Dennis Oppenheim - Table Piece, 1975 - Collection de la Fondation Cartier pour l'art contemprain

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  • Опубликовано: 22 май 2014
  • Dennis Oppenheim, Table Piece, 1975. Collection Fondation Cartier pour l'art contemporain, acquisition 1996.
    Présenté par Grazia Quaroni, Conservateur à la Fondation Cartier pour l'art contemporain.
    Dennis Oppenheim fut à la fin des années 60 l'une des figures majeures du Land Art. Dans les années 70, il s'orienta davantage vers le Body-art, passant du macrocosme au microcosme, de la terre au corps. Son œuvre emprunte ensuite des formes différentes, de la performance à l'installation. A partir de 1974, il utilise des marionnettes, doubles de lui-même qui questionnent la notion d'identité. Œuvre majeure et historique, Table Piece (1975) met en scène deux personnages, substituts de l'artiste, qui se font face, répétant en une longue mélopée à peine intelligible, les mots « black, white, light, dark ». La bande son de ce dialogue absurde et sans fin a été créée grâce à un programme informatique aléatoire qui coupe et mélange les mots, les rendant quasi-incompréhensibles et créant ainsi un sentiment de malaise. Véritable mise en espace d'un univers mental, cette œuvre convoque le spectateur au sein d'un dispositif saisissant.
    Réalisation : Thomas Salva et Olivier Lambert / Lumento
    Production : David Desrimais / Fondation Cartier pour l'art contemporain
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Комментарии • 2

  • @fondationcartier
    @fondationcartier  10 лет назад +14

    EN CE MOMENT
    Exposition Mémoires Vives
    DERNIERS JOURS | Dennis Oppenheim
    Jusqu’au 9 juin 2014, l’exposition Mémoires Vives propose une œuvre majeure et historique de Dennis Oppenheim, Table Piece (1975), mettant en scène deux personnages, substituts de l’artiste, qui se font face, répétant en une longue mélopée à peine intelligible, les mots « black, white, light, dark ». La bande son de ce dialogue absurde et sans fin a été créée grâce à un programme informatique aléatoire qui coupe et mélange les mots, les rendant quasi-incompréhensibles et créant ainsi un sentiment de malaise. Véritable mise en espace d’un univers mental, cette œuvre convoque le spectateur au sein d’un dispositif saisissant.

  • @christianegonbarnthaler1426
    @christianegonbarnthaler1426 5 лет назад

    super art