Rentrée littéraire : quoi lire (ou pas) ?
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- Опубликовано: 6 сен 2024
- La rentrée littéraire offre chaque année son lot de bons et de mauvais romans. Pour ce premier débat critique, retour sur trois livres parus cet été : "L'amour" de François Bégaudeau, "Trust" de Hernán Diaz et "La prochaine fois que tu mordras la poussière" de Panayotis Pascot, avec Lucile Commeaux, critique et chroniqueuse sur France Culture, et Philippe Chevilley, chef du service culture des Échos.
#livres #rentréelittéraire #litterature
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Pourquoi psychologiser la littérature en disant que L'Amour est proche de ce qu'est l'auteur alors qu'on ne le connait pas personnellement ?
Je doute que le critique littéraire (?) des Échos ait réellement lu les livres de Bégaudeau pour dire autant d'âneries. Commencer par dire qu'on ne l'aime pas présage une très mauvaise critique. Arrêtons de focaliser sur le nombre de pages. Les livres de Bégaudeau ne sont ni confus ni remplis de pleins de choses, mais c'est très structuré et pensé. Ce qui démontre bien qu'il n'a pas lu ses livres.
Je pense que ce qu'il voulait dire c'est qu'il n'aimait pas l'écrivain, pas l'homme. Apparemment, il semble trouver que ces romans sont trop proches de l'essai et donnent du coup une forme bâtarde. Enfin, c'est ce que j'ai compris de son propos.
Venant des Échos (journal appartenant à Bernard Arnault), il n'aime pas l'écrivain dit-il mais ça sous-entend bien qu'il n'aime pas la personne car au vu de ce qu'il dit, il l'a très peu lu, donc, c'est un prétexte fallacieux de pointer l'écrivain alors qu'il méprise la personne qui est un radical de gauche. @@MLA263
@@antar1360possible aussi
Bonjour puis je avoir le nom de la musique de fond svp
Ce qui est énervant chez les critiques c'est l'interprétation qui est faite des intentions des auteurs. Le propre d'un roman, c'est la liberté qu'a chaque lecteur de réagir avec sa propre histoire, ses émotions, ses vérités......alors que les critiques veulent baliser ce qui fait partie de l'intime. Laissez-nous rever !
Oui, donc autant avoir l'interprétation qui nous correspond !
Il ne faut donc pas lire ou écouter les critiques
ben regarde pas mdrr
"C'est un homonyme ?" Tiens, je constate que Laporte n'a toujours pas digéré le fait que Bégaudeau ait déclaré que Radio France était de droite.
Ah oui ? Laporte qui ramène tout à lui. Pathétique !
@@antar1360 Ah ah oui ^^ Il est même allé jusqu'à le qualifier de "guignol" sur Twitter, sous une vidéo postée par Christophe Conte. Il est chaud l'Arnaud.
Et pourtant ses émissions ne cassent pas 3 pattes à un canard. Qu'il écrive des livres Laporte et ensuite on parlera littérature et guignol ! @@manelmanelful
Pour être plus précis, il a qualifié François Bégaudeau de clown, ce qui revient au même . J'écoute Affaires Culturelles mais il faut avouer que c'est pile au moment où je mange ^^. Et je trouve que ça tourne un peu en rond. Laporte a ses têtes, et ça se voit.@@antar1360
@@JeanPierrePermantier C'est totalement ça. C'est beau mais il faut se rendre à l'évidence : les fachos se sont toujours trompés sur tout ^^
Ce que c'est mauvais. On regrette Olivia Gesbert : c'était d'une autre tenue. Depuis début septembre, je n'arrive plus à écouter cette tranche horaire sur France Culture.
"Pour sûr il est douloureux", à propos du livre de Panayotis Pascot... Philippe Chevilley, chef du service culture aux Echos, vraiment ?
j'ai lu le Goncourt 2023 "veiller sur elle", j'ai adoré et ce n'est pas toujours le cas.
Olivia Gesbert, pourquoi n'est-t-elle plus là? sa pertinence, son intelligence manquent...
Absolument! C'es un choix de la nouvelle direction!
Les Échos et la littérature LOL...
3 hommes blancs sur la miniature de la vidéo, bravo France culture pour l'inclusivite on se croirait dans les années 50
Oui à l'inclusivité. Non à la chasse aux sorcières qui consiste à crier au scandale dès que trois hommes blancs apparaissent ensemble sur une photo.
@@clauderain312Lors des chasses au sorcières, on massacrait des femmes, sans doute trop libres aux yeux des hommes. Merci de trouver une autre expression à votre agacement face à une personne qui remarque le manque visuel d'inclusivité. Personne n'a été blessé, torturé, humilié. Du calme, ça va bien se passer.
@@mademoisellesokko4324 La question n'est pas là. On s'en moque en l’occurrence du manque visuel d'inclusivité puisque le sujet porte sur des ouvrages, et pas sur la couleur de peau ou le sexe de leurs auteurs. Si demain tu montes une chronique sur trois romans qui t'ont marqué en bien ou en mal, tu vas les sélectionner sur des critères littéraires, pas pour satisfaire des quotas de représentation. En l’occurrence, tu ne t'es pas soucié de la chronique et de son fond. Tu as d'emblée disqualifié le sujet entier au prétexte qu'il y a trois mectons blancs sur une miniature. Si quinze romans étaient présentés, et que leurs auteurs étaient tous de sexe masculin et caucasiens, je me dirais "Ah ouais, elle a raison, y a un parti-pris déconnant là". Mais là c'est vraiment pas le cas. Par ailleurs ça me semble fort de café d'attaquer France Culture sur ces questions-là alors qu'au global, ils sont justement très attentifs à offrir une voix à tous. Et je suis d'accord, ça ne peut que bien se passer puisqu'on discute tranquillement ;)
"3 hommes blancs sur la miniature" ... Et donc ? Qu'ils soient blancs ou noirs ou métisses ou autres ... Ça change quoi ? Explique nous un peu qu'on voit à quel point tu es intelligent ... J'ai hâte
A mon avis vous placez votre indignation au mauvais endroit. L'important ici, c'est l'oeuvre et le fond, pas l'enveloppe ou le genre de l'artiste. C'est un faux débat.
Pas une tique cet été. J'ai juste envie de crier
Lisez les bouquins qui sont sur le Cercle Aristote
Quivouaembauhé?
certainement pas ces bobos wokes