Regards sur la musique contemporaine
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- Опубликовано: 18 окт 2024
- Théophile Devard nous invite à une meilleure compréhension de la musique.
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Je suis agréablement surpris que le Cercle Aristote publie cette typologie de vidéo !
Ça fait un bien fou !
Alors certes, je suis juge et partie en tant que chanteur Tenor (Amateur).
Cependant, merci ! ❤
Cette émission aurait mille fois mérité un débat contradictoire, et puis zut, toute une émission pour Boulez, alors qu'il y a tant et tant à dire de l'univers de la musique !
Un super sujet, traité par dessus la jambe !
Merci Théophile ! C'était super intéressant, vraiment. Je ne suis pas toujours d'accord avec toi (principalement avec la musique concrète, il faut lire Pierre Schaeffer, son inventeur, qui fut le premier critique de certaines des dérives de ses élèves... et écouter également la variété de ce qu'est devenue la musique électroacoustique).
Sinon, bravo pour ta conclusion : en effet, les questions esthétiques des post-sériels sont désormais choses du passé et les compositeurs réellement contemporains sont passés à autre chose.
Et donc oui, il faut en effet aller écouter la création contemporaine... avec toujours à l'idée une chose importante : les chef-d'oeuvres que les périodes précédentes nous ont laissées sont l'infime crème de ce qui se faisait alors. En contemporain de la création d'aujourd'hui, il faut accepter de se taper une majorité d'oeuvres sinon médiocres, du moins passables, pour tomber de temps à autre sur une pépite, quelque chose de vraiment extraordinaire.
Vous avez raison d'encourager à lire Pierre Schaeffer. Pour une fois la France peut se targuer de tenir, sans que cela soit arrogance et chauvinisme, l'un des meilleurs théoriciens de son temps. Il y a tant à dire suite à cet excellent exposé... Je pense que c'est moins la "contemporanéité" que les caractères savant, bourgeois et hystériques qui sont interrogés. Des musiques dites "dodécaphoniques" "sérielles" voire "de la deuxième école viennoise" on perçoit le primitivisme négativiste, proprement anti-savant et pas seulement non-savant. Cependant, au-delà des discours -voire des réalités- de façade, matériellement et symboliquement totalement bourgeois (instrumentistes d'orchestre, instruments-bijoux, orchestre symphonique, opéra ou auditorium, écritures de partitions utilisant un solfège institutionnel éventuellement enluminé). On en revient à Schaeffer qui ne fait que théoriser ce que des dadas, surréalistes et autres futuristes ont réalisé instinctivement avant lui. Nous parlons ici des véritables indépendants, et pas de révolution en culottes courtes des conservatoires. Du point de vue psychanalytique les véritables créateurs et indépendants sont les mêmes mais, je ne sais pas à quel point c'est volontaire, la problématique de l'hystérie est clairement posée en ce qui concerne la musique germanique de Wagner à Bjork, en passant par "la deuxième école de Vienne", ce discours de Boulez et Stockhausen bien sûr...
Pour terminer d'enfoncer le clou schaefferien je dirais que le rock n'est pas nihiliste ou simplement négativiste mais l'expression d'une individualité "ensauvagée". Si sa première caractéristique est d'être une musique afro-américaine, sa deuxième est d'être une musique électro-acoustique.
faites un débat
J'ai bien aimé, je ne sais pas si cela me poussera à écouter ce type de musique. Mais ma curiosité est touchée.
Merci pour cette excellente émission.
Merci à vous pour cette intervention très intéressante.
excellent contenu comme toujours
Sujet très sérieux et très profond qui nécessiterait un exposé moins désinvolte. Petite rectification : Bach est populaire par ces deux œuvres : la grande Toccata pour orgue et la cantate "Jésus que ma joie demeure". En ce qui concerne les œuvres réellement savantes comme l'offrande musicale et surtout l'Art de la Fugue, elle ne sont connues et étudiées que par un groupe restreint et particulièrement savant de musiciens. On retrouve certaines pages assez complexes de Bach dans des oeuvres qui franchissent le seuils des spécialistes pour atteindre les mélomanes avec les deux Passions, le Magnificat, des œuvres pour orgue et des cantates. Une exception avec la grande chaconne pour violon, particulièrement complexe et accessible aux mélomanes...mais inconnue du grand public. Donc ce qui est savant a toujours été peu populaire....
