Bravo et merci Melle de piocher dans le répertoire d'une des plus grandes dames de la chanson Française, qui comme Léo et tant d'autres sont ostracisés par les médias commerciaux ! La qualité ne fait pas recette ! vous vous en sortez magnifiquement bien !
Paroles Ils marchent le regard fier Mes hommes Moi devant, et eux derrière Mes hommes Et si j'allonge le pas Ils me suivent pas à pas Je leur échappe pas Mes hommes, mes hommes Où que je sois, ils sont là Mes hommes Je n'ai qu'à tendre les bras En somme Je les regarde venir Fière de leur appartenir C'est beau de les voir sourire Mes hommes Moi qui suis fille des brumes En somme, De la nuit et de la lune Tout comme Quand j'arrive, le teint clair Moi devant et eux derrière Je comprends bien que les gens S'étonnent, s'étonnent Car, ils viennent de Tunisie Mes hommes Marseille, Toulon, le Midi Mes hommes Ils marchent avec insolence Un petit rien dans la hanche Ça ressemble à une danse Mes hommes Ils ne m'appellent Madame Mes hommes Mais, tendrement, ils me nomment Patronne Ils se soumettent à ma loi Je me soumets à leur loi Que c'est doux d'obéir À mes hommes Tout d'amour et de tendresse Mes hommes M'ont fait une forteresse Mes hommes Non, vous ne passerez pas C'est à eux, n'y touchez pas Ils sont violents, quelquefois Mes hommes, mes hommes Ils se sont fait sentinelles Mes hommes Ils pourraient être cruels Mes hommes Ils me veillent, comme moi Je les veille quelquefois Moi pour eux, et eux pour moi Mes hommes Quand naissent les premières feuilles D'automne, Quand le chagrin se fait lourd Mes hommes, Vont se mettre, sans un mot Debout autour du piano Et me disent tendrement Patronne, patronne C'est fou comme ils sont heureux Mes hommes Quand le son du piano noir Résonne Ils vont faire leurs bagages Et on reprend le voyage Faut qu'ils voient du paysage Mes hommes Quand descend la nuit furtive Mes hommes À pas de loup, ils s'esquivent Personne Ils vont chasser dans la nuit Bergers, gardez vos brebis Qui ont le goût et l'envie Des hommes, des hommes Car, de la blonde à la rousse Mes hommes Ils vont coucher leur peau douce Mes hommes Et repartent dans la nuit Courtois, mais pas attendris Quand ils ont croqué le fruit La pomme Ils reviennent au matin Mes hommes Avec des fleurs dans les mains Mes hommes Et restent là, silencieux Timides, baissant les yeux En attendant que je leur Pardonne Ils ont installé mon lit Mes hommes Au calme d'une prairie Mes hommes Je peux m'endormir à l'ombre Ils y creuseront ma tombe Pour la longue nuit profonde Des hommes, des hommes Pas de pleurs, pas une larme Mes hommes Je n'ai pas le goût du drame Mes hommes Continuez, le regard fier Je serai là, comme hier Vous devant, et moi derrière Mes hommes
Ils marchent le regard fier, Mes hommes, Moi devant, et eux derrière, Mes hommes Et si j'allonge le pas, Ils me suivent pas à pas. Je leur échappe pas, Mes hommes, mes hommes. Où que je sois, ils sont là, Mes hommes. Je n'ai qu'à tendre les bras, En somme. Je les regarde venir, Fière de leur appartenir. C'est beau de les voir sourire, Mes hommes. Moi qui suis fille des brumes, En somme, De la nuit et de la lune, Tout comme, Quand j'arrive, le teint clair, Moi devant et eux derrière, Je comprends bien que les gens S'étonnent, s'étonnent Car, ils viennent de Tunisie, Mes hommes, Marseille, Toulon, le Midi, Mes hommes. Ils marchent avec insolence, Un petit rien dans la hanche. Ça ressemble à une danse, Mes hommes. Ils ne m'appellent Madame, Mes hommes Mais, tendrement, ils me nomment Patronne. Ils se soumettent à ma loi. Je me soumets à leur loi. Que c'est doux d'obéir A mes hommes. Tout d'amour et de tendresse, Mes hommes, M'ont fait une forteresse, Mes hommes. Non, vous ne passerez pas. C'est à eux, n'y touchez pas. Ils sont violents, quelquefois, Mes hommes, mes hommes. Ils se sont fait sentinelles, Mes hommes. Ils pourraient être cruels, Mes hommes. Ils me veillent, comme moi Je les veille quelquefois. Moi pour eux, et eux pour moi, Mes hommes. Quand naissent les premières feuilles D'automne, Quand le chagrin se fait lourd, Mes hommes, Vont se mettre, sans un mot, Debout autour du piano Et me disent tendrement, Patronne, patronne. C'est fou comme ils sont heureux, Mes hommes, Quand le son du piano noir Résonne. Ils vont faire leurs bagages Et on reprend le voyage. Faut qu'ils voient du paysage, Mes hommes. Quand descend la nuit furtive, Mes hommes. A pas de loup, ils s'esquivent. Personne. Ils vont chasser dans la nuit. Bergers, gardez vos brebis Qui ont le goût et l'envie, Des hommes, des hommes Car, de la blonde à la rousse, Mes hommes, Ils vont coucher leur peau douce, Mes hommes Et repartent dans la nuit, Courtois, mais pas attendris Quand ils ont croqué le fruit, La pomme. Ils reviennent au matin, Mes hommes, Avec des fleurs dans les mains, Mes hommes Et restent là, silencieux, Timides, baissant les yeux En attendant que je leur Pardonne. Ils ont installé mon lit, Mes hommes, Au calme d'une prairie, Mes hommes. Je peux m'endormir à l'ombre. Ils y creuseront ma tombe Pour la longue nuit profonde Des hommes, des hommes. Pas de pleurs, pas une larme, Mes hommes, Je n'ai pas le goût du drame, Mes hommes, Continuez, le regard fier. Je serai là, comme hier, Vous devant, et moi derrière, Mes hommes.
