Version folklorique, franchouillarde et politiquement correcte de l'Histoire de Bretagne. Si vous voulez connaître la véritable histoire de Bretagne, non entachée des légendes jacobines, lisez des historiens bretons et britanniques.
L'Etat Breton est un Etat indépendant reconnu comme tel par les papes, Anne signé un traité à Nantes le 7.01.1499 comme cheffe de l'Etat Breton , et d'autre part Louis XII pour la France qui reconnaît le droit public de Bretagne et donc ainsi l'indépendance de l'Etat Breton (13 clauses). Ce traité est toujours en vigueur en 2022, en effet il n'y a pas eu d'union à la France en 1532, car il s'agit d'un coup d'Etat, de force, dit Bertrand d'Argentre en 1582 dans son ouvrage qui est saisi par la censure royale. En 1590 Bertrand d'Argentre confirme que cet acte de 1532 est nul "istam nullam effe" sans effet juridique dit il dans des preuves qu'il envoi au roi d'Espagne Felipe II (Archives de simancas dévoilées par De Carne en 1899). Donc arrêtons de dire des âneries.
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LA HUNE ET HINDIVISIBLE, par le bon docteur Mélennec. Une Aimable Plaisanterie ??? Nations Bretonne, Alsacienne, Savoisienne ...... Alexis Arette, Béarnais de souche, sur les massacres linguistiques opérés par les « révolutionnaires » français : « Si la culture celtique n’avait pas existé, le « Français » Chrétien de Troyes aurait été à court d’inspiration : la langue dominante a puisé ailleurs ce qu’elle n’avait pas ….. A partir de la renaissance, négligeant le fabuleux trésor des peuples de l’ « hexagone », l’érudition académique n’a eu de cesse de copier les auteurs païens, et de mettre en scène des héros étrangers. Ni Lancelot de Bretagne, ni Huon de Bordeaux ne disaient plus rien à personne. Mais les pleurnicheries de Bérénice et de Chimène faisaient pâmer le beau linge de Paris. » Qu’est-ce qu’une nation ? Faut-il encore poser la question ? Est-elle encore d’actualité ? Elle l’est plus que jamais : des fous ont entrepris de détruire les nations. Dans le monde entier ! Pour la France, le processus est très avancé. L'idée de nation renvoie au fait de la naissance des hommes et des femmes dans un lieu déterminé : « nascere « signifie « naître ». Dans une première acception, le mot réunit les individus qui, nés dans un même lieu, ou sur un même territoire, parlent la même langue, pratiquent la même religion, ont vécu ensemble pendant des siècles, partagé les mêmes valeurs, et sont censés descendre - croit-on -, des mêmes ancêtres. C'est en 1872 que le breton Ernest Renan y ajoute un « critère » nouveau, le sentiment national, aujourd'hui dénommé « sentiment d'appartenance », qui traduit l'adhésion intime des personnes concernées à la même collectivité humaine. Le concept de nation française dite « une et indivisible » date de 1789. (Selon Goulven Pennoad : la « Hune et Hindivisible »). Il n'a jamais répondu à rien de concret, ni avant, ni pendant, ni après la révolution française, encore moins en 2020. C'est par une affirmation gratuite des députés de l'assemblée constituante, réunis en 1789 à Versailles, puis à Paris, incluse dans l'article premier de la constitution de 1791, qu'ils ont cru, en utilisant cette formule inappropriée et non conforme aux droits immémoriaux de la nation bretonne - reprise depuis lors par plusieurs constitutions, dont celle de 1958 -, avoir substitué ce qu'ils nomment désormais « LA » nation française, aux vieilles nations incluses dans le territoire soumis à l'autorité des rois de France, et avoir rayé de la carte les autres peuples de l'hexagone, bien plus anciens qu'elle. L'article premier de ladite constitution de 1791 est ainsi libellé : Le Royaume est un et indivisible : son territoire est distribué en quatre-vingt-trois départements, chaque département en districts, chaque district en cantons. Cette absurdité est suivie d'une autre : Article 2 : Sont citoyens français, ceux qui sont nés en France d'un père français. Ces dispositions sont absurdes, voire ridicules : L'Armorique porte le nom de Bretagne depuis le sixième siècle ; les enfants qui naissent dans ce pays sont de nationalité bretonne, non de nationalité française. Une nation ne se décrète ni par une loi, ni par aucun texte, de quelque nature qu'il soit. Surtout s'il a été inclus par la force dans la constitution d'un pays étranger, parce que celui-ci tient la plume pour la rédiger, sans solliciter l'avis des principaux intéressés, qui ont seuls qualité pour décider de quel peuple ils font partie. De même, une nation ne peut être supprimée et disparaître parce que des malades mentaux ont inclus une sottise - une énormité, en réalité -, dans un texte rédigé par eux, sans l'accord de personne, et intitulé par eux « Constitution de la France ». Outre les provinces centrales, qui forment un ensemble à part, comme étant soumises au roi de France depuis plusieurs siècles, et qu'elles l'ont reconnu comme souverain, il existe dans les limites de ce qu'on dénomme en 1789 le royaume de France, au moins cinq nations périphériques : la Bretagne, le Pays basque, le Béarn (annexé au royaume en 1620), la Corse, l'Alsace. Les régions centrales, intégrées dans le royaume depuis plusieurs siècles, font partie de la nation française, et ne revendiquent aucune autre identité nationale que celle-là. Là s'arrêtent les limites de cette nation. La doctrine de la nation française prétendûment « une et indivisible », est enseignée dans les écoles jusqu'à aujourd'hui. Les élèves l'apprennent par cœur, il ne leur est pas permis d'admettre d'autre vérité que celle-là. Le Conseil d'Etat use de cette formule absurde chaque fois qu'il en a besoin, toute honte bue, sachant qu'il se sert d'un sophisme - dont les juristes se gaussent. Il l'a fait pendant longtemps, pour interdire aux peuples plus anciens que le sien de parler et d'enseigner leur langue nationale. En Grande Bretagne, les Anglais, qui détenaient la force, n'ont évidemment pas osé extirper par le fer et par le feu les identités écossaise et galloise, les Ecossais et les Gallois conservant avec fierté leur appartenance à leurs nations respectives. Il est nécessaire de rappeler ici ce qu'est une nation. Les exposés théoriques de tous les auteurs confondus sont désespérants de confusion. Dans une conférence faite à Paris en 2002, mes auditeurs ayant quelque difficulté à comprendre ce qu'est une nation, j'ai résumé ma démonstration, à leur intention, de la manière qui suit : « Lorsque vous jetez de l’eau dans une casserole, puis des poireaux, puis des pommes de terre ou d’autres légumes, et que vous mettez le tout sur le feu, qu’arrivet-il ? Tout simplement, au bout d’un temps, une soupe de légumes. La nation, c’est cela : un groupe humain vivant ensemble, sur le même territoire, partageant les mêmes valeurs , les mêmes joies, les mêmes épreuves, parlant ou non la même langue, sous un gouvernement commun. Au bout d’un temps, ces hommes et ces femmes se lient ensemble, par ce que nous appelons un sentiment d’identité commune - ou sentiment national -, distinct de celui des peuples voisins, qui ont subi la même évolution, et qui sont vécus comme des étrangers. Point n’est besoin de connaître à fond l’histoire des sociétés anciennes ni modernes pour comprendre ce phénomène : il est lié consubstantiellement à l’espèce humaine : les peuples - ou nations - ont existé de tous temps, de même que le droit international, au moins sous une forme rudimentaire. C’est donc une absurdité de dire qu’il n’y a dans l’espace hexagonal dénommé « La France » qu’une seule nation. La nation française existe, il est vrai ; elle est au centre de ce qu’on dénomme « l’hexagone ». Mais à la périphérie, il y a d’autres nations : les Basques, les Bretons, les Corses, les Flamands, les Alsaciens, les