La notion de Progrès est la vache à lait de la bêtise moderne.
Très intéressant merci
Que cela est bénéfique pour le CA de publier une telle conférence, comme quoi: le Discord est bénéfique PYR!
Boulez et ses acolytes n'auront jamais fait autre chose que de la musique en kit, toutes autre conception musicale sera pourchassée avec la plus grande dictature en Europe par Boulez et ses sbires de l'école de Darmstadt, la conséquence ; Les musiciens perdront leur public peut être définitivement, Boulez, un abruti qui dira : "La musique n'est plus faite pour flatter l'oreille " !
Boulez reste adulé par les bobos intellos et honni par la majorité des musiciens et des mélomanes !
Les bobos n'écoutent même pas Boulez; la bourgeoisie actuelle est complètement inculte (dixit Todd).
Net et sans bavures.
Boulez n'est certainement pas un abruti mais quelqu'un qui a une conception musicale différente de la vôtre, et je n'en suis pas un fervent admirateur pour autant.
@@Matchat31entièrement d'accord avec vous même si je n'apprécie pas plus que vous Boulez en tant que compositeur.
Il y a tellement d'autres personnages ( tel que Ligeti ,)qui mériterait d'être mis en avant dans l'histoire de la musique actuelle
@@Polohere
et je rajouterai bien envoyé
Je vous remercie pour cette exposé rarement abordé l art est beauté pour celui qui la reçoit, venu des entrailles pour le faire jahir sur tous n à aucunement besoin d explication, le levé de soleil à t il besoin besoin d une analyse sensorielle ?
La musique contemporaine, comme l'art contemporain, n'est que de la philosophie performative. Il n'y a pas de transcendance, dh'armonie, de beauté, ce n'est pas une prière comme elle le fut, il n'y a que de la réflexion et du verbiage. C'est la même chose avec l'architecture contemporaine. On a des gens surdiplômés qui nous pondent de grosses merdes abstraites mais qui vont habiter dans des maisons victoriennes. Alors à côté de quoi est-ce que cet esprit contemporain passe? La nature de l'Homme. Nous ne sommes pas des toiles blanches. Nous sommes des êtres extrêmement vieux et complexes, avec des critères d'appréciation et de rapport à l'existence sculptés dans la pierre. La recherche du neuf, pourquoi pas, imposer le neuf, il va forcément y avoir un problème. On ne créera pas un Homme nouveau avec des critères d'appréciation et un rapport à l'existence fluctuant. Pour reprendre l'exemple du bâtiment, qu'est ce qui fait que le Louvre nous donne envie de vivre? La symétrie, l'harmonie géométrique, les courbes, les détails, la représentation, la stabilité, le rappel des éléments de la nature dans lesquels nous avons évolués pendant des millions d'années associés à la maitrise de l'Homme. Le mélange du chaos et de l'ordre. Ce n'est pas une construction sociale d'apprécier le Louvre, d'apprécier la sonate au clair de lune. Le vrai art est une ode à l'existence.
Les académiciens, les artistes contemporains, nous ont enlevé ça et nous ont craché dessus pour ne pas avoir eu le même intérêt pour leur travail.
intéressant
La musique "contemporaine" est une véritable diarrhée. Seuls les élèves en musicologie vont voir leurs "concerts", par obligation. Cela fait un siècle que cette cochonnerie existe, et ca ne prend toujours pas au niveau du public, ce qui est du jamais vu dans l'histoire. Quand à Boulez, il était ultra-subventionné et mis en avant par Chirac pour des raisons assez étranges d'ailleurs, puisque Chirac n'aimait que la "musique" militaire. Boulez doit absolument tout à Chirac. Il faut dire que les très grasses subventions à l’inutile Centre Intercontemporain devaient bien donner, en retour, quelques dessous de table dans les poches du “donateur”. Genre Von der Leyen avec Pfizer si vous voyez ce que je veux dire.
Au moins, la musique "contemporaine" aura eu la vertu de détourner totalement l’attention des gens de la musique dite “savante” et de contribuer à l’immense succès du blues, du jazz, du rock etc... Et ca, c’est tant mieux !