C est te....lle....ment.....beaaaaaaaaau, presque insupportable mais les humains sont les seuls sur terre a pouvoir supporter l insupportable, merci mademoiselle.
C'est magnifique, merci
Tres belle chanson de Barbara . .excellente interprétation de
Camélia. Merci
La voix est sublime , le texte est prosaïque ....merci pour le partage !
Bravo et merci Melle de piocher dans le répertoire d'une des plus grandes dames de la chanson Française, qui comme Léo et tant d'autres sont ostracisés par les médias commerciaux ! La qualité ne fait pas recette ! vous vous en sortez magnifiquement bien !
Didier PAUPARDIN bel hommage!!mérité.
Je n 'aime pas les reprises, mais la, il faut reconnaître que camélia jordana l ' interprète avec talent. Je t'aime ❤ camélia.
joliiiiiii ! et ce petit supplément d'âme qui transpire dans sa voix.......délicate comme toujours cette grande Camélia Jordana
C'est tellement beau.
Quel talent 👍
Je confirme de belles interprétations .
Ne
Jamais s’affronter à un monstre
Sacré
Paroles
Ils marchent le regard fier
Mes hommes
Moi devant, et eux derrière
Mes hommes
Et si j'allonge le pas
Ils me suivent pas à pas
Je leur échappe pas
Mes hommes, mes hommes
Où que je sois, ils sont là
Mes hommes
Je n'ai qu'à tendre les bras
En somme
Je les regarde venir
Fière de leur appartenir
C'est beau de les voir sourire
Mes hommes
Moi qui suis fille des brumes
En somme,
De la nuit et de la lune
Tout comme
Quand j'arrive, le teint clair
Moi devant et eux derrière
Je comprends bien que les gens
S'étonnent, s'étonnent
Car, ils viennent de Tunisie
Mes hommes
Marseille, Toulon, le Midi
Mes hommes
Ils marchent avec insolence
Un petit rien dans la hanche
Ça ressemble à une danse
Mes hommes
Ils ne m'appellent Madame
Mes hommes
Mais, tendrement, ils me nomment
Patronne
Ils se soumettent à ma loi
Je me soumets à leur loi
Que c'est doux d'obéir
À mes hommes
Tout d'amour et de tendresse
Mes hommes
M'ont fait une forteresse
Mes hommes
Non, vous ne passerez pas
C'est à eux, n'y touchez pas
Ils sont violents, quelquefois
Mes hommes, mes hommes
Ils se sont fait sentinelles
Mes hommes
Ils pourraient être cruels
Mes hommes
Ils me veillent, comme moi
Je les veille quelquefois
Moi pour eux, et eux pour moi
Mes hommes
Quand naissent les premières feuilles
D'automne,
Quand le chagrin se fait lourd
Mes hommes,
Vont se mettre, sans un mot
Debout autour du piano
Et me disent tendrement
Patronne, patronne
C'est fou comme ils sont heureux
Mes hommes
Quand le son du piano noir
Résonne
Ils vont faire leurs bagages
Et on reprend le voyage
Faut qu'ils voient du paysage
Mes hommes
Quand descend la nuit furtive
Mes hommes
À pas de loup, ils s'esquivent
Personne
Ils vont chasser dans la nuit
Bergers, gardez vos brebis
Qui ont le goût et l'envie
Des hommes, des hommes
Car, de la blonde à la rousse
Mes hommes
Ils vont coucher leur peau douce
Mes hommes
Et repartent dans la nuit
Courtois, mais pas attendris
Quand ils ont croqué le fruit
La pomme
Ils reviennent au matin
Mes hommes
Avec des fleurs dans les mains
Mes hommes
Et restent là, silencieux
Timides, baissant les yeux
En attendant que je leur
Pardonne
Ils ont installé mon lit
Mes hommes
Au calme d'une prairie
Mes hommes
Je peux m'endormir à l'ombre
Ils y creuseront ma tombe
Pour la longue nuit profonde
Des hommes, des hommes
Pas de pleurs, pas une larme
Mes hommes
Je n'ai pas le goût du drame
Mes hommes
Continuez, le regard fier
Je serai là, comme hier
Vous devant, et moi derrière
Mes hommes
Une superbe chanson. J'adore
Camélia peut chanter beaucoup de choses assez différentes : une vraie voix
Magique...