Savoyards et les Niçois …. La liste n’est probablement pas close. Les Bretons et les Basques sont identifiés avant les Francs et avant les Français, leur histoire est beaucoup plus ancienne, leur langue aussi. Les Corses, pas davantage que les Bretons, les Savoisiens ne sont pas ce qu’on a appelé absurdement des « composantes du peuple français » : ce sont des Nations à part entière, au même titre que les Ecossais, les Gallois, les Catalans …. La négation des nations périphériques dans l’espace hexagonal est l’effet d’une imposture et d’une manipulation mentale grossières, nées en 1789, de la volonté du pouvoir de Paris d'annexer par la force, sans consulter les citoyens concernés, au pays dénommé « la France », des nations qui n'en font pas partie, et d’enseigner comme un catéchisme une religion fausse, faite à son profit d’inexactitudes et d’approximations. La vérité est enfin connue aujourd’hui. Notamment par nos travaux, qui s’ajoutent à bien d’autres. Ceci détruit d’une manière définitive l’idée absurde selon laquelle, dans l’espace hexagonal, en détruisant l’identité des autres, par des textes dont elle est la seule rédactrice, la France peut revendiquer la qualité de nation. La nation bretonne est plus que jamais debout. La nation française, par les effets conjugués d’une classe politique archinulle, en grande partie corrompue, est déliquescente, et en voie de destruction. Il n’en reste que des charpies : tant pis pour elle. Requiescat in pace ! Les Bretons ont qualité de professeurs, en matière de Nation : ils existent plus de mille ans avant les Français. Profitez-en, donc. louis MELENNEC, docteur en droit, historien
Avec grand plaisir Franck et à demain Avec grand plaisir Franck et à demain Avec grand plaisir Franck et à demain Avec grand plaisir Franck et à demain
l'histoire des bretons ne se limite pas à la vie d'Anne de Bretagne. A sa naissance, celà fait déjà 1000 ans que les tribus Britonniques se sont installées en Armorique. Constitués en chefferies (du modèle celtique ) qui se sont ensuite réunis sous la bannière de chefs de guerres devenus rois ( Riothamus par exemple du breton Rigo Tamos, roi suprême ) qui augmentèrent la taille du royaume en conquérant les marches franques et le contentin, ne devenant duchés après la période des raids vikings....
Lisez Louis Melennec, blogs et vidéos, plutôt que les mauvais historiens français et romanciers tous ignorants du droit des bretons, et de la Coutume de Bretagne.
Il serait bon pour leur salut de s’en souvenir. Au lieu de s’accrocher aux loosers français . Juin 2021: Stade de France 0 vs Jubilé de platine de la Reine 1.
Çà existe pas le druidisme, c'est un truc de beatnik newage, ça fait du cliché à vendre pour les "journalistes" paresseux (pléonasme). Les Bretons sont des gens rationnels, à l'image de leurs compatriotes.
@@leilaweiss8647 le Druidisme était déjà mort quand les Bretons ont fondé la Bretagne. La Bretagne est une terre chrétienne avec une sensibilité celtique . Le « Druidisme » actuel est un produit dérivé de la période romantique
@@MaaFreddy Exact. Sur le romantisme à l'origine de l'idée celtique, lire "La nuit celtique" de Donatien Laurent et Michael Treger. Ed Terres de brume.
En effet confirmé d’ailleurs par les études génétiques récentes. Logique puisque les Bretons sont des Celtes “brittoniques” dont la langue est proche du Cornique et du Gallois.
Les bretons ont des ancêtres bretons. l'Irlande n'existait pas à l'arrivée des Bretons au V Siècle. Par ailleurs cette colonisation n'a pas dépassé 20%de la population armoricaine de l'époque.30 000 pour 100000 armoricains. Les bretons sont celtes comme les irlandais certes mais les français sont aussi celtes dans leur grande majorité (Gaulois)
Il suffit de voir leurs tronches et leurs moeurs pour s en rendre compte . Il me sepble que le gallo parlé en bretagne l est aussi dans l ouest de irlande .
