Même chez Tau, je pense qu'il n'y a que le café en grains qu'on peut avoir en vrac... Ça m'a d'ailleurs refroidi de ce magasin que j'aimais beaucoup il y a 25 ans. Des tablettes remplies de sachets et de contenants de plastique épais, pour plusieurs couverts d'une épaisse couche de colorant... et quand je ne vois pas de symbole de recyclage sur l'emballage, je me demande dans quel bac je dois le mettre... Ma façon de dire non à ça c'est de ne pas, ou pratiquement jamais, acheter les produits dans ces emballages. De toute façon, c'est souvent de la nourriture trop transformée, autrement pas de la vraie nourriture...
Que fait-on pour les gens allergiques ? Les épiceries zéro déchet ne peuvent garantir la sécurité de leurs produits ( plus grande possibilité de contamination croisée) . Je crois que le reportage aurait été plus complet en ayant ce point de vue .
Je ne suis pas sur si le modèle du petit marché est viable au Québec. Si t'as besoin d'aller dans 3-4 marchés pour faire tes courses de la semaine, je crois que la plupart des gens vont faire les trajets en voiture, ce qui annule l'avantage écologique du zéro déchet. On fait notre épicerie dans un super-marché, mais on le fait en vélo. Un système d'achat en ligne qui envoie tes achats de différents petits marchés à un point de rassemblement unique serait peut-être plus viable (un peu comme le fait les Fermes Lufa).
Ça se vaut, mais dans de petits quartiers ou les services sont plus proches, c'est possible. Mais ça implique en plus de l'urbanisme. J'ai plusieurs commissions à faires dans plusieurs petites boutiques et je les faits à vélo. C'est plus rapide, agréable et pratique qu'en voiture. Mais c'est parce que mon quartier est conçu pour ça.
L'agroalimentaire à vraiment du chemin à faire. Des producteurs aux détaillants, la chaîne est a revoir. Il y a beaucoup trop d'emballage qui n'ait pas recyclable ou rendu non recyclable par d'amalgame des composantes (plastique et étiquette en papier ou versa). Sans compter la distance parcourue par les aliments. Les épiciers disent que c'est pour le côté sanitaire, rien n'empêche la contamination à la source, la laitue romaine entre autre, ou pire encore les pesticides. De toutes façon il est recommander de laver, rincer les fruits et légumes avant de les consommer, l'emballage devient superflue sur le point du sanitaire.
Si déjà les prix était plus avantageux en vrac, j'en achèterais, la même dans les gros commerces de vrac tel que Bulk Barn, les prix sont plus élevé. Je n'agit pas au nom de l'environnement je vie avec l'emvironnement.
Bravo pour les actions citoyennes
En seulement..... les industries et les politiques malléables sont les vrais responsables
Même chez Tau, je pense qu'il n'y a que le café en grains qu'on peut avoir en vrac... Ça m'a d'ailleurs refroidi de ce magasin que j'aimais beaucoup il y a 25 ans. Des tablettes remplies de sachets et de contenants de plastique épais, pour plusieurs couverts d'une épaisse couche de colorant... et quand je ne vois pas de symbole de recyclage sur l'emballage, je me demande dans quel bac je dois le mettre... Ma façon de dire non à ça c'est de ne pas, ou pratiquement jamais, acheter les produits dans ces emballages. De toute façon, c'est souvent de la nourriture trop transformée, autrement pas de la vraie nourriture...
Que fait-on pour les gens allergiques ? Les épiceries zéro déchet ne peuvent garantir la sécurité de leurs produits ( plus grande possibilité de contamination croisée) . Je crois que le reportage aurait été plus complet en ayant ce point de vue .
c'est vrai, pour le gluten c'est terrible comme option...malheureusement les gens ne sont pas consciencieux et prudent
C'est aux élus de faire en sorte que l'option sans emballage soit financièrement plus intéressante.
if only it was cheaper
Je ne suis pas sur si le modèle du petit marché est viable au Québec. Si t'as besoin d'aller dans 3-4 marchés pour faire tes courses de la semaine, je crois que la plupart des gens vont faire les trajets en voiture, ce qui annule l'avantage écologique du zéro déchet. On fait notre épicerie dans un super-marché, mais on le fait en vélo. Un système d'achat en ligne qui envoie tes achats de différents petits marchés à un point de rassemblement unique serait peut-être plus viable (un peu comme le fait les Fermes Lufa).
Ça se vaut, mais dans de petits quartiers ou les services sont plus proches, c'est possible. Mais ça implique en plus de l'urbanisme. J'ai plusieurs commissions à faires dans plusieurs petites boutiques et je les faits à vélo. C'est plus rapide, agréable et pratique qu'en voiture. Mais c'est parce que mon quartier est conçu pour ça.
L'agroalimentaire à vraiment du chemin à faire. Des producteurs aux détaillants, la chaîne est a revoir. Il y a beaucoup trop d'emballage qui n'ait pas recyclable ou rendu non recyclable par d'amalgame des composantes (plastique et étiquette en papier ou versa). Sans compter la distance parcourue par les aliments.
Les épiciers disent que c'est pour le côté sanitaire, rien n'empêche la contamination à la source, la laitue romaine entre autre, ou pire encore les pesticides. De toutes façon il est recommander de laver, rincer les fruits et légumes avant de les consommer, l'emballage devient superflue sur le point du sanitaire.
Si déjà les prix était plus avantageux en vrac, j'en achèterais, la même dans les gros commerces de vrac tel que Bulk Barn, les prix sont plus élevé.
Je n'agit pas au nom de l'environnement je vie avec l'emvironnement.