Boulez a beaucoup défendu la musique française qu'il aimait particulièrement comme Debussy par exemple, dont il se revendiquait comme héritier. Quand à la transgression qui n'est pas l'apanage de la musique contemporaine, mais de tous les arts dans le monde occidental, sans entrer dans les raisons complexes et multiples de son émergence, elle a eu comme effet de permettre aux oreilles occidentales, formatées par la musique d'alors, de s'ouvrir avec curiosité à d'autres musiques : indonésiennes, indiennes, africaines....sans les préjugés que l'appartenance à une civilisation qui a produit une musique aussi riche et variée que la musique classique propose, pouvait susciter d'arrogance et finalement de fermeture ! C'est plutôt pas mal non? La notion d'exploration permise par la transgression....
La musique "en grand" avec ses opéras , ses conservatoires,ses philarmonies,...sera in fine un levier naturel et achevé de la politique culturo intello militaro élitiste depuis le debut du 20 eme siecle. Les chocs esthetiques, conceptuels,technicistes ,comme en peinture ,litterature ou autres vont se multiplier dès lors, comme autant de strategies marchandes( souvent insoupçonnées)dont la société du ....spectacle( mondain en l'espèce)s'enrichira naturellement, jusqu'à sa perte. en justifications.... algorythmique.
J’ai découvert la musique contemporaine avec 2001 l’odyssée de l’espace et les deux morceaux de Ligeti: Atmosphère et lux aeterna. Ce fut un choc immense. La musique contemporaine est comme toutes les autres musiques. Un choix infini de sons, de perceptions qui permet une réelle expérience sensorielle voire mystique. Il est très facile d’y avoir accès grâce au streaming musical qui répertorie quasiment toute la production et de sélectionner ce qui va nous émouvoir. Et pour les Franciliens, la Philharmonie de Paris a une excellente programmation dans un cadre acoustique de premier ordre. Il existe beaucoup de jeunes talents, méconnus, qui ne se sont pas orientés vers les facilités de notre époque. On peut les remercier de maintenir un haut niveau d’exigence et de continuer d’explorer ou de renouveler des voies dans la continuité de la musique occidentale qui est certainement la plus prolifique et la plus inventive depuis le chant grégorien.
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Selon moi Webern survole son époque et n'a jamais vraiment eu de successeur de son niveau. De manière plus générale la musique sérielle aurait pu s'arrêter avec l'école de Vienne pratiquement tout ce qui suivra confinera d'avantage au bruitiste qu'à la musique, Xenakis en est un bon exemple. En France on peut tout de même citer Messiaen, compositeur infiniment supérieur et profond que son élève Boulez, grand génie typiquement français même si très difficile d'accès. Par contre sur le temps long, ce sont les néo-classiques comme Dutilleux qui ont eu gain de cause puisque tous les grands compositeurs vont abandonner le sériel à partir des années 80. Et sur le plan économique et dans le monde du disque le succès public de la redécouverte de la musique baroque jouée sur instruments anciens a d'une certaine manière symboliquement cloué le cercueil du sérialisme. Ce salop de public ignare et rétrograde a tranché ! Sur la question de la gauche faut lire les bouquins d'Adorno sur la musique qui expliquent bien ce que le sérialisme a symbolisé pour l'école de Frankfort et la gauche en général.
Messiaen c’est magnifique.
Chez Messiaen, à part quelques trucs nazebroques tels que les catalogues d'oiseaux qui ne valent rien, quelques moments aussi (à cause des chants de piafs) de la Turangalila symphonie qui sont peu intéressants, je trouve ça très musical.
"Regards"... Euh... Ecoutes ??? 🙃🙃
boulez ou faire table rase de l'harmonie et du beau !
Dommage qu’on ne nomme pas Jung au profit de Freud !
Jung, on s'en tape
Jung rambo ?
Problème de prise de son (étouffé par moment) !
je n'ai jamais compris ce mouvement. la musique c'est de la physique et les écarts sont liés multiple de fréquence.. à la limite j'aurais mieux compris des travaux sur la référence de tonalité comme un LA 444 ou 500 pourquoi pas ou a la limite une vraie justesse de découpage des intervalles allant à l'octave.
Moi je retrouve l'essence du mouvement de l'art abstrait ou le wokisme. Finalement, ce qui compte ce n'est pas la nature des choses mais ce que l'on veut qu'elle soit. (ex: genre vs sexe)
Oui.
@@Polohere non justement c'est hors sol !! c'est le meilleur moyen de faire des choses idiotes et d'aller tout droit vers des croyances farfellus..