@@zorbeclegras5708 Il ne s'agit pas de remettre en cause le "génie" de Gotlib, mais l'utilisation de son dessin parfaitement parodique dans une vidéo historique, certes de "vulgarisation", mais se voulant sérieuse.
Vive la Bretagne et les Bretons merci Franck pour Anne et le féminin divin.
Version folklorique, franchouillarde et politiquement correcte de l'Histoire de Bretagne. Si vous voulez connaître la véritable histoire de Bretagne, non entachée des légendes jacobines, lisez des historiens bretons et britanniques.
L'Etat Breton est un Etat indépendant reconnu comme tel par les papes, Anne signé un traité à Nantes le 7.01.1499 comme cheffe de l'Etat Breton , et d'autre part Louis XII pour la France qui reconnaît le droit public de Bretagne et donc ainsi l'indépendance de l'Etat Breton (13 clauses). Ce traité est toujours en vigueur en 2022, en effet il n'y a pas eu d'union à la France en 1532, car il s'agit d'un coup d'Etat, de force, dit Bertrand d'Argentre en 1582 dans son ouvrage qui est saisi par la censure royale. En 1590 Bertrand d'Argentre confirme que cet acte de 1532 est nul "istam nullam effe" sans effet juridique dit il dans des preuves qu'il envoi au roi d'Espagne Felipe II (Archives de simancas dévoilées par De Carne en 1899). Donc arrêtons de dire des âneries.
La Bretagne 😍 est sur ma todolist
Avec grand plaisir Frank à demain !
Fière d’être breton !!! 💪😁
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@Bishop Cedric Instablaster ;)
👨🌾✍ hummmmmm!!!! C' est bon les galettes bretonnes . Et , puis , elles sont bien mignonnes nos bretonnes .
Tu n'as rien écouté de la vidéo, toi.
Avec grand plaisir Franck à demain Avec grand plaisir Franck à demain Avec grand plaisir Franck à demain
LA HUNE ET HINDIVISIBLE, par le bon docteur Mélennec. Une Aimable
Plaisanterie ??? Nations Bretonne, Alsacienne, Savoisienne ......
Alexis Arette, Béarnais de souche, sur les massacres linguistiques opérés par les «
révolutionnaires » français : « Si la culture celtique n’avait pas existé, le « Français »
Chrétien de Troyes aurait été à court d’inspiration : la langue dominante a puisé
ailleurs ce qu’elle n’avait pas ….. A partir de la renaissance, négligeant le fabuleux
trésor des peuples de l’ « hexagone », l’érudition académique n’a eu de cesse de
copier les auteurs païens, et de mettre en scène des héros étrangers. Ni Lancelot de
Bretagne, ni Huon de Bordeaux ne disaient plus rien à personne. Mais les
pleurnicheries de Bérénice et de Chimène faisaient pâmer le beau linge de Paris. »
Qu’est-ce qu’une nation ? Faut-il encore poser la question ? Est-elle encore
d’actualité ? Elle l’est plus que jamais : des fous ont entrepris de détruire les nations.
