme une catégorie À PART, nommée MAGNITUDE, de nature ontologiquement géométrique, physique, analogique, mais PAS numérique ni arithmétique. En particulier pi N'EST PAS UN RAPPORT, du périmètre au diamètre de tout cercle. C'est illicite d'écrire Pi=périmètre/diamètre. Car pi exprimé précisément le contraire, à savoir que le périmètre et le diamètre sont NON COMMENSURABLES, NON RATIONNALISABLES, NON PROPORTIONALISABLES l'un à l'autre.
    L'exposé passe en outre totalement sous silence l'absence, de fait, d'arithmétique sur ces soit disant "nombres irrationnels". Car avant de se questionner sur la transcendance ou l'irrationalité de e^π-π, il est primordial de se demander le sens de cette "arithmétique" nulle part définie, hautement nébuleuse et de fait chimérique.
    La somme, différence, produit, quotient de deux fractions est un algorithme parfaitement clair et bien défini. Mais il n'en est AUCUNEMENT de même pour √2 + π par exemple. Personne, je dis bien personne n'est capable d'expliquer comment effectuer une telle "opération", qui reste de fait imaginaire, nébuleuse et chimérique. Car il n'y a PAS en fait d'arithmétique sur les "irrationnels". Et ce ne sont ni les suites de Cauchy ni les coupures de Dedekind qui viennent sauver l'affaire. Elles rendent plus nébuleux encore le concept de nombre que ce qu'elles prétendaient "éclairer".
    Construction donc des "nombres irrationnels" massivement absente de tous les curriculum et de tous les ouvrages d'arithmétique ou même d'analyse ! A part de brèves allusions à d'autres ouvrages où seuls des sketchs inconsistants de cette chimérique "construction" sont effleurés du bout des lèvres tellement elle est claire, rigoureuse, a problématique.
    Car c'est bien de mentionner GROTHENDIECK mais d'autant plus dommage de rater l'occasion de rappeler qu'au fond toute son œuvre est un cri pour trouver un échappatoire abstrait, à cette impossible construction multiforme. Dont celle de la nébuleuse et problématique "théorie des ensembles", que celle des catégories, plus "ouverte" en quelque sorte, prétend remplacer, "transcender"... Dont celle du très problématique et central "théorème des fonctions implicites", sans lequel quasiment toutes les "démonstrations" d'analyse et "d'arithmétique analytique" tombent à l'eau.
    Même le fameux PRINCIPE D'INDUCTION ("raisonnement par récurrence), vital pour toutes les démonstrations d'analyse, repose sa tête sous la guillotine de "l'hypothèse de l'infini", sans laquelle celle du "continu" cesse d'être licite. Or les Grecs précisément, encore eux, ne prétendaient pas du tout à l'existence de l'infini. Leur formulation des nombres premiers était par exemple très précise et évitait sagement d'outrepasser le bon sens. Ils affirment en effet "qu'après un nombre premier, un autre". Mais ceci N'IMPLIQUE PAS, NE DÉMONTRE PAS, et NE SOUS ENTEND MÊME PAS, qu'il y a "une infinité" de nombres premiers. Leur définition, autrement dit, reste OUVERTE, et non fermée sur une telle affirmation, qu'ils NE FONT PAS!
    Et il en est de même pour "l'axiome d'Archimède" dont on a totalement dérobé, perverti le sens, jusqu'à en INVERSER celui précisément donné par les Grecs. Archimède en effet construit et utilise cet axiome pour montrer simplement que l'on peut ENCADRER toute magnitude avec des rationnels. Mais sans aucunement supposer que ces magnitudes sont elles-mêmes des nombres rationnels, et donc des nombres tout court, puisque seul les rationnels peuvent être réellement muni d'une arithmétique bien définie et rigoureusement construire.
    Il eut été donc souhaitable d'une bien plus grande objectivité de point de vu, d'une plus grande neutralité, sans donner l'impression récurrente de faire une apologie de la "Science" sans en montrer les coulisses problématiques, les failles béantes, les doutes persistants, les problèmes cornéliens. La réalité en somme.

    • @MichelBriand
      @MichelBriand 2 года назад

      Retournez au lycée

    • @Igdrazil
      @Igdrazil 2 года назад

      @@MichelBriand Pour y faire quoi ? A part donner des zéros pointés à des petits cancres comme vous, sots et arrogants (ce qui est presque un pléonasme), qui n'ont ni compris le propos, ni même lu.
      Alors puisque les petits malins de votre acabit préfèrent répéter comme des perroquets sans cervelle les idioties qu'on leur enseigne, plutôt que de faire honneur à l'esprit humain, comme disait Jean Dieudonné, en réfléchissant, expliquez nous donc dans votre petit coin avec votre bonet d'âne comment vous effectuez la somme arithmétique de racine de deux et racine de trois.
      Et comme vous avez dû rater même vos années de lycée manifestement, voire de collège, la bonté de l'examinateur vous rappelle qu'afin de conduire une addition arithmétique correctement, on est obligé de commencer...par la "droite "... c'est à dire...depuis l'infini ! Vous savez "l'infini"; ce royaume très lointain des cancres terminaux...

  • @FrancoisHollande-gi4mk
    @FrancoisHollande-gi4mk Год назад

    Alain connes est très limité intellectuellement.