@@politique3000 T'es marrant ouate ! je suis d'accord avec ce que tu dis... mais pas toi 😄😄😄
@@Polohere le "Oui" pouvait être seulement pour la dernière phrase. Je préférais m'en assurer
Le rock n'est pas marxiste. Scorpion est le groupe emblématique du hard rock allemand de l'ouest. C'est l'emblème du capitalisme vis a vis de l'Allemagne de l'est.
y'a que jauni qui vaille
🩵🎙💐
Je voudrais bien dire ce que j'en pense à Théophile Devard mais ça ne tiendra pas ici.
Et je n'ai pas envie de diffuser mes réflexions à tout le monde.
On ne peut pas réduire la musique contemporaine française à Boulez. Vous passez par exemple complètement sous silence Messiaen dont l'oeuvre (pourtant résolument moderne) comme le personnage sont à l'opposé de la rupture que vous décriez. De même, pour Dutilleux, Xenakis, Murail ou Chen, pour ne citer que des compositeurs actifs en France - mais point des moindres - dont la musique, pour savante qu'elle est, n'est en rupture ni avec la tradition ni avec la beauté. Même en ce qui concerne Boulez, c'est ignorer certaines de ses oeuvres beaucoup plus sensibles, telles que Répons ou le rituel pour Maderna. Pour cette raison je vous invite à réviser votre jugement injuste sur la musique française contemporaine, qui ne doit pas être combattue comme vous le suggérez. Etudiez un peu l'oeuvre et la vie de Messiaen par exemple, vous verrez qu'il mérite à lui tout seul une vidéo contrebalançant celle-ci.
Non ! pas d'accord ! c'est de la légende de musiproctologue.
Parler d'art (ou de musique, c'est la même chose) "contemporain" est d'une ineptie conceptuelle ahurissante. Le fait d'être de son "époque" ne signifie rien, sinon de suivre le courant du fleuve comme un cadavre. Il se trouve même que la véritable création, vivante, se fait CONTRE l'époque, en tant que celle-ci charrie poncifs et prêt-à-sentir. La musique contemporaine (ce conformisme moderne) tient de son époque un technicisme insupportable (comme le Nouveau roman), qui, par puritanisme (dont il faudrait saisir les sources idéologiques, éthiques, voire religieuses), répudie la sensibilité, l'imagination vraie, et même la beauté, l'harmonie (ce mot si connoté au vieux monde). Je ne dis pas qu''il faille reconduire les vieilles outres, mais en même temps, la critique du passé (qui ne se confond NULLEMENT avec la musique romantique allemande !!!) ne consiste pas à balancer le bébé avec l'eau sale de la baignoire. La rationalité mathématique, ou les fantaisies aléatoires, le dodécaphonisme (cette idéologie agressive et si peu innovante) et l'usage de l'informatique, etc., ne suffisent pas à engendrer de la musique. Je conseille de lire le génial essai de Sylvain Fort : La musique souvent nous prend comme une mer. Non, la musique "contemporaine" n'est pas du niveau d'un enfant de cinq ans... hélas ! Ma foi, la comptine a du charme. Elle est de vieillards cacochymes, prétentieux et arrogants (quel mépris, chez Boulez !) qui se répètent depuis 70 ans. On a toujours l'impression d'écouter les mêmes morceaux. L'ennui est mortel ! Dernière réflexion : écoutant souvent, d'une oreille parfois distraites (ou irritée), parfois passionnément, France Musique, j'ai remarqué que les "expérimentations (mot prisé autant ici que dans notre misérable Ecole sinistrée, et ce n'est pas un hasard !) étaient à 90% le fait de dames. Pour cause ! les femmes sont d'excellentes élèves, mais elles ont tendance à être formalistes, procédurières, et à répéter les leçons bien apprises. Nous sommes dans un monde féminin. Or, pour créer, il faut avoir quelque chose entre les jambe, oser saccager, voire violer. La musique contemporaine, c'est un art d'eunuques, incapables de donner la vie.
Il serait fort difficile de dire mieux, en effet la musique est un art viril dans sa pratique comme dans son imaginatif, étant du métier j'ai n'ai pas peur de ne pas être dans un courant féministe, que l'on ne s'y méprenne pas, le rock est tout autant un art d’eunuque qui nous véhicule la même violence que tous les sériels et autres dépourvu d'imagination adepte de la déstructuration de ce que nos génies ont mis des siècle à construire !