Dans le monde entier ! Pour la France, le processus est très avancé. L'idée de nation
renvoie au fait de la naissance des hommes et des femmes dans un lieu déterminé : «
nascere « signifie « naître ». Dans une première acception, le mot réunit les individus
qui, nés dans un même lieu, ou sur un même territoire, parlent la même langue,
pratiquent la même religion, ont vécu ensemble pendant des siècles, partagé les
mêmes valeurs, et sont censés descendre - croit-on -, des mêmes ancêtres. C'est en
1872 que le breton Ernest Renan y ajoute un « critère » nouveau, le sentiment
national, aujourd'hui dénommé « sentiment d'appartenance », qui traduit l'adhésion
intime des personnes concernées à la même collectivité humaine. Le concept de
nation française dite « une et indivisible » date de 1789. (Selon Goulven Pennoad : la
« Hune et Hindivisible »). Il n'a jamais répondu à rien de concret, ni avant, ni
pendant, ni après la révolution française, encore moins en 2020. C'est par une
affirmation gratuite des députés de l'assemblée constituante, réunis en 1789 à
Versailles, puis à Paris, incluse dans l'article premier de la constitution de 1791, qu'ils
ont cru, en utilisant cette formule inappropriée et non conforme aux droits
immémoriaux de la nation bretonne - reprise depuis lors par plusieurs constitutions,
dont celle de 1958 -, avoir substitué ce qu'ils nomment désormais « LA » nation
française, aux vieilles nations incluses dans le territoire soumis à l'autorité des rois de
France, et avoir rayé de la carte les autres peuples de l'hexagone, bien plus anciens
qu'elle. L'article premier de ladite constitution de 1791 est ainsi libellé : Le Royaume
est un et indivisible : son territoire est distribué en quatre-vingt-trois départements,
chaque département en districts, chaque district en cantons. Cette absurdité est suivie
d'une autre : Article 2 : Sont citoyens français, ceux qui sont nés en France d'un père
français. Ces dispositions sont absurdes, voire ridicules : L'Armorique porte le nom
de Bretagne depuis le sixième siècle ; les enfants qui naissent dans ce pays sont de
nationalité bretonne, non de nationalité française. Une nation ne se décrète ni par une
loi, ni par aucun texte, de quelque nature qu'il soit. Surtout s'il a été inclus par la force
dans la constitution d'un pays étranger, parce que celui-ci tient la plume pour la
rédiger, sans solliciter l'avis des principaux intéressés, qui ont seuls qualité pour
décider de quel peuple ils font partie. De même, une nation ne peut être supprimée et
disparaître parce que des malades mentaux ont inclus une sottise - une énormité, en
réalité -, dans un texte rédigé par eux, sans l'accord de personne, et intitulé par eux «
Constitution de la France ». Outre les provinces centrales, qui forment un ensemble à
part, comme étant soumises au roi de France depuis plusieurs siècles, et qu'elles l'ont
reconnu comme souverain, il existe dans les limites de ce qu'on dénomme en 1789 le
royaume de France, au moins cinq nations périphériques : la Bretagne, le Pays
basque, le Béarn (annexé au royaume en 1620), la Corse, l'Alsace. Les régions
centrales, intégrées dans le royaume depuis plusieurs siècles, font partie de la nation
française, et ne revendiquent aucune autre identité nationale que celle-là. Là s'arrêtent
les limites de cette nation. La doctrine de la nation française prétendûment « une et
indivisible », est enseignée dans les écoles jusqu'à aujourd'hui. Les élèves
l'apprennent par cœur, il ne leur est pas permis d'admettre d'autre vérité que celle-là.
Le Conseil d'Etat use de cette formule absurde chaque fois qu'il en a besoin, toute
honte bue, sachant qu'il se sert d'un sophisme - dont les juristes se gaussent. Il l'a fait
pendant longtemps, pour interdire aux peuples plus anciens que le sien de parler et
d'enseigner leur langue nationale. En Grande Bretagne, les Anglais, qui détenaient la
force, n'ont évidemment pas osé extirper par le fer et par le feu les identités écossaise
et galloise, les Ecossais et les Gallois conservant avec fierté leur appartenance à leurs
nations respectives. Il est nécessaire de rappeler ici ce qu'est une nation. Les exposés