Sublime !
Un phare qui éclaire la nuit
Bravo 👍
❤
Ils marchent le regard fier,
Mes hommes,
Moi devant, et eux derrière,
Mes hommes
Et si j'allonge le pas,
Ils me suivent pas à pas.
Je leur échappe pas,
Mes hommes, mes hommes.
Où que je sois, ils sont là,
Mes hommes.
Je n'ai qu'à tendre les bras,
En somme.
Je les regarde venir,
Fière de leur appartenir.
C'est beau de les voir sourire,
Mes hommes.
Moi qui suis fille des brumes,
En somme,
De la nuit et de la lune,
Tout comme,
Quand j'arrive, le teint clair,
Moi devant et eux derrière,
Je comprends bien que les gens
S'étonnent, s'étonnent
Car, ils viennent de Tunisie,
Mes hommes,
Marseille, Toulon, le Midi,
Mes hommes.
Ils marchent avec insolence,
Un petit rien dans la hanche.
Ça ressemble à une danse,
Mes hommes.
Ils ne m'appellent Madame,
Mes hommes
Mais, tendrement, ils me nomment
Patronne.
Ils se soumettent à ma loi.
Je me soumets à leur loi.
Que c'est doux d'obéir
A mes hommes.
Tout d'amour et de tendresse,
Mes hommes,
M'ont fait une forteresse,
Mes hommes.
Non, vous ne passerez pas.
C'est à eux, n'y touchez pas.
Ils sont violents, quelquefois,
Mes hommes, mes hommes.
Ils se sont fait sentinelles,
Mes hommes.
Ils pourraient être cruels,
Mes hommes.
Ils me veillent, comme moi
Je les veille quelquefois.
Moi pour eux, et eux pour moi,
Mes hommes.
Quand naissent les premières feuilles
D'automne,
Quand le chagrin se fait lourd,
Mes hommes,
Vont se mettre, sans un mot,
Debout autour du piano
Et me disent tendrement,
Patronne, patronne.
C'est fou comme ils sont heureux,
Mes hommes,
Quand le son du piano noir
Résonne.
Ils vont faire leurs bagages
Et on reprend le voyage.
Faut qu'ils voient du paysage,
Mes hommes.
Quand descend la nuit furtive,
Mes hommes.
A pas de loup, ils s'esquivent.
Personne.
Ils vont chasser dans la nuit.
Bergers, gardez vos brebis
Qui ont le goût et l'envie,
Des hommes, des hommes
Car, de la blonde à la rousse,
Mes hommes,
Ils vont coucher leur peau douce,
Mes hommes
Et repartent dans la nuit,
Courtois, mais pas attendris
Quand ils ont croqué le fruit,
La pomme.
Ils reviennent au matin,
Mes hommes,
Avec des fleurs dans les mains,
Mes hommes
Et restent là, silencieux,
Timides, baissant les yeux
En attendant que je leur
Pardonne.
Ils ont installé mon lit,
Mes hommes,
Au calme d'une prairie,
Mes hommes.
Je peux m'endormir à l'ombre.
Ils y creuseront ma tombe
Pour la longue nuit profonde
Des hommes, des hommes.
Pas de pleurs, pas une larme,
Mes hommes,
Je n'ai pas le goût du drame,
Mes hommes,
Continuez, le regard fier.
Je serai là, comme hier,
Vous devant, et moi derrière,
Mes hommes.
Hommage á toi, Javier
Je suis amoureux
Camelia a volé l'âme de Barbara.....................enchanteresse!
Votre commentaire est un sacrilège tout comme cette reprise
@@benedictecorral6085 soit!
salut
Camélia n'est pas Barbara. Loin s'en faut, mais sa reprise est touchante.
Chante bien reprend bien ces chansons
Camelia, c’est formidabele
C est te....lle....ment.....beaaaaaaaaau, presque insupportable mais les humains sont les seuls sur terre a pouvoir supporter l insupportable, merci mademoiselle.
Chanter faux après Barbara, il faut éviter!!!
pourquoi chante t-elle...?
OMG🤮🤮🤮