Pour moi Schoenberg est le premier fossoyeur de l'art musical, comme nos LGBT, l’erreur violente d'une époque !
@@svenarte Tout ce qui se réclame du "contemporain" (concept vide) est une déclinaison du nihilisme moderne. J'apprécie un tantinet Schoenberg - et il tient, notamment dans sa Nuit transfigurée, cette merveille, du néoromantisme - ainsi qu'Alban Berg - sa Transfiguration d'un ange, ainsi que Wozzeck -, et Messiaen, avec son Quatuor pour la fin du temps, ou quelques autres oeuvres - pas toutes -, j'aime le néoromantisme (Bruckner, par exemple), surtout la musique dite "française" : Franck, Fauré (j'adore), Debussy, Ravel, Poulenc, etc., le romantisme allemand à la Beethoven me donne des frissons, mais a des limites (sauf le divin Schubert, que j'idolâtre), Bach est forcément monumental, mais durant mes voyages, je fuis les monuments. Je suis pâmé devant la musique sacrée à la Orlando de Lassus, Gesualdo, Monteverdi (et ses opéras), Josquin des Prés, Palestrina etc., et le chant dit grégorien montre, démontre, que la musique ne peut se passer d'un cadre, d'une signification, d'une présence humaine, d'une spiritualité qui transcende. J'oubliais le jazz, dont je suis fou (mais je ferais à son sujet les mêmes remarques). J'avoue que je n'ai écouté que le début de l'intervention (mes pâtes étaient presque cuites), et que j'ai le sentiment d'avoir commis - peut-être - une injustice. Pas sûr cependant, vu le plan ! Je déteste le rock.
@@claudexaintrie Pour moi l’œuvre à retenir de Schoenberg est un "survivant de Varsovie", mais quand on sait le mal que les œuvres de Schoenberg vont entrainer, je ne peux que détester ce travail, c'est comme une belle plante vénéneuse, on peu s'en passer pour en atteindre de bien plus belle, que la précédente en interdisait la découverte, je ne veut en rien faire intention de censure, mais prévenir qu'en matière de musique ce sont ces gens là qui on ouvert la boite de Pandore, les œuvres de Schoenberg et acolytes vont être comme des Attila de la musique, là où ils sont passés plus rien ne repoussait, j'ai vu téllement de talent voir de génie n'avoir en rien droit au chapitre, ayant pour crime de n'avoir point écrit dans les règles de la doxa et professionnellement tué par la caste boulézienne, que j'en ai conçu une haine terrible envers tous ceux qui nous ont privé de magnifique chose, que j'ai eu l'occasion de connaitre, des œuvres splendides créés uniquement en petit comité comme Schubert avec sa musique de chambre, trop de dégâts et de vol envers le peuple qui avait le droit d'être enlever pour les rêves !
@@svenarte On peut en effet parler de round up, ou d'Attila. Ce fut un désastre pour la musique, mais il faudrait en chercher les causes ailleurs que dans un des personnes particulières. Les nihilismes techniciste et scientiste peuvent être invoqués, ainsi que l'éloignement de la vie, de l'homme enraciné, de sa nature, au profit d'un être "sans qualité", noyé dans la masse anonyme. On a remplacé l'artiste par l'artifex, et le génie par l'ingénieur.
@@claudexaintrie En effet c'est un problème bien plus large que simplement tout faire porter sur une seule personne et aussi seulement la musique, on pourrait faire un parallèle avec la peinture avec les expressionnistes qui plus tard feront la même razzia dans la peinture, et on pourra faire le parallèle avec un Schoenberg et plus tard avec un Egon Schiele bourré de talent qu'il mettra au profit d'une œuvre démente, la guerre de 14/18 n'est pas loin, n’oublions pas non plus que le quatuor pour la fin des temps de Messiaen, professeur de Boulez à été composé en camp de concentration, alors, vous avez raison de poser la question où est la poule et l’œuf dans toute ces destructions dont on trouve le paroxysme de nos jour, mais il faut ne pas oublier que si la musique est à la couleur de l’âme d'une époque comme d'un pays, la musique modèle aussi celle-ci et ceux qui la composent en portent la responsabilité, merci à vous !
affreuse prise de son merci
Adrien Abauzit le catholicomplotiste, sérieusement?
Monsieur quelle phrase atroce de déduire qu il y aurait une musique de gauche ho la c est insupportable