théoriques de tous les auteurs confondus sont désespérants de confusion. Dans une
conférence faite à Paris en 2002, mes auditeurs ayant quelque difficulté à comprendre
ce qu'est une nation, j'ai résumé ma démonstration, à leur intention, de la manière qui
suit : « Lorsque vous jetez de l’eau dans une casserole, puis des poireaux, puis des
pommes de terre ou d’autres légumes, et que vous mettez le tout sur le feu, qu’arrivet-il ? Tout simplement, au bout d’un temps, une soupe de légumes. La nation, c’est
cela : un groupe humain vivant ensemble, sur le même territoire, partageant les
mêmes valeurs , les mêmes joies, les mêmes épreuves, parlant ou non la même
langue, sous un gouvernement commun. Au bout d’un temps, ces hommes et ces
femmes se lient ensemble, par ce que nous appelons un sentiment d’identité
commune - ou sentiment national -, distinct de celui des peuples voisins, qui ont subi
la même évolution, et qui sont vécus comme des étrangers. Point n’est besoin de
connaître à fond l’histoire des sociétés anciennes ni modernes pour comprendre ce
phénomène : il est lié consubstantiellement à l’espèce humaine : les peuples - ou
nations - ont existé de tous temps, de même que le droit international, au moins sous
une forme rudimentaire. C’est donc une absurdité de dire qu’il n’y a dans l’espace
hexagonal dénommé « La France » qu’une seule nation. La nation française existe, il
est vrai ; elle est au centre de ce qu’on dénomme « l’hexagone ». Mais à la périphérie,
il y a d’autres nations : les Basques, les Bretons, les Corses, les Flamands, les
Alsaciens, les Savoyards et les Niçois …. La liste n’est probablement pas close. Les
Bretons et les Basques sont identifiés avant les Francs et avant les Français, leur
histoire est beaucoup plus ancienne, leur langue aussi. Les Corses, pas davantage que
les Bretons, les Savoisiens ne sont pas ce qu’on a appelé absurdement des «
composantes du peuple français » : ce sont des Nations à part entière, au même titre
que les Ecossais, les Gallois, les Catalans …. La négation des nations périphériques
dans l’espace hexagonal est l’effet d’une imposture et d’une manipulation mentale
grossières, nées en 1789, de la volonté du pouvoir de Paris d'annexer par la force,
sans consulter les citoyens concernés, au pays dénommé « la France », des nations
qui n'en font pas partie, et d’enseigner comme un catéchisme une religion fausse,
faite à son profit d’inexactitudes et d’approximations. La vérité est enfin connue
aujourd’hui. Notamment par nos travaux, qui s’ajoutent à bien d’autres. Ceci détruit
d’une manière définitive l’idée absurde selon laquelle, dans l’espace hexagonal, en
détruisant l’identité des autres, par des textes dont elle est la seule rédactrice, la
France peut revendiquer la qualité de nation. La nation bretonne est plus que jamais
debout. La nation française, par les effets conjugués d’une classe politique archinulle, en grande partie corrompue, est déliquescente, et en voie de destruction. Il n’en
reste que des charpies : tant pis pour elle. Requiescat in pace ! Les Bretons ont qualité
de professeurs, en matière de Nation : ils existent plus de mille ans avant les Français.
Profitez-en, donc.
louis MELENNEC, docteur en droit, historien
Avec grand plaisir Franck et à demain Avec grand plaisir Franck et à demain Avec grand plaisir Franck et à demain Avec grand plaisir Franck et à demain
Merci pour ce podcast interessant . Ça permet de mieux comprendre lcette secte .
l'histoire des bretons ne se limite pas à la vie d'Anne de Bretagne. A sa naissance, celà fait déjà 1000 ans que les tribus Britonniques se sont installées en Armorique. Constitués en chefferies (du modèle celtique ) qui se sont ensuite réunis sous la bannière de chefs de guerres devenus rois ( Riothamus par exemple du breton Rigo Tamos, roi suprême ) qui augmentèrent la taille du royaume en conquérant les marches franques et le contentin, ne devenant duchés après la période des raids vikings....
Erreur à la 21ème minute : Charles Orland n'est pas le fils de Louis XII mais de Charles VIII.
Je ne crois pas qu'Anne de Bretagne parlais le Breton. C'est la première fais que j'entends ça.
C’est clair !!!!
21:12, c'est avec Charles VIII et non avec Louis XII qu'Anne a eu un enfant prénommé Charles-Orland, qui effectivement ne vécut hélas que 3 ans...
voici un message
Un bavardage avec beaucoup d'approximations et d'inexactitudes, juste bon pour des salons parisiens un peu endormis .SANS INTERET
huit publicités! Faut pas abuser quand même...😕
Que la Bretagne guettée par l'immigration, reste Bretonne, Celte, sauvage et fière. Qu'elle préserve sa Beauté des bétonneurs
breizh atao
Lisez Louis Melennec, blogs et vidéos, plutôt que les mauvais historiens français et romanciers tous ignorants du droit des bretons, et de la Coutume de Bretagne.
La Bretagne n'est pas la France. Tout comme l Irlande n'est pas l'Angleterre.
Il serait bon pour leur salut de s’en souvenir. Au lieu de s’accrocher aux loosers français . Juin 2021: Stade de France 0 vs Jubilé de platine de la Reine 1.
Gneugneugneu engam !!!
@@MaaFreddy lol la bretagne sans la france c est quoi ?? tu as ecouter ce monsieur ou tu braille pour braillé ?? les looser ont gagner
la bretagne c est la france contant ou pas c est comme ca
@@tonycampana8448 Excellente question ! C’est le Danemark ou l’Irlande - même ordre de grandeur.
Florins autrichiens. ?
HALLUCINANT !!!!!!!!!!!!!!! VOUS N'AVEZ PAS HONTE ??????
Arrêtez de faire de l'histoire !!!!!!!!!!!!!!!
Avec mano mano vous pouvez construire un cerqueuille sur mesure.
Vas y comment tu parle de la duchesse Anne ??
Comment que c'est y que t'écris cercueil ?
Son père a était empoisonné si c'est pas vrais c'est pas faux.
Un peu comme la langue tibétaine avec la révolution culturelle et cultuelle. Le Druidisme, cette sagesse antique ? merci !
Çà existe pas le druidisme, c'est un truc de beatnik newage, ça fait du cliché à vendre pour les "journalistes" paresseux (pléonasme). Les Bretons sont des gens rationnels, à l'image de leurs compatriotes.
@@ninjaguilera1604 je t'exhorte à lire diverses traditions. Cordialement.
@@leilaweiss8647 le Druidisme était déjà mort quand les Bretons ont fondé la Bretagne. La Bretagne est une terre chrétienne avec une sensibilité celtique . Le « Druidisme » actuel est un produit dérivé de la période romantique
@@MaaFreddy merci.
@@MaaFreddy Exact. Sur le romantisme à l'origine de l'idée celtique, lire "La nuit celtique" de Donatien Laurent et Michael Treger. Ed Terres de brume.
Bien entendu....disons le....béquilles verbales innombrables
Les bretons ont plus d ancêtres irlandais ou britanniques que français
En effet confirmé d’ailleurs par les études génétiques récentes. Logique puisque les Bretons sont des Celtes “brittoniques” dont la langue est proche du Cornique et du Gallois.
pas anglais. on n en veut pas
Les bretons ont des ancêtres bretons. l'Irlande n'existait pas à l'arrivée des Bretons au V Siècle. Par ailleurs cette colonisation n'a pas dépassé 20%de la population armoricaine de l'époque.30 000 pour 100000 armoricains. Les bretons sont celtes comme les irlandais certes mais les français sont aussi celtes dans leur grande majorité (Gaulois)
Il suffit de voir leurs tronches et leurs moeurs pour s en rendre compte .
Il me sepble que le gallo parlé en bretagne l est aussi dans l ouest de irlande .
@@MarcGerard-g2q Pendant la grande famine et les reformes de Cromwell bcp d'Irlandais ont immigré en Bretagne .
L'illustration comique de Gotlib est curieusement déplacée.
Gotlieb était génial. Signé un Breton. On peut être fier sans être rigide.
@@zorbeclegras5708 Il ne s'agit pas de remettre en cause le "génie" de Gotlib, mais l'utilisation de son dessin parfaitement parodique dans une vidéo historique, certes de "vulgarisation", mais se voulant sérieuse.
Tomates sous serre, elevages intensifs de porcs, algues vertes... C est marrant, l invité de FF n en parle pas.